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Armande chez le Kiné (3)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

            Le soir même, j'allais voir ma copine et nous nous isolâmes dans sa chambre. Après avoir parlé ensemble de chose et d'autre, je mis le sujet qui m'intéressait sur le tapis. Quand je lui dis
le nom de mon kiné, elle s'exclama :

- Mais je le connais : j'ai été chez lui pour une entorse ! Il est vachement beau comme mec !

            Par petites touches, je lui expliquai qu'il s'occupait surtout de mon derrière et lui décrivit une partie de ses pratiques, en particulier le premier toucher rectal en présence de maman. Elle me posa plein de questions me fit préciser. Très génée je lui donnai des détails, ce que je ressentais. Elle était éberluée me disant :

- À moi, il n'a jamais rien fait de ce genre ! Remarque, je me serais sûrement laissé faire aussi : il me plaît énormément. Mais dis-moi : après avoir été dilatée comme tu me l’as dit, est-ce que ton anus va redevenir normal ?

- Mais bien sûr : c'est d'ailleurs déjà fait !

- C'est… vrai ?

- Tu veux voir ?

- Euh... si tu veux...

            Entretemps, je m'étais débarassée de la protection et avais remis une culotte normale. Je glissai mes mains sous ma jupe pour la retirer, m'allongeai à plat ventre sur son lit après m’être largement troussée. Elle se pencha sur moi, posa ses mains sur mes fesses, les écartant au maximum, me regardant longuement, sans toutefois oser me toucher. Je me relevais et remis ma culotte. Elle me promit le secret absolu, et je savais pouvoir lui faire confiance, me disant aussi que j'avais de la chance. Je lui proposai de demander au kiné si je pourrais l'amener et elle accepta après avoir un peu réfléchi, et nous quittames les meilleures amies du monde...

            La séance suivante ressembla beaucoup à la précédente, avec quelques variantes. Il me demanda de retirer veste, jupe chemiser et petite culotte, et me conduisit ainsi, en soutien-gorge,
porte-jarretelles et bas vers la cabine habituelle. Je commençais à m'habituer à déambuler ainsi, en petite tenue.
            En entrant dans la petite pièce au fauteuil, surprise de taille : une jeune femme blonde, entièrement nue, était installée sur l'engin, comme moi la dernière fois, sauf que la sonde, énorme, était plantée dans son vagin... Elle fut, je crois, aussi génée que moi ! Et lui tranquille me dit :

- Cette patiente à terminé son traitement, tu vas pouvoir prendre sa place toute chaude.

            Il dégonfla la sonde, la retira toute luisante de sécrétions intimes d'entre les cuisses de la femme, qui s'éclipsa le plus rapidement qu'elle put, toujours nue et très rouge. Je pris sa place, et dès que je fus installée et attachée, il prensenta l'extrémité de la sonde, qu'il n'avait pas changée,
entre mes fesses écartées. Bien bubrifiée, elle pénétra assez facilement mon anus. J'étais choquée et excitée, de sentir dans mon derrière la sonde encore chaude de son séjour dans le vagin de celle qui m'avait précedée...
Comme la dernière fois, il mit le mécanisme en route. Cette fois, deux séries de cercles colorés étaient affichés et il m'expliqua que l'une, montrait la dernière séance et l'autre celle-ci : il allait falloir faire mieux ! Et il me laissa.
En effet, le traitement fut un peu plus dur : la sonde se gonflait plus, m'écartelant. Quand il revint, au bout d'un grand moment, j'étais dans tous mes états. Sa blouse était ouverte et il défit sa braguette et son sexe bandé jaillit à hauteur de mon visage :

- Tu peux la prendre dans ta bouche, si tu veux...

            Je ne protestait pas, et avançai ma tête. Je posai ma bouche sur le gland volumineux et violacé, et l'engloutis : ma bouche ouverte au maximum avait du mal à le contenir. Je n'avais jamais fait ça, mais m'appliquai de mon mieux ; d'ailleurs il saisit ma tête pour me guider, se branlant dans ma bouche... Bientôt il se répandit au fond de ma gorge, y déversant une grande quantité de sperme, que je m'efforçai d'avaler au fur et à mesure... Il se retira d'entre mes lèvres et me sourit. De le sucer, en même que la sonde anale m'infligeait son délicieux supplice, n'arrangeait pas mon excitation ! j'osai mendier :

- Et moi alors ?

            Pour toute réponse, il détacha ma main droite, me disant :

- Vas-y !

            Un peu déçue, je ne fis pas prier, tant j'avais envie, besoin même, de jouir ! Mon orgasme fut fulgurant. J'aurais bien voulu alors qu'il arrête la machine infernale, mais il me laissa ainsi alors que le "traitement" se poursuivait. Il m'abandonna à nouveau, venant me voir de temps en temps. Rapidement, mon excitation remonta et je me branlai à nouveau, ne m'interrompant même pas quand il faisait une brève apparition... Quand le cycle se termina, j'avais joui je ne sais plus combien de fois, j'étais épuisée, moulue, l'anus encore plus béant que la fois précédente.
Au moment de me congédier, il me félicita, me disant que j'allais être bientôt prête pour la sodomie. Il me demanda également si j'avais parlé à Maryse et je lui fit un compte rendu de notre dernière entrevue. Il m'encouragea :

- C'est très bien. Tu peux lui raconter la séance d'aujourd'hui.

