suivant
La matheuse matée (15)
précédant

Par Docteur Dominique GALLIEN

 

F/f F+/f F+/f+ exhibition ados uro BDSM esclave lycée humiliation réticence médical.

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 15.

            Le dimanche matin, leur réveil fut très tardif. Fabienne, levée la première leur avait préparé du caffé, et elles s'en contentèrent en attendant d'aller déjeûner à la cantine. Pour cela, elles se rhabillèrent entièrement à part Fabienne, très gênée d'être privée de sa culotte, marchant en canard à cause du godde gonflable qu'elle avait toujours dans le cul et qui l'empêchait même de serrer les fesses...
            Au retour, Sandrine leur proposa de passer l'après-midi toutes les trois à poil, pour terminer la préparation de la prof. Elle donna l'exemple et les deux autres l'imitèrent sans discuter. En salle d'hydrothérapie, elles commencèrent par prendre une douche en commun, Sandrine et Joëlle savonnant leur prof dans les moindres replis de son corps, lui faisant même un shampoing, puis se séchèrent dans les flux d'air chaud, avant que Fabienne s'installe sur la table de gynécologie.
            Sandrine dégonfla le gode qui lui distendait l'anus et le lui retira : on ne pouvait vraiment plus parler du "petit trou" de la prof, tant il restait bâillant, d'une circonférence d'au moins 4 ou 5 centimètres de diamètre. Promptement, elle le remplaça par un spéculum qu'elle ouvrit en grand avant de s'emparer d'un long tuyau assez fin et souple, qu'elle glissa dans l'ouverture béante de l'écarteur. Alors, elle lança un flux d'eau tiède à faible pression et enfonça le tuyau de plus en plus loin dans le ventre de sa patiente, le faisant aller et venir, le tordant habilement d'un coup de poignet pour lui faire passer les angles du côlon. Le trop-plein s'écoulait autour du mince tuyau, l'eau ressortant quasiment propre, tant l'intestin avait été bien dégagé par les lavements qui avaient précédé. Le traitement n'était pas très agréable pour la prof, sans être vraiment douloureux, et il y avait une compensation : sur les conseils de l'infirmière intérimaire, Joëlle, placé sur le côté de la table, s'occupait avtivement de ses nichons et de sa chatte lisse entrouverte par la position, de sa bouche et de ses mains habiles. Une main de Fabienne passée par derrière les fesses  de Joëlle rendait les caresses à son élève. Les deux jeunes femmes gémissaient de concert. Sandrine, elle, se contentait de son opération de nettoyage en profondeur, regardant les deux autres se donner du plaisir.
            L'opération dura assez longtemps, et au maximum de la pénétration, les graduations qui marquaient le tuyau indiquaient 1 m 30 ! Alors la jeune fille passa à l'aspiration de l'eau qui pouvait encore se trouver dans le rectum et remit en place le gode qu'elle gonfla généreusement.

            Il restait à s'occupper de la vessie de Fabienne, ainsi que de son vagin. Pour cela, Sandrine tirait son expérience d'un week-end studieux au cours duquel Sylvie lui avait prodigué un cours de travaux pratiques très complet. Joëlle qui leur avait servi de cobaye, en gardait un souvenir plus que mitigé : les techniques pas très agréables, et surtout les suites ! Les quelques jours qui avaient suivi, elle avait eu quelques difficultés à maîtriser sa vessie et il lui était arrivé de pisser involontairement dans sa culotte. Elle n'enviait pas du tout la place de sa prof ! Comme le lui demandait son amie, elle pris chaque grande lèvre de Fabienne entre le pouce et l'index pour les écarter et les étirer au maximum, dévoilant largement la zone du clitoris et celle du méat urinaire située juste en dessous. Sandrine changea de gants et nettoya les muqueuses découvertes à l'aide d'une compresse imbibée d'un antiseptique doux. Puis elle déchira un sachet de prélevement d'urine qui comprenait une fine sonde prolongée par une tubulure de pastique transparent qui s'achevait dans un sac de même nature. Alors, elle posa la pointe légèrement ovoïde de la sonte au centre du minuscule cratère et poussa doucement : la prof gémit, mais très vite la sonde atteignit sa vessie et l'urine se mit à couler dans la tubulure vers la poche. Sandrine imprima quelques aller-retours avec le cathéter, jeusqu'à ce que le flot se tarisse avant de le retirer. Nouvelle désinfection et changement de gants pour Sandrine qui saisit une sonde bien plus grosse, munie d'un ballonnet gonflable et se terminant, outre le tuyau de gonflage, par deux tubulures : l'une reliée à la machine, l'autre plongeant dans un seau vide que, sur un signe, Joëlle avait placé au pied de la table sur laquelle leur prof était écartelée.
            Cette fois, l'intromission fut moins facile et n'alla pas sans moult grognements de Fabienne à qui Sandrine, très calme, ordonnait de se tenir tranquile et de ne pas bouger. Mais la sonde franchit le méat urinaire, s'avança dans l'urètre de la jeune femme puis dans sa vessie. Alors Sandrine brancha la poire sur le tube adéquat et gonfla le ballonnet interne, puis débrancha la poire. En surveillant les cadrans, elle envoya un flot d'eau tiède dans l'ensemble, distendant la vessie de la patiente, bloqua le jet, puis ouvrit l'écoulement et l'eau fut évacuée dans le seau. Elle renouvela l'opération plusieurs fois, puis, la vessie bien vidée et nettoyée, elle débrancha le tuyau allant vers la machine et enfonça et bloqua l'autre dans une poche transparente.
            La patiente était, toujours en position gynécologique, bien placée pour une bonne douche vaginale que l'aprentie toubie s'empressa de lui donner, la baisant littéralement avec une grosse canule. Celle-ci retirée fut largement remplacée, après essuyage local, par un autre god gonflable.
            C'est une Fabienne pitoyable, pantelante avec l'entrejambe distendue, vêtue en tout et pour tout d'une paire de chaussons jetables, marchant les jambes écartées, ridicule avec la tubulure de la sonde urinaire dans la main,que les deux jeunes filles ramenèrent à l'infirmerie, la soutenant chacune d'un dôté.
            Elles la firent se coucher dant un des lits et sur les indications de Sandrine finirent de la préparer, mais son supplice était maintenant terminé.

 

perverpeper@perverpeper.com

 

RETOUR A L'INDEX