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Armande chez le Kiné (4)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

            Elle prévint ses parents que je restais à dîner et à coucher, et je téléphonai aux miens. Cela ne posa aucun problème car ce n'était pas la première fois, et personne n'y voyait de mal. D'ailleurs, jusqu'ici, il n'y avait aucun mal à y voir, et de plus, un second lit se trouvait dans la chambre de Maryse : celui de sa soeur aînée, à l'époque déjà mariée... Je lui avais demandé de ne pas remettre de slip pour le repas, et je la sentais en peu tendue à cause de ça...
Un peu de gêne s'installa entre nous, quand nous nous retrouvâmes seules pour nous coucher ; gêne de courte durée !
Nous nous déshabillâmes mutuellement, et toute nues, nous prîmes une douche en commun, serrées l'une contre l'autre, nous savonnant, chahutant aussi, comme deux gamines que nous étions encore... Comme souvent sous la douche, une envie pressante s'empara de moi et je le dis à mon amie :

- J'ai envie de faire pipi...

- Eh bien fais-le !

- Comme ça, ici ?

- Mais oui, vas-y laisse-toi aller...

- Alors écarte-toi un peu, sinon je vais te pisser dessus !

- Tant mieux...

- C'est très cochon, ce que tu me demandes-là !

- Tu n'as pas envie de faire des cochonneries avec moi ?

- Si...

            Elle arrêta la douche, colla son ventre contre le mien et se mit à m'embrasser fougueusement. Au début, j'eus quelque mal à relacher ma vessie, lachai un premier jet, avant de me laisser aller complètement, alors que Maryse commençait à en faire autant ! Nous avions toutes les deux une grosse envie et des réserves : Sans cesser de nous embrasser à pleine bouche, nous sentions notre urine mélée nous couler le long des cuisses et des jambes, chaude, odorante. Ma petite source se tarit en premier et je sentis encore un peu ma copine me pisser dessus ! Un bon rinçage, séchage mutuel, et au lit, nues...
            La nuit fut courte et agitée ! Dès que nous nous retrouvâmes sous ses draps, nous reprîmes nos caresses, avec les mains, avec la bouche aussi ; j'osai poser mes lèvres sur sa fente sexuelle, lui trouvais un goût agréable, la sucant longuement, agitant ma langue sur son clitoris ou l'enfonçant le plus loin possible dans son vagin. Bien sûr, elle m'en fit autant, et nous nous retrouvâmes en position tête-bêche, la bouche de l'une enfouie entre les cuisses de l'autre...
            Plus tard, Maryse eut l'idée de joindre une bougie tout à fait ordinaire à nos mains et nos langues : Elle me demanda de la pénétrer et de la baiser avec, ce que je fis, lui enfonçant la bougie très loin dans le vagin, puis la faisant aller et venir de plus en plus vite, de plus en plus violemment, sur ses indications. Elle se mit ensuite en tête de me sodomiser avec. Je n'avais rien contre. Elle avait une crème de maquillage qui ferait un excellent lubrifiant. Elle prit tout son temps pour préparer mon anus, le léchant, le pénétrant doucement avec ses doigts enduits de crème, lubrifiant aussi la bougie, qui n'en avait sans doute pas tellement besoin, ressortie toute luisante de liqueur intime d'entre ses cuisses. Elle me fit mettre à quatre pattes et présenta la bougie entre mes fesses écartées. Bien préparée, je n'eus aucun mal à l'accepter dans mon derrière
et elle se mit à m'enculer avec, proférant des mots crus :

- Tu la sens, ma chérie ? Je t'enfile, je t'encule ! Tu la sens bien dans ton cul de cochonne ? Tu aime ça, hein petite vicieuse, qu'on t'en mette plein le derrière, être sodomisée comme une salope que tu es ! Allez, branle-toi, mets ta main entre tes cuisses pour t'astiquer le bouton, fais-toi jouir pendant que j'empale ton trou du cul, pétasse...

