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La matheuse matée (4)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

Sandrine, l'étudiante

Chapitre 4

            Sylvie ouvrit la porte de la salle de déshabillage qui prédédait la salle d'hydrothérapie proprement dite : c'était une pièce tout en longueur, un long banc surmonté d'un alignement de porte-manteaux  en était le seul meuble. Fabienne s'arrêta net à l'entrée, heurtée par Sandrine qui la suivait, stupéfaite de trouver en ce lieu trois femmes qui attendaient, vêtues en tout et pour tout de leur petite culotte. Elles saluèrent l'infirmière qui fit les présentations :

- Les filles ! Voici Fabienne qui est peut-être notre prochain professeur de math.

            Toutes les trois ne semblaient pas trop mal à l'aise, sans doute habituées à se voir en petite tenue. Honteuse, la jeune femme leur serra successivement la main. D'abord Rose, la prof de latin, petite brune de plus de quarante ans, ronde et arborant une paire de gros seins lourds et une culotte toute simple en coton qui laissait échapper quelques touffes de poils noirs à l'entrejambe. Anne jolie rousse aux yeux verts et dont la poitrine ronde était tavelée de tache de son était lingère, âgée de 28 ans, et enfin Sophie, jeune surveillante qui ne paraissait pas ses 22 ans, aux cheveux longs chatain au corps fin d'adolescente avec ses petits nichons en poires, écartés et attachés très haut. L'infirmière demanda à Fabienne de retirer bas et chaussures, pendant que les trois autres retiraient leur culotte pour la poser sur le banc à l'aplomb du reste de leurs vêtements.

            L'infirmière et son aide bénévole entrèrent dans la pièce en contournant le bassin rectangulaire et peu profond qui en formait le seuil, alors que Fabienne imitant les autres le traversa. L'eau tiède lui arrivait à mi-mollet. Sentant le sol chaud sous ses pieds, la jeune prof découvrit la salle vaste et claire maintenue à une température très agréable, les tables en plastique blanc au plateau formant un creux, la machine avec ses tuyaux, son écran, son clavier, les cuvettes à la turque, alignées le long d'un des murs. La vue de ses dernières la troubla et la fit rougir : rien ne les séparait de la salle, mais surtout elle imaginait l'image que devaient renvoyer les miroirs inclinés juste derrière les trous d'évacuation, quand une femme y était accroupie ! L'une après l'autre, les trois femmes nues qui la précédaient s'approchèrent d'une table sur laquelle était possé un grand pot de vaseline blanche dans lequel elles plongeaient deux doigts avant de s'en éloigner : alors, genoux fléchis et écartés, elle mirent leur main entre leurs fesses et Fabienne comprit qu'elles se lubrifiaient l'anus. Sur un signe de Sylvie, atrocement gênée, elle en fit autant. Déjà, en habituées, les trois autres s'installaient sur les tables que leur désignait l'infirmière, se couchèrent sur le côté gauche, tournant le dos à Fabienne embarrassée de ses bras, puis plièrent largement la jambe droite et attendirent.

            Gantées de latex, Sandrine et Sylvie se partageaient les rôles, déroulant un long tuyau prolongé par une canule de plastique transparent, longue d'une vingtaine de centimètres, assez grosse et luisante de vaseline. Puis, elles se placèrent de part et d'autre de la table. Pendant que l'une ouvrait les fesses de la patiente à deux mains, dévoilant la raie médiane, le poinçon strié de l'anus et une partie de la vulve, l'autre présentait le bout, renflé comme une grosse olive, de la canule à l'entrée, puis la poussait fermement et bien à fond dans le rectum de la femme qui geignait ou couinait un peu. Alors que Sandrine enfonçait la troisième canule dans le gros cul de Rose, Sylvie leva les yeux vers Fabienne et lui ordonna en lui désignant la table libre située entre celles occupées par Anne et Sophie :

- Prosternez-vous sur cette table, fesses tournées vers la machine, et écartez largement les genoux !

            La jeune femme obéit comme un automate et prit la pose obscène, sa large croupe haute et bien ouverte. Elle dut poireauter un moment dans cette position, le temps que Sylvie, du clavier lance les lavements des trois autres, en leur disant :

- Mettez-vous sur le dos, les filles, c'est parti ! Deux litres en un quart d'heure et ensuite, la première qui se videra aura droit à un second lavement de quatre litres, celui-là ! Que la meilleure gagne !

