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Caroline secrétaire médicale (5)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 5

            Je n'ai pas envie de bouger ce week-end, à part quelques courses, j'ai envie de rester chez moi. D'ailleurs, comme j'ai vu Muriel aujourd'hui et qu'elle revient demain, je suis un peu bloquée. Je passe le plus clair de ma soirée à visionner des cassettes vidéos spéciales.
            Ces cassettes méritent quelques explications. Après avoir vu celle que j'ai décrite sur la clinique, j'avais posé la question au docteur, devant le réalisme de certaines scènes et il m'avait tout expliqué : il existait deux type de cassettes, le premier, celui en question était destiné à un public assez restreint et ayant des goût spécialisés, et mélangeait des scènes authentiques au folklore habituel des films pornos. Ainsi, la scène du bloc opératoire, dans laquelle on extrait les boules de billards de l'anus de la fille est exécutées par de vrais professionnels de la santé, et l'actrice a été rellement anesthésiée, avec son accord, bien sûr. Il me fait d'ailleurs remarquer qu'à part elle, tous les protagonistes sont masqués, ce qui est tout à fait naturel au bloc. Ces cassettes couvrent plusieurs facettes de la sexualité plus ou moins normale et coûtent plus cher que les cassettes pornos courante.
            Les autres, à tirage extrèmement restreint valent chacune une fortune et sont destinées à des amateurs très exigeants et triés sur le volet ; elles couvrent le domaine des perversions et déviances et sont toutes absolument authentiques, d'un réalisme très cru.
            L'ensemble est centralisé et distribué par un club international très fermés, et dont mon patron est membre, ce qui lui permets d'obtenir toutes les cassettes gratuitement. Ils participe étgalement en fournissant lui-même des images, en particulier de ses traitements spéciaux. Régulièrement, il renouvelle mon stock et si certaine m'intéressent, m'excitent plus ou moins, d'autres me feraient carrément vomir : je le lui ai dit et il m'a répondu que lui non plus ne suportait pas et qu'il fallait être vraiment tordu pour aprécier certaines horreurs, sachant par ailleurs que ce n'est pas de la fiction. Les échanges d'images se font par l'intermédiaire d'Internet, sous la forme de fichier numériques codés.
            Je refuse de voir tout ce qui concerne le sadisme poussé à l'extrème : mutilations, exécutions capitales, tortures... La pédophilie, où l'on voit des enfants de tout âge entre eux ou avec des adultes me révulsent profondément, ainsi d'ailleurs que la zoophilie qui montre l'accouplement de femmes, la plupart du temps, avec des animaux variés... Par contre, un sadisme plus soft, dans le style de celui que mon patron pratique sur certaines de ses patientes me plaît bien.
            Le fantasme de la "blouse blanche" est semble-t'il assez répandu et bien représenté par des cassettes à connotation médicale. En voici quelques exemples :
            - Gynécologues, hommes ou femmes qui examinent intimement des dizaines de femmes, de tout âge, de toute race.
            - Proctologues avec des patients des deux sexes.
            - Infirmier(e)s pratiquant des soins intimes : rasage, injections, toilette intime, lavements.
            - Visite scolaire, de la maternelle à l'université, alternant garçons et filles, filmées dans divers pays.
            - Médecine du travail, oû tous les employés d'une entreprise défilent devant le médecin, avec parfois des dérapages érotiques.
            - Pédiatrie.
            - Opérations filmées en continu, souvent gynécologiques.
            - Accouchements de A à Z.
            - Massages intimes.
            - Charlatans s'intéressant de très près à la région anale et sexuelle de leurs patients.         
            A classer dans un monde à part, la médecine légale. Celà, non seulement ça ne m'excite pas le moins du monde, mais aurait plutôt tendance à me glacer d'effroi, et en même temps provoque en moi une fascination morbide ; si je veux passer une nuit presque blanche, au sommeil agité peuplé  d'horribles cauchemards, c'est très simple : je n'a qu'à regarder une telle cassete avant de m'endormir...
            Il peut s'agir de vivants, souvent l'examen intime d'une jeune femme ou une fillette en pleur après un viol. D'autre fois de cadavres, avec autopsies coomplètes.
