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La punition de Cécile (5)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 05

            Je passe les deux jours attachée en croix sur mon lit, ne me levant que pour les repas : la nuit, avec la sonde, je n'ai même pas à me lever pour uriner, pour le reste, je fais mes besoins obligatoirement le soir après le lavement traditionnel, avant la toilette intime et la mise à place de la sonde anale, chaque soir plus grosse ! Les deux infirmières sont souvent dans ma chambre, désoeuvrées : elles n'ont pas grand chose à faire : ma toilette, changer les poches de liquide, vider la poche à urine dans un bocal, puis celui-ci dans les WC. Pour passer le temps, elles exigent que je les suce un nombre incalculable de fois. Elles ont retiré leur culotte une fois pour toute, et quand une a envie, elle vient s'accroupir sur mon visage pour se faire lécher la chatte ou le cul. En même temps, elle peut jouer avec les anneaux incrustés dans la pointe de mes nichons, les faire tourner, les tirant, ce qui me fait hurler chaque fois, l'incitant à recommencer... 
            Elles me flagellent longuement tout le devant du corps au martinet : cuisses, ventre, mais surtout les seins ; elles se gouinent un peu, enfin, tentant de tuer le temps.
            Le deuxième jour, Nora, prévoyante, à amené son gode noir et elle peuvent s'en donner à coeur joie, à poil sur la moquette. Quand Nora à bien enfilé Isabelle dans tous les trous, elle lui prète son gode pour échanger les rôles. Malgré ma situation, je ne peux m'empêcher de sourire : ce sexe noir érigé sur le bas-ventre très blanc d'Isabelle a quelque chose d'incongru...
            Pour varier, elles me rattachent sur le ventre pour pouvoir disposer facilement de mon derrière. Pendant une bonne partie de l'après-midi, mon pauvre petit cul est la fête ! Elles fessent mes rondeurs à la main, ou me frappent avec le martinet, me sodomisent à tour de rôle... Mon anus, après la dilatation qui lui est imposée depuis plusieurs jours se laisse pénétrer plus facilement, mais je ne prends aucun plaisir à me faire enculer ainsi presque continuellement : j'ai mal, c'est tout. Mes pleurs les font plutôt rire, et j'essaie de les retenir au maximum, serrant les dents et ouvrant mon cul tant que je peux...
            Ma sonde urinaire a été retirée et à la place, je porte une couche-culotte, non pour ménager ma pudeur, mais à cause des fuites... Et le train-train habituel continue : dentiste, gynécologue, sport, douches, punitions. On me fouette la plante des pieds avec une baguette d'osier : supplice chinois, paraît-il outre la douleur, celà provoque d’affreuses crampes.
            Comme je l'ai déjà dit, la gynécologue me fair venir à son cabinet tous les jours, m'examine longuement, durement, s'amuse aussi à me fourrer tout un tas de trucs dans le vagin ou dans l'anus, quand ce n'est pas dans les deux à la fois. Elle a aussi l'idée de me faire subir une hystérographie : immobilisée en position gynécologique un peu forçée, elle me dilate longuement
la vulve, juqu'à faire entrer sa main toute entière dans mon vagin, puis me met un écarteur, sorte de spéculum géant, qui me distend, à la limite de la déchirure. Son assistante me pratique une toilette vulvaire et vaginale puis la doctoresse introduit dans l'ouverteure de mon vagin une longue pince aux mors caoutchoutés avec laquelle elle saisit le col de mon utérus et le tire vers elle. Elle prend la pince de la main gauche, cependant que son assistante lui met dans la droite une grosse seringue dont la longue aiguille a un bout arrondi. Le visage à quelques centimètres de mon entrecuisse, elle introduit la seringue, tâtonne un peu et enfonce l'aiguille mousse dans le canal du col de mon utérus : si je n'étais bâillonnée, mes cris de souffrances auraient alerté toute la région. C'est encore pire quand elle pousse sur le piston et que le liquide très agressif brûle les profondeurs de mon ventre. C'est inhumain !!! Un appareil de radio portable est approché et un cliché de mon bas-ventre et pris : fini pour aujourd'hui : il ne lui reste plus qu'à libérer mon vagin de ses instruments.