            Alors elle s'approcha du postérieur, bien en évidence, de la prof de maths et demanda à Sandrine de lui écarter les fesses au maximum. Elle tenait à la main un petit instrument nickelé : en fait une sorte d'écarteur destiné à maintenir l'anus bien dilaté et recevoir la sonde. En introduisant l'appareil bien lubrifié dans le fondement de la jeune femme qui se mit à gémir, elle expliqua à son assistante :

- Comme tu as pu le constater tout à l'heure, notre patiente présente une constipation opiniâtre, avec une ampoule rectale pleine de matière fécale dure et compacte. Une canule ordinaire ne donnerait aucun résultat et nous allons employer les grands moyens.

            Tout en parlant, elle tournait la vis du dilatateur malgré les plaintes de la patiente, jusqu'à ce que l'ouverture atteigne plus de trois centimètres de diamètre puis la fit se mettre sur le dos. Fabienne, le cul endolori n'en menait pas large, se demandant ce qu'on allait encore lui faire subir. A ses côtés, elle voyait les trois femmes nues, le fin tuyau de caoutchouc rouge ressortant d'entre leurs fesses et sinuant entre leurs jambes légèrement écartées et qui se massaient doucement le ventre. Mais déjà l'infirmière lui présentait le matériel qu'elle allait utiliser : une sonde cylindrique d'une trentaine de centimètres de long, sur trois de diamètre, se prolongeant par un tuyau aussi gros en plastique souple et transparent. Lui en montrant l'extrémité libre, elle lui expliqua :

- Vous voyez : au milieu le gros trou entouré d'une couronne de trous minuscules permet d'envoyer de fins jets à forte pression destinés à fragmenter la masse qui vous encombre. Quant-à la partie centrale, elle peut à volonté injecter du liquide en quantité plus importante ou, au contraire, aspirer le contenu de l'intestin. Repliez les genoux et écartez largement vos cuisses, je vais vous brancher !

            La jeune femme obéit et les deux autres se penchèrent au-dessus d'elle. Sylvie présenta l'extrémité de la canule contre l'écarteur, mais celui-ci n'étant pas assez ouvert, elle donna quelques tours de vis supplémentaires puis introduisit la sonde de seulement quelques centimètres, et enfin resserra la bague pour la bloquer en place. Alors elle lança la machine et Fabienne sentit le picotement intense des fins jets d'eau juste au niveau de son ampoule rectale, puis l'arrivée de liquide cessa, il y eut une pause, puis l'aspiration entra en action, lui provoquant de drôles de sensations : elle pouvait voir l'eau mêlée d'excréments qui refluait dans le gros tuyau transparent entre ses jambes. Et le cycle injection puis aspiration se mit en route, la quantité de liquide augmentant peu à peu. De temps en temps, Sylvie se penchait entre ses cuisses, desserrait un peu la sonde, la poussait de quelques centimètres dans son rectum, puis la bloquait à nouveau.

                        Entre temps, les trois autres avaient fini d'absorber leur lavement, avaient retiré elles-même la canule de leur anus, l'avaient débranché du tuyau et mises dans une grosse machine à laver qui se trouvait dans un coin. Maintenant elles étaient debout, dansant d'un pied sur l'autre, parfois pliées en deux par les colliques, chacune voulant tenir plus longtemps que les autres, aucune ne tenant à recevoir les quatre litres promis, s'observant mutuellement... Ce fut Anne qui craqua la première : pliée en deux, sanglotant, elle se précipita pour aller s'accroupir sur l'une des cuvettes et, les yeux remplis de larmes, se mit à se vider bruyament, éprouvant en même temps que l'apréhension pour la suite, un soulagement bestial. Elle était vexée d'avoir perdu, ne comprenant pas pourquoi elle n'avait pas pu tenir le lavement aussi longtemps que les deux autres !

            En fait, il n'y avait aucun mystère : Sylvie avait triché en lui injectant un demi-litre supplémentaire dans le même temps et surtout une bonne dose de savon liquide. Elle avait envie de s'amuser avec cette belle rousse, qu'elle aimait bien sans bien sûr le lui dire. Elle apréciait particulièrement sa puissante odeur intime, ses seins de marbre, sa peau très blanche et la belle touffe flamboyante qu'elle avait entre les cuisses et au bas du ventre. Les deux autres la rejoignirent assez vite : pourquoi attendre, puisqu'elles avaient gagné ? Et Fabienne toujours branchée à la machine, avec maintenant quinze bon centimètres de canule enfoncée dans le cul se sentant tour à tour remplie puis vidée. Elle put contempler le tableau des trois femmes en train de se soulager bruyament, car si la puissante climatisation absorbait les odeurs, il n'en était pas de même pour les bruits ! De plus les miroirs renvoyaient une image crue des trous du cul ouverts et des jets d'urine jaillissant des méats urinaires dilatés.

