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La punition de Cécile (3)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 03

            Retour à ma chambre : la routine. Repas à quatre pattes, petit pipi devant les deux autres, toilette intime imposée. Puis elles me laissent tranquille pour un moment. Isabelle revient toute seule et ajoute une pièce à mon "costume" : une large ceinture de cuir, comportant des tas d'anneaux sur son pourtour,  qu'elle serre autour de ma taille. Ainsi attifée, elle me conduit dans une pièce minuscule entièrement carrelée ; sur les murs, des tas de pommes de douches orientées dans tous les sens. Elle m'attache les bras tendus en l'air puis saisit un tuyau annelé qui sort du mur devant moi, terminé par une espèce de canule, au-dessous de laquelle se détachent deux chaînettes. La blonde s'accroupit devant moi, tatonne un peu entre mes fesses et enfile la canule dans mon anus, avant de fixer une chaînette sur le devant de ma ceinture, l'autre derrière, suivant la raie de mes fesses, pour l'empêcher de ressortir. Puis elle ressort, referme soigneusement la porte. Pendant quelques instants, il ne se passe strictement rien, puis brusquement, des trombes d'eau glacée s'abattirent sur moi de toute part, cependant qu'au contraire, je sens un liquide brùlant gicler violemment dans mes entrailles. Je hurle, pleure, tremble, claque des dents... Au bout d'un moment qui me paraît interminable, tout s'arrête net. Je suis transie de froid, l'eau chaude continuait à ressortir de mon derrière.
            La porte s'ouvre, mais au lieu d'Isabelle, l'infirmière blonde, c'est un des type que j'ai vu le premier jour qui brandit un long fouet qui siffle avant de s'abattre sur ma peau mouillée. Méthodiquequement, sans se soucier de mes cris, il me fouette sur le corps tout entier, me faisant atrocement mal. Je ne peux prévoir où va s'abattre le prochain coup : mon dos ? mes seins ? mon ventre ? mes cuisses ? Avant d'arrêter la correction, il frappe une dernière fois, mais de façon atroce : d'un habile revers du poignet, il me frappe violemment de bas en haut entre mes jambes maintenues écartées par la barre ! Avec une précision diabolique, la lanière de cuir tressée à frappé longitudinalement toute mon intimité, du clitoris à l'anus, s'insinuant entre mes grandes lèvres pour atteindre mes fragiles nymphes. Mais la douleur est trop intense et je m'évanouis, restant suspendue par les bras...
            Je reprend conscience par une énorme quinte de toux : Isabelle à débouché un petit flacon d'amoniaque sous mes narines.

- Tu es une véritable mauviette ! me dit-elle dédaigneusement.