            Ces mots m'excitaient et je fis ce qu'elle me disait : Je me masturbai sans honte, cependant que la bougie me forait l'anus de plus plus vite... Je ressentis un orgasme violent et m'écroulai, m'endormant profondément sur le coup...
            C'est la sensation de quelque chose de dur entre mes fesses qui me réveilla : J'étais couchée sur le côté, en chien de fusil, et tout d'abord, je me demandai ce qui se passait, puis très
vite, je compris que, profitant de mon sommeil, Maryse essayait doucement de m'introduire la bougie dans l'anus ! Je me gardai bien de faire le moindre mouvement, me décontractai au maximum. La mâtine avait dû me remettre de la crème, car après un léger tatonnement, je sentis l'extrémité pointue pénétrer ma collerette anale. Me croyant toujours profondément endormie, elle usait de précaautions de sioux pour m'enfoncer sa bougie dans le cul : Je la sentais progresser très lentement en moi, allant de plus en plus profond ! C'était bon de se laisser faire... Quand toute la longueur de la bougie fut à l'intérieur de mon intestin, après une pause, elle commença à la retirer tout aussi lentement...
            Je me laissai faire un bon moment, puis fis semblant de m'éveiller, roulai sur le dos, m'étirai et m'exclamai :

- Mais qu'est-ce que tu es en train de me faire ?

- Je t'encule, ma chérie !

- Mais c'est du viol ! Tu profites de mon sommeil pour me fourrer un truc dans le derrière !

            Elle me dit gentiment :

- Tu veux que je retire la bougie ?

            Je répondis, l'air boudeuse :

- Bof, si ça t'amuse de prendre mon cul pour un chandelier, tu peux continuer...

            Cela dût la stimuler, car elle me ramona avec énergie, et posa sa main libre sur mon sexe pour me faire jouir rapidement...

            Au petit-déjeuner, sa mère remarqua :

- Vous avez une petite mine, toutes les deux. Je parie que vous avez passé une partie de la nuit à discuter ! Ce n'est pas raisonnable !

            Elle ne croyait pas si bien dire ! Bien sûr, nous avions défait le deuxième lit et froissé les draps. Maryse m'avait proposé de me préter un slip propre, je refusai, préférant remettre celui qu'elle m'avait passé chez le kiné, à l'entrejambes imprégné de nos deux odeurs intimes mélangées... Je crois que celà lui fit plaisir...

            Maryse ne pouvait m'accompagner, à son grand regret, à mon rendez-vous suivant : J'y allai seule. Dans la salle d'attente, je retrouvai la femme blonde que j'avais déjà rencontré plusieurs fois ici. Elle rosit en me voyant, me saluant d'un signe de tête. Je m'assis pour attendre. Nous nous regardions sans oser nous parler, pourtant chacune de nous avait vu l'autre dans d'étranges postures ! Je la détaillais discrètement, pour une fois que je la voyais habillée : Chemisier blanc brodé, translucide, laissant deviner la masse de ses seins dépourvus de soutien-gorge, tailleur gris très strict, à la veste ouverte ; escarpins noirs pointus à très hauts talons ; bas noirs dont la jupe, très courte, découvrait, quand elle était assise, presque entièrement les revers plus sombres ! Je la trouvai très belle, sexy, et me demandai si, comme moi, elle ne portait pas de petite culotte, sous une jupe aussi courte, c'était un appel au viol. Mon regard sur ses cuisses découvertes et serrées la fit rougir : Apparemment, malgré la différence d'âge, elle était encore plus timide que moi, totalement soumise au kiné, comme j'avais déjà pu le constater. Sa vulnérabilité m'émut et me la fit paraître plus sympathique. J'allais m'asseoir près d'elle et essayai d'engager la conversation par des banalités. Très crispée au début, peu à peu elle se dégelait. Apparemment, nous avions rendez-vous toutes les deux à la même heure : Qu'avait-il encore manigancé ? Elle me demanda timidement :

- Vous croyez qu'il va nous recevoir ensemble ?

- Je ne sais pas...

