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La matheuse matée (6)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 6

            Sandrine referma la porte derrière sa copine puis se dirigea vers le bureau. Elle poussa la porte, fut surprise par l'obscurité, mais n'eut pas le temps de se poser de questions : en une fraction de seconde, elle se sentit saisie à bras le corps, soulevée de terre et son plateau lui fut enlevé des mains. Elle cria de peur, se débatit, mais on la tenait solidement et elle sentit qu'on lui bandait les yeux. Son coeur se remit à batttre normalement quand elle reconnut la voix de Sylvie qui lui disait doucement près de l'oreille :

- Tu es notre prisonnière, Sandrine, et nous allons te torturer sauvagement !

            Elle se détendit : elle savait parfaitement que c'était impossible : un jeu de son amour ! Réussi : elle avait faillit pisser dans sa culotte de frayeur ! Alors elle résista juste un peu pour entrer dans le jeu, protesta aussi mollement pour la forme :

- Pourquoi vous m'enlevez ma blouse ?

            La blouse s'envola, et plus tard elle supplia :

- Non, non, pas ma culotte !

            Mais elle se retrouva très vite toute nue, soulevée comme une plume, déposée en douceur sur la table d'examen, on glissa doucement ses pieds dans les étriers. Avant de lui lacher les poignets, Sylvie la prévint d'une voix sévère :

- Nous ne t'attacherons pas si tu es sage et subis gentiment ta punition. Par contre, si tu essayes de t'enfuir ou si tu retires ton bandeau, ce sera terrible pour toi !

            Sandrine bégaya d'une voix de petite fille :

- Oh non m'dame, par pitié ! Qu'allez-vous me faire ?

            Sylvie ricana méchamment :

- Tu le sauras bien assez tôt ! Je peux te lâcher, maintenant ?

- Oui, oui, je serai sage, je le promets ! Ne me faites pas de mal, s'il vous plaît !

                        Fabienne y croyait presque, Sandrine pas du tout, mais trouvait l'idée excitante : elle faisait une confiance totale à Sylvie. Et son "supplice", que la plupart de ses camarades auraient donné cher pour subir le même, commença : deux bouches et quatre mains s'emparèrent d'elle, l'embrassant et la caressant partout ! Divin, tout simplement, et elle cessa de protester, se laissa aller et se mit à ronronner de plaisir comme un chaton heureux.

            Sylvie fut tout de suite dans le bain : elle adorait Sandrine et connaissait par coeur la moindre de ses zones érogènes. Fabienne fut un peu réservée au début, mais très vite le corps abandonné de cette jolie adolescente l'émut, l'excita au plus au point et elle sentit naître en elle le désir de la compétition ! Elle voulait lui donner encore plus de plaisir que ne le faisait Sylvie, quoique consciente qu'elle ne possédait pas la même technique !

            Sandrine trouvait l'idée de lui avoir bandé les yeux géniale : privée de la vue, elle pouvait se consacrer entièrement à ses sensations sans être distraite. Une bouche avalait presque l'un de ses seins minuscules, une autre suçait ses orteils, une main caressait l'intérieur de ses cuisses, une autre son ventre et la dernière son autre sein. Puis cela changeait, une langue frétillait dans son nombril, l'autre effleurait son anus, puis elles de déplaçaient, s'éloignant ou se rapprochant l'une de l'autre, et les quatre mains étaient loin d'être inactive. Sous ses mains à elle, parfois un sein, une cuisse ou une fesse passaient à sa portée : elle les touchait pour le plaisir, juste pour sentir la chair chaude et élastique.Elle mouillait énormément, encore excité par l'odeur lourde de femelle qui régnait dans la pièce : la sienne, celle des deux autres...

            Très vite, elle cria son premier orgasme : une langue agile s'infiltrait le plus qu'elle pouvait  dans son petit trou qu'elle sentait s'ouvrir, l'autre titillait son clitoris et l'entrée de son vagin, une main sur chaque sein et sur chaque cuisse ! Ensuite les mains et les bouches s'éloignèrent des zones devenues trop sensibles, s'intéressèrent de nouveau à ses orteils, ses pied, ses oreilles, puis convergèrent à nouveau vers le centre de son corps. Elle ne sut jamais combien de fois elle avait joui au cours de cette séance et s'en moquait, mais elle crut un moment qu'elle allait réellement mourir de plaisir ! Son dernier orgasme la laissa pantelante, au bord de l'évanouissement. Alors, elle retira ses pieds des étriers et se recroquevilla sur le côté en position foetale, gémissant doucement... Les deux jeunes femmes comprirent qu'elle était à bout et qu'il était temps de la laisser tranquille. Seule une main caressait encore ses longs cheveux en un contact d'une légèreté aérienne : Sandrine sut que ça ne pouvait être que celle de Sylvie...

            Quand elle refit surface, elle s'assit sur la table, s'étira, partit d'un grand rire heureux et défit son bandeau. Sylvie était toujours superbement nue, mais Fabienne était rhabillée, son sac à l'épaule, prête à prendre congé. Elle dit poliment et un peu hésitante :

- Eh bien... Au revoir Sylvie, au revoir Sandrine !

                                    L'infirmière l'arrêta :

- Oh ! Pas si vite, nous avons fait un pari, je crois me souvenir ?

            Fabienne mal à l'aise dansa d'un pied sur l'autre et Sandrine demanda :

- Qu'avez-vous parié ?

