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Le docteur X retourne à l'école (01)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

H/f H/f+ F/f F+/f F+/f+ exhibition uro humiliation réticence médical.

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

Par Dr Dominique Gallien

 

 

                                                Extrait des confidences du Docteur x, gynécologue de son état.

 

Chapitre 01 : Introduction :

Un très bon souvenir : mes cours de gynécologie aux élèves de première année de l'école de sage-femmes privée. La directrice, Mme LEROY, lesbienne convaincue, était une belle femme de 45 ans, extrèmement autoritaire qui était venue me consulter. Je l'avais donc confiée pour les examens préliminaires  à Germaine, ma jeune esclave-assistante, douée d'une très forte personnalité, tout aussi apte à obéir qu'à commander... Le premier contact avait été plutôt orageux, Mme LEROY ayant l'habitude que tous cèdent devant elle, mais mon assistante, sachant que je la soutenais, fit preuve d'une volonté implacable, et comme dans d'autres cas du même genre, obtint gain de cause : La femme mûre dut céder à la jeune fille, qui avait rarement le triomphe modeste.

Germaine la fit déshabiller, coucher, écarter les cuisses, puis se mettre à quatre pattes... Elle l'examina sous toutes les coutures, lui ouvrant la chatte et l'anus, enfonçant ses doigts dans tous ses orifices. Au bout d'une demi-heure, l'adolescente n'ignorait plus rien de son intimité la plus secrète, et, l'autre, paradoxalement finit par y prendre goût : Le mélange d'humiliation et de manipulations plus qu'intimes provoqua chez elle un orgasme dévastateur. Ce fut la révélation ! Inutile de dire qu'après cela Germaine en fit tout ce qu'elle voulut et la domina totalement, jouant sur le masochisme latent, bien qu'inconscient de cette femme autoritaire...

Par la suite nous eûmes plusieurs fois sa visite. Je ne me mêlais pas de leurs petits jeux, mais j'étais tenu très au courant et de plus je suivais parfois leurs ébats en vidéo. Mme LEROY le savait, bien sur, mais c'était une humiliation, donc un piment suplémentaire... En général, Germaine commençait par une bonne fessée. La femme devait se coucher à plat ventre sur ses genoux, telle une gamine qui a fait pipi au lit. La jeune fille la troussait en prenant tout son temps, avant de la déculotter et de la fesser longuement, ne se privant pas, entre deux claques d'explorer la raie fessière à sa disposition. Parfois, elle employait le martinet ou la cravache.

Ensuite, suivant son humeur, elle l'obligeait à se masturber devant elle, ou bien lui enfonçait les trucs les plus divers dans l'un ou l'autre de ses trous... Elle la faisait mettre nue ou savamment dévêtue... En général, elle lui interdisait de remettre sa culotte, et l'autre rentrait chez elle les fesses bien rouges et nues sous sa jupe. Donc, nous nous entendions très bien : Germaine l'avait révélée à elle-même, elle n'avait jamais connu un tel plaisir. Ainsi, elle me proposa d'enseigner la gynécologie pratique, quelques heures dans son établissement, pensant me faire plaisir, et espérant profiter des heures de liberté que cela vaudrait à mon assistante...

Le matin du premier cours, Mme LEROY nous reçut tous les deux cordialement dans son bureau, couvant Germaine avec des yeux de merlan frit. Après les politesses d'usage, je fis remarquer :

"J'ai amené mon assistante qui a quelques trucs à réviser. Cela ne vous ennuie pas ?"

"Oh non, bien au contraire : Elle est ici chez elle."

Se tournant vers l'adolescente, elle ajouta timidement :

"Merci d'être venue, mademoiselle ! Si vous le désirez, je vous tiendrai compagnie et me tiendrai à votre disposition ?"

"D'accord. Mais alors tu peux te préparer à souffrir : J'ai amené quelques bricoles dont tu me diras des nouvelles..."