            La situation était ambigûe : nous étions là toutes les deux, sachant très bien pourquoi, car mes "soins" n'étaient plus qu'un prétexte depuis longtemps et le "traitement" qu'elle même subissait n'avait rien à leur envier... L'attente se prolongeait, augmentant notre apréhension... Je posai la question qui me brûlait les lèvres depuis un moment :

- Puis-je vous poser une question indiscrète ?

- Je... oui, dites toujours...

- Votre jupe est vraiment très courte ; je suppose que vous portez un slip en dessous ?

            Elle se troubla encore plus, murmurant :

- Non. Je ne dois jamais mettre de petite culotte quand je viens ici...

- Même sous une mini-jupe ?

- Oui...

- J'ai du mal à vous croire !

- Si, si, je vous assure ! Ca me gêne assez d'ailleurs !

            Je me demandais si je pourrais aller plus loin avec elle, comme ça, par curiosité : De toute façon, je ne risquais pas grand chose, vu ce que le kiné nous avait déjà fait faire ! Je lui demandai fermement :

- Mettez-vous debout, je veux vérifier !

            Habituée à obéir, elle n'hésita qu'une seconde, avant de se mettre debout devant moi. Je demandais pour la forme :

- Vous permettez ?

            En avançant ma main vers ses cuisses. Elle ne répondit pas, mais écarta un peu les jambes. Debout, sa jupe ne lui couvrait pas plus que le tiers des cuisses et ma main n'eût pas à remonter très haut pour atteindre leur fourche ! Bien sûr, elle n'avait pas menti sur son absence de culotte, mais ça je n'en avais jamais douté, de plus, depuis la dernière fois que je l'avais vue, elle avait été entièrement épilée : Sa vulve, dépourvue du moindre duvet paraissait très charnue dans ma main, fendue très haut vers le pubis, très douce au toucher. Je glissai mes doigts entre ses lèvres intimes et la trouvais complètement trempée ! Je lui enfonçai trois doigts dans le vagin sans aucune difficulté, cependant qu'elle suppliait :

- Non, il ne faut pas... ce n'est pas bien...

            Sans pour autant essayer de se soustraire à mon investigation. Décidément, on pouvait tout se permettre avec elle ! Je ressortis mes doigt pour lui dire :

- Tournez-vous, s'il vous plaît !

            Elle s'exécuta sans discuter. Ma main replongea sous sa jupe, pour caresser ses fesses, puis s'introduire dans la raie profonde qui les séparait : Là non plus, pas le moindre poil, sa raie culière était aussi lisse que son mont de vénus, ses aines et ses grandes lèvres ! Son anus était très souple et j'y enfonçais un doigt sans difficulté. Elle continuait à protester mollement, sans serrer les fesses, honteuse de cet examen, mais soumise... Un deuxième doigt, ajouté au premier qu'elle avait déjà dans le derrière, la fit gémir : douleur ? plaisir ? les deux ? je lui branlai un peu le cul, mais sans trop insister et décidai de finir de m'affirmer vis-à-vis de cette jolie blonde, qui devait bien avoir au moins le double de mon âge :

- À genoux et léchez mes doigts !

            Je ne fus pas vraiment surprise de la voir obéir, come ça, sans discuter, comme si ce que je lui demandai était tout naturel. J'enfonçai profondément dans sa bouche servile les doigts que j'avais mis dans ses orifices intimes et elle les lêcha, les suca amoureusement... Au bout d'un moment, je lui dis de cesser et se rasseoir près de moi.
            Apparemment, mon petit jeu sadique l'avait excitée encore plus. Nous reprîmes notre conversation comme si de rien n'était. J'appris qu'elle s'appelait Yolande, qu'elle était mariée et avait deux enfants. Je compris aussi qu'elle venait depuis longtemps chez ce kiné...
            Le kiné apparût enfin : il raccompagna une femme et une jeune fille, sans doute la mère et sa fille, celle-ci très rouge et gênée, à se demander, le connaissant, ce qu'il venait de lui faire subir ?
            Il s'excusa de son retard, et nous dit :

- Puisque vous vous connaissez déjà, je vais vous prendre toutes les deux ensemble...

