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Une gourde bien remplie (1)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

Ce récit est une préquelle à la matheuse matée (dans laquelle on retrouvera Coralie).

 

            Peu après son arrivée au pensionnat, la jeune Coralie est examinée en détail par l'infirmière, et la pudeur de la nigaude va être mise à rude épreuve.

 

Chapitre 1

 

            Sylvie, la jeune et jolie infirmière du pensionnat s'accordait une petite pause et consultait distraitement quelques fiches sur son ordinateur, jambes allongées et un peu écartées sous le bureau. À son habitude, elle n'avait conservé, sous sa blouse blanche, que ses dessous blancs également, y compris les bas, et qui comprenaient un soutien-gorge Balconnet, un petit slip de dentelle et un porte-jarretelles. Blancs aussi ses escarpins à talons aiguilles. Comme sans y penser, sa main gauche avait repoussé sa blouse vers le haut et elle se caressait doucement l'intérieur de la cuisse sur la chair nue et chaude au-dessus du bas. La main baladeuse atteignit le slip humide, en dessina les contours, longea la fente sexuelle enfonçant un peu le tissu entre ses grandes lèvres. La main droite de Sylvie quitta la souris pour rejoindre la gauche dans son entrecuisse. Alors, elle avança son bassin vers le bord de son siège, écarta largement ses cuisses et se mit à se caresser lentement, retardant le moment où ses doigts impatients franchiraient le fragile obstacle de sa petite culotte pour s'attaquer à sa chatte nue et trempée. Elle retenait avec peine une furieuse envie de se branler comme une collégienne, alors qu'elle savait parfaitement qu'elle n'avait qu'à appeler l'une ou l'autre des filles ou jeune femme de sa suite, qui serait ravie de la faire jouir de la façon de son choix.
            La pièce sentait la femelle et avait besoin d'être aérée, odeurs mêlées de toutes celles qui depuis le matin avaient défilé dans son cabinet de l'infirmerie, avaient retiré leur culotte, parfois tout le reste, avant de grimper sur la table d'examen gynécologiques, de placer plus ou moins habilement leurs pieds dans les étriers pour offrir à son attention toute leur intimité entre leurs cuisses très écartées. Combien ? le compte l'ennuyait mais pas mal : banal contrôle de la virginité ou de l'hygiène intime, visite périodique, petites infections mal placées, crise d'hémorroïdes... Sans parler de quelques lavements distribués dans une autre salle. Beaucoup avaient mouillé sur cette table, car Sylvie était experte, mine de rien pour les exciter au maximum en les examinant. Ce jour-là, deux d’entre elles avaient joui sous ses doigts indiscrets et habiles : une surveillante et une élève de 17 ans. Sylvie leur avait jeté un regard sévère au moment de l'orgasme qui les avait fait rougir de confusion, puis, l'une comme l'autre, ravies mais humiliées, n'avaient eu qu'une hâte : renfiler leurs culottes et prendre le large !
            Par contre, elle-même n'avait été touchée par personne depuis la veille. Sylvie était crainte, parfois détestée, malgré ou à cause de sa sévérité, de son air froid, de son côté sadique sur les bords. En tout cas, elle ne manquait pas de prétendantes dans la maison, prêtes à la satisfaire sur un claquement de doigt, prêtes à se battre pour avoir l'honneur de lui bouffer la chatte et le cul. Ainsi, si elle en avait envie, elle envoyait promener son slip, s'installait bien ouverte sur la table d'examen et disait à la jeune fille :

- Allez, montre-moi ce que tu sais faire !

            Soit la fille était consentante, soit elle savait pertinemment qu'elle avait intérêt à lui obéir car sa puissance était grande et il était très risqué de lui déplaire ! Mais au fond, le résultat était le même, avec un petit plus pour celles qui se forçaient.
            À ce stade de ses pensées, Sylvie avait écarté l'entrejambe de sa culotte et s'était mis trois doigts dans le vagin, qu'elle faisait coulisser sans effort entre ses muqueuses brûlantes et trempées, mais au moment ou elle allait s'attaquait résolument à son clitoris, la sonnerie du téléphone la bloqua net ! Elle décrocha et dit :

- Ah ! une nouvelle à examiner ? Mais bien sûr, vous pouvez me l'amener !