Je pense : "J'aimerais te voir à ma place !" mais, évidemment, le garde pour moi... Elle décrocha ma sonde anale de ma ceinture et me la retira : l'eau continuait à s'écouler d'entre mes fesses, mêlée d'excrément qui avaient en partie coulé le long de mes cuisses. J'ai à nouveau droit à une douche à grand jet, mais chaude cette fois, puis elle me savonne partout, douche de rinçage et enfin elle me sèche en me frottant tout le corps avec une serviette assez rêche qui ranime les douleurs provoquées par le fouet qui a laissé de longues lignes rouges s'entrecroisant partout sur mon corps... Quand elle m'annonce tranquillement qu'elle me conduit chez l'otorhyno-laringologiste puis chez l'ophtalmologiste, je me détends : ça ne peut pas être bien terrible ce genre de consultation...
            Tu parles !!! Le premier me fait asseoir sur un fauteuil sur lequel je suis complètement immobilisée, même au niveau de la tête. Il examine ma bouche avec un abaisse-langue, avant de m'enfoncer profondément le laryngoscope au fond de la gorge, me faisant très mal et à moitié suffoquer. Puis mes narines et mes oreilles sont dilatées et explorées par des instruments métalliques et très désagréables...
            L'examen par l'ophtalmologiste est encore pire ! Après un examen classique, il m'annonce qu'il va m'examiner chaque oeil au triple miroir : il s'agit tout simplement d'un espèce de verre de contact formant prisme, que le praticien place sur l'oeil à examiner, le déplaçant à sa guise pour voir au travers... Douloureux et désagréable à souhait. Un oeil, puis l'autre... Là aussi je suis attachée solidement et bien obligée de me laisser examiner. Il m'impose ensuite un électro rétinogramme : un grand verre de contact rigide sur chaque oeil qu'il empêche de se refermer, et des éclairs lumineux de toutes les couleurs qui vous vrillent le crâne, et ce, pendant plus d'une demi-heure. Comme si ça ne suffisait pas, je dois subir ensuite une échographie oculaire : l'oeil enduit d'un produit gras, est parcouru par une sorte de crayon électronique au bout arrondi. En soi, ce n'est sans doute pas bien méchant, mais suivant immédiatement l'examen précédent, c'est affreux.
            Quand Nora vient me chercher pour "aller faire un peu d'exercice", j'ai les yeux douloureux, enflés, larmoyants, de plus, je ne vois quasiment rien à cause de l'importante dilatation de la pupille qu'il m'a fait subir, pour le fond d'oeil. Décidément la journée aura été bien remplie !
            Ce n'est d'ailleurs pas terminé : ce que Nora appelle plaisamment faire un peu d'exercice, consiste à courir comme une dératée sur un tapis roulant, puis de meutrir mon entrecuisse déjà bien endolori et éprouvé sur la selle d'un vélo sur cales, vivemeent encourager à ne pas faiblir dans l'effort par la cravache qu'elle tient fermement en main, prête à l'abattre sur moi... Je termine l'heure trempée de sueur, moulue, vidée, épuisée.
            Cérémonial de fin de journée : manger, lavement, WC, toilette, au lit... Je m'endors comme une masse, malgré l'inconfort apporté par mon attirail de cuir, mais dors mal.
            Au matin, je découvre la catastrophe : mes règles sont arrivées pendant la nuit, sans doute avancées par la journée éprouvante que j'ai vécu hier ! J'ai du sang partout, sur les cuisses, mais il y a également une tache énorme sur le drap !!! Je tremble pour la suite...
            Isabelle découvre les  dégâts en m'apportant mon petit déjeùner et n'apprécie pas vraiment : je sens que ça va encore être ma fête ! Sur ce point, je ne me trompe pas : elle m'ordonne de me mettre sur le ventre, attache mes poignets à la tête de mon lit et mes chevilles écartées au pied et saisit la cravache pour m'en appliquer une vingtaine de coups, très appuyés, régulièrement espacés de mes épaules à mes mollets, chacun me faisant hurler de douleur. Pas encore satisfaite, elle saisit alors le manche du martinet, le présente entre mes fesses écartées par la position, pose le bout sur mon anus, et pousse très fort, sans s'occuper de mes cris jusqu'à ce qu'il soit entièrement introduit dans mon derrière !!!
            Elle m'a fait très mal au cul, et c'est ainsi, mes poignets liés dans le dos, la barre d'écartement entre les chevilles, les lanières du martinet ressortant grotesquement d'entre mes fesses, les cuisses et l'entrejambe souillés de sang menstruel que je doit prendre mon petit déjeùner, toujours à quatre pattes. Mais auparavant, me saisissant par la nuque, elle m'a obligée à
lécher la tache que j'ai faite sur le drap... Après celà, je n'ai pas vraiment faim, mais me force à manger un peu pour conserver mes forces.
            Elle profite que je suis encore prosternée pour retirer le manche en bois de mon cul, me faisant presque aussi mal que quand elle l'y a enfoncé. J'ai droit de sa part à une toilette intime soignée et brutale sur le bidet : ses doigts savonneux s'enfoncent très loin dans ma chatte. En même temps, elle me traite de tous les noms. Puis je dois faire mes besoins, re-bidet et elle m'enfonce un tampax dans le vagin sans douceur excessive.
            La journée commence sous de funestes auspices : je m'attendris sur moi-même en imaginant mon look actuel, ravalée plus bas que terre : mes cheveux presque rasés, mes bracelets, mon collier et ma ceinture de cuir, mon pubis glabre, d'où pend, incongru, le cordon du tempon hygiénique, et ne peut m'empêcher de pleurer sur mon triste sort...
            L'infirmière me laisse seule, sans doute pour aller prendre ses instructions en fonction de mon état, et ne reviens me chercher que beaucoup plus tard dans la matinée, pour m'amener, tenue en laisse à des examens.
            Radio des poumons, mamographie : rien d'extraordinaire sinon la tenue dans laquelle je déambule, petite douleurs au seins qui sont appuyé très fort sur la plaque lors de la mamographie, en fait rien que de très supportable. Puis déjeùner et changement de tampax : l'ancien arraché sans ménagement, le nouveau introduit brutalement entre mes cuisses.
            Petite visite au dentiste : à demi couchée sur le fauteuil, solidement attachée, même la tête, un écarteur maintenant ma bouche grande ouverte. Il examine soigneusement mes dents, me fait un détartrage, toujours déplaisant, puis décide qu'une de mes molaires à besoin de soins : s'ensuit une séance de véritable torture à la roulette, me faisant un mal de chien, lui se souciant comme d'une guigne des douleurs atroces qu'il me procure, sans doute exprès...
            Le pneumologue me fait subir ensuite une fibroscopie bronchique, qui consiste tout simplement à m'introduire un tube assez gros dans la trachée pour voir l'intérieur de mes poumons : particulièrement désagréable et en plus ma dent me fait très mal.
            Au tour du gastro-entérologue d'examiner mon estomac avec la même technique : le tube en introduit dans l'oesophage et l'estomac, provoquant d'affreuses nausées.
            Isabelle m'annonce ensuite :