            Il conduisit la jeune femme dans une pièce enitèrement carrelée, lui dit de se mettre nue et de poser ses vêtements sur une chaise dans un angle. Quand ce fut fait, il lui tendit deux gros suppositoire et dit :

            - Mettez-les tout de suite. Ensuite vous allez boire ces deux bouteilles d'eau et vous attendrez que je revienne pour la suite...

            Rouge de honte, la femme obéit, passant une main derrière elle, tâtonnant un instant entre ses fesses et s'introduisant le suppo avec une grimace. Avant qu'elle ait fini de mettre le second, il me fit signe de le suivre.
            Dans son bureau, il m'embrassa, fourra une main sous ma jupe, me branla un peu et me dit :

- Tu vas t'habiller en infirmière, comme l'autre jour...

            Pendant que j'échangeai ma tenue de ville pour celle très coquine d'infirmière de fantaisie, nous discutâmes un peu. Je lui dis que Maryse avait apprécié la séance de l'autre jour et lui racontai ce qui avait suivi entre nous. Il me posa plein de questions, voulant tout savoir. Je m'y prêtai de bonne grâce, lui donnant tous les détails ; l'épisode de la douche et celui de la bougie lui plurent bien. J'osai lui dire :

- La fille qui était avant moi faisait une drôle de tête. Pourquoi ?

            Il éclata de rire et me demanda :

- Ça t'intéresse ?

- Oui...

- Eh bien figure-toi que je connais la mère depuis bien longtemps et qu'elle n'a rien à me refuser. Elle voulait que je vérifie la virginité de sa fille, sur laquelle elle avait des doutes sérieux. J'ai donc pris la fille dans une pièce séparée et ai du la convaincre de se laisser examiner, ce qui n'a pas été sans mal : évidemment, elle savait que je verrai tout de suite qu'elle n'était plus vierge depuis belle lurette, ni entre les cuisses, ni entre les fesses, qu'elle avait même sans doute déjà
bien servi...

- Et alors ?

- Elle a fnit par accepter. Elle s'est déculottée et est montée sur la table en position gynécologique. Je l'ai examinée dans ses moindres recoins, et elle m'a supplié de ne rien dire à sa mère, de lui affirmer qu'elle était toujours pucelle, redoutant sa colère et qu'on l'envoie dans une école de correction tenue par des religieuses...

- Qu'avez-vous fait ?

- Tu me connais, j'ai le coeur sur la main : j'ai proposé un marché à la fille contre mon silence...

- Quel marché ?

- Qu'elle accepte que je la baise. Elle m'en a presque supplié...

- Mais c'est déguelasse !

- Viens me le répéter de plus près...

Je m'avançai vers lui et insistai, avec plus d'admiration pour lui qu'autre chose :

- Vous êtes ignoble !

            Sa main glissa sous ma courte blouse blanche, empoignant ma petite chatte, me faisant fondre. Il continua :

- Ainsi fut fait : je l'ai baisée, sodomisée, et elle m'a sucé. J'ajoute qu'elle a bien aimé ça : Elle est apparemment aussi salope que sa garce de mère... Comme promis, j'ai rassuré celle-ci : "Oui sa fille était aussi pucelle que le jour de sa naissance, promis, juré..." De plus, je lui ai proposé, pour
l'avenir, si elle avait encore des doutes, de me l'amener de temps en temps pour que je vérifie... Elle a décidé de me l'envoyer dans un mois pour que je l'examine à nouveau... Et voilà : tout le monde est content !

            Je ne pus m'empêcher de rire : quel sympathique salaud, il faisait ! Sa main habile n'avait pas quitté mon entrecuisse et évidemment me fit jouir en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Il se leva et me dit :

- Allons, une patiente nous attend. Tu vas voir, je vais lui faire un truc rigolo...