            Ce que je fis le soir même... Elle me fit préciser les détails, me demandant si j'avais eu mal, etc... À nouveau, elle voulut voir entre mes fesses et j'accédai à son désir. Nous étions très rouges toutes les deux, excitées et quand je me relevai de son lit, je la vis s'asseoir, relever sa jupe et enfourner sa main dans sa petite culotte pour une furieuse masturbation ; avant de remettre ma culotte, j'en fis autant, jupe levée, cuisses écartées. Nous eûmes notre plaisir presque en même temps, nous regardant mutuellement. Un peu honteuse, je me reculottai. Avant de me quitter, Maryse me dit que j'avais bien de la chance et ajouta timidement :

- Tu crois que je pourrais t'accompagner ?

- Tu serais prête à subir la même chose que moi ?

- Je... oui... je crois...

- Je lui poserai la question, promis !

- Ça ne t'embètera pas ?

- Avec toi, tu penses !!!

            Bien qu'il ne m'ait rien dit là-dessus la dernière fois, je ne mis pas de culotte pour aller chez mon kiné. À nouveau j'assistai à la fin de la séance subie par la même femme que l'autre jour, toujours aussi génée d'être vue ainsi. De même j'eus dans le cul la sonde qui sortait tout droit de son ventre. Cette fois, le programme était différent : la sonde me dilatait l'anus au maximum, puis je devais contracter mes muscles intimes au maximum pour la dégonfler, le tout visualisé sur l'écran.  Il vint me voir de temps en temps. À un moment, il glissa sa main entre mes cuisses et me caressa la vulve et le clitoris, me faisant jouir rapidement. C'était la première fois qu'il me
branlait lui-même et je lui en fut très reconnaissnte. Plus tard, il revint pour que je le suce et là aussi il me branla savammment.
Avant de le quitter, le derrière ouvert, mais très heureuse, je lui reparlais de Maryse. Très vite il m'arrêta :

- Attention, petite fille, je n'ai pas envie de prendre de risque avec des mineures ! Tant que tu es seule, c'est ta parole contre la mienne, et d'ailleurs ta mère m'a vu te mettre un doigt dans le derrière. Mais à deux, c'est beaucoup plus risqué.
Comme je l'assurai de mon entière confiance en ma copine, il finit par dire :

- Bon on va voir. Mais j'exige des garanties solides. Je vais te préter un polaroid et tu vas faire des photos de Maryse. Comprends-moi bien, des photos très compromettantes, très obscènes : on doit tout voir de ses parties les plus intimes. De plus, elle devra les dater et les signer toutes au dos. Son visage doit être visible. Compris ?

- Euh oui, je crois. Je ferai de mon mieux...

- Parfait. La prochaine fois, tu viens avec les photos et si elles me conviennent, on verra...

Le soir même je fis part de cette exigence à mon amie qui hésita longuement, et je la comprenais ! Enfin, elle se décida et me demanda très génée :

- Bon, que dois-je faire ?

            J'étais aussi embarassée qu'elle... Je lui demandai de relever sa jupe et la pris ainsi, debout, montrant ses bas et sa petite culotte bleue ; puis lui demandai de baisser un peu son slip, qu'on voit bien les poils ; je lui fit retirer ses vêtements et la pris en dessous ; peu à peu je m'enhardissai, lui en demandant davantage, et elle se prétait au jeu, honteuse mais docile. Bientôt elle n'eût plus sur elle que son porte-jarretelles et ses bas ; un peu plus âgée que moi, je la trouvai
très belle. Je lui fis prendre des poses, couchée sur le dos, cuisses écartées, une main sur son sexe, m'arrangeant toujours pour en montrer le plus possible. Dès qu'une photo était prête, nous la regardions attentivement, aussi génée l'une que l'autre. Quand je lui demandai de se prosterner sur le lit et d'écarter ses fesses à deux mains, d'abord, elle refusa tout net, mais finit par accepter, morte de honte : le cliché montrait bien son sexe ouvert, et aussi son anus...
Pour la dernière photo, je lui demandai de se branler réellement, ce qu'elle fit, ne s'arrêtant pas ensuite, sans doute excitée par son exhibition. Je dois dire que j'étais aussi très excitée : je glissai une main sous ma jupe puis dans ma culotte et me masturbai en même temps qu'elle... Je recommençai le soir, enfermée dans ma chambre, en regardant les photos que j'avais prises.

            Au rendez-vous suivant, où j'arrivai sans culotte, ça devenait une habitude, je remis l'enveloppe des photos au kiné qui les examina rapidement sans rien dire. L'inconnue blonde était encore là, nue à part son porte-jarretelles et ses bas, mais cette fois attachée sur le fauteuil, cuisses relevées et écartées.Cette fois, elle était pénétrée par deux sondes énormes en même temps, une dans le vagin, l'autre entre ses fesses ; de plus, les deux tiges étaient animées d'un mouvement de va et vient alternatif : quand l'une s'enfonçait, l'autre se retirait presque entièrement, avant de repartir dans le sens inverse. La jeune femme avait dû jouir maintes fois, si j'en jugeais par le cerne bistre de ses beaux yeux bleus. Sa tête roulait de droite et de gauche, et c'est bien tout ce qu'elle pouvait bouger ! Elle  gémissait des mots incohérents, demandant d'arrêter, puis de continuer... L'orgasme la vit se cabrer violemment dans ses liens et elle retomba épuisée, le front couvert de sueur. Le kiné arrêta alors le mouvement de la mahine infernale, la délivrant, la détachant puis lui retirant les sondes qui la pénétraient...
Je fus surprise par la béance de son anus ! Elle se leva titubante. Le kiné démonta la sonde qui ressortait de son anus et la lui tendit en lui disant :

- Vous allez la nettoyer avec votre bouche, avant de partir.

