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Servante moderne (4)
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Adaptation française par Perverpeper le 27/06/14

 

 

Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’une auteure dont le pseudonyme est "Annie the slick".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans autorisation formelle.
Malheureusement, ce récit est incomplet et ne comporte que les trois premières parties.

PP

 

Synopsis : Pauvre Jasmine, elle a répondu à la MAUVAISE annonce. Découvrez de quelle manière elle apprend à devenir la parfaite "Servante moderne".

 

Quatrième partie.

« Ha ha ! Non, ma chère. Nous laisserons ça aux Bradley. Occupons nous plutôt de ‘l’addition’. La somme doit avoisiner les 1200 €. Parlerons-nous de crédit ou de débit ? » Demanda Monsieur Jameson.

« Q… Quoi ? » Bégaya Jasmine, en proie à une nouvelle émotion. « J… Je n’ai p… Pas d’argent sur moi, mon sac… » Elle ne savait même pas où se trouvait son sac. Comment avait-elle pu en arriver là ? La seule chose qu’elle désirait le plus au monde, c’était de rentrer chez elle.

« Comment ça ? Pas d’argent ? » Demanda Marie. « Et comment espèrez-vous regler la note ? Tout ça représente un bon nombre d’heures de travail… »

L’homme et la femme échangèrent un regard complice en se souriant l’un l’autre.

« Nous ne pouvons pas te laisser aller rencontrer les Bradleys dans la tenue horrible avec laquelle vous êtes venue. Ça ne serait pas convenable. Ils seraient très contrariés et c’est la dernière chose que nous souhaitons, n’est-ce pas Marie ? »

Jasmine ne savait plus où regarder. Tous deux s’étaient mis à tourner lentement autour d’elle.

« Non, c’est hors de question. » Renchérit Marie.

« Et comment pouvons-nous régler ce litige, jeune fille ? » Demanda Monsieur Jameson. « Vous vous êtes mise dans une sale histoire. Ça m’ennuierai de faire appel à la police… »

Jasmine commençait à avoir la tête qui tournait, elle était à nouveau au bord des larmes et ne savait pas quoi répondre.

Marie intervint. « Il y a peut-être une autre alternative. » Suggéra-t-elle. « Si elle n’a pas d’argent, nous pouvons peut-être trouver un autre moyen de paiement ? »

« Comme quoi ? Faire la vaisselle ou le ménage ? » Ricana Monsieur Jameson.

Le couple continuait à tourner autour de la jeune fille terrifiée.

« Heu… Nous avons déjà une femme de ménage. » Répondit Marie.

« Hmmm…. À quoi pourrait-elle être bonne alors ? »

« Et bien, nous pouvons être sûrs que les Bradleys se serviront d’elle de toutes les façons possibles et imaginables. Pourquoi pas nous ? » Dit Marie en souriant largement.

« Est-ce que vous suggérez quelque chose comme un paiement EN NATURE ? » Demanda Monsieur Jameson en feignant un air supris.

Jasmine remuait la tête négativement sans pronnoncer un mot. Ces deux là se proposaient de la violer et elle était incapable de faire quoi que ce soit pour l’éviter.

« En un mot, oui. » Répondit Marie.

« Bien, mais alors il va falloir faire vite car Mademoiselle Carol va bientôt revenir. »

Et ils cessèrent de tourner autour d’elle.
Marie s’approcha de Jasmine.

« Vite ! » Souffla-t-elle en se léchant les lèvres.

Derrière elle, le bruit d’un zip fit tourner la tête à la jeune fille. Du coin de l’œil, elle s’aperçut que Monsieur Jameson avait son sexe de son pantalon. Il pendait devant lui et devait mesurer une bonne quinzaine de centimètres. Elle eut un pas de recul et buta dans les bras de Marie qui guettait cette réaction.
N’écoutant que son instinct, Jasmine se précipita vers la porte d’entrée de la boutique, mais Marie fut plus prompte et la saisit à la taille, la projetant à plat ventre par terre.
Un deuxième zip retentit et Marie avait dégraffé son pantalon qui s’affaissa sur ses chevilles, révelant un sexe entièrement épilé.

« Vite ! » Souffla Monsieur Jameson en s’agenouillant entre les jambes de Jasmine qui tentait de fuir en rampant par terre.

Marie la contourna et vint s’asseoir en face de son visage. L’homme souleva la jupe de la pauvre Jasmine et s’escrimait à la déposséder de sa petite culotte, mettant à jour son entrecuisse.