            Par exemple, une cassette suit de bout en bout deux jeunes filles trouvées mortes dans un bois, violées, l'une poignardée, l'autre étranglée. L'action commence avec l'arrivée du médecin légiste sur les lieux, emcombrés de voitures de police. Les deux corps gisent dans l'herbe, vêtements en désordre, cuisses écartées, culotte déchirée, l'une sur le dos, l'autre à plat ventre. Elles ont été identifiées l'une à 14 ans, l'autre 16. Le légiste se penche sur elles, les examine, regarde entre leurs jambes, avec gros plan de la caméra qui montre le sang et le sperme qui souille l'intérieur de leurs cuisses ; il effectue des prélèvements dans le vagin et l'anus des deux mortes. Puis après que les photographes aient fait leur boulot, les deux cadavres sont enveloppés dans des housses en plastique et chargés dans un fourgon pour être amenés à l'Institut Médico Légal. Là, déshabillage des corps, examen superficiel puis nettoyage à l'éponge et mise au frigo, une fiche attachée à la cheville. Ensuite on retrouve les deux filles nues, allongées chacune sur une table carrelée dans la salle d'autopsie, blafardes sous l'éclairaage cru des tubes de néon. Le médecin légiste entre avec sa secrétaire à laquelle il dicte au fur et à mesure ses observations. Il s'approche de la première, qui porte la marque de plusieurs coups de couteau, compte les blessures, les sonde avec une fine tige graduée, examine attententivement tout le corps, le retourne sur le ventre, le remet sur le dos... Il regarde ensuite entre les cuisses de la fille, qu'il a fortement écartées, notant les echimoses, lui met un spéculum et l'ouvre en grand, s'éclaire et regarde le fond du vagin, fait des prélèvements qu'il met dans de petits tubes. Il retourne à nouveau le cadavre lui met cette fois le spéculum dans l'anus, et il est étonnant de voir à quel point il arrive à l'ouvrir ! Et il reprend ses prélèvements. Il va ensuite s'intéresser de la même manière à l'autre fille morte, s'intéressant de très près aux marques caractéristiques qu'elle port au cou, avant de revenir à la première et lui ouvrir le ventre, d'un coup de scalpel précis, de pubis au sternum, avant de couper celui-ci dans le sens de la hauteur avec une espèce de grosse cisaille à volaille... Il sort les viscères, prélève des échantillons, en fait de même pour l'ensemble du coeur et des poumons. Il ne juge pas utile d'ouvrir le crânes, se contentant de faire des prélèvements en enfonçant une longue tige par les narines. De même, il n'ouvre pas le deuxième corps : la cause de la mort par strangulation est tout à fait évideente, et elle sur le souhait de ses parents, elle doit être embaumée : autant l'abîmer le moins possible
            Quand le légiste quitte la salle, deux garçons d'amphi- théatre viennent s'occuper des deux mortes : il remettent les viscères en place, posent de grosses agraphes sur le sternum, recousent grossièrement le ventre. Celle-ci est remise dans un tiroir réfrigéré tandis que l'autre, intacte, est roulée dans dans un drap et chargée dans un fourgon pour l'amener au funérarium. Les mots "A suivre..." apparaissent à l'écran : l'histoire cette pauvre fille se poursuit sur une deuxième cassette, qui montre en temps réel toute la préparation thanatopraxique du corps.
            On retrouve le cadavre nu de la jeune fille de 16 ans, qui devait être très belle, allongé sur une table de marbre, dans une pièce pas très grande. C'est une femme d'environ 45 ans qui officie. Elle porte des lunettes qui lui donnent un regard très doux et a les cheveux qui grisonnent. Avant de se mettre au travail, elle pose un cadre sur une tablette, cadre qui contient la photo de la fille, du temps oû elle vivante, joyeuse et insouciante : en effet, elle était très jolie. La femme à tout le matériel nécessaire à sa portée, aspirateur, injecteur, scalpel, et autres, ainsi que toute une gamme de produits de maquillage. Elle ne va pas embaumer réellement le corps, mais le traiter pour une conservation assez longue. Elle pratique trois petites ouvertures au bistouri : au niveau du nombril et de chaque aine, qui lui permettent d'introduire la longue sonde d'aspiration qu'elle tourne pour aspirer le maximum de sang et autres liquides. Puis elle masse le ventre, appuie fortement dessus, faisant ressortir un peu d'urine. La sonde aspirante est ensuite introduite profondément dans l'anus.
            Quand elle a fini d'aspirer toutes les humeurs possibles, la femme remplit le corps d'un liquide verdatre par les trois orificces qu'elle à créés, avent de les recoudre soigneusement. Elle agit de façon très professionnelle, presque maternelle, ses mains adroites gantées de latex. Elle remplit ensuite l'intestin de la morte d'une sorte de gel, à l'aide d'une grosse seringue avant d'introduire une grosse boule de coton dans l'anus et de coudre celui-ci. Le vagin du cadavre est aussi rempli de produit avant d'être cousu à son tour.