            Elle avait un grand besoin de remettre de l'ordre dans sa tenue : blouse complètement déboutonnée, seins sortis des bonnets du soutien-gorge, slip en bataille... Elle sentit ses doigts, les lécha, puis se lava les mains et le visage, en maugréant contre cette nouvelle qui la dérangeait au plus mauvais moment : elle allait le lui faire payer ! Cependant, quand on frappa à sa porte, elle avait repris toute sa superbe. Une surveillante lui présenta Coralie, âgée de 17 ans et s'éclipsa.
            L'infirmière regarda la jeune fille un peu ronde qui se tenait gauchement debout devant son bureau après l'avoir saluée d'un timide "Bonjour Docteur !", et attendait, se balançant d'un pied sur l'autre et se dit : "Mais qu'est-ce que c'est encore que cet cert engin ?". Elle détailla la nouvelle mal fagotée dans une jupe plissée grise arrivant au genou et un chemisier blanc tout à fait ordinaire : ça changeait de la tenue habituelle des autres élèves, toujours habillées à la dernière mode avec des vêtements chics. Des chaussettes blanches montant très haut et des chaussures noires, à bride, complètement démodées complétaient la tenue ringarde de la nouvelle pensionnaire. D'emblée, l'infirmière remarqua la petitesse des pieds de Coralie par rapport au reste de son corps plutôt enveloppé. De longues nattes blondes, un fin visage au grand yeux très bleus, une poitrine forte pour son âge. Sylvie laissa Coralie un bon moment debout, l'examinant sans trop d'aménité de la tête aux pieds avec une insistance qui la fit rougir.
            Coralie était assez mal à l'aise en attendant que l'infirmière daigne l'autoriser à s'asseoir. Elle se demandait avec angoisse jusqu’où irait cette visite médicale d'admission, si elle aurait à se déshabiller peu ou prou. Puis, assise face au bureau, elle répondit docilement aux questions de l'infirmière sur ses antécédents médicaux, opérations subies, vaccins, etc. Coralie se sentit très gênée et se sentit rougir quand l'autre commença à l'interroger avec insistance sur ses règles, quand elle avait eu les premières, de combien de jours dataient les dernières, si elle perdait beaucoup et si elles étaient douloureuses ? Elle s'efforçait de répondre honnêtement même si cela la choquait pas mal. Sa confusion devint extrême quand l'autre lui demanda :

- Es-tu encore vierge, Coralie ?

            La jeune fille eut un sursaut, se sentit devenir cramoisie et bafouilla lamentablement :

- Je... oui bien sûr...

- À ton âge ? De toute façon, je vérifierai !

            La pauvrette fut terrorisée : l'infirmière n'allait quand même pas... Mais déjà la question suivante tombait sèchement :

- Tu te masturbes souvent ?

            Les larmes montèrent aux yeux de Coralie et elle ne put que bafouiller des mots sans suite, mais l'infirmière insista sèchement :

- Allons, petite sotte, ne te fais pas plus gourde que tu en as l'air ! Je te demande s'il t'arrive de te tripoter entre les cuisses, ou entre tes grosses fesses ou tes nichons ?