Jasmine avait une vue imprenable sur le sexe imberbe de l’assistante. Elle poussa un gémissement lorsque celle-ci s’empara de ses cheveux et la força à lever la tête, tout en faisant glisser son bassin en avant. Avant que la jeune fille n’ait pu réagir, elle appuya son entrecuisse contre sa bouche.

« Sors ta langue ! Ma chatte ne va pas te mordre. » Ordonna-t-elle en serrant les dents. « Fourre-moi ta langue dans la chatte, SALOPE, ou alors je vais devoir t’y FORCER. »

Jasmine tira la langue et se mit à lécher une femme pour la première fois de sa vie. Pendant ce temps, elle pouvait sentir la bite de Monsieur Jameson se frayer un passage entre ses cuisses. Il avait agrippé ses fesses et les écartait du mieux qu’il pouvait afin d’arriver à ses fins. Finalement, il localisa son sexe et poussa son gland entre ses lèvres sexuelles asséchées par la frayeur.
Jasmine Hurla de douleur, mais son cri se perdit dans la chatte trempée de Marie qui en profita pour raffermir sa prise sur sa tête.
Impitoyable, Monsieur Jameson enfonça sa bite au plus profond de son vagin.

« Viite ! » Gémit-il

« Plus vite ! » Renchérit Marie. « Allez salope, suce-moi bien profond. »

Submergée par les émotions, Jasmine fit ce qu’on lui ordonnait et se mit à lécher frénétiquement la chatte odorante. Comme mue par une pensée propre, sa langue pénétra au plus profond du vagin de la femme, monta et descendit le long de la fente trempée.
Elle sentait la bite de Monsieur Jameson aller et venir au plus profond de son sexe et elle se mit à miauler sous les injonctions et les actes du couple.

« OUI, c’est ça, continue comme ça ! » Ordonnait Marie. « Vas-y agite bien ta langue. »

Comme dans une autre vie, Jasmine exécutait tous les ordres que la femme lui intimait. Sa langue semblait animée par une autre personne et se pliait à toutes les fantaisies qui lui étaient imposées.

Les aller-retours de Monsieur Jameson s’accélérèrent et Jasmine sentit son sexe s’humidifier progressivement. Petit à petit, son rythme s’accéléra autant que le lui permettait la lubrification de la jeune fille. Ses coups de boutoir projetaient la bouche de Jasmine contre la chatte de son assistante et bientôt la jeune fille ne fut plus qu’un objet sexuel entre les mains des deux pervers.

« Oh OUAIS ! PLUS VITE SALOPE, PLUS VITE ! » Criait Monsieur Jameson. « Je vais jouir ! »

« MOI AUSSI ! » Cria Marie.

« HMMMHH !!! AHHRGHH ! »

Monsieur Jameson s’enfonça de toute sa longueur, plaquant brusquement son visage contre la chatte de Marie. Jasmine sentit son sperme gicler à l’intérieur de son vagin, tandis qu’au même moment, un liquide abondant se répandait contre sa bouche. Le jus que produisait la brune avait un goût épicé.
Enfin, le couple commença à se calmer, petit à petit leurs gestes se calmèrent. Monsieur Jameson s’affala sur son dos, et Marie relâcha ses cheveux.

« Hmm, c’était bon, n’est-ce pas Marie ? »

« Oui, Monsieur Jameson, et rapide. »

« Tout à fait. » Dit-il en se retirant avec un petit bruit. Il se redressa et se rhabilla en se dirigeant vers sa caisse enregistreuse.

Marie se redressa à son tour, abandonnant Jasmine qui sanglotait. Elle se rhabilla rapidement et se pencha pour attraper Jasmine sous le bras et l’aider à se redresser.
La jeune fille vacillait sur ses jambes et elle dut s’agenouiller entre ses jambes pour lui rajuster sa petite culotte. Le sperme de Monsieur Jameson commença à s’épancher dans le tissu, formant une tâche humide.

À cet instant, Carol pénétra dans la boutique.

« Pile à l’heure, Mademoiselle Carol. Comme vous pouvez le voir, nous venons juste de terminer la fille. » Dit Monsieur Jameson en souriant innocemment.

« Merci, Monsieur Jameson. Vous nous enverrez votre note comme d’habitude. Elle est exquise et je suis sûre qu’elle est prête à servir sa nouvelle Maîtresse et son nouveau Maître. N’oubliez pas de nous faire parvenir le reste de sa garde-robe, s’il vous plaît. »

« Bien entendu, Mademoiselle. »

Jasmine allait protester lorsque Carol l’attrapa par le poignet et la contraignit à sortir de la boutique.
Marie leur tint la porte.

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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