            Nous trouvâmes la blonde nue, debout, dansant d'un pied sur l'autre. Les deux bouteilles étaient vides et je trouvai qu'elle avait le ventre ballonné. Tout de suite elle supplia :

- Puis-je aller aux toilettes, s'il vous plaît ?

- Non, pas tout de suite...

- Mais je ne peux plus tenir !

- Mais si, mais si... Allongez-vous sur la table, la tête de ce côté...

            Le dessus de la table métallique laquée formait un léger creux au centre, se relevant sur les bords, elle était également légèrement inclinée vers les pieds. Au milieu, à cette extrémité,
était percé un large trou rond. La jeune femme s'en approcha pliée en deux et s'y allongea avec peine sur le dos. Il lui fit écarter un peu les jambes, l'aida à se mettre bien au milieu. Elle continuait à se supplier, larmoyante :

- Par pitié, laissez-moi aller aux toilettes...

            Faisant mine de ne rien entendre, il finissait de l'installer : Il relia ses poignets aux bords de la table par des bracelets munis d'une chaînette, fit ensuite de même à ses chevilles, lui laissant les jambes à peine écartées. Je compris où il voulait en venir en le voyant suspendre au dessus de la tête de la femme blonde, une énorme poche en plastique transparent, contenant plusieurs litres d'eau !
            Le fameux supplice de l'eau dont j'avais lu la description dans mon menuel d'histoire de France !!! Au bas de la poche, une espèce d'énorme tétine qu'il lui introduisit dans la bouche,
l'attachant derrière sa nuque par un lacet. Il lui expliqua :

- Vous allez boire au fur et à mesure, en faisant attention de ne pas faire de fausse route : vous pourriez vous noyer !

            Elle ne disait plus rien, baillonnée par la tétine, les yeux bleus suppliants, agrandis par l'effroi !!! J'avais pitié d'elle, mais en même temps, ça m'excitait de la voir ainsi réduite à merci. Je l'ai dit, elle était très belle : Seins puissants et fermes, hanches larges, taille fine, jambes longues... Entre ses cuisses, la fente imberbe et légèrement entrouverte de son sexe bombé, comme celui d'une petite fille, mais bien plus charnu. Il ouvrit le robinet à un petit débit et on la voyait téter instinctivement. Elle se tordait de collique et on entendait son ventre déjà gonflé par l'eau qu'elle avait bue "normalement" gargouiller... Il la prévint :

- Vous pouvez vous relâcher si vous voulez : La table est prévue pour...

            Elle fit "non" désespérément de la tête, sachant qu'elle serait obligée de céder et de se vider devant nous... La regardant souffrir, il me pelotait les fesses, la chatte et les seins. Le ventre de la femme paraissait énorme maintenant, et elle se tordait dans ses liens comme un ver coupé en deux. Pendant quelques minutes, il ne se passa rien d'autre, et tout d'un coup, après avoir lâché spamodiquement plusieurs jets d'urine, elle se mit à pisser violemment : Le jet doré fusa à l'horizontale en chuintant entre les lèvres de sa vulve, dépassant le bout de la table de torture, retombant sur le sol heureusement carrelé ! L'intensité du jaillissement diminua un peu, tout en restant violent, et en même temps, l'eau commença à s'échapper d'entre ses fesses, mélée d'excréments qui glissaient le long de ses cuisses puis de ses jambes, avant de disparaître dans le trou au pied de la table...
            Le spectacle de cette femme torturée, était atroce et fascinant : Les larmes coulaient à flot de ses beaux yeux bleus, elle émétait des grognements étouffés par son baillon liquide, se débattait dans ses liens faisant cliquetter les chaînettes, se tortillait dans tous les sens, le corps couvert de sueur et l'eau, de plus en plus claire continuait de s'écouler d'elle... Je m'inquiétais tout de même et m'en ouvris discrètement au kiné qui me rassura, me murmurant à l'oreille :

- Du moment qu'on la surveille, elle ne risque pas grand chose, à part beaucoup de souffrances, mais ça, elle aime... Bien évidemment, il ne faudrait pas jouer à ce petit jeu trop souvent car on risquerait une déshydratation par fuite des électrolytes. Mais je te parie que si je la détachais, elle resterait là ! Regarde sa chatte...

