suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 05
précédant

Par Julien Graves

 

M/f M+/f exhibition réticence humiliation boulot lent

 

sensuelles_aventures06sm.jpg
sensuelles_aventures07sm.jpg

 

 

Chapitre 5. Les examens.

 

Il était 7 heures 30, lorsqu’élise fut sortie de son sommeil en entendant de l'animation, provenant du couloir qui aboutissait à sa chambre.
Le bruit du verrou électrique de la porte se fit entendre quelques secondes plus tard, et Marine et Anne entrèrent dans la chambre.  
« - bonjour madame.
- bonjour. Répondit élise.
- Vous avez bien dormi?
- Euh ça peut aller.
- Parfait, voici votre petit déjeuner. »  
Anne déposa un plateau sur une petite table roulante, qu'elle approcha du lit et mit devant élise  
« - Merci.
Dit élise en souriant.
- nous  vous laissons déjeuner tranquillement et après nous viendrons-vous faire votre toilette et vous aider à vous préparer.
Bon appétit »  
Les deux femmes sortirent rapidement, laissant élise seul devant son plateau garni de petits pains, d’une tasse de café, de confiture, et bien d’autre choses encore.
Élise dégusta  son petit déjeuner sans chercher à comprendre ce qu'il se passait, trop heureuse de pouvoir savourer quelques choses d‘agréable elle qui commençait à être affamé, n’ayant rien pu manger la veille. 

À quelques distances de là...
"- Pardon Michel, que me dites-vous?
- oui professeur, ils ont osé!
- ah, ah, ah, ah, ah, ah ils ont recommencés  les vicieux!
Bien.  Présentez vous tout à l'heure au centre et nous mettrons ça au clair.
- d'accord professeur je viendrai. » 
Le professeur Mutulida, raccrocha le téléphone et se saisissant d‘un épais dossier marmonna : 
« J’avais dit qu'il n'aurait pas du leur laissé ce transfert, je l'avais dit! Mmmmmmm! » 

Après avoir englouti son petit déjeuner, élise se rallongea, se blottit sous ses couvertures, et ferma les yeux pour se rendormir, se sentant malgré sa situation plutôt étrange, extrêmement bien installée et requinquée par la nuit réparatrice qu‘elle avait passé.
Anne et Marine revinrent bientôt auprès d‘élise, qui ne bougea pas à leurs entrée, toute endormi qu‘elle était. 
Marine posa sa main sur le corps de la jeune femme, et le secoua doucement.
Élise, ouvrit un œil étonné, et se redressa lentement.
« - Vous avez fini de manger?
- Oui merci
- il va maintenant falloir faire votre toilette, et vous préparer pour vos examens.
- quels examens? Demanda élise, inquiète.
- juste des examens de routine ne vous en faites pas.
- Euh bon. Si vous le dites?  » 
Après avoir débarrassé le plateau déjeuner, les deux femmes s'afférèrent autour d'élise et firent sa toilette.
Tout comme la veille, elles la débarrassèrent de son  lange et de sa tenue, la lavèrent minutieusement, et lui enfilèrent une autre tenue semblable à celle qu'elle venait de quitter. Elles la rallongèrent, la bordèrent étroitement, en lui disant.  
« - reposez vous encore un peu, en attendant que l'on vienne vous chercher pour vos examens.
Si vous devez aller aux VC sonnez et on viendra vous aider. Vous ne devez pas vous lever seule.
- D’accord.
- Aller à tout à l'heure. » 
Seule, élise s’enfouit sous  la couverture et ferma les yeux. La pénombre de la chambre aidant, elle se détendit.
Elle se sentait bien, protégée, à l’abri du danger, pour la première fois depuis qu’elle était rentré à l'hôpital avant son intervention.
Quelques minutes plus tard, Gilles entra dans la chambre poussant un fauteuil roulant. Élise le regarda entrer, resta d’abord immobile, et se redressa lorsqu‘il fut près d‘elle.
« - bonjour madame, je viens vous chercher pour vos examens.
- euh, euh, oui.
- je vais vous aider à vous asseoir dans le fauteuil. Allez y. voilà. Comme ça. » 
Gilles la prit dans ses bras, et la déposa dans le fauteuil avant de couvrir ses jambes par une couverture. Une fois installée, élise frissonna au contact du cuir du fauteuil sur la peau de ses fesses nues, sa blouse n‘étant pas assez longues pour couvrir la totalité de ses fesses.
Il débloqua le verrou de la porte puis il sorti en poussant le fauteuil, pour emprunter de long couloirs assez sombres.
Quelques instants plus tard, ils entrèrent dans une salle d'examens, dans laquelle les attendait Jean Jacques. 
« - Bonjour madame,  dit-il.
- Bonjour répondit la jeune femme.
- On va l'installer sur la table 
- Ok on y va. 1 2 3 ! »  