            Elle injecte également des produits par les narines, les oreilles. Les lèvres sont cousues avec un fil invisible, ainsi que les paupières après avoir posé une petite coque en plastique sur les yeux.
            Il ne reste plus à la femme qu'à coiffer la jeune morte, maquiller discrètement son visage et l'habiller : culotte et soutien-gorge bleus, collant, robe fraiche bleu au genoux, chaussures. Un joli foulard noué artistiquement masque les sinistres marques violettes du cou : on dirait qu'elle dort paisiblement. Le corps est emmené par des aides pour être présenté à la famille...
            La vision masochiste de ces cassettes m'a valu quelques nuits sans sommeil. Par la suite, j'évite de regarder ce genre de documents jusqu'au bout...  

********
             J'examine Muriel rapidement et pour la forme, puisque c'est totalement inutile elle se rhabille. Depuis que je l'ai vu agir avec ses petites camarades, j'ai envie d'essayer, pour voir si j'aime toujours ce jeu un peu vicieux auquel se livrent sans doute tous les enfants, mais habituellement, ils ne s'en vantent pas. Cependant, j'hésite encore un peu à me livrer à ses investigations. Nous bavardons un moment et elle me rassure sur le mutisme de ses copines : elles ne risquent pas de se vanter de leur mésaventure. Ça me donne le prétexte pour me lancer, et je demande timidement :
            - Dis-moi, Muriel... je pourrais jouer au docteur avec toi ?
            - Je veux bien, mais vous m'impressionnez...
            - Imagine que je suis l'une de tes petites copines. Tu veux bien essayer ?
            - Oui, si vous insistez...
            Nous sommes sans doute aussi troublées l'une que l'autre. Elle enfile la blouse blanche que j'ai retirée et nous allons dans une pièce oû j'ai préparé un peu de matériel et l'ai disposé sur une tablette ...à tout hasard, et que je lui désigne. Elle s'enhardit et commence le jeu :
            - Bonjour, Madame. Dites-moi ce qui vous amène...
            - J'ai des douleurs dans le ventre, Docteur.
            Elle est assise sur un tabouret, en blouse blanche, le sthétoscope autour du cou, et moi debout face à elle. Elle tend la main vers mon ventre, me touche vers l'estomac à travers ma robe lègère :
            - Par là ?
            - Non, plus bas, docteur...
            Sa main descend de plus en plus vers mon pubis, me reposant la question.
            - Vous êtes constipée ?
            - Un peu, je crois.
            - Bon, on verra ça tout-à l'heure. Vous avez vos règles en ce moment ?
            - Non, Docteur.
            - Etendez-vous sur la table, je vais prendre votre tension...
            Elle m'enfile le brassard, le gonfle, met le sthétoscope : elle ne s'y prend pas si mal, elle a dû bien observer ce geste. Elle me demande :
            - Avec-vous de la fièvre ?
            - Je ne sais pas, je n'ai pas pris ma température.
            - Et bien prenez-la !
            Elle me tend le thermomètre que tout naturellemnt je porte à ma bouche, mais elle proteste :
            - Non pas dans la bouche : ce n'est pas fiable. C'est la température rectale qui est intéressante. Laissez-moi faire. Retrounez-vous s'il vous plaît.
            Elle m'a repris le thermomètre et je me mets sur le ventre. Elle relève ma robe, me regarde un moment les fesses et les cuissses ; j'ai mis de jolis dessous petit slip, balconnet et porte-jarretelles noirs en dentelle, bas noirs à couture. Elle baisse l'arrière de ma petite culotte, juste sous mes fesses, pose une main sur chacune et les écarte pour voir mon anus. Après quelques instants, elle m'introduit le thermomètre de toute sa longueur et le laisse un moment en place, le tenant de ses doigts entre mes fesses. Elle le retire, m'annonce que j'ai un peu de fièvre, remet ma culotte en place, rabat ma robe et me dit :
            - Retirez votre robe et allongez-vous sur le dos.
            Quand j'ai obéi, elle me contemple avec admiration, vêtue de mes seul dessous puis continue sa consultation : elle m'ausculte au sthétoscope, me palpe longuement tout le ventre, les cuisses, les aines... Tout celà m'excite beaucoup. La gamine prend tout son temps pour explorer mon corps, me fait enlever mon soutien-gorge pour s'attaquer à mes seins, qu'au passage elle trouve superbes. Elle se penche entre mes cuisses qu'elle m'a demandé d'écarter, tâtant l'entrejambe de mon slip, constatant simplement :
            - Vous avez l'air de mouiller beaucoup, madame : tant mieux, ça va facilliter l'examen de votre vagin, car vos douleurs sont peut-être d'origine gynécologique. Veullez retirer votre culotte et vous installer avec les pieds dans les étriers.