- La gynécologue veut te voir...

- Mais... j'ai mes règles !

- Justement...

            Et c'est reparti pour un examen long et complet, pas réellement douloureux, mais très gênant et humiliant quand même à cause de mon état : palpation brutale de mes seins que la période de mes règles rend gonflés et très sensibles ; tampon hygiènique retiré, elle me fouille longuement le vagin de ses doigts gantés de latex, les ressortant rougis de sang ; spéculum, toucher rectal : la routine, quoi...
            Avant de me faire descendre de la table, après l'examen, l'infirmière profite de ma position cuisses écartées pour mettre en place un nouveau tampon dans mon vagin : vivre cette période difficile aux yeux de tous, alors qu'habituellement les femmes la cachent soigneusement, se faire garnir, dégarnir par une autre, tout celà est très mortifiant.
            Séance de sport : tapis roulant, vélo... Puis douche comme l'autre jour, avec une variante : mon tampon à nouveau enlevé, décidément, ça doit l'amuser, ce deux sondes qui sont introduites dans mes orifices naturels et reliées à ma ceinture, l'une dans le vagin, l'autre dans l'anus. Douche violente, glacée à l'extérieur, brùlante dans mon ventre. Je suffoque, claque des dents... Savonnage partout, rinçage, égouttage, friction énergique... Je rélise que je n'ai pas été fouettée cette fois : j'en viens à m'en réjouir, tellement je commence à être conditionnée. Tout celà nous amène à l'heure du dîner et de son cérémonial habituel : manger à quatre pattes, copieux lavement restitué sur la cuvette à la turque, toilette intime imposée.
            Pour la nuit, elle retire la barre de mes chevilles, réunit mes poignet dans mon dos, et relie mon collier à la tête de mon lit par une longue chaîne qui me permet une assez grande liberté de mouvement. Avant de sortir, dernière avanie :
            - Je ne te mets pas de tampax pour la nuit : à toi de te débrouiller ! Mais je te prévient que si je trouve la moindre tache sur le drap, demain matin, tu n'auras pas fini de t'en repentir. Te voilà prévenue !
            Au matin, le drap est impeccable, au prix d'une nuit quasi blanche, passée le cul dans l'eau ! Au prix de pas mal de contorsions, j'arrivais à remplir et à vider le bidet ; évidemment, je ne pouvais atteindre mon entrecuisse avec mes doigts et devais me contenter de baigner mon fondement pendant un certain temps. De même, quand je me couchais, c'était toujours sur le côté pour limiter les risques, m'endormant quelques minutes et me révaillant en sursaut... Je suis crevée.
            Nora et Isabelle, à nouveau réunies viennent ensemble m'apporter mon petit déjeùner : la blonde tient la gamelle, la noire dépose un grand sac de voyage dans un coin de la pièce, me disant avec un grand sourire d'une blancheur éclatante :

- Aujourd'hui, repos, ma chérie : tu n'as aucun examen ou traitement prévu. Isabelle et moi, pour ne pas te laisser tristement toute seule, allons rester auprès de toi toute la journée. Tu vas voir, nous allons te dorloter, on va bien s'amuser toutes les trois. Tu es contente, au moins ?
            Après ce que ces deux jeunes femmes m'ont déjà fait subir, cette soudaine sollicitude est suspecte ! Nénmoins, je sais que je dois me montrer le plus docile possible, ne serait-ce que pour m'éviter un surcroît de punition ; aussi, je me force à sourire et lui réponds :

- Oh oui, je vous remercie, c'est très gentil de votre part!