            L'évacuation dura un moment, puis l'une après l'autre, elles allèrent s'accroupir dans une partie de la salle en plaçant leurs pieds dans les marques dessinées sur le sol, ce qui déclencha de puissants jets verticaux d'eau tiède : alors elle bougèrent leur croupe pour que le liquide sous pression leur nettoie parfaitement l'entrefesse. Toutes les trois trouvaient cela plutôt agréable, se tortillant pour que le jet frappe aussi l'entrée de leur vagin ou leur clitoris et elles seraient bien allé jusqu'à l'orgasme en gloussant de plaisir. Mais Sylvie veillait au grain : elle coupa l'arrivée de l'eau, et lança à la place le flux d'air chaud destiné au séchage de ces dames qui restèrent encore un moment dans cette position avant de se relever. Cependant qu'Anne, pas très fière, attendait debout, tête basse et bras ballants, les deux autres quittèrent la salle sans passer cette fois par le pédiluve et entreprirent de se rhabiller.

                        L'infirmière désigna à la jolie rouse la table voisine de celle sur laquelle était installée Fabienne qui continuait de subir en alternance le remplissage de plus en plus important de son intestin, ce qui n'était pas vraiment agréable, puis, après une pause, l'aspiration complète du liquide qui lui avait été injecté. Cette opération de vidage commençait par la soulager en diminuant la tension de son ventre, faisant diminuer ses colliques, mais devenait pénible à la fin : la jeune femme avait l'impression qu'une main géante lui arrachait les tripes et qu'elle allait se retourner comme une chaussette !

            Anne se gardait bien de supplier : elle savait qu'elle n'y couperait pas, seuls ses magnifiques yeux verts remplis de larmes exprimaient crainte et prière. Elle se contenta de demander timidement :

- Comment dois-je me mettre ?

- Allonge-toi simplement sur le dos, ma chérie, lui répondit Sylvie en posant un oreiller en caoutchouc au bout de la table.

            Dès qu'elle fut en position, Sylvie et Sandrine, qui s’étaient placées de chaque côté, tirèrent une chaînette de dessous la table et lui emprisonnèrent les poignets dans les bracelets de cuir qui les prolongeaient, bras le long du corps et un peu écartés. Sous le regard anxieux de sa patiente et en prenant tout son temps pour augmenter son angoisse, l'infirmière tira un tuyau de la machine à l'extrémité du quel elle adapta une canule de couleur jaune, pas très grosse mais longue de 25 centimètres et comportant un ballonnet gonflable. Puis elle enfila posément une paire de gants de latex et pris un pot de vaseline et dit :

- Replie tes cuisses écartées sur ta poitrine, et toi, Sandrine, mets-toi à la tête de la table et maintiens-lui les chevilles pour qu'elle soit bien ouverte !

                        Et la pauvre Anne se retrouva écartelée en grenouille, tel un bébé sur la table à langer, exposant au grand jour ses parties les plus secrètes : ses grandes lèvres, couvertes de poils fauves et légèrement entrouvertes, laissaient deviner la dentelle rose clair de ses nymphes et son anus également de couleur claire et entouré de poils follets palpitait doucement. Sylvie trempa son index dans la vaseline et l'approcha entre les fesses écartées de sa patiente et se mit à lui masser doucement le petit trou, la faisant respirer un peu plus vite, avant de plonger franchement son index à l'intérieur et de l'enfoncer de toute sa longueur. Puis elle le retira, le plongea dans la vaseline, le réintroduisit, le fit aller-et-venir, le tourna dans tous les sens.

            Cette préparation minutieuse de son anus était loin de laisser Anne indifférente, bien au contraire, malgré sa situation pour le moins embarrassante. Quand elle sentit un deuxième doigt dilater sa rosette, elle soupira, ne put s'empécher d'onduler du bassin, de pousser pour augmenter la profondeur de la pénétration. Puis les doigts indiscrets la quittèrent et elle sentit l'extrémité de la canule appuyer  sur son sphincter puis forcer celui-ci. Elle gémit en sentant le renflement ovoïde la dilater, et ensuite cela alla mieux : la grosseur de la canule était raisonnable et Sylvie la lui introduisait lentement dans le rectum, faisant des pauses, revenant un peu en arrière pour repartir de l'avant. Dès qu'elle eut fait disparaître toute la longueur de la sonde dans le fondement de sa patiente, l'infirmière pressa plusieurs fois sur la poire pour gonfler le ballonnet de rétention, puis elle retira ses gants de latex et utilisa ses deux mains : l'une agissant sur la poire, l'autre de deux doigts introduits dans la chatte d'Anne pour juger de la taille du ballonnet à travers la mince cloison qui séparait le vagin du rectum.