            Après une seconde d'hésitation, la femme obéit, portant la tige souillée à ses lèvres, cependant que je prenais sa place et que le le kiné pénétrait mon anus avec la sonde qui était un
instant auparavant enfouie dans le sexe de la blonde... Dès que je fus attachée, le mécanisme se mit en route, alors que la femme, debout et honteuse continuait à lécher et à sucer la sonde. Dans un premier temps, je sentis la tige gonfler entre mes fesses, me dilater fortement l'anus, avant d'entreprendre un lent et profond mouvement de va et vient dans mon derrière ! Ça me faisait un peu mal, et ça m'excitait en même temps !
Au bout d'un moment, il lui demanda de poser la sonde qu'elle sucait, et de se pencher entre mes cuisses pour me lécher le sexe. Elle obéit aussitôt, plaquant sa bouche sur ma vulve, agitant sa langue sur mon clitoris. Elle était cassée en deux, face à mon entrecuisses, le buste à l'horizontale. Il passa derrière elle, sortit son sexe, le présenta entre les fesses légèrement écartées de la femme et la pénétra d'un seul coup. Je ne pouvais voir dans quel orifice il s'était enfoncé, mais au sursaut de la blonde, je pensai que c'était par derrière... Après un moment de flottement, elle se remit à me sucer la chatte. L'action combinée de sa langue très agile, de la tige me pistonnant le cul, et de le voir la sodomiser, tout cela me conduisit très rapidement à l'orgasme. Apparement, ils jouirent tous les deux également... Avant d'être autorisée à quitter la petite pièce où nous trouvions, la femme dut enfiler une drôle de culotte que lui tendait le kiné : le fond de celle-ci s'ornait de deux tiges verticales, dont on devinait aisément l'usage !!!
Puis je fus laissée seule, toujours sodomisée mécaniquement, ce qui me provoqua je ne sais combien d'orgasmes... Cette fois, il ne me demanda pas de le sucer et ne me toucha pas. Quand il
m'eût délivrée, avant de me renvoyer, il me fit enfiler aussi une culotte, mais celle-ci ne comportait qu'une seule tige qui me pénétra l'anus quand je remontai le bizarre sous-vêtement. Avant de partir, je lui demandai timidement :

- Et pour Maryse ?

            Il éluda :

- On verra... La prochaine fois, remets la culotte que je t'ai prêtée pour venir.

            À chaque pas, je sentais la tige bouger dans mon derrière, me provoquant en permanence ses sensations pour le moins contradictoires : je ne risquai pas de l'oublier !!! Le soir je fus ravie de la retirer pour me coucher et la cachais soigneusement...
Quand je voulus renfiler la culotte spéciale pour me rendre à mon rendez-vous, je n'y arrivai pas : mon anus s'était refermé, et même en fonçcant, je n'arrivai pas à me pénétrer avec la fameuse tige, de taille relativement importante ! J'essayai la salive, (j'avais bien nettoyé la tige) : je la sucai longuement, mouillai mes doigts et essayai de me lubrifier l'anus : peine perdue ! Ça ne voulait pas rentrer, même en me faisant très mal !!! J'eus alors l'idée de prendre un corps gras et je subtilisai la bouteille d'huile dans la cuisine : je parvins alors à mes fins, non sans mal !!!
La tige que j'avais eu tant de mal à introduire dans mon anus me gênait à chaque pas, m'excitant en même temps. Je dois avouer que je marchai plutôt en canard en me rendant à mon rendez-vous... Qu'allait-il inventer aujourd’hui ?

            Il me demanda de me deshabiller mais de garder ma culotte et me conduisit ainsi dans la pièce habituelle où la blonde habituelle était déjà. Uniquement vêtue d'un porte-jarretelles et de bas noirs, elle était à quatre patte, ou plutôt prosternée sur le fauteuil, les fesses hautes et très ouvertes. Plantée entre elles, une énorme tige : son anus était distendu à l'extrème, formant un anneau livide, elle geignait doucement, semblant avoir très mal, mais n'essayant pas de se dérober, alors qu'elle n'aéait même pas attachée ! Je vis avec stupeur la tige gonfler encore, l'écartelant : je m'attendais à voir son anus éclater, se déchirer sous la tension qu'il subissait : la tige était maintenent du volume d'une canette de bière ! Il la débrancha de l'appareil, sans la retirer d'entre les fesses de la femme, et l'aida, dolente, à descendre de la table. Debout, la tige dépassait grotesquement de ses fesses, les empêchant de se refermer. Il lui dit alors :

- Je vais sodomiser cette jeune fille, et vous allez la préparer. Nous allons dans une autre pièce, passez devant...