            La pauvre adolescente ne réussit qu'à faire plusieurs fois "non " de la tête.
            L'infirmière laissa tomber : elle commençait à s'amuser sérieusement. Elle en voulait à cette gourde pudique, pudibonde même, qui avait interrompu sa masturbation. L'air stupide de cette fille excitait ses instincts sadiques, qui, d'ailleurs, n'avaient pas besoin de ça ! Elle était bien décidée à lui en faire baver et un tas d'idées lui venaient à l'esprit pour humilier cette espèce de nigaude assise devant elle, rouge comme un coquelicot. Cependant, elle était bien décidée à prendre tout son temps. Elle lui désigna un fauteuil au dossier droit, testa sa vue, puis se coiffa d'une lampe à miroir et regarda à l'intérieur des oreilles de Coralie à l'aide d'un petit entonnoir chromé. De même, elle lui dilata une narine après l'autre pour examiner l'intérieur, lui fit ouvrir la bouche en grand, tira avec ses doigts sur ses lèvres pour examiner sa dentition, un peu comme on le ferait pour un cheval. Quand l'infirmière lui demanda de retirer chaussures et chaussettes, Coralie ne comprit pas trop, mais obéit docilement : elle s'assit sur une chaise, détacha la lanière de ses chaussures puis baissa ses longues chaussettes blanches, dévoilant de tout petits pieds et des mollets bien ronds. L'infirmière lui pris le bras et l'amena devant une boîte métallique carrée, d'environ 60 centimètres de côté, haute d'une trentaine et dont la partie supérieure était constituée d'une vitre. Elle monta dessus et écarta ses pieds, les plaçant dans des marques peintes sur le verre, comme l'infirmière le lui demandait, mais sans bien piger le but de la manoeuvre.
            En fait, il s'agissait tout simplement d'un podoscope, servant à examiner la plante des pieds, mais supportant le poids du corps. L'infirmière appuya sur un interrupteur et l'intérieur de la boîte s'illumina d'une lumière blanche et crue : dans le miroir incliné placé en dessous de la vitre, on voyait parfaitement les plantes de pieds de la jeune fille, mais aussi tout le dessous de sa jupe, ses mollets ronds, ses cuisses pleines, jusqu'à sa culotte blanche, sans doute enfilée de travers puisqu’elle découvrait une grande partie de sa fesse droite et une petite touffe de poils très blonds qui dépassait de l'entrejambe. Coralie fut honteuse en baissant les yeux de voir tout ce qu'elle montrait, mais n'osa pas glisser ses mains sous sa jupe pour remettre sa culotte bien en place. Elle poussa un soupir quand après un moment qui lui parut durer une éternité, l'infirmière éteignit l'appareil et l'autorisa à en descendre, mais c'était pour s'entendre dire :

- Maintenant, tu vas retirer ton chemisier et ta jupe !

            Espérant, sans trop y croire que son déshabillage s'arrêterait là, Coralie déboutonna son chemisier, l'enleva et le posa sur la chaise où se trouvaient déjà ses chaussettes. Son soutien-gorge très ordinaire, d'un blanc grisâtre avait peine à contenir sa volumineuse poitrine. Comme elle hésitait à défaire sa jupe, Sylvie la pressa :

- Allons, dépêche-toi d'enlever cette jupe : on ne va pas y passer la semaine !

            L'adolescente porta les mains à sa taille, défit le bouton, puis baissa la fermeture éclair et se pencha pour baisser sa jupe avant de lever un pied pour le dégager, puis l'autre et de poser le vêtement sur la chaise. Sans que son geste n'échappe à l'infirmière, elle rajusta sa culotte blanche en coton côtelé épais, de style "petit bateau" afin de recouvrir sa fesse et faire disparaître la touffe de poils indiscrets. Alors, dans cette petite tenue, elle fut pesée, mesurée, dut marcher, se pencher, tourner, s'accroupir, en un mot traitée comme un objet. Puis elle dut s'étendre sur une table d'examen, jambes allongées, bras le long du corps. Pour prendre sa tension, l'infirmière gonfla le brassard plus que nécessaire et lui fit mal au bras. Puis ce fut le froid du stéthoscope sur le haut de ses seins puis sur son dos. Ensuite l'infirmière entrepris de la palper longuement sur tout le corps. Elle commença par les mignons et minuscules pieds, écartant les orteils, chatouillant la plante et se rendit compte que sa patiente était très sensible de ce côté et frémissait sous ses attouchements. Ses mains remontèrent sur les jambes de Coralie, ses cuisses, la firent frissonner violemment en glissant ses doigts dans les aines, sous la culotte. Le ventre de la jeune fille fut palpé fermement au travers du tissu de sa culotte et sur une forte pression dans un endroit précis, désolée, elle ne put retenir un pet sonore : immédiatement, elle reçut une très forte claque sur sa cuisse où les doigts de l'infirmière s'imprimèrent en rouge. L'autre lui dit, sans aucune aménité :

- Où te crois-tu, petite garce ?