Élise Fu soulevée de son fauteuil, et déposée délicatement sur la table qui trônait au centre de la salle. Élise observa autour d‘elle. Les murs de la pièce étaient carrelés de blancs comme dans toutes celles dans lesquelles elle était déjà entrée, et ne comportait aucun ameublement ou équipement à l‘exception de la table sur laquelle elle se trouvait, et d‘un chariot sur lequel reposés une panoplie d‘instruments et de flacons.
Jean Jacques lui enleva sa chemise, et la fit s'allonger sur le dos.  
« Je dois vous faire une petite piqure, annonça Gilles,  ne vous inquiétez pas ça n'est vraiment pas grand choses. » 
Gilles piqua dans la hanche de la jeune femme, qui resta sans réaction. 
« Cela va vous détendre. Reprit-il. »  
Très vite le produit qu’élise venait de recevoir fit effet, et celle-ci se senti très légère, comme si elle flotter dans un halo de lumière floconneuse, sa peau perdait à chaque seconde de sa sensibilité, les voix se brouillaient, et s'éloignaient, Des formes étranges passaient et tournaient devant ses yeux. 
« - C’est bon je crois qu'elle est dedans.
- Oui ça en a l'air, observa Gilles.
- Allez mettons la en place.
- Oui Mutulida et Dolose ne vont pas tardé à arriver. » 
Les deux infirmiers se mirent au travail, et en quelques secondes, la jeune femme se trouva bientôt complètement offerte, les pieds dans des étriers gynécologiques, les bras attaché en l'air au dessus de la tête, incapable physiquement de pouvoir bouger et mentalement de résister à ce qui se passerait, et à ce qu‘on lui ferait.
Élise se sentait comme dans un monde paisible et doux, elle se sentait bien. Elle entendait  les voix des infirmiers mais ne comprenait pas ce qu'ils disaient, comme si ceux-ci, parlaient une langue étrangère et inconnue.
Ses yeux ne lui permettaient que de voir la lumière de la salle cachée derrière un épais brouillard de vapeur blanche, dansant et tournoyant devant son visage. 
« - madame vous m'entendais?
- je crois qu’elle est dans les choux? Demanda Jean Jacques.
- oui je crois bien.
- Elle est quand même super excitante comme ça?
- tu l’as dit mon pote
- Je lui ferai bien des trucs moi
- Ah je te reconnais bien là,
- Quoi parce que tu ne pense pas la même chose?
- Mais si bien sur
- Alors tu vois je ne suis pas aussi vicieux que toi moi je le dit
- Oh calme-toi!
- De toute façon je crois que je ne vais pas tenir longtemps, je ne vais pas résister
- mais oui ne fait pas ton chaud lapin!
- Quoi mon chaud lapin?
Tu vas voir! » 