            Pendant que je prends la pose, elle enfile une paire de gant puis s'assoie face à mon entrecuisse qu'elle commence à explorer et parcourir de ses doigts, du clitoris à l'anus, me les mettant aussi dans le sexe.
            Elle tâtone un peu pour m'introduire le spéculum dans le vagin, regarde à l'intérieur, le retire, enfonce un doigt dans mon anus. Je coule comme une vraie fontaine. Sa main reprend possession de mon intimité : deux doigts dans la chatte, le pouce sur mon clitoris, les deux autres doigts dans mon cul, me demandant :
            - Et comme ça, vous ressentez un mieux...
            - Oh oui...
            Malgrè sa légère maladresse, la petite garce ne tarde pas à me faire jouir violemment, me tordant sur la table d'examen, criant mon plaisir. Elle laisse sa main en place, immobile le temps que la tension retombe, puis reprend ses va-et-vient dans mes orifices et me fait à nouveau décoller. Elle cesse, me montre l'anuscope en me disant :
            - Je vais devoir aussi examiner votre rectum avec cet instrument...
            - Je feins l'effroi :
            - Mais c'est énorme, ça ne rentrera jamais !
            - Mais, si, vous allez voir. Détendez-vous bien, je vais préparer votre anus.
            En effet, toujours en position gynécologique, elle me masse et me dilate longuement le petit trou de ses doigts gantés de latex, avant de me faire prosterner sur la table et de présenter le bout de l'engin entre mes fesses pour me l'introduire très profond dans le cul. La pénétration serait un peu désagréable, sans son autre main qui me branle le bouton. Parfois elle retire le tube en partie, avant de le renfoncer encore plus loin, me faisant encore jouir je ne sais combien de fois, dans cette posture humiliante le cul en l'air...
            Enfin, quand elle retire le long tube d'entre mes fesses, je suis épuisée de plaisir et elle me dit :
            - Voilà, c'est terminé : vous pouvez vous rhabiller.
            En enfilant mes vêtements, je demande anxieusement :
            - C'est grave, docteur ?
            - Non, pas trop. Venez dans le bureau, je vais vous faire une ordonnance...
            Nous sommes assises dans mon bureau, elle à ma place, évidemment. Elle prend une feuille de papier et écrit en me disant :
            - Je vous prescris des suppositoires matin midi et soir. De plus, vous ferez une fois par jour une injection vaginale avec le produit indiqué. Une ou deux fois par semaine, un grand lavement évacuateur. Je pense aussi que des massages locaux vous feraient le plus grand bien...
            - Mais, docteur, il ne va pas m'être pratique de faire tout celà toute seule ?
            Elle lève les yeux vers moi :
            - Oui, vous avez raison, mais si vous le désirez, je pourrai me charger d'une partie des soins.
            - Je veux bien, merci docteur...
            Elle finit de remplir son ordonnance, se frappe le front et s'exclame :
            - Oh je suis sotte, j'ai oublié de vérifier un truc...
Voulez-vous venir près de moi, s'il vous plaît ?
            Elle fait pivoter son fauteuil d'un quart de tour et je me place debout face à elle, qui glisse ses mains sous ma robe, les fait remonter jusqu'à l'élastique de ma petite culotte et me la baisse à mi-cuisse en me demandant d'écarter mes jambes. Elle retire sa main gauche cependant que la droite prend possession de ma chatte, le médius cherchant mon clitoris sur lequel elle l'agite à toute vitesse, l'oeil braqué sur sa montre, et évidemment, il ne me faut pas longtemps pour jouir à nouveau :
            - Deux minutes trente-cinq !
            Annonce-t-elle triomphalement. Elle me reculotte : la consultation est maintenant terminée, et elle m'avoue qu'elle y a pris beaucoup de plaisir et ne demande qu'à recommencer.
            Le lundi, après un examen rapide, je remets à une Muriel ravie, sa première boîte de pillulles : elle devra passer tous les trois mois au cabinet pour que je lui en donne une nouvelle, car vu son âge, il n'est pas question qu'elle aille l'acheter en pharmacie. Elle me remercie, me saute au cou et m'embrasse, folle de joie, au moins dans un premier temps, puis elle s'attriste un peu en me disant :
            - Mais alors... on ne va presque plus se voir...
            - Ça, ça dépend uniquement de toi : tu as oublié que tu m'as prescrit un traitement ?
            Son sourire revient :
            - Oui c'est vrai ! Vous voulez bien ?
            - Evidemment, je compte sur toi pour me soigner, comme tu me le l'as si gentiment proposé ! Téléphone-moi de temps en temps, on essayera de mettre ça au point...