            Visiblement, elle avait beaucoup de mal à marcher ! La piece où il nous conduisit était claire, vaste, meublée d'une table métallique formant une légère cuvette d'un lababo, d'un bidet et d'un WC à la turque. Sur ses indications, elle commença en effet à me préparer : s'accroupissant devant moi, elle me retira ma culotte, me faisant mal quand la tige se retira d'entre mes fesses, s'en excusant d'un pauvre sourire. La jeune femme, totalement soumise à la tyranie du kiné semblait aussi embarassée que moi-même, obéissant sans discuter. Ensuite, elle me fit mettre à plat ventre sur la table, jambes bien écartées. Je sentis ses mains se poser sur mes fesses pour les écarter, puis son souffle chaud sur mon anus, juste avant le contact de sa langue qui me fit sursauter.
Malgré la honte que j'éprouvais à cette caresse très intime, je la trouvai délicieuse : sa bouche plaquée entre mes fesses était très active ; sa langue titillait mon petit trou, le pénétrait le plus profondément possible... Je me laissai aller, de plus en plus excitée, sentant mon petit cratère s'ouvrir sous la langue servile de la femme blonde. Au bout d'un moment, à ma déception, il lui demanda d'arrêter, pour m'introduire deux gros suppositoires à la glycérine. En attendant qu'ils agissent, la femme me caressa doucement tout l'entrecuisse, du clitoris à l'anus, non pour me faire jouir, mais pour entretenir mon excitation.
Rapidement, je ressentis un besoin urgent d'aller à la selle et il m'autorisa à me soulager, ce que je dus faire sur la cuvette à la turque, devant eux, avec la honte que l'on devine !
Il n'y avait pas de papier hygiénique : la femme me lava soigneusement l'entrecuisse sur le bidet avant de me faire remonter sur la table, cette fois pour y recevoir un grand lavement qui me fut administré à l'aide d'une longue canule reliée par un tuyau à un bock d'au moins deux litres ! Je sentais mon ventre gonfler sous l'irruption de l'eau sou pression dans mon intestin. De nouveau, je dus m'accroupir pour me vider bruyamment, abominablement génée. Après un second séjour sur le bidet, les choses sérieuses commencèrent.
Prosternée, j'eus à nouveau la langue de la femme entre mes fesses, puis elle me massa longuement l'anus avec une crème lubrifiante, me pénétrant doucement de ses doigts, dilatant mon petit crétère plissé. Dès qu'elle me jugea à point, elle fit signe au kiné qui se débarassa de sa blouse et baissa son pantalon, exibant un sexe en pleine érection, avant de s'agenouiller derrière moi... La jeune femme enduisit également le pénis de crème et de la main le guida entre mes fesses, mettant le gland au contact de mon petit trou. Je le sentais peser, pousser, sur ma colerette anale, qui malgré mon excitation et mon envie d'être sodomisée, refusa un moment de lui livrer passage. J'avais un peu mal, mais en même temps je souhaitais qu'il me pénètre. Il y parvint d'ailleurs assez vite : je sentis mon sphincter céder, se relacher, et le bout du membre viril fut en moi ! Après un temps d'arrêt, il repris sa progression, s'enfonçant très loin dans mon ventre, m'ouvrant sur son passage.
Le plaisir se mêlait à la douleur, d'autant plus que la femme avait laissé sa main entre mes cuisses et me caressait maintenant le clitoris.
Je compris que la pénétration était totale en sentant son ventre contre mes fesses et les poils de son pubis entre elles. Je me sentais remplie, empalée. Là aussi il marqua une pause, avant de se retirer lentement, sans toutefois ressortir sa verge de mon anus. Alors il commença un ample mouvement de va et vient entre mes fesses, me pénétrant jusqu'à la gard, puis se retirant presque entièrment, avant de replonger... Sur un signe du maitre des lieux, la femme se coula sous moi, tête bêche, et plaqua sa bouche sur ma vulve, cependant qu'il continuait à me sodomiser (en moi je pensais "il m'encule, je suis enculée !!!") de plus en plus fort, éprouvant un mélange indissociable de douleur et de plaisir, avec vue plongeante entre les cuisses écartées de la blonde, sur son sexe trempé, et l'énorme tige ressortant grotesquement de son trou du cul... Je crois que c'est de le sentir gicler et se déverser au plus profond de moi-même qui provoqua mon orgasme d'une incroyable intensité, qui me laissa vidée, avachie sur la femme, le nez entre ses cuisses, alors que je le sentis se retirer lentement de mon cul...

            La femme congédiée, avec toujours la sonde dans le derrière, il me prit dans ses bras, me caressant, m'embrassant tendrement, me disant qu'il avait eu énormément de plaisir. Il me promit de m'inviter un jour chez lui pour "m'enculer tranquillement tout un après midi". Je n'avais rien contre, et le quittais ravie. De plus, il m'avait dit :

- Si tu veux, la prochaine fois tu pourras amener Maryse avec toi. Tu en as toujours envie ?

- Euh oui, si vous voulez. Que lui ferez-vous ?

- Oh on verra bien, mais on pourrait s'en occuper tous les deux, tu me servirais d'assistante. Ca te plairait ?

- Oui. Peut-être... Je ferai ce que vous voudrez...

