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Servante moderne (3)
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Adaptation française par Perverpeper le 27/06/14

 

 

Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’une auteure dont le pseudonyme est "Annie the slick".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans autorisation formelle.
Malheureusement, ce récit est incomplet et ne comporte que les trois premières parties.

PP

 

Synopsis : Pauvre Jasmine, elle a répondu à la MAUVAISE annonce. Découvrez de quelle manière elle apprend à devenir la parfaite "Servante moderne".

 

Troisième partie.

Jasmine fut quasiment traînée hors de l’ascenseur par la femme autoritaire. Elles arrivèrent devant le magasin spécialisé. Il y avait seulement une inscription sur la porte, sans autre indication : "Jameson, tailleur spécialisé". Elles pénétrèrent dans la boutique.

La jeune fille, encore traumatisée par son épaule douloureuse, n’opposa aucune résistance.
Ce qu’elle vit l’effraya. Un nombre considérable de vêtements étaient présentés sur les murs, mais pas seulement. Il y avait aussi des instruments qui n’avaient aucun rapport avec l’habillement. Certains étaient en cuir, d’autres en latex et même en métal. Elle eut du mal à comprendre à quoi ils pouvaient servir, mais il était évident que leur prédestination était le bondage.
Dans quelle galère s’était-elle fourrée. Il fallait qu’elle déguerpisse d’ici.

Elle tenta de lutter contre la poigne ferme de Carol, mais celle-ci était vraiment plus forte. Rapidement, elle lui tordit à nouveau le bras dans le dos et la força à s’agenouiller.
C’est alors qu’un homme habillé classiquement surgit d’entre les rideaux qui menaient vers l’arrière-salle.
Il était vêtu d’un costume trois-pièce impeccable. Veste et pantalon noirs avec une veste grise.

Il s’approcha de Carol, ignorant Jasmine.

« Ah ! Mademoiselle Carol, content de vous voir enfin. » Il jeta un coup d’œil sur sa montre. « Je remarque que vous avez quelques minutes de retard, mais j’imagine qu’il n’est pas nécessaire de l’ébruiter. N’est-ce pas ? »

« Non non, Monsieur Jameson. La dernière des choses que je désire serait de mécontenter les Bradleys. Du moment que je vous amène la nouvelle fille… C’est l’essentiel, non ? »

« Bien entendu, Mademoiselle. » Il baissa les yeux sur Jasmine. « Il semblerait qu’elle soit peu coopérative, non ? »

« Oui, c’est vrai. On dirait qu’elle n’est pas trop volontaire pour son essayage, ce matin. » Répliqua Carol en serrant les dents.

Elle força sur le bras de Jasmine, la faisant couiner de douleur.

« Ça n’est pas grave, il n’y a pas de problème. » Répondit Monsieur Jameson. « Nous avons déjà terminé sa tenue. Marie, vous pouvez venir s’il vous plaît ? » Conclut-il en se tournant à l’arrière-salle.

Une grande femme brune se glissa entre les rideaux. Elle était habillée de la même façon que Monsieur Jameson, si ce n’était la coupe féminine de ses vêtements.

« Oui, Monsieur ! »

« La nouvelle fille des Bradleys est là pour sa tenue. »

« Ah ! Très bien. Je vais chercher la penderie tout de suite. » Et elle disparut derrière les rideaux.

Jasmine sanglotait silencieusement. Cette femme odieuse lui faisait horriblement mal. La pression lui plaquait le buste contre le sol et son nez s’appuyait douloureusement par terre.

« Je te conseille gentiment de ne pas résister. » Lui chuchota la voix sévère.

Ce faisant, Carol avait attrapé l’arrière de son débardeur et le tira si fortement qu’il se déchira sur le corps de la jeune fille paralysée par la peur.
Jasmine ne put retenir un cri de détresse et de douleur en constatant qu’on la dénudait devant cet étrange "tailleur".
Elle sentit la main de la femme se faufiler contre son ventre et déboutonner la fermeture de son jean. Sa pudeur fut la plus forte et elle se débatit violemment en battant des mains et des pieds pour interrompre le deshabillage.

Sans aucune pitié, Carol accentua sa torsion sur le bras.

« STOP ! » Jasmine cessa aussitôt de lutter. Elle avait l’impression que son bras allait se rompre.

Carol finit tranquillement d’ouvrir les boutons et fit aisément glisser le jean sur les jambes de Jasmine, tandis que Marie revenait avec une pendrie garnie de tenues.
Appuyant son genou sur le dos de sa victime, Carol relâcha son bras et finit de lui ôter son jean.

Satisfaite, elle se redressa.

« Maintenant, nous allons peut-être pouvoir finir de nous occuper de cette chienne sans qu’elle nous importune. » Lança-t-elle d’un ton venimeux.

Pendant ce temps, Monsieur Jameson et son assistante attendirent calmement.