            Elle se marre de plus belle. Nora à le rire facile, au contraire d'Isabelle qui elle, est plutôt coincée : c'est une bonne nature, capable de vous infliger les pires tourments sans perdre son sourire. Isabelle est plus froide, se prenant assez au sérieux. Toutes deux doivent avoir à peu près mon âge et sont mariée, si j'en juge par les alliances qu'elles portent. J'en suis réduite à l'observation, aux supputations : pas question de leur poser la moindre question !
            Sur ma promesse de me montrer très gentille, je suis débarassée de tout mon harnachement, me retrouvant toute nue mais entièrement libre de mes mouvements. Isabelle me fait asseoir sur le bidet et me lave gentiment (ça change !) tout l'entrecuisse. Pour parfaire ma propreté intime, j'ai droit aussi à une douche vaginale : toujours sur le bidet, elle remplit une poire, m'introduit verticalement la canule dans le vagin et appuie fortement sur le caoutchouc, envoyant une giclée d'eau tiède tout au fond de mon ventre. L'opération est renouvelée plusieurs fois, jusqu'à ce qu'elle juge que je suis maintenant bien propre à l'intérieur. Elle s'amuse même à me baiser, faisant aller et venir la sonde en moi. Me jugeant impeccable, elle me dit :

- Il fait très chaud dans ta chambre. Nous allons nous mettre à l'aise égalemnt : puisque nous sommes entre femmes, n'est-ce pas... Tu vas nous déshabiller à tout de rôle, comme une gentille femme de chambre. Commence par Nora.

            Pas question de refuser. Je m'approche de cette dernière et commence à déboutonner sa blouse blanche. Habituellement, elles n'ont sous leur blouse qu'un soutien-gorge et un slip, mais là, elle est vêtue d'une robe rouge vif à la jupe évasée s'arrêtant juste au-dessus du genou. La blouse enlevée, je tire la longue fermeture à glissière qui ferme sa robe dans le dos, dégage délicatement ses épaules, baisse sa robe et la lui retire. Dessous, elle porte une parure blanche : guépière sur les bonnets de laquelle reposent ses seins, gros et fermes, comme soulevés sur un plateau, uniquement soutenus par le bas, mais pas masqués. De longues jarretelles retiennent ses bas blancs montant très haut sur ses cuisses. Un string ficelle blanc, laissant ses belles fesses nues, complète ses dessous. Elle est superbe et quand elle me demande gentiment d'embrasser ses seins, je n'hésite pas, les baisant, têtant la pointe qui durcit immédiatement. Je cesse dès qu'elle me le demande et m'accroupis devant elle pour lui retirer doucement son string.
            C'est au tour de la blonde Isabelle de se faire dénuder. Sous sa blouse, elle porte un tailleur à la jupe droite au genou, de couleur bleu pétrole, assez élégant. Me montrant aussi douce que possible, j'escamote sa veste, puis sa jupe et son chemisier. Comme dessous, elle a un soutien-gorge balconnet, une petite culotte et un porte-jarretelles qui soutient ses bas gris fumé. Elle aussi me demande de lui sucer les seins dès que je les ai libérés de leur prison de dentelle. Je ne me fais pas prier... Elle est très belle aussi, mais d'une autre façon : moins ronde, plus longiligne, moins musclée également que sa collègue.
            Je n'ai jamais auparavant été particulièrement attirée par les femmes, mais je dois avouer à ma grande honte que je commence à y prendre goùt. Surtout si l'on ne me maltraite pas, comme c'est le cas en ce moment... J'ai fait durcir ses petits seins et elle me dit :

- Baisse lentement ma culotte...