            Dans la journée, le liguide qu'elle m'a injecté dans l'utérus ressort peu à peu, me brûlant le vagin et la vulve au passage. Mais je subir la même chose deux jours plus tard, sous prétexte que le cliché est flou : je crois devenir folle de douleur et de rage impuissante.
            Le comble de l'horreur est atteint le jour je suis infibulée par le Docteur MORIN !!! Il s'agit rien de moins que de percer mes grandes lèvres pour pouvoir les relier par un gros anneau qui interdira désormais l'accès à mon vagin. ...Sauf pour qui en connaîtrait le code, code à composer de la pointe d'un fine aiguille en l'enfonçant successivement, et dans un certain ordre, dans les minuscules trous qui se trouvent à la surface de cet anneau.
            Tout celà, ce salaud de MORIN me l'explique en long, en large et en travers, me montre l'anneau d'acier spécial, une petite merveille de technologie, au fermoir et à la charnière totalement invisibles une fois refermé. Moi, j'ai été soigneusement préparée pour l'intervention, bâillonnée, solidement attachée sur la table d'opération, en position gynécoloque, le ballonet d'une sonde unrinaire gonflé dans la vessie. De cette opération barbare, je ne retiens que deux éléments : on nettoie ma vulve, on marque mes grandes lèvres avec un crayon spécial et au moment ou le bistouri électrique est approàché de mon entrecuisse, je plonge dans le néant, je m'évanouis de trouille...
            Quand je refais surface, je suis allongée sur mon lit, jambes écartées. Une douleur lancinante vrille tout mon bas-ventre recouvert d'un gros pansement au travers duquel passe la sonde urinaire... Nora se penche entre mes cuisses pour me mettre un suppositoire.
            Pendant plusieurs jours, je vis sans doute la période la plus effroyable de ma vie : je suis apathique, passe mon temps à pleurer, m'alimente quasiment pas, ne réagissant à rien, même aux coups : je suis complètement brisée... Mon subconscient ou des somnifères administrés en douce, me plonge dans de longues périodes de somnolence. Je brùle de fièvre.
            Les deux infirmières se sont tout de suite rendu compte de mon état, comprenant que les pires sévices seraient incapables de me faire réagir et se montrent très maternelles avec moi : elles ne me maltraitent plus, au contraire elles s'occupent gentiment de moi, me lavent, refont mon pansement, me font faire mes besoins sur le bassin, me font manger à la petite cuillère. Comme je bois trop peu, elles me posent une perfusion.
            Cependant, mon sexe à très vite cicatrisé, l'anneau joue librement et dès le troisième jours, on me retire la sonde urinaire et le pansement. Je suis horrifiée par la vision de ce maudit anneau maintenant mon sexe clos et mes lèvres intimes resserrées en permanence. Il est posé à mi-hauteur des grande lèvres, laissant un petit espace en bas et en haut.
            Mais ma jeunesse, mon bon état général, l'aide aussi, il faut bien le dire de Nora et Isabelle, je remonte peu à peu la pente reprenant ma vie habituelles d'examen médicaux entrecoupés de mauvais traitements. En plus, maintenant, on peut me tenir en laisse en accrochant celle-ci à l'anneau de mon ventre !!! On m'oblige parfois à rester pliée en deux, le souffle coupé, en reliant entre eux les anneaux de mes seins à celui de mon ventre par des chaînettes assez courtes !
            Le Docteur MORIN vient me voir dans ma chambre, pour juger si l'anneau qu'il m'a passé au travers du sexe est bien en place. Heureusement pour lui, à ce moment je suis attachée : je ne sais pas ce que j'aurais été capable de lui faire !!! Il fait tourner l'anneau cependant, que malgré les signes qu'Isabelle m'adresse discrètement derrière son dos, je me mets à l'insulter et à le traiter de tous les noms. Sans s'énerver, il tire un coup sec sur l'anneau me faisant hurler.