            Anne se sentit remplie, éprouvant une forte envie d'aller à la selle, alors que son intestin avait été vidé par le lavement précédent et malgré sa peur de ce qui allait suivre, cette préparation l'avait excitée et elle se sentait mouiller en abondance, exhalant une puissante et caractéristique odeur intime. Docilement, elle laissa les deux autres lui allonger les jambes, les lui écarter et lui lier les chevilles tout comme ses poignets, aux bords de la table. Elle sentit bientôt l'eau chaude s'écouler à l'intérieur de son ventre, ce qui pour l'instant était plutôt agréable car le débit n'était pas trop rapide et de plus, Sandrine, à la demande de l'infirmière lui massait doucement l'abdomen.

            Depuis un moment, Fabienne ressentait un besoin de plus en plus pressant de vider sa vessie après pas-mal d'hésitation, elle demanda timidement à Sylvie :

- Pourriez-vous me libérer quelques instants, j'ai vraiment besoin de faire pipi ?

            La réponse de l'infirmière fut catégorique :

- Il n'est pas question d'interrompre le traitement : vous devrez attendre encore un moment.

- Mais je... ça devient très urgent... je vous en prie...

                        Sylvie lui dit en souriant :

- Mais vous pouvez pisser si cela peut vous soulager : ne vous gênez pas !

            Fabienne n'arrivait pas à se résoudre à cette extrémité, mais plus le temps passait, plus elle avait de peine à se retenir, avec en plus cette grosse canule entre ses fesses qui la gonflait et la dégonflait comme une vulgaire baudruche, c'était pas la joie ! Elle eut comme un sanglot en sentant les premières gouttes de pipi lui échapper, suivies très vite d'un petit jet. Alors Sylvie lui appuya fortement de ses doigts tendus juste au-dessus de la symphise pubienne et ce fut la débâcle : un puissant jet d'urine jailli en bruissant d'entre ses petites lèvres, monta vers le haut, formant une courbe avant de s'écraser sur la table, éclaboussant ses cuisses et ses jambes de milliers de gouttes dorées... Elle aurait bien voulu s'arrêter, mais pas-moyen ! La puissance du jet diminua, s'arrêta, puis il y eut quelques petites émissions résiduelles et enfin le flot cessa. La jeune femme, confuse, mortifiée, avait les yeux remplis de larmes, navrée de n'avoir pas pu se contrôler, de s'être pissé dessus en public, ce que ne compensait pas le soulagement apporté par l'évacuation de sa vessie distendue. L'urine suivit la légère pente de la table et disparut dans le large trou prévu à cet effet. Sans faire le moindre commentaire, l'infirmière lui rinça les cuisses et les jambes ainsi que la table à l'aide d'une pomme de douche au bout d'un long tuyau, évitant soigneusement son entrecuisse aux poils trempés de pipi...

            Sa voisine n'était pas mieux lotie : elle sentait son ventre gonfler inexorablement, ressentait maintenant des colliques, malgré le doux massage que lui prodiguait gentiment Sandrine. On aurait pu la croire enceinte de six mois avec son abdomen énorme. Ses seins laiteux tavelés de taches de son se soulevaient au rythme de sa respiration saccadée et elle ne pouvait s'empêcher de geindre. Péniblement, elle finit par avoir absorbé les quatre litres d'eau, remplie à ras-bord, avec l'impression désagréable qu'elle allait éclater ! Le front couvert de sueur, des larmes plein les yeux, elle hoqueta :

- Je t'en prie Sylvie... Je n'en peux plus... Par pitié...           

             L'infirmière lui caressa doucement les cheveux en disant :

- C'est bien, ma chérie : tu as été bien sage et ça mérite une récompense !

            Fabienne médusée put alors assister aux premières loges à une scène assez étrange et qui l'excita énormément : sur un ordre bref de Sylvie, l'adolescente posa ses mains sur la poitrine de la patiente et se mit à lui caresser les seins, pendant que l'infirmière en faisait autant sur l'intérieur de ses cuisses, se raprochant rapidement de son entrejambe. Anne, sanglotait de douleur et de plaisir, les suppliant d'arrêter, faisant cliqueter les chaînettes qui la maintenaient à la table, se débattant en vain... Mais les doigts habiles sur sa vulve et son clitoris déclenchèrent chez elle un puissant orgasme malgré l'inconfort dans lequel elle se trouvait. Sans pour autant cesser leurs caresses, Sylvie dégonfla rapidement le ballonnet qui empêchait Anne de se vider et retira brusquement la longue sonde de son anus : la jeune femme poussa un grand cri, on entendit le bruit d'un bouchon qui saute, il y eut une seconde de latence avant que le flot impétueux jaillisse de ses entrailles distendues. L'eau qu'elle rejetait était presque transparente grâce au lavement précédent et elle se mit à pisser violemment en même temps éprouvant un soulagement bestial, ce qui n'interrompit nullement la savante masturbation à laquelle elle était soumise et Fabienne constata qu'elle jouissait pour la deuxième fois en voyant les deux jets drus entre ses cuisses devenir saccadés à cause des contractions spasmodiques de ses muscles intimes... Les deux autres la firent encore jouir avant qu'elle se soit complètement vidée, puis la libérèrent.