Et comme la même manoeuvre produisait le même effet, elle lui dit sèchement :

- Ça suffit ! Mets-toi à plat-ventre !

            Mortifiée Coralie obéit maladroitement. Sylvie ouvrit un tiroir de son bureau, en tira une cravache de cuir fauve, la leva très haut et l'abatit en travers du fessier de sa patiente qui poussa un grand cri et sentit ses yeux s'emplir de larmes : sa culotte ne l'avait pas vraiment protégée !

- Voilà pour ton gros pétard de péteuse ! Remets-toi sur le dos !

            Et le jeu cruel reprit : Coralie honteuse laissait échapper un vent, devait se retourner et recevoir un coup de cravache sur le derrière. À la fin, ivre de douleur, elle pleurait à chaudes larmes.
            À peine descendue de la table d'examen, la pauvre Coralie s'entendit ordonner :

- Retire ton soutien-gorge, petite pétasse, que j'examine tes nichons ! Et fait vite, sinon gare....

            Désemparée, la jeune fille passa les mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge qu'elle hésita un instant à poser sur le tas de ses vêtements, mais mue par un mouvement irrépressible de pudeur, elle porta immédiatement ses mains devant sa poitrine, pour essayer, sans succès, d'ailleurs, de masquer ses gros seins ; mal lui en prit : la gifle claqua en même temps que l'ordre sec :

- Tes mains derrière la nuque !

            Coralie obéit la mort dans l'âme et l'infirmière enfonça le clou :

- Pourquoi veux-tu me cacher tes nichons, petite conne, tes énormes mamelles ?

            La posture de Coralie projetait ses seins en avant, que l'infirmière, assise se mit à palper sans aucun égard, les empoignant à pleines mains, les écartant, les resserrant, pinçant les tétons. L'adolescente sentait, à son insu, ses seins réagir à se pelotage en règle, gonfler, durcir au point d'en devenir douloureux, les pointes s'ériger, pointer fièrement. Mais elle sentait bien que ses nichons n'étaient pas les seuls à réagir : il se passait de drôles de chose dans son ventre, dans son sexe qu'elle sentait couler entre ses cuisses. Puis l'infirmière saisit la cravache sur son bureau et Coralie eut très peur, mais l'autre se contenta de lui caresser les seins du bout de l'instrument de punition, titillant les bouts de la mêche, les soulevant, les faisant bouger. Quand l'infirmière cessa de jouer avec ses seins, Coralie en fut presque déçue. L'ordre que, confusément, elle attendait et redoutait tomba :

- Enlève ta culotte !

            Comment ? se montrer toute nue devant cette femme qu'elle ne connaissait pas ? Quelle horreur ! Mais la sagesse l'emporta et pour se déculotter, elle tourna le dos à l'infirmière, retira sa culotte comme on se jette à l'eau, exhibant du même coup ses fesses rondes et un peu grasses sur lesquelles la cravache avait tracé plusieurs lignes rouges parallèles, et enfouit son sous-vêtement intime sous la pile de ses vêtements sur la chaise, mais l'infirmière veillait au grain :

- Hep, Minute ! Montre-moi donc ta culotte que je la regarde de plus près !

            Tête baissée, des larmes pleins les yeux, elle tendit le petit chiffon à l'infirmière sans la regarder. Celle-ci s'en empara, l'ouvrit en grand, en examinant le fond plus que douteux et se fâcha tout rouge :

- Tu n'as pas honte de montrer une culotte aussi sale ? Si ça se trouve, tu ne te torches même pas quand tu vas aux toilettes ! Je peux t'assurer que tu seras punie pour ça, espèce de truie ! À ton âge tu n'es pas capable d'être propre entre les cuisses et entre les fesses ?