            En effet, la vulve de la blonde, d'où s'écoulait une urine maintenant limpide, était aussi gonflée, ouverte par l'excitation, le clitoris, rouge et enflé dépassait les petites lèvres ! C'était incroyable avec les douleurs qu'elle semblait éprouver, et qui la faisaient trembler convulsivement...
J'avançai ma main vers son sexe, touchai son bouton : Elle se cabra, comme si elle avait reçu une décharge électrique, s'arquant sur la table, en appui sur la tête et la talons. Je précisai ma caresse, et en quelque seconde, je la vis jouir violemment : Sa chatte s'ouvrait et se refermait dans un orgasme impensable. Excité par le spectacle, il me demanda de le sucer, ce que je fis avec plaisir, m'accroupissant devant lui pour prendre son pénis dans ma bouche, dans laquelle il se déversa
rapidement...
            Le supplice de la blonde dura longtemps, la poche d'eau se vidait peu à peu. Les bruits d'eau s'échappant de son corps, me donnèrent envie de faire pipi moi aussi : Il me conseilla de me soulager sur elle ! J'hésitai un peu, puis me lançai. Je grimpai sur la table ou gisait la femme blonde après avoir retiré ma blouse blanche, et m'accroupis au dessus de son ventre balonné. Après quelques instants de concentration, je me mis à lui pisser dessus, sur son ventre, ses seins, son sexe...
            Il eut ensuite une autre idée : il lui enfonça une grosse sonde dans le vagin et la fit aller et venir : Ce n'était pas innocent ! En effet, celà avait un double effet : D'une part ça l'excitait, bien évidemment, mais son vagin bien rempli comprimait son urètre et l'empêchait d'uriner normalement et de soulager sa vessie distendue. Il la branlait un peu, le jet d'urine se tarissait presque, il retirait l'objet d'entre ses cuisses et un jet puissant s'échappait alors de son méat urinaire... Elle eût ainsi plusieurs orgasmes, de plus en plus douloureux, le visage déformé par la souffrance.
            Enfin, la poche d'eau fut vidée. Il me demanda si je voulais m'occuper de la femme : Il était en retard et avait d'autres rendez-vous. J'acceptai et il m'expliqua ce que j'aurai à faire. Dès qu'il eût quitté la pièce, je la détachai gentiment, défit le lacet autour de sa nuque et lui retirai sa
tétine grotesque. Elle me remercia d'un pauvre sourire. Elle pleurait convulsivement, claquait des dents, répétant :

- C'est horrible... oh, c'est horrible...

- Vous avez mal ?

- Oh oui, c'est horrible...

            Je caressai doucement son visage baigné de larmes et ses cheveux, la calmant peu à peu :

- Allons, c'est fini, détendez-vous, laissez-vous aller...

- J'ai froid...

            Je pris un peignoir de bain, et couvrit le haut de son corps, alors que du bas, l'eau continuait à s'écouler. Elle mit encore longtemps à finir de se vider, par la vessie et par l'anus
de toute l'eau qu'elle avait dû ingurgiter, prostrée, dolente. Peu à peu, cependant, les émissions de liquides se firent de plus en plus rares.
            Je l'aidais à se lever de la table sur laquelle elle venait de souffrir et la conduisit sous la douche. Elle titubait, et si je n'avais pas été là, elle serait tombée. Je lui donnai une douche très chaude, la savonnai partout, lui fit un shampooing. Elle se laissait faire comme une petite fille, balbutiant des remerciements. Ensuite je l'essuyai soigneusement, lui séchai les cheveux, lui fit enfiler un peignoir chaud et lui dit de s'etendre sur une table de massage... J'attendis encore une demi heure. Elle reprenait des couleurs, se calmait, mais dût se lever plusieurs fois pour aller s'accroupir sur la cuvette à la turque qui était dans un coin de la pièce.
            J'enfilai ma tenue de ville, puis je l'aidai à se rhabiller et lui proposai gentiment :

- Voulez-vous que je vous raccompagne chez vous ?