            J'obéis et au moment où je vais poser le petit chiffon bleu sur le reste de ses vêtements, elle m'arrête, me disant sans élever la voix :

- Tu sais ce qui me ferait très plaisir ?

- Euh... je... non, Madame...

- Que tu mettes cette petite culotte sur ta tête, de façon à ce que l'entrejambe soit juste devant ton nez et ta bouche... Elle est en coton pour bien garder les odeurs, et je la porte depuis plusieurs jours en pensant à toi. Tu veux bien ?

            Comment refuser ? J'essaye de masquer mon dégoùt en voyant le renfort d'entrejambe jauni du slip, où quelques poils blonds sont même collés et m'en coiffe bravement : le devant sous mon menton, l'arrière sur ma tête et l'entrejambe devant mon visage. La petite culotte sale d'Isabelle exhale une puissante odeur féminine, mélangée à des relents d'urine... Elle ajoute :

- Tu est mignone. Elle sent bon, n'est-ce pas ? Je l'ai bien imprégnée de mes sécrétions exprès pour toi : je me suis même branlée plusieurs fois au travers, et chaque fois que j'ai fait pipi, j'ai simplement écarté l'entrejambe, sans m'essuyer ensuite. J'espère que tu apprécie mon cadeau ?

            Je m'entends lui répondre :

- Oui Madame, je vous remercie...

            Je dois avouer que je ne mens pas ! Bien sùr, je suis prête à me montrer aussi souple que possible à leurs désirs pour éviter les sévices, mais également, cette puissante odeur fauve me grise, m'excite. Et oui, c'est ainsi et j'en suis pas fière...
            Les deux femmes s'asseoient l'une près de l'autre, me font venir auprès d'elles et pendant un long moment jouent avec moi un peu comme avec une poupée, me caressant partout, me sucant même les nichons, glissant leurs doigts entre mes cuisses et entre mes fesses, me couchant sur leurs genoux en position disciplinaire pour me donner des fessées plutôt légères, qui m'échauffent plus qu'elle ne me font mal... Puis elles me font prendre des poses obscènes : je dois m'exiber sous toutes les coutures, ouvrir ma chatte à deux mains, me prosterner et écarter mes fesses, me pénétrer devant ou derrière avec mes doigts. Je dois aussi "faire la chienne" : me promener à quatre pattes, le cul bien haut, aboyer, faire la belle, leur lécher la main... Enfin, je dois me masturber jusqu'au bout devant elle, debout, jambes écartées, le médius de ma main gauche enfoncé de toute sa longueur dans mon anus, la culotte sale d'Isabelle toujours sur le visage... Je jouis, honteusement, mais très fort.
            Tout celà les a mises en train et je leur donne du plaisir à chacune avec mes doigts et ma bouche. Pour ce faire, elles s'allongent à tour de rôle sur mon lit, cuisses au grand écart. J'ai pu retirer la culotte pour libérer ma bouche et je leur mange avec ardeur la chatte et le cul, pendant que l'autre me masturbe vicieusement. Si la chatte de Nora sent fort la femelle, elle sent aussi le propre ! Quant-à Isabelle, il n'y a pas que sa petite culotte qui n'a pas été lavée récemment : mais son odeur entêtante m'excite quand même ! Puis elles se mettent en position de 69 pour se sucer mutuellement, et je dois les assister en leur mettant à chacune un doigt dans l'anus pour leur branler le cul...
            Quand elle ont pris leur pied, sans se priver de crier leur plaisir, Isabelle manifeste l'envie d'uriner, et sans pudeur va s'accroupir sur la cuvette et pisse longuement et en abondance. Ensuite, elle me demande comme un service de lècher les quelques gouttes d'urine qui sont restées accrochées aux poils de sa chatte. Mais à la limite, après le passage de ma langue, puis celle de Nora et encore la mienne, elle serait plutôt moins odorante.
            Pour varier les plaisirs, Nora a l'idée d'un petit supplice à me faire subir, et auquel je consens pour éviter pire. Elle se penche sur son grand sac et en sort triomphalement un curieux ensemble, slip et soutien-gorge qu'elle me fait enfiler. Il ne s'agit pas de tissus, mais d'un filet, une sorte de résille, de fine lanières de caoutchouc qui serrent et moulent parfaitement tous les replis de mon anatomie. Une fois en place, et c'est là le but de l'opération, une multitude de lanières élastique pendent de quelques centimètres au niveau des bonnets du soutien-gorge et de l'entrejambe de la culotte : pendant un grand moment, elles s'amusent comme des gamines à tirer fortement les élastiques puis les relacher et les faire claquer sur mes zones les plus sensibles, sur les mamelons ou entre mes cuisses. Chaque fois, je suis durement cinglée par la détente de l'élastique, ce qui est très douloureux. Je gémis, supplie, pleurniche, mais n'ose essayer de me soustraire à leur jeu original et cruel, et nous en sommes toujours là quand on frappe à la porte pour amener le déjeùner. L'une des deux va le chercher et referme la porte.
            Pour elles un repas très fin arrosé de bon vin qu'elles prennent tout naturellement à table. Pour moi, une écuelle de la pâtée habituelle que je dois déguster sous la table, entre elles deux. Durant le repas de temps en temps l'une ou l'autre attrape un des élastique qui pendent entre mes cuisses et le fait claquer joyeusement. J'ai les seins et l'entrecuisse meurtris, mais je me dis que ça pourrait être encore pire.
            Après le repas, c'est Nora qui va aux toilettes, mais pas seulement pour uriner ! Elle défèque longuement, bruyamment, sans plus de pudeur que sa copine. Ensuite, je dois me prosterner derrière elle lui ouvrir largemement les fesses à deux mains et lui lècher longuement toute la raie et surtout l'anus : comme dessert, c'est servi ! Sans doute pour me remercier, elle me
retire ma parure élastique et me fait une injection vaginale à la poire sur le bidet. En fait, elle me branle autant avec la canule, la faisant coulisser dans ma chatte, qu'elle me nettoie l'intérieur du vagin. Son manège est loin de me laisser insensible, elle s'en apperçoit, me retire la canule et me dit :