Jean Jacques s'avança vers la jeune femme d‘un pas décidé, tout en remontant les manches de sa blouse.  
« - Eh arrête t'es pas maboule toi?
- Laisse moi tu vas voir
- Non arrête gros
- Fout moi la paix tu m’as provoqué tu vas voir de quoi je suis capable! »  
Gilles s'élança pour arrêter Jean Jacques mais il fut repoussait violemment du bras par celui ci.
Gilles le ceintura, Jean Jacques réussi à lui mettre un coup de pied qui lui fit lâcher son étreinte.
Les deux hommes commencèrent à se battre entre eux.
Des coups de poings partirent, Gilles disaient :  
«-  Non mais tu vas te calmer pauvre con! Tu veux qu'on se fasse choper?
- Ferme là je n’en ai rien à foutre ! »  
Jean Jacques était en rage. Il n'était plus dans une salle d'examen du centre du professeur Dolose, mais sur le ring de boxe pour la final des championnats du monde, et pour lui ce qui comptait c'était d'envoyer au tapis tout ceux qu'il rencontrerait, et qui se mettrait face à lui.
Il se battait comme un tigre, recevait des coups, en distribuait à la volée, sa rage grandissant à chacun d‘eux, tel un fauve en colère. 
Soudain, les cris de la foule se firent entendre derrière lui.
Deux arbitres le séparèrent de son adversaire. 
« Arrêtez Jean Jacques, vous allez vous arrêtez, oui ou non? » 

Peu à peu, Il revint dans la réalité et se rendit compte que les deux médecins étaient rentrés dans la pièce, tentant de stopper cette bagarre inopinée.
Le professeur Dolose le tenait solidement et le professeur Mutulida en faisait de même avec Gilles, lui aussi écumant de colère, et ruisselant de sueur. 
« Vous allez vous calmer enfin? »  
Jean Jacques respirait profondément, essoufflé par les efforts qu’il venait de faire.  
« Jean Jacques ça va? »  
Le professeur Dolose, en disant cela, secoua l'infirmier encore tremblant de colère et d‘excitation.  
«-  Euh, euh, oui, oui, ça va ça va ! »
- Non mais franchement vous vous rendez compte de ce que vous venez de faire? Demanda en hurlant le professeur Mutulida. » 
Les deux infirmiers ne répondirent pas. 
« - Quand même vous venez de vous battre déjà dans une salle d'examen, et devant une patiente de sur croit!
Et vous trouvez ça normal?
Vous dépasser les bornes là messieurs.
Vous allez vous calmer en salle 17 Gilles et vous Jean Jacques en salle 303 au moins je serai sûr que vous ne déclencherai plus de tempête.
Vous ne bougerez pas de là jusqu'à nouvel ordre c'est bien compris?
- Euh oui professeur
- Oui, oui, si vous voulez
- Anne accompagnez Gilles, et vous Marine accompagnez Jean Jacques, puis revenez une fois que ces deux énergumènes  seront dans leurs salles, et ne pourront plus faire de dégâts. »  

Gilles sorti suivi de près par Anne, puis quelques instants plus tard Jean Jacques fit de même accompagné par Marine. 
« - Je lui avais dit d'arrêter! Marmonnait Gilles.
- D’arrêter quoi Gilles.
- D’arrêter de se battre! D’arrêter de vouloir faire des choses avec la patiente!
- tu le connais aussi comme moi, tu sais qu'il n'est pas méchant dans le fond, mais quand il a une monter de colère.....
- Oui je le connais et c'est bien pour ça ...
- Bon aller calme toi Gilles, c'est tout. »  
Gilles entra dans la salle et s'assit sur une chaise  
« Je te laisse, je retourne voir les docs, au cas où ils aient besoin de moi. » 
Anne sorti de la pièce rapidement, abandonnant Gilles encore tremblant de nervosité.