            Anne, dolente, les jambes en coton prit rapidement une douche puis s'éclipsa, jetant à Sylvie des regards énamourés...

                        Entre temps, le traitement de Fabienne s'était terminé par l'aspiration totale du contenu de son intestin et de son rectum. Elle fut très gênée quand l'infirmière se pencha sur son entrecuisse pour la libérer de la machine : elle mouillait énormément et devait sentir l'urine. Elle sentit l'écarteur s'ouvrir davantage, ce qui lui fit assez mal puis la sonde se retirer de son rectum, pendant que l'infirmière lui expliquait :

- Je vous laisse l'écarteur en place afin que votre anus reste bien ouvert pour la suite de l'examen.

                        Toutes les trois regagnèrent la salle d'examen, la jeune prof marchant les jambes un peu écartées, ayant seulement remis ses chaussures, ses bas à la main, sentant ce corps étranger dans son derrière qui lui faisait un peu mal et maintenait ses fesses écartées : elle avait l'impression de ressentir l'air circuler dans son rectum. Elle était domptée, sans volonté et ne fit pas de manières pour s'agenouiller sur les supports et poser son buste sur la table, la croupe ouverte et bien plus haute que les épaules.

            Prenant tout son temps, après l'avoir à nouveau immobilisée, Sylvie put alors l'explorer en profondeur, en profitant pour donner une leçon à Sandrine, glissant la caméra dans l'ouverture  pour visualiser l'intérieur de son rectum. Elle put constater des contusions internes et dit à Fabienne qu'elle lui donnerait un traitement. D'ailleurs, après avoir retiré la caméra, elle glissa à sa place une longue canule percée de pas mal de trous qui prolongeait un gros tube de pommade, dont elle lui injecta une bonne dose. Quand l'infirmière referma l'écarteur et le retira d'entre les fesses de Fabienne, le trou du cul de cette dernière ne se referma pas tout-à-fait, restant légèrement béant. Sur un signe de l'infirmière, l'adolescente écarta largement à deux mains les fesses de Fabienne, pendant que Sylvie prenait un gros feutre : elle traça un grand "O" à l'intérieur de la fesse gauche, et un "K" à l'intérieur de la droite, puis elle autorisa sa patiente à se relever et à s'habiller.

                        Fabienne, craignant une ruse ou un nouveau piège, hésita un instant avant de renfiler ses vêtements, puis à nouveau décente, pris congé sur l'ordre de Sylvie d'aller trouver la directrice.

            En parcourant une partie du parc puis du bâtiment principal, la jeune femme était assez mal à l'aise : jamais de sa vie, elle n'avait été autant humiliée, mais en même temps elle ressentait une énorme excitation dont elle ne s'expliquait pas vraiment la cause : etait-elle perverse ? Elle frappa timidement à la porte du bureau de la directrice et entra dès qu'on l'y eut invitée. Avec un geste pour l'inviter à s'asseoir devant son bureau, sa future patronne lui demanda avec un semblant d'ironie :

- Alors, ça c'est bien passé avec Sylvie ?

- Je... oui... oui Madame la Directrice, très bien !

            La directrice reprit :

- Eh bien, c'est parfait ! Qu'a décidé notre infirmière en chef, Fabienne ?

            La jeune prof se troubla, bégaya :

- Je... ne sais pas Madame : elle ne m'a rien dit...

- Ah bon ? Vous a-t'elle donné un papier ou quelque chose de ce genre ?

            Fabienne réfléchit, pensa brusquement à une chose, se troubla, rougit et bafouilla lamentablement :

- Non, elle ne m'a pas donné de papier, mais euh... je crois qu'elle a écrit quelque chose...

- Que ne le disiez-vous ! S'exclama la directrice, Ou ça ?

            Elle s'amusait follement, connaissant sa Sylvie, espérant que cette dernière avait filmé l'examen complet de la candidate-prof. Celle-ci était à la torture, prête à éclater en sanglots. Elle murmura :

- Entre... mes fesses, Madame...

            La directrice éclata d'un grand rire franc :

- Quelle espiègle cette Sylvie ! Amusant, ne trouvez-vous pas ?