« Bien. » Lança-t-il en s’adressant directement à Jasmine. « Vos sous-vêtements aussi, s’il vous plaît Mademoiselle. »

Brisée, Jasmine se redressa lentement et regarda autour d’elle, attardant son regard suppliant sur chacun des trois protagonistes. Carol la regardait méchament, Monsieur Jameson arborait un air blasé et son assitante souriait légèrement.

« Ça n’est pas juste… » Commença-t-elle, mais elle s’interrompit et crocheta ses doigts dans la ceinture de son string pour le baisser.
Elle était maintenant nue devant les trois autres.

« Bravo. Tu deviens enfin raisonnable. » Dit Carol. « Je suis sûre que tu aurais détesté que ce soit moi qui te les enlève. » Elle se tourna vers Monsieur Jameson. « J’ai une course à faire pour Monsieur Bradley, j’en ai pour une trentaine de minutes. Veuillez la préparer afin que je puisse la récupérer dès mon retour. »

« Bien sûr, Mademoiselle Carol. Je m’en occupe. » Répondit Monsieur Jameson en la raccompagnant à la porte.

Une fois la porte refermée, il se retourna vers Jasmine et l’observa lentement des pieds à la tête, se repaissant de sa nudité.

« Allez, Marie. Nous avons du travail. » Déclara-t-il en frappant dans ses mains.

Et il se mit à tourner autour de Jasmine, tandis que Marie allait chercher une culotte en dentelle blanche et un soutien-gorge assorti.
Elle fit enjamber la culotte par la jeune fille et la remonta sur ses hanches.

« Comment vont-ils ? » Demanda-t-elle en plaçant sa main en coupe sur son pubis.

Le geste fit sursauter Jasmine, mais elle était trop désorientée pour tenter d’échapper à l’avance non déguisée.

« C’est parfait. » Commenta Monsieur Jameson en continuant à tourner autour de la jeune fille. Inconsciemment, celle-ci se mit à pivoter sur elle-même, le suivant des yeux tandis qu’il l’observait salacement.
Soudain, une autre main se glissa sur sa poitrine, passant d’un sein à l’autre.

« Vous avez de très jolis seins. » Dit Marie en accentuant sa manipulation.

Jasmine se sentait totalement dépassée par les évênements. Il s’était produit tellement de choses folles ces derniers jours, qu’elle ne savait plus où elle en était. Une chose était sûre, si elle tentait de s’échapper, ces gens risquaient de lui faire du mal.

« Oui, je vois à quoi vous pensez. » Dit Monsieur Jameson, comme s’il lisait dans ses pensées. « Je vois que vous réfléchissez à une fuite ou à quelqu’autre tentative désespérée. »

Il s’approcha de Jasmine et se tint debout à quelques centimètres de son visage.
Pendant ce temps, Marie l’avait attrapée par les seins et avait plaqué ses deux mains sur ses seins et les avait crispées, rabattant son dos contre son buste.
Jasmine se mit à geindre, elle sentait les ongles de la brune se crisper sur sa poitrine et la douleur lui faisait venir les larmes aux yeux.

« Soyez sûre que, quoi qu’il en soit, nous accomplirons le travail que nous à confié Mademoiselle Carol ; seulement ça sera beaucoup plus douloureux. Ça sera une distraction appréciable pour nous. »

Il resta un moment face à face avec elle, tandis que sa volonté la fuyait.

« Bien, » Il se recula à nouveau. « Maintenant, nous pouvons continuer. »

Marie relâcha la pression de ses mains sur les seins de Jasmine et les remplaça par les bonnets du soutien gorge qu’elle attacha dans son dos.

« Passez vos bras dans les bretelles, s’il vous plaît. »

Jasmine obéit.

Monsieur Jameson recommença à tourner lentement autour d’elle.
Marie se pencha sur la penderie et attrapa une petite jupe noire. Elle l’enfila autour de sa taille. Le tissu arrivait à peine quelques centimètres sous ses fesses, les dissimulant aux regards indiscrets, mais révelant entièrement ses jambes admirablement galbées. Une blouse blanche légère suivit. Jasmine se conformait aux instructions au fûr et à mesure qu’on l’habillait, comme une poupée. Elle était au bord de l’hyperventilation, mais ne savait quoi faire d’autre.

Monsieur Jameson poursuivit son examen, donnant l’impression à la jeune fille qu’elle était toujours nue devant son regard perçant.

« Très bien, avons-nous terminé, Marie ? » Demanda-t-il à son assistante pendant qu’elle enfilait une paire d’escarpins à talons haut sur les chevilles de Jasmine.

« C’est terminé, Monsieur. Il ne reste plus que les bracelets, le collier et le baîllon. »

Les yeux de Jasmine s’agrandirent comme des soucoupes, déclenchant l’hilarité du couple.

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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