            Le soir même je parlais à mon amie, lui vantant les plaisirs de la sodomie. Elle était plutôt sceptique, et, cette fois encore, elle voulut voir entre mes fesses, s'assurer que tout était normal de ce côté. Je m'y prétais de bonne grâce, relevant ma robe très haut, avant de m'allonger à plat ventre sur son lit, jambes écartées. Elle s'exclama :

- Mais tu n'as pas de culotte !

Non, je n'en avais pas remis une, un peu pour la choquer et la provoquer. Je lui dis :

- Ben non. Il aime bien que je me ballade sans... Tu sais, il veut bien que tu m'accompagne la prochaine fois... Si tu es toujours d'accord, bien sûr !

- Ah... je...

            Dit-elle presque entre mes fesses. Elle m'écarta, toucha mon anus du doigt, sans oser le pénétrer vraiment. Elle me demanda, hésitante :

- Que... qu'est-ce qu'il me fera si j'y vais ?

- Ça, je n'en sais rien, ma chérie. Bon tu as assez regardé mon cul. À toi, maintenant, chacune son tour !
            En disant celà je me levai d'un bond, laissant retomber ma robe. Elle glissa ses mains sous sa jupe pour retirer sa petite culotte bleue, et prit ma place sur le lit. À mon tour, je lui écartai les fesses à deux mains, me délectant de la vision de son sexe et de son petit trou du cul rose et serré. Je me penchais pour humer ses parties intimes, n'osant y poser ma bouche, même si j'en avais très envie ! Je ne pus résister, toutefois, au plaisir de la toucher : ma main glissa entre ses fesses et entre ses cuisses, caressant au passage son anus et sa fente humide.
Elle me demanda :

- Mais qu'est-ce que tu me fais ???

            En même temps, elle écartait largement ses cuisses, ce qui était une invite à aller plus loin. Je ne m'en privai pas ! Je la branlai du mieux que je pus, réussissant à lui mettre un doigt dans le derrière, préalablement lubrifié au contact de sa chatte maintenant dégoulinante, tout en lui astiquant le bouton... Après son plaisir, elle était très rouge, confuse. Je lui demandai :

- Tu ne m'en veux pas, dit ?

- Mais non, idiote !

            Elle ajouta timidement :

- Tu veux... que je te le fasse aussi ?

- Non merci, ma chérie, j'ai ma dose pour aujourd'hui. Un autre jour...

            Le jour du rendez-vous, je passai en avance chez Maryse pour la prendre. Je la trouvais désemparée, ne sachant si elle venait ou pas, et si elle venait, comment elle devait s'habiller. Je la pris dans mes bras et couvrit son visage de baisers pour l'encourager. Je l'aidais à choisir ses vêtements : chemisier blanc, jupe grise assez courte, et comme dessous, une parure bleue complète : soutien-gorge, porte-jarretelles et petite culotte, avec des bas couleur chair et elle s'habilla rapidement.
En route, je la sentis nerveuse. Elle serrait mon bras, me posait mille questions auxquelles je n'avais pas toujours la réponse. Elle me demanda, par exemple :

- Tu as mis une petite culotte ?

- Non, pas quand je vais le voir.

- Et ça ne te gêne pas, d'avoir les fesses à l'air ?

- Si, bien sûr, mais il le veut ainsi, et je dois avouer que ça m'excite aussi...

- Moi je n'oserais jamais sortir comme ça !

            Il nous laissa poireautrer assez longtemps dans la salle d'attente, ce qui n'améliorait pas l'état de nervosité de ma copine. Enfin, il s'intéressa à nous. Nous nous levâmes en choeur pour le suivre. Il nous salua gentiment, s'excusant de son retard, puis il se tourna vers Maryse :

- C'est gentil de venir me voir, Maryse. Armande m'a apporté des photos de toi, elles sont super !

            Elle s'empourpra instantanément, baissant la tête de confusion. Il continua à son intention :
            - Je vais te demander quelques minutes de patience supplémentaires avant de m'occuper de toi. Tu peux te rassoir. Tu viens Armande ?

            Je le suivis, et dès que nous fûmes seuls, il me pris dans ses bras, m'embrassnt violemement. Sa langue pénétrait violemment ma bouche, luttant contre la mienne. Sans cesser de m'embrasser, il engouffra sa main sous ma jupe, jusqu'à mon sexe que nul voile ne protégeait et se mit à me branler savamment, me menant rapidement au plaisir. Au moment de la jouissance, je sentis mes jambes fléchir et il me retint de sa poigne puissante pour m'empêcher de m'écrouler. Il me dit ensuite :

- Tu as bien fait d'amener Maryse : on devrait passer un bon moment ensemble. Si tu veux bien, aujourd'hui on va s'occuper surtout d'elle, et tu vas me servir d'assistante. Tu est d'accord ?

- Bien sûr, je ferai tout ce que vous me demmanderez...

- Parfait. Mets-toi toute nue et enfile cette tenue.

            J'obéis. La tenue en question consistait en tout et pour tout en un porte-jarettelles, une paire de bas, des ballerines et une blouse le tout blanc. La blouse était légère, presque transparente, décolletée et très courte, atteignant à peine le revers des bas ! Le moins que l'on puisse dire, c'est que je ne sentais pas très habillée ! C'est dans cette tenue sexy, et même indécente, qu'il m'envoya chercher mon amie.