            - Vous pouvez compter sur moi !!!   
            Et ainsi, nous nous voyons de temps à autre pour jouer toutes les deux au docteur, au cabinet quand j'ai un creux, ou bien chez moi. Le docteur, mis au courant, m'approuve, disant "Profites-en : tout plaisir est bon à prendre...". Muriel a maintenant 17 ans et est une superbe jeune fille. Nous alternons les rôles, varions ce jeu pervers à l'infini. Bien sûr, nous avons fait l'amour ensemble, mais ce qui nous plaît encore le plus, c'est ce jeu un peu puéril : pour l'une et l'autre, c'est en plus du reste.
            J'ai eu droit au traitement prescrit : douches vaginales, nue et accroupie dans la salle de bains de mon studion ; lavements dans toutes les positions et accoutrements possibles, massages intimes à la main oû à l'aide d'un vibro-masseur ou d'un gode.
            Parfois, elle feint d'être pressée, passe en coup de vent chez moi, me disant :
            - J'ai plein de patients qui m'attendent. Je vais vous donner votre lavement en vitesse... Enlevez votre culotte et allongez-vous à plat ventre sur le lit...
            Elle remplit le bock en un tournemain, m'écarte les fesses d'une main, me plante la canule dans l'anus de l'autre, élève le bock, et dès qu'il est vide, me retire la canule, et s'en va...
            Je l'ai initiée également aux plaisirs de la fessée, et là aussi, elle aime autant donner que recevoir.        
            J'ai revu parfois l'un ou l'autre de mes anciens petits amis, les ai amenés chez moi oû nous avons fait l'amour de façon tout à fait satisfaisante, mais maintenant que le docteur m'a fait goûter au vice, celà ne me convient plus tellement, et j'ai coupé peu à peu les ponts, quitte à me laisser draguer parfois et suivre un homme chez lui. S'il fait preuve d'imagination, il m'arrive de le revoir, sinon, notre rencontre reste sans lendemain. En fait, je vis seule, n'est pas de partenaire attitré, à part le docteur bien sûr. Ce n'est plus la même fougue qu'au début entre nous : il a d'autres chattes à fouetter, et de mon côté, je ne suis pas frustrée, loin de là !!! Mais nous avons toujours beaucoup de plaisir à faire des trucs pas ordinaires ensemble. Il m'a, entre autre initiée aux amours de groupe, au saphisme...
            Il lui arrive de m'obliger à des choses humiliantes et sales, comme préparer l'anus d'une femme avec ma langue, ou me faire lécher le spéculum ou l'anuscope qu'il vient d'utiliser ! D'autre fois, c'est la femme qui doit me faire jouir avec sa bouche.
            Dans l'ensemble, ma vie est bien remplie, entre le travail et le sexe, parfois les deux se mêlant : je gagne très bien ma vie avec les à-côtés des traitements spéciaux, j'ai ma voiture, je couvre mes soeurs de cadeaux, sors beaucoup, m'achète à peu près tout ce que je veux. Que demander de plus ?
            Dans le travail, j'ai acquis une solide expérience, aidée et guidée par mon patron, un grand spécialiste aux capacités reconnues de tous. Sa clientèle est très importante, due à une solide réputation, nullement usurpée, d'excellent clinicien. Et si j'ai insisté sur certains cas bizarres, ils ne représente qu'un pourcentage infime de la masse : des centaines de femmes se succèdent, cuisses écartées sur la table d'examen, et il ne se passe rien d'autre qu'un examen gynécologique tout à fait banal. Mais tout celà est un fastidieux à la longue, et je préfère m'arrêter sur les cas un peu en marge, sortant de l'ordinaire.
            En dehors de ses qualités médicale, mon patron a un sens très aigu de la psychologie appliquée, sentant instinctivement si une femme vient pour un examen de routine, ou si elle souhaite que l'examen aille plus loin. Il m'a beaucoup appris dans ce domaine, m'expliquant en particulier, que le système vidéo, n'est pas seulement un gadget onéreux de voyeur, mais couvrant tout le cabinet, il permet surtout de surveiller le comportement des patientes ne se sachant pas observées. Et c'est vrai qu'on surprend parfois des images insolites.
            Par exemple, observer à son insu une nouvelle cliente dans  la salle d'attente apporte plus de renseignements qu'on pourrait croire sur sa personnalité : si elle est détendue, stressée, etc... Il est permis de fumer dans cette pièce : un panneau indique seulement en gros caractères "Si vous fumez, assurez-vous que vous ne gênez personne". Tout celà ne relève pas du hasard et l'attitudes des femmes, fumeuses ou non est très révélatrice.