Un peu plus loin dans l'ascenseur, Jean Jacques rageait encore  
« - Calme-toi Jean Jacques s'il te plait! Disait Marine.
- calme toi calme toi mais je suis calme! Ruminait Jean Jacques.
- Calme toi maintenant arrête je te connais!
- MMMMMMM il n’avait pas à me provoquer!
- Quoi il t’a provoqué? Ça m'étonne d'un gars comme Gilles quand même?
- Oui parfaitement provoquer. Et la patiente aussi m'a provoqué!
- Pff comment veux tu qu'elle te provoque avec la dose de calmant qu'elle a reçu? Elle est dans les choux je suis sur qu'elle ne s'est même pas rendu
Compte de quelques choses.
- si elle m'a provoqué avec sa position et ses formes.......... elle est sacrément bonne là salope!
- Ah, ah, ah, ah, ah, a tu ne changeras pas tu sais ? » 

Ils arrivèrent au troisième étage, et empruntèrent un long hall avant d’entrer  dans la salle. Jean Jacques s'assit et se prit la tête à deux mains.  
« Bon je te laisse mon petit Jean Jacques je retourne voir les professeurs! » 
Marine sorti et ferma la porte derrière elle avant de s‘éloigner.

Pendant ce temps, les deux professeurs, restaient seuls, se regardèrent en soupirant  
« - tu vois Claude je t'avais dit?
- Tu m'avais dit quoi Gilbert?
- Je t'avais dit que ces deux infirmiers ne devaient pas approcher cette patiente. Espérons qu'elle ne se soit rendu compte de rien. » 
Il s'approcha d'élise, puis après quelques instant se retourna vers son confrère.  
«- apparemment elle à l'air encore bien assommé.
- alors profitons en et procédons à l'examen. » 
Le professeur Mutulida approcha le chariot sur lequel se trouvaient plusieurs instruments, saisit un spéculum, le mis en place dans la fente d'élise, et commença à forcer l'ouverture de la vulve de la jeune femme.
Lorsque celle-ci offrit une large vue sur la caverne humide et dilatée, il bloqua l'appareil.  
« Allons voir ça. »  
La main ganté du professeur entra dans le vagin béant de la jeune femme, et tâtonna plusieurs fois, palpant et cherchant différents points à l‘intérieur de ce dernier.
La main de son confrère pris sa place quelques instants plus tard, et fit de même, allant même plus loin dans son exploration, déformant les replis intimes les menant jusqu‘à la limite de la déchirure.
Après plusieurs minutes de diverse observations et plusieurs prélèvements, le spéculum fut enlevé, laissant la fleur intime  d'élise complètement étiré par le travail prolongé de l‘instrument et des doigts qui l‘avaient investi. 
« - Qu’en penses-tu mon cher Gilbert?
- En effet Claude tu m'avais dit qu'elle serait certainement un bon model, tu ne t'étais pas trompé.
- Oui tu vois comme quoi, Je ne me trompe pas souvent.
Je dirai même qu'elle est meilleure que la précédente. »  