            Il nous attendait assis à son bureau et indiqua un fauteuil assez bas, face à lui, à Maryse, qui s'y assit un peu tremblante. Sur le plateau de son bureau, il avait étalé les photos de Maryse,
les regardant tour à tour et la regardant elle, l'original. Je m'étais assise à l'écart et je voyais bien que cet examen silencieux la mettait très mal à l'aise. La position découvrait ses longues jambes, et elle tirait machinalement sur le bas de sa jupe pour les cacher... Il rompit enfin le silence pesant :

- Bon, eh bien puisque tu es là, je vais t'examiner sous toutes les coutures. Tu es d'accord, n'est-ce pas ?

- Euh... je oui... Bafouilla-t-elle.

Il reprit :

- Donc, tu as 18 ans, ça je le sais déjà, et je vais te poser un certain nombre de questions auxquelles je te demande de répondre très franchement.

            Et un peu comme il l'avait fait avec moi, il l'interrogea très précisément sur sa vie la plus intime, la mettant sur des charbons ardents, et elle répondait, se confiait, balbutiant, buttant sur les mot. Si ce questionnaire très indiscret la mettait mal à l'aise, il ne m'apprenait rien : nous étions très liées et savions à peu près tout l'une de l'autre. De temps en temps, le kiné levait les yeux vers moi, et je confirmai d'un hochement de tête. À la question : "Es-tu vierge ?", elle
répondit "non" dans un souffle. J'étais là aussi au courant : elle avait eu une courte aventure avec un garçon il y avait quelques mois de celà. Elle dut aussi décrire ses masturbations, comme je l'avais fait avant elle. Quand il lui posa la question "et avec les filles, tu as déjà fait quelque chose ?", elle se troubla intensément. Malgré qu'elle ne puisse rougir davantage, le visage déjà écarlate il s'en aperçut et instista dans cette voie. Elle avoua quelques peccadilles, avant de confesser que je l'avais caressée l'autre jour : elle dût alors donner tous les détails, et confesser qu'elle y avait pris beaucoup de plaisir.
Elle dut ensuite raconter la séance de photos spéciales que nous avions faites ensemble, en donnant toutes les précisions : qu'avions-nous dit ? Fait ? qu'avait-elle pensé ? Ressenti... Quand il arrêta de lui poser des questions, je la sentis prête à éclater en sanglots, sous cette torture morale. Il conclut :

- Passons à l'examen, maintenant. Mets-toi debout, Armande va t'aider.

            Elle se mit debout à côté de lui et je m'approchais, attendant les ordres qui ne tardèrent pas :

- Retire-lui sa veste, son chemisier et son soutien-gorge, en prenant tout ton temps.

            Comme il me l'avait demandé, je commençai donc à déshabiller lentement ma copine. Je lui retirai d'abord sa veste, que je posai sur le fauteuil, puis entrepris de déboutonner son chemisier, bouton après bouton, sans me presser, en commençant par les poignets, puis à partir du cou, en descendant. Quand il fut entièrement ouvert, je le dégageai de la ceinture de sa jupe et le lui enlevai par l'arrière, avant de le poser à son tour sur le fauteuil. Je marquai une pause, la laissant en soutien-gorge, que sa poitrine remplissait agréablement : ses seins étaient à l'époque, bien plus développés que les miens et je les lui enviai secrètement ; il est vrai qu'elle était mon aînée, ce qui compte énormément à cet âge-là...
Sur un signe, je fis sauter l'agraffe du soutien-gorge dans son dos et le lui retirais. Instinctivement, mue par un réflexe de pudeur incontrolé, elle posa ses deux mains sur ses beaux seins que je venais de libérer. Sur un nouveau signe du kiné, je saisis ses poignets doucement mais fermenment et les lui ramenai dans le dos où je les maintins, la poussant en peu en avant, vers l'homme toujours assis, qui sans attendre posant ses mains sur les seins de mon amie, les caressant, les pressant, titillant le bout qui ne tarda pas à gonfler et durcir. Elle se laissait faire, ne cherchant pas à libérer ses mains pour se défendre. D'ailleurs, je tenais ses mains croisées dans les miennes, sans aucune violence et involontairement, elle les pressait par moments, traduisant son excitation grandissante. Il prit tout son temps pour lui peloter les seins de toutes les façons possibles.
Quand il cessa, ils étaient gonflés, le mamelon saillant, long et dur ! Il me dit alors :

- Enlève-lui ses bas...

            Je m'accroupis aux pieds de mon amie et remontai mes mains sous sa jupe, cherchant l'attache du premier bas. Je la sentis frissonner. Je détachai la jarretelle et roulai doucement le bas
jusqu'à sa cheville. Je lui fis lever le pied pour lui retirer sa chaussure, puis son bas. Je renouvelai l'opération sur l'autre jambes et attendis. Il nous regardait intensément et lança :

- Le porte-jarretelles, maintenant...

            Je compris qu'il voulait que je le lui retire sans la découvrir, et mes mains remontèrent sous sa jupe, essayant de ne pas la relever, jusqu'à sa taille, cherchant l'attache du sous-vêtement. Je la trouvai, la fis sauter, dégageai les jarretelles de sa petite culotte, et le porte-jarretelles tomba de lui-même sur le sol. Je pris le temps de le ranger avec le reste de ses vêtements, avant de m'entendre dire :

- Maintenant, déculotte-la et donne-moi son slip...