            De même, les cabines de dhésabillage : le nombre de femmes qui sentent l'entrejambe de la culotte (propre en général) qu'elles viennent d'ôter, est incroyable. D'autres se passent une lingette entre les cuisses pour être impeccable pour l'examen. J'en vois aussi se masturber rapidement avant de se rhabiller. Et là, il s'agit très souvent de femmes BCBG qui viennent de subir un exmen tout à fait ordinaire, sans sollicitation sexuelle particulière, contrairement à celles que le docteur s'est arrangé pour exciter discrètement. Parfois, quand la femme est accompagnée de son mari ou de son compagnon, le couple se retrouve après l'examen dans la cabine, et il n'est pas rare que l'homme, excité d'avoir vu sa compagne examinée aussi intimement, la pénètre entre les cuisses ou dans la bouche pour un co‹t ultra-rapide.
            Quand une femme a les pieds dans les étriers, zoomer sur son visage et surtout ses yeux, est bien plus instructif sur ses réactions, qu'un gros plan sur son entrecuisse.
            Comme il s'agit d'un cabinet de gynécologie, on ne voit évidemment que des femmes, la plupart venant seules. Mais, comme je l'ai dit, certaines viennent accompagnées : mari jaloux (assez rarement : ils choisissent plus volontiers un médecin femme), jeunes couples innocents et amoureux fous pour les suivis de grossesses ; couples de lesbiennes (qui elles ne font pas confiance au femmes médecins), ou l'une oblige sa compagne soumise, pour l'humilier, à être examinée par un homme, alors qu'elle a horreur de ça ; d'autres hommes, en accord ou non avec leur femme sont excités de les voir dans la position gynécologique ; d'autres enfin, se sont mis d'accord avec le médecin pour qu'il examine leur femme, et eventuellement lui fasse subir diverses choses, comme la pose d'anneaux sur les seins ou le sexe ...ou ailleurs. Un cas particulier, les fécondations assistées : le couple est mis dans une cabine, la femme s'arrange d'exciter son mari, le masturbe et receuille son sperme dans une éprouvette, pour qu'ensuite le docteur le lui injecte avec une seringue dans l'utérus.
            A mi-chemin entre les cas spéciaux et le tout venant, il y a les habituées qui viennent souvent : le docteur leur fait alors comprendre que la sécu ne peux pas couvrir des examens aussi fréquents et qu'elles doivent mettre la main à la poche, ce qu'elles ne refusent d'ailleurs pas. Parmi elles, on retrouve celles que le mari aime voir examiner, d'autres qui viennent seules mais qui, sans doute éprouvent une excitation trouble à subir un examen gynécologique, même si elles ne l'avoueraient jamais, même sous la torture. Une autre a une peur panique des maladies, en particuliers sexuelles et vient une fois par semaine pur être rassurée : je lui fait retirer sa culotte, lui fais subir une minutieuse toilette aussi intime qu'inutile (elle est entièrement épilée, toujours par peur des microbes !) ; le docteur l'examine, puis je lui refait sa toilette et la rassure !
            D'autres habituées, et pour cause, ce sont les prostituées qui tiennent à leur gagne-pain. Toute la gamme est représentée, de la pute vieillissante flétrie à quarante ans, à la call-girl de luxe de moins de vingt ans, en passant par tous les intermédiares. Parfois vulgaires, souvent sympas, dénuées de toute pudeur, elles viennent en groupe le jeudi matin entre 10 h et midi, souvent en tenue de travail, style boléro ouvert, mini-jupe en cuir à ras des poils, sans culotte... Elles entrent directement dans mon bureau par l'entrée de service, pour la discrétion et une fois leur culotte (quand elles en ont une...), retirée, elle entre dans le cabinet de consultation, même si une autre est sur la table cuisses au grand écart. Le docteur passe rapidement de l'une à l'autre, qui se succèdent sans interruption sur la table d'examen pendant deux heures. Il utilise des spéculums jetables en plastique, et bien sûr change de gants pour chacune, ce qui fait qu'après la corbeille est pleine... Souvent, allongée les pieds dans les étriers, elle lui proposent gentiment:
            - Si le coeur vous en dit, docteur, vous pouvez m'en mettre un bon coup dans le con ou dans le cul...
            La plupart du temps, il refuse poliment, mais parfois, si la fille est nouvelle, jeune et mignone, il se laisse tenter et l'enfile par l'un ou l'autre trou, prenant soin de mettre un préservatif avant...