            Pour être honteuse, Coralie l'était ! Toute nue devant l'infirmière en colère, exhibant malgré elle sont corps un peu lourd, sa jolie toison intime blonde et bouclée qui ne parvenait pas tout à fait à cacher l'amorce de sa fente sexuelle. Sylvie l'empoigna par une de ses nattes et la gifla violemment à plusieurs reprise en hurlant :

- Je vais t'apprendre, moi, à te laver le cul correctement, petite salope, et à porter une culotte propre !

            C'est une Coralie tremblante et en pleur que l'infirmière traîna vers la table d'examen gynécologique sur laquelle elle l'aida à s'installer, les fesses juste au bord, ses petits pieds dans les étriers. Se voyant écartelée dans cette position humiliante où toute son intimité était exposée, elle ne put s'empêcher de la cacher en mettant ses deux mains entre ses cuisses écartées, mais un coup de cravache sur ses doigts les lui fit retirer promptement ! Lasse de la voir jouer les prudes et les chochottes, l'infirmière lui emprisonna les poignets par des bracelets de cuir de part et d'autre de la table, puis fixa de même ses chevilles aux étriers qu'elle écarta au maximum, ouvrant encore plus les jambes de sa patiente, faisant se tendre les tendons de l'intérieur de ses cuisses.
            La pauvre Coralie, réduite à une totale impuissance, écartelée sur cette table, ouverte au possible, montrant son sexe légèrement entrouvert par sa position, mais aussi, elle le savait, le petit trou strié niché entre ses grosses fesses, crut mourir de honte et d'humiliation. Mais on ne meurt pas de ça et, d'ailleurs, l'examen de ses parties les plus secrètes n'avait pas encore commencé, et sa pudeur allait être mise à rude épreuve ! L'infirmière continua ses préparatifs en posant les objets dont elle pensait avoir besoin sur un plateau émaillé, alluma l'écran de contrôle et s'assit sur un tabouret dont elle régla soigneusement la hauteur, entre les cuisses de Coralie, après avoir braqué une puissante lampe sur son entrecuisse. Alors, bien installée et éclairée, elle avança son visage et dit :

- Tu pues vraiment !

            En fait la zone à examiner exhalait une odeur forte de fillette négligée, un peu l'urine et d'anus mal lavé, mais ne l'incommodait pas autant qu'elle le laissait entendre, au contraire, ce fumet l'excitait beaucoup. Le long de la fente des poils étaient collés entre eux, ainsi qu'autour de l'anus. Saisissant fermement les grandes lèvres entre pouce et index, elle les écarta pour dévoiler l'entrée du vagin, qu'elle eût la surprise de découvrir luisante et très mouillée, au point qu'à l'ouverture de la vulve, un mince filet de liquide filant luisant s'échappa, glissant entre les fesses. De même, le clitoris en légère érection pointait le nez en haut des petites lèvres. "Tiens, se dit-elle, intéressant...". Relevant les yeux, elle vit les nichons gonflés aux pointes dardées, qui se soulevaient sous une respiration irrégulière... Les muqueuses de la vulve étaient d'un joli rose clair et l'anus beaucoup plus  sombre : de ses pouces, elle força l'écartement des fesses et le regarda un long moment sans bouger ni parler. Elle savait ce qu'elle faisait : peu de filles, même parmi les plus délurées aimaient qu'on leur observe aussi attentivement le trou du cul. Alors avec cette petite oie blanche !
            Elle introduisit en douceur son index dans le vagin de Coralie qui soupira et gémit un peu quand il buta contre son hymen qu'il entreprit d'explorer sans aucune brusquerie. À part cet obstacle naturel, le doigt coulissait très bien dans la gaine humide et chaude. Coralie regretta qu'il se retire si vite, mais elle se serait plutôt laisser découper en morceaux plutôt que de l'avouer. Une sensation de froid lui arracha un petit cri : l'infirmière mettait le spéculum en place, un petit modèle spécial pour vierge. Déjà, elle tournait la molette qui écartait les lames, sachant très bien jusqu’où elle pouvait aller pour faire mal à cette petite gourde, sans pour autant endommager son pucelage. Coralie, gémit, supplia, ayant l'impression que son minou très étroit allait se déchirer ! L'infirmière marqua une pause dans la dilatation, pour que les tissus s'habituent à cette traction inhabituelle, puis la reprit. Quand elle jugea qu'elle avait atteint le maximum sans risquer de provoquer des dégâts, elle cessa d'agir sur la molette et le spéculum resta planté entre les cuisses de la jeune fille, tenant de lui-même. On voyait parfaitement l'intérieur du vagin barré par l'hymen, dont elle distinguait même parfaitement l'orifice au contour irrégulier qui servait à l'évacuation des règles. Elle l'avait dilatée en hauteur, du pubis vers l'anus, ce qui est la règle et elle pensait à un petit supplice qu'elle ne pouvait se permettre avec une vierge, mais qu'elle avait fait subir à des filles plus âgées et qui consistait à leur introduire profondément dans le vagin, un spéculum à larges lames puis de les dilater dans le sens de la largeur ce qui était nettement plus pénible pour la patiente et lui donnait l'impression qu'on lui arrachait les petites lèvres et le clitoris ! Mais la nigaude qu'elle avait à sa merci souffrait déjà bien assez ! Elle saisit alors la sonde qui contenait une caméra et la présenta dans l'ouverture de l'écarteur chromé et l'image de l'intérieur du ventre de Coralie apparut sur l'écran, énormément agrandi. Elle fit soigneusement la mise au point avant de lancer l'imprimante couleur. Elle montra la feuille à la jeune fille qui geignait sans discontinuer en rigolant :