- Attends, j'ai mieux à te proposer. Viens...

            Je la suis près de son sac à malice, duquel elle exhibe deux superbes godes comme je n'en avais jamais vus, l'un noir, l'autre rose clair, assortis à leur carnation respective. Elle donne le clair à Isabelle et me tend l'autre pour je l'aide à l'enfiler.
            Ces godes sont extrèmement sophistiqués, je n'aurais d'ailleurs jamais osé imaginer que de telles choses puissent exister : à l'avant, une verge de taille moyenne, dressée obliquement, avec un gland bien dessiné, des veines apparentes et des bourses réalistes ; un peu en arrière, une excroissance qui ne cherche pas du tout à imiter un pénis, de forme ovoïde, de la taille d'un bel oeuf de poule, prévue pour prendre place dans le vagin de celle qui porte l'engin ; entre les deux tiges, séparées par la plaque triangulaire et concave qui appui sur le pubis, une bande assez étroite, recouverte d'une série de petits picots très doux, qui stimulent le clitoris en frottant dessus ; le tout s'enfile comme un mini-slip : une bande assez large d'un puissant élastique de la même couleur maintien l'ensemble sur les hanches ; le tout est comptété par la partie qui passe entre les fesses et les maintient largement écartée : cette pièce n'est pas d'un seul tenant, mais formée par deux bandes qui s'écartent en leur milieu, en fait au niveau de l'anus qu'elles dégagent et font même légèrement s'entrouvrir !
            Il n'est pas difficile d'imaginer que cet objet doit être aussi jouissif pour celle qui le porte que pour celle qui est baisée avec, le moindre mouvement devant se répercuter directement dans le vagin et sur le clitoris de l'opérante. Une fois la chose bien en place, elle me dit :

- Allez, fais-moi une pipe, petite cochonne. Suce bien ma bite avant que je te baise dans la chatte, et n'oublie pas de me mettre un doigt dans le cul...