            Certaines sont tout simplement des travestis, qui comme leurs consoeurs passent à tour de rôle sur la table d'examen, pieds dans les étriers, cuisses écartées. Simplement, le spéculum est placé dans l'anus au lieu du vagin, et le docteur décalotte leur gland. Ces hommes féminisés, soigneusement épilés, et dont certains pourraient faire illusion, sont troublants. Quand le docteur veut les examiner plus en profondeur, c'est moi qui suis chargée de leur mettre l'anuscope en place, prosterné sur la table, le sexe pendant entre leur cuisses... La lente introduction du long tube nickelé les fait parfois bander très fort, mais me fait toujours mouiller...
            Parfois, des soins sont necessaires : irritation, infection, déchirure anale.
            Cette clientèle régulière, à l'argent facile, est d'un excellent rapport : il peut ainsi en voir une vingtaine en deux heures et comme toutes me donnent un bon pourboire, je n'ai pas à me plaindre non plus...
            Un vendredi soir, le docteur m'annonce qu'il compte sur moi le lendemain matin, afin de me faire subir un examen médical auquel participeront pusieurs de ses confrères, hommes et femmes réunis. Je commence par refuser catégoriquement, mais il me prend dans ses bras, m'embrasse longuement, fourre sa mai sous ma jupe, essaie de me convaincre :
            - Tu verras, tu seras la reine de la fête et tu y trouveras beaucoup de plaisir...
            Je continue à refuser pendant un moment, mais il insiste lourdement et sa main est très active entre mes cuisses, et je finis par promettre tout ce qu'il veut et à 9 heures pile, je suis au cabinet le samedi matin. Il m'explique mon rôle : je suis sensée être une patiente que plusieurs médecins vont examiner attentivement, et comme telle je dois rester totalement passive et me demande de me déshabiller entièrement. Ainsi, quand il fait entrer ses cinq confrères, trois hommes et deux femmes, vêtus de blouses blanche, j'attends debout, toute nue, honteuse.
            Tous de suite, les six toubibs font cercle autour de moi et commencent à me palper tout le corps : douze mains qui sont partout à la fois, et qui malgré mon humiliation et ma gêne profonde, ne me laissent pas indifférente, palpant mes seins, m'écartant les fesses, s'insinuant entre mes cuisses. Au bout d'un bon moment, on me fait allonger sur une table gynécologique, les pieds dans les étriers, cuisses au grand écart et on m'attache ainsi, écartelée, béante...
            L'aéropage médical se penche alors attentivement sur mon entrecuisse, m'introduisant leurs doigts et divers instruments dans la vagin ou l'anus. J'ai affreusement honte d'être ainsi manipulée aussi intimement, mais je mouille aussi comme une vraie fontaine sous leurs attouchements vicieux... Sous un traitement pareil, je jouis très rapidement. Ils parlent entre eux de mes zones les plus secrètes de façon très crue, et préconisent, pour me soigner, des injections de foutre dans tous mes orifices...
            Alors les blouses et les hommes sortent leur sexe, alors que les deux femmes retirent leur culotte et le premier se poste entre mes jambes, pose son grland à l'entrée de ma chatte et me pénètre à fond d'un long mouvement rectiligne. Pendant qu'il me baise, une des femmes vient s'accroupir sur mon visage  pour que jue lui lèche la vulve et l'anus... Ma honte est presque oubliée tant j'éprouve de plaisir, enfilée, baillonnée par l'entrecuisse de la femme... Je sens l'homme décharger tout au fond de mon ventre. Il se retire et est aussitôt remplacé par un autre qui me baise un peu avant de retirer son sexe et le pointer un peu plus bas contre mon anus et me sodomiser. La femme a laissé la place sur ma bouche à sa compagne.
            Je passe une grande partie de la matinée sur la table, les hommes se succédant entre mes cuisses, m'enfilant par devant ou par derrière, et les femmes sur ma bouche, cependant que des tas de mains et de bouches me caressent partout : je ne compte plus mes orgasmes... La femme qui n'est pas assise sur moi, suce et branle les hommes pour les faire rebander.
            Quand on me détache, je suis moulue, épuisée, remplie de sperme, le visage barbouillé des sécrétions intimes des deux femmes. Celles-ci m'emmènent gentiment au cabinet de toilette et m'aident à me laver, me féllicitant pour ma capacité à jouir !
            Nous nous rhabillons et allons déjeûner ensemble dans la bonne humeur générale. Les cinq comparse de mon patron ont entre 40 et 50 ans. C'est la première fois qu'ils me mèlent à leurs partouze, mais je comprends qu'il ont une longue expérience dans ce domaine... D'ailleurs, l'une des femme m'invite pour la prochaine réunion de ce genre qui se tiendra à son cabinet, et oû une autre fille que moi sera sur la table...