            De nouveau aux pieds de mon amie, je levais les yeux vers elle et croisais son regard trouble. Avant de m'emparer de l'élastique de sa petite culotte pour l'abaisser, je remontais une main entre ses cuisses, jusqu'à son entrejambe que je trouvai humide. Je plaquai et frottai la partie renforcée de la culotte contre sa vulve, pour l'impregner davantage, avant de remonter mes mains à sa taille pour la déculotter le plus lentement possible. En fin de course, elle leva un pied puis l'autre pour je la débarasse du petit chiffon de nylon bleu. Le kiné s'en empara aussitôt, l'ouvrit, regarda le fond, le huma, et me dit :            

- J'ai l'impression que notre amie est excitée. Veux-tu vérifier, s'il te plaît ?

            J'en étais sûre, mais pour le plaisir, je remis ma main sous sa jupe, remontant entre ses cuisses qu'elle écarta pour me faciliter le passage, jusqu'à son sexe, que je pénétrais légèrement du bout de mes doigts. Je confirmais :

- Oui, elle est mouillée...

- Parfait pour la suite.

            Il s'approcha de moi, et me murmura à l'oreille :

- Emmène-la dans la salle que tu connais bien. Tu lui retires sa jupe et tu l'installes sur le fauteuil, sur le dos, cuisses relevées, et attache-la dans cette position. Tu sauras ?

            J'acquiescai d'un mouvement de tête et pris le bras de Maryse pour la conduire. La pauvre ne savait plus où se mettre, torse nu, pieds nus uniquement vêtue de sa jupe... Dès que nous fûmes seules dans la petite pièce, je lui souris gentiment et lui dit :

- Alors, ça va ?

- Bof ! Qu'est-ce qui va m'arriver maintenant ?

- Tout d'abord je vais finir de te déshabiller, puis tu t'allongeras sur cette table.

            Joignant le geste à la parole, je dégraffais sa jupe et la lui retirai. Nue, elle était superbe. Je l'aidais à s'installer sur le fauteuil spécial, la disposais au mieux, posais ses jambes
dans les gouttières très écartées, la fit avancer afin que ses fesses affleurent le bord du meuble. Puis je lui dis que j'allais l'attacher. Elle supplia :

- Oh non, je t'en prie...

            Mais se laissa faire docilement. Je contemplais alors mon oeuvre : elle me plaisait bien ainsi, ouverte, écartelée sur la table, la fente entrouverte par la position. Je mourais d'envie
de la toucher, de la caresser, mais je n'osais pas : il ne m'avait pas dit de le faire... Elle me demanda encore :

- Qu'est-ce qu'il va me faire ?

- Je ne sais pas trop, mais vu ta position, il va surement s'assurer que tout va bien entre tes cuisses et entre tes fesses...

- Oh non...

            Je décidai de la taquiner un peu : près des appareils électriques que j'avais expérimenté, se trouvait toute une collection de sondes de taille très diverses. J'en prie une énorme, la présentai devant son visage et lui dit :

- Peut-être qu'il va t'enfoncer un truc comme ça, ou encore plus gros, dans l'un ou l'autre de tes trous : la chatte ou le cul, ou les deux, va savoir...

            Je vis l'effroi dans ses yeux et elle dit :

- Oh non, c'est pas possible !

            J'eus pitié d'elle :

- Mais non, conne, je plaisante !

            Je l'embrassai amicalement sur les joues et reposai l'objet de ses craintes. Peu après le kiné arriva, disant simplement :

- Tu es très jolie, ainsi, bien mieux que sur les photos.

            Il braqua un projecteur sur l'entrecuisse de mon amie et s'assit juste en face sur tabouret. Pour l'examiner, il l'examina, la couvrant de honte, et l'excitant en même temps au maximum. Il déplissa ses lèvres intimes, débusqua le clitoris... Il prenait garde de ne pas la faire jouir. Puis il enfila ostensiblement un gant de latex et introduisit son index profondément dans le vagin de Maryse, l'agita un peu, puis le retira pour y adjoindre le majeur... Elle gémissait, de plus en plus excitée de l'espèce de masturbation qu'elle subissait. Là aussi, il s'arrêta à temps, et elle eut un cri de déception. Son doigt ganté et tout luisant descendit plus bas, entre les fesses écartées de mon amie, se posa sur l'anus rose et plissé et s'y enfonça lentement de toute sa longueur. 
J'étais fascinée de voir le doigt aller et venir dans le cul de ma copine, au-dessous de sa vulve dégoulinante, tant elle mouillait... Il retira son doigt et lui introduisit une sonde très fine dans le vagin, sonde reliée à un des appareils et qui se mit à faire un lent mouvement de va et vient entre les cuisses de Maryse. Cette masturbation mécanique, si elle l'excitait de plus en plus, n'était pas en mesure de la faire jouir, du moins rapidement ; malgré ses liens, elle remuait le bassin, essayant de se porter au devant de la pénétration, s'agitant, gémissant, suppliant...
Elle subit cette frustration encore un moment puis il arrêta l'appareil et lui retira la sonde. Elle sanglota :

- Oh non, je vous en prie !