- Tiens, je te la donnerai. Comme ça, tu pourras montrer ton pucelage à tes parents, tes camarades, ton confesseur, sans avoir à te déculotter et écarter les cuisses ! Génial, non ?

            Cela ne fit pas rire Coralie qui supplia en pleurnichant :

- Je vous en prie, docteur, j'ai très mal au minou, par pitié !

- Attends, je vais te soulager !

            Mais au lieu de la libérer de l'engin de torture, elle posa un médius habile sur le clitoris de la fille, et se mit à l'agiter rapidement : le résultat ne se fit guère attendre et Coralie se mit à jouir, mélangeant le plaisir et la douleur, la contraction spasmodique de ses muscles intimes au moment de l'orgasme était contrariée par le spéculum toujours en place ! Elle ressentit des sortes de crampes dans son bas-ventre.
            L'infirmière laissa Coralie récupérer un peu puis lui dit tranquillement :

- Bon, je vais appeler madame la directrice : l'état de propreté, si je puis dire, de ta culotte et ton entrejambe devraient l'intéresser...

- Oh non, docteur, je vous en prie, ne faites pas une chose pareille, s'il vous plaît !

- Et si je ne le fais pas, que proposes-tu ?

- Je... euh... tout ce que vous voudrez, docteur !

- Ah bon ? Voyons si tu es bien docile...

            L'infirmière ramassa la culotte sale qui traînait toujours sur son bureau et en présenta l'entrejambe souillé devant le visage de la jeune fille qui fronça un peu le nez de dégoût :

- lèche !

            Les yeux de Coralie se firent suppliants, mais sentant que l'autre ne céderait pas,elle sortit un bout de langue rose et le passa sur le fond de sa culotte que l'infirmière avait rapproché de sa bouche et tant qu'elle ne la lui retira pas, lècha en faisant un peu la grimace. La culotte retrouva sa place sur le bureau et l'infirmière lui dit gentiment :

- C'est très bien, tu es une bonne chienne ! Pour te récompenser, je vais te branler le clitoris !

- Je vous en prie, j'ai trop honte. Et puis tout à l'heure, ça m'a fait très mal quand...

            Elle n'osait préciser, mais l'autre n'en avait cure : elle lui caressa habilement la vulve et le clitoris d'une main, de l'autre lui pétrit les seins et la fit rapidement crier de nouveau. Pendant qu'elle récupérait, Sylvie s'assit à son bureau, décrocha le téléphone, composa un numéro :

- Bonjour, madame la directrice. Pourriez-vous passer à l'infirmerie ? J'ai ici un cas de malpropreté intime que je désire vous montrer. Oui, je vous attends, à tout de suite !