            Mon patron me demande si je vois toujours la petite Muriel, et sur ma réponse affirmative me suggère d'en faire profiter ses amis : tous les cinq sont d'accord et je leur fixe rendez-vous pour le samedi suivant dans mon studio.  
            Au moment de nous séparer, l'autre femme me propose de venir chez moi pour passer en moment ensemble et j'accepte sous l'oeil égrillard des hommes, de toute façon repus.
            Dans mon studio, la femme me dit s'appeler Yolande, et est très élégament vétue. Nous embrassons à pleine bouche, explorant nos corps de nos mains, roulant enlacée sur le lit. L'après-midi n'est pas triste et nous faisons à peu près ce que deux femmes peuvent faire ensemble, avec nos bouches, nos doigts, des godes.       
            Dans la semaine qui suit, je téléphone à Muriel pour lui demander de passer me voir rapidement. Elle passe très vite au cabinet et je lui dis :
            - J'ai un truc très cochon à te proposer.
            - Ah, c'est quoi ?
            - Eh bien tu viens samedi chez moi pour sevir de jouet à plusieurs personnes. Ca t'intéresse ?
            - Euh... ce n'est pas dangereux au moins ?
            - Tu me fais confiance, non ?
            - Oui bien sûr ! Que devrai-je faire ?
            - En fait, pas grand chose, simplement te laisser faire. Tu veux bien ?
            - Si vous me le demandez si gentiment...
            - Parfait. Passe au cabinet à 9 h.
            - D'accord...
             Muriel est ponctuelle. Je lui fais retirer sa culotte puis s'installer en position gynécologique sur une table, pour lui raser très soigneusement tout l'entrecuisse et entre les fesses. Puis nous montons chez moi et je la fais mettre toute nue. Elle est très mince, presque maigre, et avec ses tout petits seins et son pubis épilé, elle fait très pré-adolescente : ça devrait bien plaire à mes visiteurs ! J'achève de la préparer en lui mettant un bandeau noir sur les yeux et en emprisonnant ses poigets dans une paire de menottes. Je la conduis dans la salle de bain, lui fais lever les bras et fixe ses menottes au crochet du plafond par une  chaînette, l'étirant vers le haut, avec juste les pointes des pieds qui touchent le sol.
            Je me prépare à mon tour : soutien-gorge ouvert, culotte fendue, porte-jarretelles et bas avec des talons hauts. Je charge la cassette oû l'on voit Muriel jouer au docteur avec ses petites copines dans le magnétoscope, que je lance à l'arrivée de mes visiteurs.
            Les trois hommes et les deux femmes sont ravis de cette jeune proie qui leur est offerte. Tout d'abord, ils se mettent à l'aise, otant la plupart de leurs vêtements. Les deux femmes s'accroupissent l'une devant Muriel, l'autre derrière, lui écartant largement les fesses pour lui lêcher en même temps la chatte et l'anus. Celà dure un moment, mis à profit par les trois toubibs pour me peloter outrageusement, profitant de ma tenue pour le moins sesy ! Puis les femmes leur laissent la place et il enfilent la gamine à deux : l'un enfonçant son sexe dans la chatte, l'autre dans le cul de la fille, la faisant crier et gémir. Puis ils changent de place.
            L'adolescente est ballotées entre deux hommes qui la baisent et l'enculent. Quand les trois se sont vidés chacun deux fois en elle, le sperme coule le long de ses cuisses. Pendant que les hommes reprennent des forces, les femmes la lavent en lui enfonçant profondément le tuyau annelé de la douche dans le vagin et dans l'anus.
            Ensuite, ils exigent qu'elle pisse ainsi, debout et attachée, ce qu'elle refuse catégoriquement tout d'abord, mais finit par céder sous les coups de martinet et de cravache qu'on lui fait subir...
            Pour varier les plaisirs, un gode ventouse est posée au sol, la chaîne qui relie ses poignets au plafond est allongée et on l'oblige à s'accroupir sur l'engin, se pénétrant elle-même profondément la chatte. Dans cette position, tour à tour chaque homme lui enfonce sa verge dans la bouche, alternant avec les deux femmes qui se font lécher la chatte ou l'anus, cependant que les autres lui branlent le clitoris ou lui mettent des doigts dans le cul...       
            Plus tard, nous descendons tous au cabinet où il font subir à Muriel un examen tout ce qu'il y a d'approfondi, dans toutes les positons : spéculum, anuscope, tout y passe... Quand ils prennent congé, ils laissent la gamine complètement épuisée, mais pas mécontente de sa matinée : elle a joui un nombre incalculable de fois.

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