- Oh, vous feriez ça pour moi ?

- Mais oui. Attendez-moi un instant...

            J'allais frapper à la porte où je pensais trouver le kiné et lui dit que nous allions partir. J'ajoutai :

- Je vais la raccompagner chez elle. Vous n'auriez pas une couche-culotte, j'ai peur qu'elle ait des fuites en chemin.

- Oui, bien sûr, je te donne ça. Merci de ton aide, tu es sympa. Dis-moi, on pourrait passer le prochain week-end ensemble, avec Maryse, ça serait pas mal, non ? Tu penses pouvoir t'arranger pour celà ?

            J'étais ravie qu'il m'invite ainsi !

- Oui, je pense : je dirai à mes parents que je suis invitée chez mon amie, et elle dira pareil au siens... C'est déjà arrivé, et personne ne vérifiera : Nos parents respectifs ne se fréquentent pas spécialement. Merci...

- Génial, je crois qu'on va bien s'amuser... D'ici là, tu veux me faire plaisir ?

- Oui, bien sûr, que dois-je faire ?

- Tu te rendras à l'adresse que je vais t'indiquer, le plus tôt possible, et tu demandera Maguy de ma part.

- Que va-t-il se passer ensuite ?

- Tu feras exactement tout ce que l'on te dira, en sachant que c'est moi qui le désire. D'accord ?

- Euh, qu'est-ce qu'on va me faire ?

- Surprise. OK ?

- D'accord, j'irai pour vous. Vous n'êtes franchement pas ordinaire, vous !

- C'est mon charme. Allez sauve-toi et vient ici avec Maryse vendredi soir vers 18 heures... Au fait, l'offre vaut pour elle aussi...

- Pour moi, pas de problème, pour Maryse, ça doit pouvoir se faire, mais je peux rien garantir...

            Je retrouvai la jeune femme blonde et lui passai la couche sous sa jupe : Vu la longueur de celle-ci, elle n'avait pas intérêt à se pencher, sinon on verrait le plastique bleu !!! Je lui demandai :

- Vous êtes venue en voiture ?

- Oh non !

Nous partîmes bras dessus bras dessous dans les ruee de la ville et elle m'indiqua où elle habitait. Elle paraissait encore très choquée, n'ayant pas totalement récupéré depuis la dure séance qu'elle venait de subir, et à laquelle j'avais participé. Elle avait de la peine à marcher et s'appuyait lourdement sur mon bras. En route, nous échangeâmes quelques banalités et elle me remercia encore du soin que je prenais d'elle. Mes sentiments à son égard étaient très partagés, complexes : Je la méprisisais, mais aussi l'admirais pour être capable d'accepter de telles choses ; je la plaignais et l'enviais pour les même raisons...

            L'immeuble où elle habitait était bourgeois à souhait, pierre de taille, grand standing, ascenceur... Elle m'invita à monter chez elle et son appartement était à la hauteur de l'immeuble : vaste, meublé avec goût, représentant une masse considérable de fric ! Je dois avouer que celà m'impressionna fortement ! À peine entrées, elle s'excusa pour se précipiter aux toilettes... Elle revint plus à l'aise et me proposa :

            - J'ai envie d'un bain. Voulez-vous venir avec moi, après tout, je n'ai plus rien à vous cacher...

            Je la suivis dans une salle de bains de rève. Elle ouvrit les robinets pour remplir une immense baignoire, puis se mit nue. Je m'assis sur un tabouret pendant qu'elle plongeait son corps
admirable dans l'eau. Elle se décontractait à vue d'oeil, ferma les yeux et me dit d'une toute petite voix :

- Vous devez bien me mépriser, n'est-ce pas ?

- Non, madame. Au contraire ! Je vous trouve très belle et vous admire...

- Quel âge avez-vous donc ?

- Tout juste18 ans, madame.

- Tiens, comme ma fille aînée... Vous vous rendez compte que j'ai une fille qui à votre âge ?