Elle montre le sac de sport qu'elle a posé à ses pieds. La directrice rougit : Dans leurs rapports spéciaux, Germaine la tutoie, l'insulte, mais n'accepterait pas la réciproque... Mme LEROY se tourne vers moi :

"Vous aurez une douzaine d'élèves, Docteur, toutes en première année, autrement dit débutantes. Elles sont âgées de 18 à 20 ans et je vous laisse carte blanche : Traitez-les comme bon vous semble. À ce propos, je vous rappelle que nous sommes une école privée et que nous pratiquons les châtiments corporels : Les parents sont bien sur d'accord sur ce point et nous ont signé une décharge en ce sens. Aussi, n'hésitez pas à sévir ou à m'appeler en cas de problème."

"C'est noté. M'avez-vous trouvé un sujet de démonstration ?"

"Tout à fait, Docteur. C'est une femme qui fait des ménages et elle a accepté pour quelques sous et peut-être aussi par vice ; elle n'est pas très futée, mais devrait se montrer docile..."

"C'est parfait. Combien de temps puis-je en disposer ?"

"Autant qu'il vous plaira ! Je la paierai en conséquence."

"Pouvez-vous me l'envoyer dans une heure ?"

"Je n'y manquerai pas. Si vous le voulez bien, je vais maintenant vous conduire à votre classe... Veuillez m'excuser quelques minutes, ajoute-t-elle à l'intention de ma secrétaire."

"Alors fais vite. Mais avant, viens ici : je veux que tu penses à moi..."

Quand Mme LEROY est debout devant elle, assise dans un fauteuil, Germaine ordonne :

"Trousse-toi jusqu'à la taille !"

La femme est vêtue avec élégance d'un tailleur gris à jupe assez ample ; elle se penche pour en empoigner l'ourlet et la remonte comme on vient de le lui demander, découvrant des jambes et des cuisses musclées, gainées de bas noirs à couture retenus par un petit porte-jarretelles, et une culotte noire de dentelle, que mon assistante entreprend de lui enlever. Elle baisse le sous-vetement et le lui retire en lui faisant lever un pied puis l'autre, avant de le jeter négligeament sur le bureau. De ses mains, elle incite la femme a écarter les cuisses, puis se penche sur son sac et en retire triomphalement un petit objet chromé : Il s'agit de deux pinces métalliques dont les mors sont recouverts de caoutchouc, reliées l'une à l'autre par une courte chainette.

La femme troussée à la chatte et le reste à l'air. D'un geste décidé, l'adolescente saisit une grande lèvre entre le pouce et l'index et l'emprisonne dans l'une des pinces. Sans se soucier du rictus qu'à eu sa victime, elle renouvelle l'opération de l'autre côté du sexe à sa disposition. Elle se penche à nouveau sur son sac à malice et en sort une plaque de métal munie d'un petit mousqueton et qui doit bien peser sa livre, et l'accroche entre les cuisses de Mme LEROY, à la chainette qui relie les babines de sa chatte. Aussitôt, la plaque pèse de tout son poids, tirant les nymphes vers le bas. La femme a une grimace de douleur, mais ne se plaint pas...

Sur un signe de Germaine, elle laisse retomber ses jupes et nous partons vers "ma" classe. Si elle a quelque mal à marcher, elle n'en laisse rien paraître.

Quand nous entrons dans la pièce vaste et claire, les douze filles se lèvent d'un seul mouvement. Sur un signe, elles se rasseoient et Mme LEROY fait les présentations :

"Mesdemoiselles, voici le Docteur X... Qui sera votre professeur de gynécologie pratique. Je vous demande de lui obéir en tout : Les manquements seront sévèrement sanctionnés ! Docteur, voici vos élèves, par ordre alphabétique : Aline, Anne, Béatrice, Elodie, Fatima, Françoise, Geneviève, Joëlle, Martine, Michèle, Rosa et Sophie."

Chaque nommée esquisse le mouvement de se lever et incline la tête. La dirlo, qui a sans doute hâte d'aller vers son délicieux supplice, ne s'attarde pas trop. Elle conclut :

"Je vous laisse : Faites du bon travail..."

perverpeper@perverpeper.com

 

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