- Notre culotte, la renseigna Sylvie.

- Et quel était le terme du pari ? demanda l'adolescente.

- Dis-le lui, Fabienne, reprit Sylvie.

- Euh, Sandrine avez... as-tu aimé ce que nous venons de te faire ?

- Non, pas vraiment... dit Sandrine. Fabienne eut un sourire triomphant qui s'eteignit quand la jeune fille reprit en riant :

- Je n'ai pas aimé, j'ai adoré, Adoré ! Recommencez quand vous voudrez !

            Et comme une gamine joyeuse, elle sauta au cou de Fabienne et l'embrassa sur les deux joues. La jeune femme se montra belle joueuse :

- Ok, j'ai perdu...

            Sylvie se tourna vers Sandrine :

- Tu veux bien récupérer mon gain, ma chérie ?

            La jeune fille mit un genou en terre devant la prof et demanda poliment :

- Vous permettez, Mademoiselle ?

            Fabienne se contenta d'incliner la tête en guise d'acquiessement. Alors Sandrine glissa ses mains sous sa jupe, remonta jusqu'à sa taille, frôlant la chair nue au passage, saisit l'élastique de sa culotte et la lui baissa avec une lenteur exaspérante puis la lui retira complètement avant de la tendre à Sylvie qui, ostensiblement, la porta à son visage, la renifla longuement, en embrassa l'entrejambe, puis la déplia et l'enfila le plus naturellement du monde.

            Fabienne conduisit au radar pour rentrer chez elle très gênée d'avoir le ventre et les fesses nus sous sa jupe, très partagée entre la honte et le plaisir qu'elle avait éprouvé à part égale au long de cette journée... Elle n'avait pas osé non plus demander à se rafraîchir et avait l'impression de sentir la femelle. De même, quand elle passait sa langue sur ses lèvres, était-ce le goût intime de Sylvie qu'elle retrouvait, ou celui de Sandrine ? Heureusement elle n'eut pas d'accident, mais arrivée chez elle, le fond de sa jupe montrait une large tache humide...

            Après son départ, Sylvie qui pensait avoir à se faire pardonner, demanda gentiment à Sandrine :

- Ça te dirait de dormir avec moi, ma puce ?

            La jeune fille, radieuse, pour toute réponse lui sauta au cou et l'embrassa passionnément. En un coup de fil, l'affaire fut réglée : l'infirmière indiqua qu'elle gardait l'adolescente à l'infirmerie pour la faire réviser, ce qui, au fond, ne dérrangeait personne. Elles prirent une douche ensemble, riant et chahutant comme deux gamines, se savonnant mutuellement dans les moindres replis, dînèrent rapidement, quasi nues et se couchèrent tôt sans vraiment faire l'amour, éprouvant seulement un immense besoin de tendresse.

            Elles reposaient nues et enlacées sur le grand lit et la jeune fille, épuisée, s'était endormie comme une masse, la tête nichée au creux de l'épaule de Sylvie. Celle-ci, sur le dos, ne bougeait pas de peur de réveiller son amie, le bras passé autour de ses épaules commençant à s'ankiloser, respirant ses cheveux. Elle était merveilleusement bien, Sandrine blottie contre elle, et qui emprisonnait sa cuisse gauche entre les siennes et avait refermé sa main sur son sein. Elle était émue et attendrie par l'amour que lui portait l'adolescente, amour partagé, elle était bien obligée de l'admettre ! Sa main libre descendit doucement sur son ventre, joua un moment avec les boucle de sa toison intime, caressa l'intérieur de ses cuisses, sépara ses grandes lèvres, trouva son clitoris... Mais le sommeil la prit brusquement sans la laisser aller au bout de son plaisir et elle s'endormit ainsi, une main entre les jambes.

            Au matin, Sandrine fut réveillée en douceur par une sensation très agréable : elle comprit que Sylvie s'était glissée entre ses cuisses et lui léchait doucement la chatte. Elle fit semblant d’être encore profondément endormie, grogna un peu, bougea légèrement, non pour se soustraire à la douce caresse, mais au contraire pour mieux s'y offrir, mais bientôt quand le plaisir monta en elle, elle ne put plus feindre, ouvrit les yeux et demanda :

- Mais qu'est-ce que tu me fais ?

            Sylvie ne s'arrêta ni ne répondit : ses yeux lui souriaient. Après son orgasme, la jeune fille lui dit :

- Arrête, laisse-moi : j'ai trop envie de faire pipi !

            À contre-coeur, Sylvie lui rendit sa liberté : ça ne lui aurait pas déplu que Sandrine soulage sa vessie dans sa bouche, mais il était peut-être encore trop tôt et elle ne voulait surtout pas la choquer. De retour de la salle de bain, la jeune fille s'exclama :

- Tu as profité de mon sommeil ! Je vais me venger !

            Feignant la terreur, Sylvie la laissa lui écarter largement les cuisses et plonger son joli minois entre elles : il ne lui fallut pas longtemps pour exploser...

            Pendant le petit-déjeûner, Sylvie expliqua à Sandrine qui n'avait rien contre, qu'elle pourraient encore bien s'amuser aux dépens de Fabienne quand celle-ci commencerait à travailler au pensionnat. Puis elles durent se séparer pour se rendre, Sandrine à ses cours, Sylvie à l'infirmerie.

 

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