- Vous paierez un jour pour ça, espèce de salaud...

- Mais non, au contraire, je suis grassement payé pour celà. Dès que ton époux sera rentré de son déplacement, je lui suggèrerai de t'enlever le clitoris ou de le brûler définitivement. De même, maintenant que ton vagin est à l'abri, il serait bon de te poser un anneau semblable à l'anus, afin de t'empêcher de te faire sodomiser...

            Il quitte la pièce impavide sous mes injures, disant simplement à Isabelle :

- Cravachez lui les seins. 10 coups, et qui la marquent !!!

            Isabelle prend la cravache en main et me dit tristement :

- Tu es sotte : je t'ai fait signe, pourtant ! Maintenant tu vas être traitée encore plus durement ! Serre les dents !

            Par dix fois, comme il lui a été ordonné, elle abat la cravache en travers de ma poitrine où chaque coup laisse une traînée rouge et me fait hurler.
            Puis, sans doute pour se faire pardonner, elle se penche entre mes cuisses, aspire mon clitoris dans sa bouche. Me branlant en même temps le trou du cul, doucement avec son doigt, elle finit par me faire jouir.

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            Et c'est le lendemain après-midi que l'évènement se produit... J'entends tout d'abord un remue ménage inhabituel, puis Isabelle et Nora font irruption dans ma chambre, l'air complètement affolé :

- Vite, Madame, il faut vous habiller tout de suite !

            Isbelle me tend des vêtements, cependant que Nora s'affaire à me retirer mes bracelets et mon collier du cuir. Je suis très surprise : elles n'ont l'habitude ni de m'appeler "Madame", ni de
me vouvoyer. Je demande :

- Que se passe-t-il donc ?

- La police, Madame, la police !!!

            J'ai juste le temps de m'habiller en vitesse : culotte, soutien-gorge, robe et chaussures, quand ma chambre est en effet envahie par des policiers en uniforme qui me disent :

- N'ayez pas peur, Madame : votre cauchemard est maintenant terminé. C'est fini, vous êtes libre.

            Je suis abasourdie, d'autant plus que Maître DENEUVE, notre notaire se détache du groupe, me serre dans ses bras, puis m'entraîne en me disant :

- Venez, je vous ramène et vous dirai tout en chemin...

            Pendant le trajet en voiture, il m'explique en effet que mon mari a été tué l'avant-veille dans un accident d'avion. Le notaire a voulu alors me rencontrer, mais comme personne ne
savait lui dire où j'étais passée, il a fouillé les papiers dans le bureau de mon mari et découvert des factures de la clinique où il m'emmenait, et après s'être rapidement renseigné sur les activités de ladite clinique, il avait débarqué avec la police. Tout simplement.
            Etre veuve, ne m'arracha aucune larme après ce que je venais de subir par la vonlonté de mon ex époux : je gardais mes pleurs hypocrites pour les obsèques que je prévoyais déjà grandioses, spectaculaires et moi tout en noir...
            Plus intéressant, il n'avait jamais imaginé mourir si vite et comme nous étions mariés sous le régime de communauté universelle, j'héritais par la même occasion d'une fortune considérable, comme me l'expliquait le notaire, à qui je devais une fière chandelle de m'avoir tirée de cette sinistre clinique.