Alors que les médecins parlaient entre eux, Élise commençait à revenir de son voyage médicamenteux, elle retrouvait lentement ses sensations. Le brouillard se dissipait devant ses yeux, redonnant des contours précis à son environnement, et faisant disparaître les nuages  devant son visage.
Après quelques minutes, elle senti une forte douleur la traversait dans son bas ventre, ce qui la fit gémir de douleur.
Les professeurs se retournèrent, en entendant ce petit cri, qui annonçait le réveil de leur patiente.  
« - Ah vous m'entendez madame?
- Euh, euh, euh, euh,
- Madame? Reprit le professeur Dollose.» 
Le professeur Mutulida enleva les étriers, détacha les mains d'élise, la libérant de ce fait de ses entraves, et prit le bras de la jeune femme en le secouant doucement  
« - Vous m'entendez?
- Euh oui?
- Vous savez où vous êtes?
- Euh à l'hôpital?
- Bien. Les infirmières vont arriver pour s'occuper de vous.
Nous vous laissons vous reposer. » 
Les deux médecins sortirent, et refermèrent la porte doucement derrière eux.
Dans le couloir, les infirmières les rejoignirent au même moment. 
« - Et bien vous en avez mis du temps?
- Excusez nous professeur mais nous avons était demandé lorsque nous revenions ici.
- Bon, bon, bon.
- Préparez là pour le scanner biologique détaillé. Déclara le professeur Dolose.
- Tu veux un scanner biologique détaillé? Demanda son confrère étonné.
- Oui, oui, tu m'as bien compris Gilbert!
- Bien professeur
- une fois cela fait, vous la remettrez dans sa chambre et vous irez chercher ces deux pervers d'infirmier et rendez vous dans mon bureau. Continua le professeur
Mutulida.
- Bien professeur. » 
Les deux médecins s'éloignèrent, tandis que les deux infirmières entrèrent dans la salle.
Elles aidèrent élise pendant un long moment à se dégriser des calmants, avant de la remettre sur le fauteuil roulant et partirent avec elle à travers les couloirs.
Elles arrivèrent peu après dans une salle, encombrée par de gigantesques machines.
Marine enleva la blouse d'élise, l'aida à s'allonger sur le plateau d‘un des appareils, puis la bloqua au  niveau des chevilles, des genoux, des hanches, des aisselles, et de la tête, par des sangles de sorte qu'elle ne pouvait plus bougez du tout.  
« - On va y aller madame. Déclara Anne.
- Euh, euh…
- je vous mets ça sur les oreilles pour vous protéger un peu du bruit. dit Marine.
- Aller on y va.
Anne actionna une manette et élise vit le plafond se déplacer lentement, puis elle entra entièrement  dans un long tube.
Elle entendit faiblement Anne lui crier : 
« Attention on commence! » 
Aussitôt, le tube dans lequel était rentrait élise commença à vrombir fortement. Un bruit de tac, tac, tac, tac, vint se rajouter à celui déjà présent, et finit par raisonner dans la tête de la jeune femme.
Après une bonne vingtaine de minutes, élise avait les oreilles qui bourdonnaient, malgré le casque qu‘elle portait et qui atténuait en grosse partie le bruit infernal de la machine.
L’appareil se tue enfin, et élise se senti bouger. Elle ressorti du tube pour revenir à l'endroit d’où elle était parti.
Marine l'attendait et lui enleva les sangles ainsi que le casque. 
« - Vous n'avez pas trop mal aux oreilles?
- Euh, euh ; non ça va ça va merci.
- Bien on vous ramène dans votre chambre. » 

Élise fut remise sur son fauteuil roulant, rhabillé, et repartit, pousser par les infirmières.
Une fois dans la chambre, Marine et Anne la saisirent pour la remettre au lit mais élise dit timidement. 
« - Euh s'il vous plaît, je dois aller aux VC?
- Ah d'accord. Dit Anne.
- Oui je dois faire pipi
- Bon on va vous aider.
Vous profiterez pour faire votre analyse d'urine. » 
Élise fut emmener dans une petite pièce sur le coté de la chambre, et fut placer sur les VC. Anne la maintint pendant qu'elle se soulagea, et l'aida à se remettre dans le fauteuil.
Elle fut mise au lit et bordé,  après être revenue dans la chambre. 
« Reposez vous pour l'instant, votre repas va arriver et nous reviendrons après. Si vous avez besoin sonnez ici!
A toute à l'heure! » 
Les infirmières sortirent, laissant élise seule, qui se pelotonna dans sa couverture, ferma les yeux, et s‘endormit encore un peu rogué par les  médicaments.
Les deux femmes se séparèrent devant la chambre d'élise, et Marine rejoignit Jean Jacques, pendant qu’Anne retrouva Gilles, puis les quatre se retrouvèrent chez le docteur Mutulida.