            Oh non, Fabienne ne trouvait pas cela amusant, pas du tout ! Mais déjà l'autre lui disait, riant toujours :

- Vous voulez bien me montrer son verdict ? Si ça se trouve, elle a mis un "N" sur chaque fesse et vous imaginez ce qui représenterait le "O" ?

            La gorge nouée, incapable de proférer le moindre son, morte de honte, la jeune femme plongea pour ne pas avoir à répondre : elle se leva, tourna le dos à sa tourmenteuse, releva sa jupe, baissa sa culotte à mi-cuisse et se pencha un peu en avant. Elle était bien naïve d'imaginer que l'autre allait se contenter de ça, et qui lui dit sèchement :

- Comment voulez-vous que je puisse voir ? allons, venez par ici, je ne vais pas vous manger !

            Ce disant, elle recula son fauteuil à roulettes et la jeune prof, entravée par son slip, la jupe toujours troussée, s'approcha. La directricela prit par les hanches, la placa face au bureau sur le plateau duquel elle lui fit poser son buste. Elle glissa ses genoux entre les jambes de sa future employée, la forçant à les écarter, tendant le slip entre ses cuisses. Alors elle posa une main sur chaque fesse pour les écarter au maximum. Le visage à quelques centimètres de ce beau cul à sa merci, ses narines frémirent à l'odeur de femelle en chaleur et aussi d'urine qui se dégageait de l'intimité de la jeune femme. Ce parfum intime la grisait, l'excitait au plus haut point et elle faillit pousser les choses beaucoup plus loin avec cette femme que Sylvie avait su rendre moins fière, mais y renonça : elle aurait tout loisir de s'en occuper plus tard... Elle se contenta de dire :

- Bravo ! Vous êtes bonne pour le service !

            Elle la reculotta avec des gestes doux et frôleurs, lui rabaissa sa jupe. Puis après avoir rêglé avec elle quelques détails techniques, elle se leva pour lui signifier la fin de l'entretien, lui tendit la main et lui dit aimablement :

- Bien, vous commencerez à la date que nous avons fixée ensemble, je pense que vous vous plairez ici. Sans vous commander, avant de repartir, vous pourriez passer à l'infirmerie pour remercier Sylvie : sans son avis favorable, je ne vous aurais pas engagée. À très bientôt, Fabienne !

            Après le départ de Fabienne vers le bureau de la directrice, Sandrine et Sylvie se retrouvèrent en tête-à-tête : plus de patientes en attente. L'adolescente prit le visage de son aînée entre ses mains longues et fines, la regarda dans les yeux amoureusement et lui murmura gentiment :

- Sylvie, tu n'as pas honte ?

- Oh si, lui répondit-elle sans lâcher son regard, je me suis montré un peu salope avec cette nana, mais tu as vu qu'elle y a pris un certain plaisir ? Maintenant si tu penses que je mérite une punition, tu pourras me la donner !

            Sandrine aprocha encore son visage, lui posa un petit baiser sur le bout du nez et dit :

- Y a intérêt ! Pour commencer, tu vas te mettre à poil ett'installer sur la table de gynéco : ta punition va débuter !

            Il fallut exactement trois secondes chrono à Sylvie pour se débarrasser de sa blouse, de son soutien-gorge et de son slip. Tête baissée, affichant un air contrit qu'elle était bien loin d'éprouver. Vêtue de son porte-jarretelles et de ses bas blancs, elle s'étendit sur la table d'examen et coinça les talons hauts de ses chaussures dans les étriers. D'une voix de petite fille, elle implora :

- Je t'en prie, ne sois pas trop méchante, ma chérie !

            Sandrine, se retenant de rire, prit un air pincé pour lui répondre :

- Tu n'as pas ton mot à dire : c'est moi qui décide !

             Elle fit monter la table et inclina son visage vers l'entrejambe de son amie qui exhalait une odeur d'excitation qui la rendait folle : la jolie chatte blonde et rose qu'elle adorait était entrouverte par la position, toute mouillée, avec la saillie rose du clitoris au sommet des petites lèvres finement ourlées. Les sécrétions vaginales étaient très abondantes, débordaient de la vulve et rendaient le périnée et l'anus luisants. Pendant un moment, la jeune fille se contenta de regarder et de sentir, retardant l'instant où elle allait se jeter goulûment sur cette chatte offerte impudiquement à sa convoitise. Elle ne tenait pas à se précipiter, sentant instinctivement qu'au premier coup de langue sur son bouton d'amour, l'autre se mettrait à jouir. Elle posa la pulpe de son index sur le petit trou entre les fesses de Sylvie, rose et strié, resserré et qui, ainsi, ne donnait pas l'idée de ce qu'il était capable d'absorber à l'occasion. Le doigt indiscret appuya, tourna, massa la rosette qui se détendit, puis s'y enfonça doucement faisant soupirer sa propriétaire. Sandrine qui la savait très anale retira son doigt, et sans perdre le contact, remonta, appuya sur le périnée avant d'être littéralement avalé par le vagin trempé. Un deuxième puis un troisième doigt subirent le même sort et elle se mit à la baiser avec sa main, heureuse de la sentir tout près de l'orgasme. Elle la fit languir un moment, la voyant se tortiller, tenter de frotter son clitoris contre ses doigts, la supplier de la faire jouir... La regardant droit dans les yeux, elle dit froidement :