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            Un an s'est écoulé depuis ces évènements et j'ai entièrement récupéré, moralement et physiquement : j'ai fait scier l'anneau à ouverture secrète qui reliait les lèvres de mon sexe. Par contre, j'ai gardé mes anneaux aux seins : celà plaît bien à mes nombreux amants, leur faisant croire que je leur suis soumise : parfois je laisse persister le doute, les laissant me malmener légèrement. Le port d'une perruque blonde masqua mes cheveux trop courts. L'état de mon anus distendu, élargi, a nécessité une rééducation de ses muscles pour lui rendre sa tonicité, à l'aide d'un appareil d'électrothérapie : il est maintenant redevenu tout à fait normal, tel un poinçon strié de rose, très serré, mais il peut s'ouvrir tout grand pour me faire sodomiser. En sortant de la clinique, où il avait été trop forcé, il avait tendance à rester entrouvert et je tachais mes culottes de façon très déplaisante.
            L'affaire de la clinique avait fait grand bruit, sans que mon nom ne soit jamais cité. la clinique fut fermée, évidemement. On y avait retrouvé accessoirement, si je puis dire, quatre autres femmes dans mon cas de recluses torturées, mais la clinique avait aussi des activités tout à fait légales.
            Le Docteur MORIN est en prison pour un bon moment aux motifs de tortures, mutilations sexuelles, barbarie... De plus, il ne pourra plus jamais exercer la médecine. D'autres aussi ont été comdamnés, en particulier les maris ou amants qui y avaient placé des jeunes femmes à dresser, plus quelques toubibs et autres personnels.
            Le cas de mes deux infirmières, Isabelle et Nora, est assez spécial : après avoir appris comment elles gagnaient leur vie, leurs maris avaient demandé et obtenu le divorce. Par contre sur le plan pénal, on n'avait pas grand chose à leur reprocher, sauf ce qu'elles m'avaient fait subir : au moment de la découverte du pot au roses, elles s'occupaient exclusivement de moi, et quant-à savoir ce qui avait précédé mon séjour à la clinique, on ne le saurait sans doute jamais. Pour les condamner, mon témoignage et le dépôt d'une plainte était indispensables : je balançai un moment. Elles m'en avaient fait baver, mais il y avait aussi la journée que nous avions passée toutes les trois à nous gouiner comme des bêtes... Avant d'arrêter ma conduite à leur égard, je décidai de les recevoir toutes les deux : en fonction de la tournure de l'entretien, je verrai bien ce que j'aurai à faire. Je les convoque donc, non chez moi, mais à mon bureau du boulevard Haussmann, très impressionnant. Quand on m'annonce qu'elles sont là, je les fait poireauter un bon moment puis demande qu'on me les envoie.
            Je les ai connues plus brillantes ! Il est vrai que mon siège social, avec son ballet bien réglé d'employés, ses locaux luxueux et l'immensité de mon bureau directorial ont de quoi impressionner n'importe qui, mais en plus, elles savent pertinemment que leur avenir dépend entièrement de mon bon vouloir. Détail supplémentaire, je ne suis plus nue, grotesquement harnachée de cuir, tremblant devant elles en blouse blanche : je suis la grande patronne en tailleur de luxe. Elle me saluent timidement d'un :

- Bonjour Madame...

            Je les observe un moment sans rien dire, les détaillant tout à mon aise de la tête aux pieds. Les deux ont un peu maigri, sont habillées simplement de robes bon marché. Je me suis renseignée et je sais que seules, sans emploi, elles partagent une petite chambre misérable. J'attaque trec sec :

- Salut, les filles, je suis contente de vous revoir avant que vous alliez croupir en prison...

            La réaction est immédiate : déjà pas très assurées, elles se liquéfient ! Avec un ensemble touchant, elles tombent à genoux, se mettent à pleurer, me demandent pardon, me supplient... Je les laisse se répandre un certain temps puis ordonne :

- Allons, debout ! Bon, vous savez, après tout ce que vous m'avez fait subir, que je n'ai qu'un mot à dire...

- Oui... Madame, par pitié...

- Bon, je peux vous envoyer en taule pour quelque temps, mais j'ai peut-être une autre solution à vous propoposer...

- Oh, oui, s'il vous plaît, Madame ! Tout ce que vous voudrez !

- Tout ce que je voudrais ?

            Elles échangent un regard et répondent en choeur :

- Oui Madame, tout...

- Eh bien je vous propose la chose suivante : je ne porte pas plainte...

- Oh, merci, Madame merci !!!

- Attendez un peu au lieu de m'interrompre. ...Mais je vous punis moi-même, en vous prenant à mon service comme esclaves. Toujours d'accord ?