- Non, ce n'est pas possible !

- Et pourtant si. J'ai 36 ans, me suis mariée à 18, ai eu un enfant rapidement : Faites le compte...

            En effet, c'était plausible ! Le bain la purifiait de toutes ses turpitudes, la détendait, l'aidait à reprendre du poil de la bête : Une nature ! Elle me dit encore :

- Je suis sûre que ne pouvez pas me comprendre : vous êtes encore trop jeune, et croyez-moi, ce n'est pas un reproche ! Vous avez bien de la chance : l'avenir est devant vous...

            Elle se dressa dans la baignoire, sculpturale, commença à  s'essuyer puis sortit complètement et enfila un peignoir éponge. Elle se dirigea vers sa chambre, et naturellement, je la suivis. Toujours en peignoir de bain, elle s'assit devant sa coiffeuse et se remaquilla soigneusement. Elle ouvrit ensuite un immense placard dans le mur, qui contenait un nombre de toilettes au-dessus de mes capacités de calcul mental, pour choisir les vêtements qu'elle allait passer. Elle choisit également un ensemble de sous-vêtements, et devant moi, retira son peignoir et commença à s'habiller. Je la vis se transformée peu à peu et en fus vivement impressionnée, presque intimidée : Elle enfila en premier un soutien-gorge de satin blanc, très simple, très élégant, avant de ceindre le porte-jarretelles assorti autour de sa taille. Elle déroula le long de ses jambes interminables une paire de bas couleur chair, avant d'enfiler la simple, mais très jolie, culotte blanche assortie à sa parure. Là-dessus elle passa une courte combinaison blanche également, avant de mettre un joli chemisier tout brodé, et une jupe longue de jersey beige. Des mocassins marons complétèrent sa tenue : Je n'arrivais pas à imaginer que c'était la même femme, d'une élégance recherchée que j'avais devant moi, et celle, nue, grotesque, obscène que j'avais
vu se tordre sous les affres de la tortures et se vider par le bas de toute cette eau ingurgitée de force... La métamorphose était totale !!!
Elle m'entraîna dans un salon immense, meublé d'une profusion de canapés de cuir blanc, me demandant ce qu'elle pouvait faire pour me remercier de ma gentillesse. En fait, je n'en savais trop rien : J'avais simplement agie dans un moment de compassion pour cette femme magnifique, sans espérer rien d'autre de particulier... Elle insista :

- Me permettez-vous de vous donner du plaisir, au moins ? je vous en prie...

- Si vous voulez...

            Elle ne se fit pas prier. Elle tomba à genoux devant moi, assise dans un profond canapé. Ses mains commencèrent à me caresser les jambes, remontant bientôt le long de mes cuisses, sous ma jupe. Elle posa sa bouche sur mes genoux gainés de nylon, remontant doucement sur mes cuisses, relevant en même temps ma jupe. Instinctivement, j'avançai mon bassin vers l'avant du siège pour lui facilliter le travail. Sa bouche dépassa l'ourlet de mes bas, s'attaquant directement à la chair nue du haut de mes cuisses, très sensible. Bientôt elle fut dans la fourche de mes cuisses, se posant directement sur mon sexe ! La douceur de sa langue sur mon clitoris me fit sursauter : Je m'ouvris au maximum et me laissai aller à l'ineffable caresse.
            À ce petit jeu, elle était d'une habileté diabolique ! J'eus beau me retenir, penser à des choses désagrébles pour retarder la montée inexorable de mon plaisir, rien n'y fit : Elle se montra la plus forte et je jouis longuement dans sa bouche, gémisant, criant même. Elle attendit la fin de mon orgasme avant de lever vers moi un regard reconnaissant.
            Peu après, je pris congé d'elle : je devais rentrer chez moi, et ses enfants allaient rentrer incessement. Avant de me quitter, sur le pas de sa porte, elle m'assura encore de toute sa reconnaissance, m'assura que je pouvais venir la voir quand je voudrais et me glissa sa carte avec son téléphone...

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