- Je vais t'arracher le clitoris avec mes dents : ce sera ta punition !

            Elle plongea bouche en avant, mais au lieu de ses blanches quenottes, ce fut le bout de sa langue rose qui entra en contact avec le petit organe érectile et se mit aussitôt à frétiller dessus. Sylvie cria et explosa de plaisir ce qui ravit Sandrine très fière d'elle ! Attentive, elle modula ses coups de langue, puis ralentit leur rythme avant de cesser, ne conservant qu'un contact très doux avec la vulve de son amie...

            Elles en étaient là quand on frappa à la porte : dans leur hâte, elles avaient oublié de fermer celle qui donnait sur le parc. Sylvie jura grossièrement et dit doucement :

- Tu veux bien aller voir, ma chérie ? Fais au mieux : moi, je ne bouge pas, je suis trop bien !

            La jeune fille ouvrit la porte juste assez pour se glisser dans la salle d'attente et la referma derrière elle. Fabienne était là, pas vraiment détendue, et lui dit poliment :

- Je suis venue remercier Sylvie et lui annoncer que j'étais engagée !

            Sandrine hésita un peu : que faire ? Lui dire que Sylvie n'était plus là ? Lui dire qu'elle transmettrait ? Elle était d'un naturel assez timide, mais l'infirmière avait tout fait pour lui donner de l'assurance, s'affirmer, prendre rapidement une décision : ça lui serait indispensable quand elle exercerait la médecine. Elle lui disait souvent :

- Il faut oser, Sandrine, OSER !!!

                        Alors elle osa : on verrait bien ! Elle dit avec un grand sourire :

- Oh, félicitations ! Elle va être ravie de l'apprendre ! Attendez-moi un instant s'il vous plaît !

                        Rapidement, elle alla fermer la porte du bâtiment, revint vers la jeune femme, lui prit la main et dit simplement :

- Venez...

            En entrant dans la pièce, la jeune femme rougit et sursauta : l'infirmière demi-nue était toujours impudiquement écartelée sur la table et le parfum d'entrecuisse féminin s'était encore alourdi. Elle faillit bredouiller une vague excuse avant de se sauver à toutes jambes. Mais elle était comme hypnotisée et en plus Sandrine tenait fermement sa main dans la sienne, la tirant doucement vers la table d'examen, cependant que de son autre main, elle la débarrassait de son sac à main qu'elle posa au passage sur le bureau. Alors elle se laissa guider docilement et se retrouva rapidement entre les jambes de Sylvie, la jeune fille la tenant toujours par la main, pesant sur sa nuque avec l'autre pour la pousser à s'incliner vers ce sexe offert.

            Fabienne était partagée entre le fait qu'elle n'aimait pas les femmes, du moins le croyait-elle encore, et l'envie de dévorer cette belle chatte odorante, ne voulant pas céder et en mourant d'envie... Elle n'hésita qu'une fraction de seconde, se demanda alors seulement à ce moment-là si elle saurait s'y prendre ? Sandrine la sentant docile lacha sa main et la vit incliner son visage vers la fourche de son amie, avec un petit pincement de jalousie, espérant contre toute vraisemblance que cette femme ne saurait pas la faire jouir ! Elle ne pouvait pas savoir que la jeune prof éprouvait la même apréhension : elle n'avait jamais léché une fille, mais elle se rassurait en se disant qu'après tout elle connaissait parfaitement son sexe et que celui de Sylvie n'était pas vraiment différent, à part la couleur des poils qui le couvrait : elle allait faire à la jeune femme ce qu'elle aimerait bien qu'on lui fit à elle, et elle plongea bouche en avant...

            Sylvie poussa un soupir d'aise. Certes, elle ressentait l'inexpérience de sa suceuse, bien moins habile que Sandrine, mais qui s'appliquait à lui être agréable avec une bonne volonté touchante. Alors elle dit :

- Sandrine, caresse-la aussi !