            Il me fit un signe et je posai mes mains sur les seins de mon amie et commençai à les caresser, pendant qu'il lui demandait, faussement étonné :

- Mais que veux-tu, Maryse ?

- Ne me laissez pas comme ça ! Faites quelque chose ! Je veux jouir !

- Tu veux que je te baise ?

- Oui, venez, prenez-moi !

            Il ne la fit pas plus attendre : il sortit son pénis bandé, présenta le gland à la vulve offerte, et la pénétra d'une longue poussée, lui arrachant un gémissement de plaisir. Il allait et venait en elle, de plus en plus vite, de plus en plus fort, et elle bougeait autant que le lui permettaient ses liens... Une de mes mains abadonna sa poitrine, pour aller entre ses cuisses lui caresser le clitoris. Très vite, elle cria son plaisir, mais il ne s'arrêta pas autant de la pilonner, la faisant jouir une deuxième fois avant de se retirer et d'éjaculer sur son ventre un grande quantité de sperme, par plusieurs giclées...
Mon amie était pantelante, cuvant son plaisir. J'essuyais doucement son ventre avec un kleenex et sur un signe la détachais. Elle descendit de la table les jambes tremblantes. Tout cela m'avait prodigieusement excitée, et il le comprit et proposa :

- Dans tout ça, il ne faut pas oublier Armande : elle aussi a droit au plaisir ! Veux-tu prendre la place de Maryse ?

- Oui, je veux bien...

            Je montais donc sur le fauteuil et quand je levai les jambes pour les poser sur les supports, ma blouse remonta complètement, découvrant tout le bas de mon corps. Il me laissa libre de mes mouvements, mais je n'avais pas l'intention de bouger ! D'un doigt enduit de crème, il me massa doucement l'anus, avant d'y introduire la fine canule qui avait servi à exciter mon amie et mis l'appareil en route. Je sentais la sonde aller et venir lentement entre mes fesses, comme elle était petite, je n'avais pas mal du tout, bien au contraire. Il demanda à Maryse, toujours nue, de me caresser, comme je l'avais fait pour elle ; après une seconde d'hésitation, elle posa un main sur mes petits seins et l'autre sur ma chatte : c'était divin ! Il faisait varier la vitesse et la profondeur de la sodomie mécanique ; à un moment, il prit mon amie par la nuque et lui fit pencher la tête vers mon bas-ventre. Là aussi elle hésita avant de plaquer sa bouche sur ma fente vulvaire et d'y agiter sa langue.
Je ne tardais pas à m'envoler dans un orgasme puissant, enculée, sucée... lui, le sexe toujours à l'air, s'occupait de l'appareil d'une main et de l'autre pelotait les fesses de Maryse, dont la position penchée lui facilitait l'accès... Je les suppliais d'arrêter, mais il ne m'écoutèrent pas, me faisant jouir encore deux fois ! J'étais épuisée...
Nous nous rabillâmes et il nous embrassa toutes les deux à pleine bouche. Juste avant de nous reconduire, il proposa :

- Ce qui serait amusant, ce serait que toi, Maryse, tu prêtes ta petite culotte à ta copine. Qu'en pensez-vous, les filles ?

            Nous regardâmes toutes les deux et elle rougit violemment, hésita un moment avant de murmurer :

- D'accord...

            Comme on se jette à l'eau, elle glissa ses mains sous sa jupe, retira son slip et me le tendit. Je l'enfilai en disant :

- Merci...

            Dire que nous étions très à l'aise en nous retrouvant toutes les deux, serait mentir. Elle marchait les jambes serrées et j'imaginais sa gène d'avoir les fesses à l'air ; de mon côté, je sentais l'entrejambe trempée de sa culotte contre ma chatte ; le silence dura un grand moment, chacune perdue dans ses pensées, puis, brusquement, nous tournant l'une vers l'autre, nous éclatâmes de rire ! La glace était rompue et le naturel revenait entre nous. Nous allâmes nous enfermer dans sa chambre pour échanger nos impressions.
Elle était ravie de son après-midi, mais s'inquiétait si j'étais jalouse. Je la rassurais :

- Mais non, pense-tu ! Pas avec toi ! D'ailleurs, il ne faudrait jamais que notre amitié soit prise en défaut, même par un homme...

- Tu as raison. Il faut continuer à tout se dire. Tu sais, c'était la première fois que j'embrassais une autre fille, là....

- Je m'en doute, figure-toi. Pour moi, c'était délicieux et pour toi, tu as aimé me sucer ?

            - Oui, beaucoup. Je suis prête à le refaire quand tu voudras...

             Nous étions assises côte à côte sur son lit. Elle passa son bras derrière mes épaules, m'attira vers elle et couvrit mon visage de baisers. Je posais ma main sur sa cuisse et la caressais doucement, en remontant le long du bas, entraînant sa jupe vers le haut, jusqu'à atteindre la chair nue si douce, où je m'attardai. Ses lèvres rejoignirent les miennes et nous échangeâmes notre premier baiser amoureux, qui nous laissa le souffle court. Ce ne fut pas le dernier ! Tout en nous embrassant à pleine bouche, je la caressai entre les cuisses. Sa main à elle disparut à son tour sous ma jupe... Après le plaisir, elle me proposa :

- Veux-tu dormir ici ?

- Si tu veux, avec grand plaisir !

perverpeper@perverpeper.com

 

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