Lorsqu’ils rentrèrent dans le bureau, ils trouvèrent les docteurs Mutulida et Dolose en pleine discutions avec Michel. 
« - ah vous voilà ! Déclara le professeur MUTULIDA.
Les examens de la patiente sont faits?
- Oui docteur
- Pas de problèmes?
- Non docteurs les résultats doivent arriver du labo dans une à deux heures environs.
- Parfait.
- Bien asseyez-vous
- Vous savez pourquoi vous êtes ici je présume? Demanda le professeur Mutulida en fixant Gilles et Jean >Jacques. 
- Ben oui je crois que c'est à cause de tout à l'heure?
- Oui en parti
Mais sinon?
- Ben, ben, moi je ne vois pas. Dit Gilles pensif.
- Vraiment?
- Ben moi non plus qu'est-ce qu'on a fait?
- Qu’est-ce qu'on a fait? Vous osez me demandez ça ?s’indigna le professeur Mutulida.
Michel veuillez nous redire ce que vous venez de
Nous apprendre?
- Eh bien hier dans l'ambulance je les ai surpris.
- Surpris à quoi Michel?
- Et  ben à la tripoter!
- Tripoter qui?
- Ben la kx48C pardi
- Mais! Mais! Mais!!!!!
- Il n'y a pas de mais je vous ai vu! Je suis peut être au volant mais je fais gaffe quand même!
Vos mains sous le drap s'était peut être pour un massage cardiaque?
- Ben, euh, euh, euh?
- Ben voilà qu'est ce que je vous disais?
- Gilles? Jean Jacques? Est-ce la vérité? S’enquit le professeur Dolose.
- Ben, ben, oui enfin euh à vrai dire?
- Ah, ah,  a, qu’est-ce que je vous avez dit hier? Rien que pour ça vous auriez du être virer sur le champ! Hurla le professeur Mutulida.
- Ben, ben, ben… ...
- C’est vrai messieurs. S’il n'y avait eu qu'hier nous aurions pu laisser cette petite incartade...commença le professeur Dolose.
- Petite incartade!!!! interrompit le professeur Mutulida en se levant.
- Enfin oui Gilbert ne me dit pas que tu n’as jamais eu de chose comme ça?
- Euh et bien euh si mais bon euh...
- Alors tu vois?
Mais là avec ce que je viens d'apprendre, et la bagarre d'aujourd'hui vous ne me donnez pas le choix.
Vous ne l'approcherai plus hors de notre présence ou celle de ces dames c'est bien compris?
- Euh oui docteur
- Euh oui bien sur bien sur...
- Nous verrons quelle sanction appliquer par la suite. Continua le professeur Dolose. » 

Le téléphone sonna, interrompant le professeur Dollose.
Le professeur Mutulida décrocha. 
« Oui j'écoute
Oui
Bien
Je vous envoie quelqu'un
Merci d'avoir fait si vite
À bientôt. »  
Il raccrocha, et se tourna vers marine.  
« - Marine ?
- Oui professeur
- Allez me chercher les résultats des examens de la patiente.
- Oui professeur. » 
Marine sorti, et revint quelques minutes plus tard, une pochette à la main, qu‘elle tendit au professeur.
Le professeur Mutulida la prit et y jeta un coup d'œil pendant quelques instants.  
« - tiens regarde. Dit-il en tendant la pochette à son confrère.
- Moui…  Pas mal Très bien....
- Que faisons-nous?
- Et bien je crois que c'est une candidate parfaite pour la suite des opérations......déclara le professeur Dolose.
Mesdames, préparez là nous voulons pouvoir intervenir dans l'après midi sur la patiente.
- Euh oui professeur bien sur. S’empressèrent d’acquiescer les infirmières en se levant, en se dirigeant vers la porte, avant de sortir. »

« - Et vous je vous prie de vous tenir tranquille. Allez en salle de repos, et n'en bougez pas jusqu'à nouvel ordre. Soupira le professeur MUTULIDA.
- Oui professeur.
- Bien nous ferons ça. » 
Jean Jacques et Gilles sortirent rapidement, la tête basse. 
Les deux médecins enfin seuls, continuèrent à parler du cas d'élise.
Le professeur Dolose se tourna vers son confrère: 
« - Tu veux savoir mon cher Gilbert ?
- Vassy je t'écoute?

- Je crois que nous allons avoir bien du plaisir dans quelques heures. »  

jujudoka@free.fr

 

RETOUR A L'INDEX