            Coralie pleura doucement de dépit, de honte et balbutia, un reproche dans la voix :

- Mais vous m'aviez promis...

- Je n'ai rien promis ! Et puis, elle ne va pas te manger, va ! Lui répondit l'infirmière en lui caressant doucement les cheveux.
            Quand la directrice entra, jetant un regard sévère sur Coralie, la situation de celle-ci n'avait pas évolué : elle était toujours attachée sur la table d'examen, les jambes au grand écart, le spéculum toujours douloureusement planté dans son sexe. L'infirmière montra la culotte litigieuse à la directrice qui la trouva dégoûtante, la fit se pencher entre les cuisses de la fille, regarder dans le spéculum, puis approcha à nouveau la caméra pour lui montrer le pucelage en gros plan. L'odeur avait évolué et y dominait maintenant celle d'une fille très excitée. Enfin, l'infirmière referma l'écarteur et le retira du vagin de la jeune fille qui resta béant, et les deux femmes s'assirent de part et d'autre du bureau, échangeant leurs impressions comme si elles étaient seules. L'infirmière fit son rapport, à l'extrême confusion de la nigaude nue et écartelée :

- Côté positif, cette élève est en bonne santé, les tests sont ok. Comme vous avez pu le constater vous-même, nous pouvons être sûres qu'elle est vierge, en tout cas, côté vagin. Par contre vous avez vu l'état de sa culotte : pas la peine de vous faire un dessin... Quant-à sa toilette intime, n'en parlons même pas, puisque visiblement elle ne l'a pas faite. Elle a donc besoin de subir un bon nettoyage, externe, mais aussi interne : on ne peut pas lui toucher le ventre sans qu'elle se mette à péter sans retenue ! À mon avis, elle doit être pleine à ras bord et il va lui falloir une bonne série de lavements. Avec elle, je vais avoir du boulot ! Il va être l'heure du dîner : je propose qu'elle aille le prendre avec ses camarades, puis vous me la renverrez, je commencerai à m'en occuper ce soir et elle couchera à l'infirmerie.

- Tout à fait d'accord avec vous, dit la directrice, je vous fais entièrement confiance. Et surtout, ne la ménagez pas : nous ne pouvons tolérer un tel laisser-aller chez les élèves. Quand vous en aurez fini avec elle, nous lui trouverons une punition digne d'elle, mais je vous remercie de commencer à la corriger aussi sévèrement que vous le jugerez utile ! Je vais prévenir sa surveillante, et peut-être qu'elle passera quand les filles seront couchées ?

- Ce serait une très bonne idée !

            La directrice se leva, prête à prendre congé, mais l'infirmière la retint :

- Juste un instant, je vous prie, je vais vérifier quelque chose...

            Elle enfila lentement un gant de latex et le fit claquer, puis enduisit son index de vaseline et vint se placer entre les jambes de Coralie, posa le bout de son doigt ganté sur l'anus sans défense, le massa quelques secondes puis l'y enfonça résolument jusqu'à la garde, malgré le réflexe de peur qui l'avait fait se resserrer. Le doigt, après avoir fouillé quelques secondes, ressortit souillé d'excréments dont l'infirmière fit comme une virgule très haut sur la face interne de chaque cuisse, avant de retirer son gant à l'envers, le jeter d'un air dégoûté dans la corbeille et dire triomphante :

- Que disais-je ? Il va falloir la vider...

            La directrice partie, l'infirmière délivra Coralie qui ne se fit pas prier quand on lui eût dit de se rhabiller, enfilant à toute vitesse jupe, soutien-gorge, chemisier, chaussettes et chaussure. Quand elle tendit la main vers le bureau pour récupérer sa culotte, l'infirmière l'arrêta :

- Tu ne vas tout de même pas renfiler une culotte aussi sale, non ? Allez, va dîner et reviens me voir ensuite : ne m'oblige pas à venir te chercher ! Ne prends aucune affaire, ici tu trouveras tout ce qu'il te faut. À tout-à l'heure petite cochonne !

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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