            Elles se regardent à nouveau et c'est Nora qui répond avec un demi sourire :

- Oui Madame. Après tout, nous ne l'avons pas volé et il est juste que vous vous vengiez de ce qu'Isabelle et moi vous avons fait subir...

- Parfait. Il ne reste plus que queleques formalités administratives à remplir.

- Oh merci, Madame, merci !

- Vous vous répétez. Isabelle, mets-toi à quatre patte en me tournant le dos.

            Sans hésiter, elle obéit. Je me tourne vers Nora :

- Trousse-là et déculotte-la !

            La Noire s'empresse de me satisfaire : elle se baisse près de sa compagne, remonte sa robe bleue et la lui rabat sur le dos. Dessous, Isabelle porte un collant noir que l'autre lui baisse jusqu'à mi-cuisse, découvrant une petite culotte bleue qu'elle abaisse à son tour. Isabelle, le cul à l'air attend la suite qui ne tarde pas : je sors une cravache d'un tiroir de mon bureau la tends à Nora en lui disant :

- Montre-moi que tu sais encore t'en servir ! Quant-à toi, Isabelle, je veux le silence le plus absolu. Allez !

            Nora lève haut la cravache, vise et l'abat violement sur les fesses blanches de sa collègue, avec un bruit mat. Sous le coup, la fille a un violent sursaut mais se tait ; une ligne rouge marque ses fesses. Je fais signe à Nora qui relève la cravache pour l'abattre à nouveau sur le cul de sa victime qui souffre en silence. Je me délecte un moment à les voir ainsi à ma botte, moi qui ait été trop longtemps à la leur.
            J'arrête la correction vers le vingtième coup de cravache : les fessses rondes de la jolie blonde sont striées de larges lignes rouges, son visage est couvert de larmes, et ses lèvres laissent perler quelques gouttes de sang, tant elle se les est mordues pour ne pas crier ! Je dis, toujours à l'intention de Nora :

- Mets-toi de dos devant ta copine : elle va te lécher le cul pour te remercier de cette bonne correction, n'est-ce pas Isabelle ?

            Celle-ci, continuant à pleurer à chaudes larmes, relève la robe de sa correctrice, lui baisse en même temps collant et culotte et approche son visage des superbes fesses noires. Nora écarte les jambes et se penche en avant pour lui facilliter l'accès à sa raie culière dans laquelle l'autre plonge la langue en avant pour lui lécher le trou du cul comme je le lui ai demandé.
            J'appuie sur une touche de l'interphone :

- Maître DENEUVE est-il arrivé ? Bien. Qu'il vienne dans mon bureau. Et aux deux filles : ne bougez pas, continuez !

            Je vais ouvrir moi-même et le notaire est assez effaré par le tableau qu'il découvre en entrant : une jolie blonde, le cul à l'air léchant la raie d'une superbe noire ! En venant, il savait qui il allait trouver dans mon bureau, mais il ne s'attendait visiblement pas à les trouver ainsi occupées...
            Le notaire à préparé, après concertation avec moi, plusieurs pages dactylographiées où sont consignés tous les actes malfaisants que je peux reprocher aux deux infirmières qui doivent signer ces aveux. C'est la culotte et le collant sur les mollets qu'elles signent chaque page et y apposent l'enpreinte digitale de leur index. Très professionnel, Maître DENEUVE surveille le bon déroulement de l'opération, et quand toutes les pages sont annotés, il range l'ensemble dans sa serviette. Je le raccompagne, et avant de quitter la pièce il a un dernier regard d'envie vers les deux belles filles. J'intercepte son regard et lui murmure :

- Je vous les prèterai, promis...

            Ses yeux s'écarquillent et il s'en va. Restée seule avec les deux jeunes femmes, je leur dis :

- Allez, reculottez-vous, vicieuses. Un coursier va vous conduire chez vous : prenez toutes vos affaires et donnez congé à votre logeur. Il vous conduira ensuite chez moi...

            J'appelle le coursier, donne mes consignes et fais venir mon chauffeur et la voiture pour me ramener à la maison pour accueillir mes toutes nouvelles esclaves...

perverpeper@perverpeper.com

 

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