            De ses deux mains, elle saisit la Tête de Fabienne pour la plaquer encore plus étroitement contre elle et se mit à la guider dans sa caresse à mots hachés :

- Oh oui... vas-y ! Enfonce ta langue le plus loin que tu peux dans ma chatte... Maintenant aspire mes petites lèvres... Lêche-moi le clito, petite gouine... Descends ta langue entre mes fesses... Oh, je sens ta langue sur mon petit trou... Oui, encule-moi avec, pousse-la bien au fond de mon cul ! Lêche-moi partout, ma salope, ma petite chienne...

                        Ces mots crus excitaient beaucoup Fabienne sans qu'elle sût exactement pourquoi, et elle s'appliquait à satisfaire sa maîtresse de son mieux, la bouche emplie de ses sécrétions intimes qu'elle buvait à la source.

            Sandrine ressentit le cruel pinçon de la jalousie : cette grande bringue ne l'intéressait pas plus que ça : son seul voeu était de donner du plaisir à Sylvie, la dévorer pendant des heures, mais comme chaque fois que celle-ci lui demandait quelque chose, elle s'éxécutait docilement. Son amour lui demandait de faire jouir cette femme ? et bien elle allait le faire, et pas qu'un peu !

            Se penchant, elle saisit l'ourlet de la jupe de Fabienne et la lui releva jusqu'aux reins avant de la lui coincer dans sa ceinture. Elle ne s'attarda pas à contempler le spectacle qui pourtant en valait la peine : la jeune femme, troussée par derrière jusqu'à la taille, cassée en deux, la croupe tendue en arrière remplissant bien sa culotte, ses cuisses pleines gaînées par les bas, la chair blanche et nue au-dessus des revers plus sombres... La jeune fille saisit l'élastique à la taille et la déculotta sans fioriture, faisant glisser la culotte le long de ses cuisses puis de ses jambes, puis la lui retira complètement, aidée par la jeune femme qui leva instinctivement un pied après l'autre. Alors de ses mains à l'intérieur des cuisses, elle l'incita à les écarter davantage et sans plus attendre elle glissa sa main gauche à leur jonction. Ses doigts écartèrent poils et grandes lèvres sans trop de douceur et deux d'entre eux plongèrent dans le vagin déliquescent qui les avala sans peine ! Fabienne se cambrant et poussant ses fesses vers l'arrière pour mieux sentir la pénétration. Sandrine était écoeurée : elle aurait bien aimé faire mal à cette rivale et ,résultat, elle lui enfonçait sa main dans la motte comme dans du beurre ! Un troisième puis un quatrième doigt rejoignirent les deux qui coulissaient déjà dans le vagin chaud et trempé de la prof. Sandrine poussa sa main le plus profondément possible, son pouce buta contre l'anus qu'il pénètra sans autre forme de procès ! Fabienne poussa un grognement étouffé par la chatte de Sylvie qu'elle dévorait toujours avec le même apétit, mais ce n'était pas de douleur : elle tendit encore plus son cul à la main bienfaitrice. Alors Sandrine entama un mouvement puissant de va et vient dans le vagin et le petit trou de la prof, lui glissa son autre main sous le ventre lui empoigna fermement le pubis, trouva rapidement son clitoris et se mit à le branler sauvagement.

            Mais contrairement à son souhait, Fabienne apréciait au plus haut point cette masturbation Brutale et jouit très rapidement, crispant ses deux orifices sur la main de sa branleuse et lui inondant les doigts d'une quantité apréciable de cyprine. Sandrine marqua enfin un point : au lieu d'arrêter de la stimuler comme l'autre le souhaitait après son orgasme, elle accéléra au contraire son mouvement de piston dans son entrecuisse et titilla de plus belle son bouton d'amour ! Fabienne aurait bien voulu qu'elle cesse un moment et se tortilla un peu pour se dégager, mais elle était bel et bien prisonnière, solidement maintenue par quatre mains : celles de Sandrine dans sa fourche et celles de Sylvie qui lui plaquait toujours le visage dans son intimité. Mais après un moment très désagréable, son excitation remonta en flêche et elle ne tarda pas à jouir à nouveau... L'infirmière enchaînait les orgasmes malgré ou à cause de l'inexpérience de sa lécheuse.

            La sonnerie du téléphone les fit sursauter : Sandrine abandonna Fabienne pour aller répondre.

- Ah c'est toi Jojo ? Non, c'est Sandrine. Oui, je sais, la porte de l'infirmerie est fermée mais viens dans une dizaine de minutes : je t'ouvrirai. Bon, OK à tout de suite...

            Elle racrocha et dit à l'intention de l'infirmière :

- C'était Joëlle à qui tu avais demandé de repasser. Je peux m'en charger si tu veux, Sylvie ?

- Oui, je t'en remercie, ma chérie, prends tout ton temps !

 

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