            Je prends alors le gland factice dans ma bouche et me mets à le sucer comme si c'était celui d'un mec. Mon doigt n'a aucun mal à se faufiler entre ses fesses et à investir son petit trou. Ravie, elle me saisit la tête pour guider mes mouvements de succion, enfonçant le dard très loin dans ma gorge. Puis elle me fait mettre sur le lit, s'allonge sur moi, entre mes cuisses écartées, quide le gland de la main et me pénètre profondément.
            Elle entreprend de me baiser, d'abord lentement, puis de plus en plus vite et fort. Ses seins s'écrasent sur les miens et son gode fouille profondément ma chatte. Je l'encourage à me baiser encore plus fort et instinctivement, je croise mes jambes derrière son dos pour accentuer la pénétration. Quand mon orgasme éclate, elle en est à son deuxième ! Elle se retire alors de moi et laisse la place à Isabelle. Celle-ci me fait changer de position pour me prendre en levrette et le sexe rose remplace le noir dans mon ventre et nous repartons pour une nouvelle chevauchée. Pendant qu'Isabelle me baise avec ardeur, me tenant solidement aux hanche, Nora me fait sucer le gode noir qui sort tout juste de mon vagin, tout mouillé de ma cyprine.
             Ensuite, les filles se mettent en tête de me sodomiser. Je suis un peu réticente, mais Nora tente de me convaincre :

- Je suis sùre que tu vas aimer ça. De plus, je vais te préparer soigneusemment avant de t'enfiler par derrière. D'ailleurs, je ne t'enculerai que quand c'est toi-même qui me le demandera. Je ne peux pas mieux te dire...

            Légèrement boudeuse, mais je sais que je ne peux rien leur refuser, je me prosterne sur le lit, genoux très écartés. La belle Noire se place derrière moi, m'écarte largement les fesses et approche son visage. Je sens son souffle sur ma rosette anale avant la douceur de sa langue. Cette sensation est ineffable. La feuille de rose dure un bon moment, et de moi-même, je pousse mes fesses vers la langue fouisseuse. C'est très agréable et je sens mon petit trou, maintenant complètement détendu s'ouvrir de lui même pour accueillir cette langue le plus loin possible. Puis elle me travaille avec ses doigts enduits de gel lubrifiant, m'enfonçant un puis pluisieurs doigts dans l'anus, les tournant, leur imprimant un mouvement de va et vient, les écartant pour m'élargir peu à peu. En effet, la préparation que vient de subir mon anus, me donne envie d'être pénétrée par là et avec encore un peu d'appréhension je lui donne timitement le feu vert :

- Je... je crois que je suis prête...

            Sans attendre davantage, elle se redresse à genoux derrière moi et pose la pointe du gland sur ma rondelle, me disant :

- Ouvre-toi bien : ça va rentrer tout seul, pousse fort...

            J'obéis, mais le passage du gland au travers de ma colerette anale me fait tout de même mal. Nora marque une pause avant d'aller de l'avant et d'augmenter la profondeur de la pénétration, son gode repoussant mes tissus s'ouvrant littéralement un chemin entre mes fesses vierges... Enfin, je sens son ventre contre mes fesses. Elle marque une nouvelle pause avant d'entamer un lent mouvement de va et vient, ressortant presque entièrement de mon cul, pour y replonger aussitôt. Peu à peu, la douleur de mon anus forcé cède la place à un certain plaisir, puis à un plaisir certain !!! Par sa technique sans faille, la garce me fait jouir uniquement par le cul, un orgasme profond comme je n'en avais jamais encore éprouvé !!! Fauchée par le plaisir, je m'abats sur le ventre et Nora suis le mouvement, son gode toujours planté entre mes fesse, ses seins caressant mon dos... Puis elle décule en douceur et Isabelle réclame sa part : elle veut m'enculer elle aussi.
            La seconde sodomie est plus facile et quand je suis bien emmanchée, toujours à quatre patte, Nora se glisse doucement sous moi et guide son phallus de caoutchouc vers ma vulve. Le temps qu'elle me pénétre par voie vaginale, Isabelle suspend ses mouvements dans mon derrière. Puis nous prenons un rythme de croisière : les pénétrations alternent : quand l'une se retire de mon trou du cul, l'autre s'enfonce dans mon vagin, et vise versa. Les filles ne se contentent pas de me piner divinement, elles mordent mes épaules, têtent mes seins, me caressent partout : c'est du délire ! Notre accouplement dure très longtemps, nous procurant je ne sais conbien d'orgasmes, avant de nous retrouver entremêlées, épuisées.

             Et la journée continue ainsi, à nous baiser, nous sodomiser et faire à peu près tout ce qu'il possible entre trois femmes, enchaînant orgasme sur orgasme, la vulve et l'anus irrité d'avoir tant et tant servi. À mon tour j'ai joué les mâles d'occasion, les baisant tour à tour avec un gode et apprèciant son éfficacité sur la baiseuse ! Les deux infirmières ont aussi été prises en sandwich, un gode dans la chatte, l'autre dans le cul.
            Il y a eu aussi quelques épisodes sadiques mais pas trop méchants : j'ai été fouettée au martinet sur les seins, également sur la chatte. J'ai subi quelques douches vaginales, fait mes besoins naturels devant elles. Elles m'ont également demandé de m'introduire le manche du martinet entre les fesses et de m'enculer moi-même, puis de lécher le manche qui ressortait tout droit de mon cul. Le pire : un coup de cravache abattu longitudinalement entre mes cuisses écartées en plein dans le mille, par chacune d'elles. Des broutilles, quoi...
            La fête est finie : Nora range son fourbi dans son grand sac, les deux filles changent leur paire de bas qui ont souffert de nos ébats et se rhabillent. Après la céromonie habituelle du soir : manger, lavement, etc, elles sont sur le point de me quitter et je pense qu'une journée pareille n'est pas près de se reproduire. Pour dormir, je n'ai que mon collier, attaché par la chaîne au lit et ma ceinture. Mes membres sont libres et on m'a fait l'aumône de me mettre un tampon vaginal pour que je puisse dormir. Au moment de partir, Nora se frappe le front et dit à sa collègue :

- On allait oublier la sonde anale !

- Oui, tu as raison...

            Nora ouvre son sac et en sort plusieurs tiges de caoutchouc noir, de tailles diverses et les pose sur la table, puis en choisi une et me demande de me prosterner pour me la mettre en place. La tige, lubrifiée est enfoncée complètement dans mon anus, me faisant un peu mal, légèrement plus grosse que les godes. Sa base se termine par un anneau qui affleure juste de mon petit trou. J'apprends alors que ma ceinture est plus sophistiquée qu'il n'y paraît de prime abord : certains anneaux qui en ornent le tour sont montés au bout d'une chaînette sur un enrouleur assez dur : celui au centre à l'arrière est tiré, ainsi que deux par devant, à l'aplomb des cuisses. Ces deux-là suivent mes aines, l'autre ma raie fessière, les trois anneaux sont mis en parallèle avec celui qui ressort de mon anus, un petit cadenas relie les quatre, et le tour est joué : même avec mes mains libres, je ne pourrais pas retirer la sonde qui me dilate l'anus.
            Elles m'expliquent que dorénavant, on me mettrait toujours une sonde anale pour dormir, afin de me dilater l'anus jugé trop étroit. Avant de partir, cette fois pour de bon, Isabelle me dit :

- On te laisse les mains libres, n'en profite pas pour te branler toute la nuit, peite vicieuse...

- À propos...

- Oui ?

- Vous ne voudriez pas... me laisser votre petite culotte pour la nuit, s'il vous plaît ? (en même temps, je me demande ce qui prend...).

- Si tu veux : ce ne sera pas la première fois que me balladerai le cul nu sous ma jupe. Prends-là...

            Reconnaissante je m'accroupis devant elle, glisse doucement mes mains sous sa blouse et sa jupe pour lui retirer la culotte convoîtée, la remerciant humblement...

            Ma chambre, quoique assez vaste n'a pas été aérée de la journée : il y règne une odeur lourde de femelle en rut, de sueur et autre, un mélange épais, puissant... Je me couche, la culotte sale de l'infirmière à la main. Je repense à la journée que je viens de vivre et celà m'amène à me poser des questions : les deux infirmières n'ont sùrement pas agi ainsi de leur propre chef, elles étaient plus vraisemblablement en service commandé. Pourquoi ? mystère. Mais à quoi bon se poser des questions auxquelles on n'a pas les réponses. En tout cas, moi qui me croyais absolument hétérosexuelle, encore hier, j'étais en train de masturber d'une main, alors que l'autre pressé l'entrejambe souillé d'un slip féminin contre mes narines, repirant sont parfum épicé, allant même jusqu'à lécher les traces douteuses laissée là par un port prolongé... J'en oublie presque la grosse canule plantée entre mes fesses. C'est dans cette position que je plonge dans un sommeil profond et sans rêves.

perverpeper@perverpeper.com

 

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