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Armande chez le Kiné (6)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

            Comme prévu, j'arrivai en avance chez Yolande qui me reçut toujours aussi gentiment, habillée très BCBG. Elle m'offrit un thé et me dit en rougissant :

- Vous savez, l'autre jour, j'ai gardé en moi votre petite culotte jusq'au lendemain... Si vous me le permettez, j'aimerais vous faire connaître une forme de plaisir que vous ignorez peut-être ?

- De quoi s'agit-il ?

- Me faites-vous confiance ?

- Oui...

- Alors venez avec moi, s'il vous plaît !

            Elle me prit par la main et me conduisit dans la chambre, là, elle entreprit de me déshabiller avec des gestes très doux, embrassant au fur et à mesure les parties de mon corps qu'elle découvrait. Curieuse, je me laissais faire. Quand je fus nue, elle me fit mettre à genoux sur son lit, prosternée, plutôt, le derrière très haut, cuisses écartées, passa derrière moi, posa ses mains sur mes fesses pour les écarter en douceur, et je sentis sa langue se poser sur mon anus.
            Elle me lècha longuement, assouplissant ma rosette du bout de sa langue, l'humectant de salive, la pénétrant le plus loin possible. Cette caresse délicate m'excitait prodigieusement et je sentais mon petit trou s'aprivoiser et s'ouvrir de lui-même. Quand elle jugea que j'étais prête, elle me montra un objet qui me surprit, n'en comprenant pas tout de suite l'usage.

            Il s'agissait d'un lacet de cuir, sur lequel étaient enfilées une vingtaine de grosses perles rondes et lisses. Elle revint derrière moi, suca la première boule, la posa sur mon anus, et poussa doucement pour me l'introduire : C'était une sensation très bizarre mais pas désagréable. Son doigt poussa la première boule très loin, avant de m'introduire la seconde de la même façon, et ainsi de suite : Elle sucait une perle pour l'enduire de salive, la posait contre mon anus, poussait et me l'introduisait. Peu à peu, je sentais mon rectum se remplir, s'alourdir, comme une grosse envie d'aller à la selle...
            Quand mon petit cratère eût absorbé toutes les boules, elle me fit mettre sur le dos, cuisses écartées et se mit à me sucer savamment le sexe. J'étais déjà trempée d'excitation quand elle posa sa bouche sur mon intimité. Tout en me lèchant, je sentis qu'elle tirait sur le lacet : Je sentis la perle forcer sur mon anus, puis le franchir et ressortir. C'était une sensation incroyable ! Et elle continua ainsi un moment, me sucant la chatte, et faisant ressortir les perles une à une, faisant grimper mon excitation sur des sommets. Quand elle me sentit sur le point de jouir, elle tira brusquement sur le lacet, faisant ressortir rapidement de mon anus la dizaines de perles qui s'y
trouvait encore emprisonnée.
            Jamais je n'avais éprouvé un tel plaisir, un orgasme d'une telle intensité, qui me fit hurler ! J'étais anéantie, et elle ravie de m'avoir donné autant de plaisir... Elle me damanda gentiment :

- Vous avez aimé ?

- Oh oui, beaucoup ! Merci. Est-ce qu'à mon tour je peux t'être agréable ?

- Oui, si vous le voulez bien...

            Elle me tendit une cravache, s'allongea par terre, releva sa jupe très haut sur son ventre, et écarta largeement ses cuisses. Sous sa longue jupe de lainage, elle portait des bas et une petite culotte de soie blanche. Je compris l'invite, l'enjambai, posant un pied de chaque côté de son buste, levai la cravache et l'abattis entre ses cuisses, longitudinalement, sur la partie renfoncée de son slip. Elle se cabra, gémit, mais ne referma pas ses jambes. Je la frappais cinq fois sur cette partie si fragile de son corps, même si sa fine culotte semblait lui apporter une protection illusoire. Elle se releva les yeux emplis de larmes et me dit simplement :

- Merci...

            Je me rhabillai en vitesse, moins la culotte : Il était l'heure de notre rendez-vous avec le kiné diabolique. Que nous réservait-il aujourd'hui ? Yolande, quant-à elle se contenta pour
tout préparatif, de retirer son slip...
            En chemin, elle me fit part de son angoisse, se demandant ce qui allait lui arriver, et du plaisir, justement que lui procurait cette même angoisse. Elle m'avoua même dans un souffle :

- Je suis morte de trouille, et je mouille comme il n'est pas permis : Allez y comprendre quelque chose...

            Il nous attendait devant son cabinet, au volant de sa voiture et nous dit :

- Montez ! Aujourd'hui, ça se passe ailleurs...

            Nous prîmes place sans poser de question, moi à l'avant, près de lui, Yolande à l'arrière. Durant le trajet, il ne dit pas grand-chose, se contentant de me caresser un peu les cuisses, mais de façon distraite. Il se gara devant un immeuble annonyume et nous invita à le suivre. Au deuxième étage, il n'y avait qu'une seule porte, sans signes distinctifs ; il sonna et une jeune femme brune, vêtue comme une soubrette de commédie, robe noire très courte, bas noir, petit tablier et coiffe de dentelle blanche, nous ouvrit. Elle sourit de toute ses dents à Eric qu'elle semblait bien connaître. D'un signe de tête, il lui désigna Yolande. Aussitôt, elle prit celle-ci par le bras, lui disant :

- Si vous voulez bien me suivre, je vais vous préparer...

            Se retournant vers nous, elle ajouta :

- Vous connaissez le chemin...

            Les deux jeunes femme disparurent par une porte, et je suivis le kiné le long d'un couloir étroit, jusqu'à une petite pièce dans laquelle il me fit entrer. Elle était simplement meublée d'un canapé et de deux fauteuils, tous dirigés vers une grande vitre sombre qui couvrait une grande partie de l'un des murs. J'étais intriguée, me demandant où nous pouvions bien être. Lui, tranquillement, referma le verrou de la porte, et me dis :

- Repère bien les lieux : je vais éteindre la lumière.

- Où sommes-nous ?

- Dans un bordel. Déshabille-toi complètment et vient près de moi...

            Je lui obéis et il commença à me caresser un peu partout. Soudain, j'eus un mouvement de recul : La vitre face à nous venait de s'illuminer d'une lumière crue, dévoilant la pièce qui était derrière ! Il me rassura :

- N'aies pas peur, nous pouvons tout voir, mais nous sommes invisibles : il s'agit d'une glace sans tain ! De même, on peut tout entendre grâce à un système de micros, mais la pièce dans laquelle nous nous trouvons est totalement insonorisée...

            La pièce voisine était bien éclairée, assez dénudée. Sur une chaise étaient posés un martinet et une cravache. Mais ce qui m'étonnait, c'était une sorte de meuble, placé là, un peu en
biais par rapport à nous, et dont je ne compris pas tout d'abord l'usage : C'était un ensemble de tubes chromés et de quatre plateaux rembourrés, recouverts de cuirs noir. D'un côté, l'un de ces plateaux touchait un mur, assez grand, carré ; un autre, plus petit et rectangulaire lui était relié par une tige métallique ; enfin, à l'autre extrémité de l'étrange engin, les deux derniers plateaux, étroits longs et presque parallèles : Assez raprochés vers le plateau central, ils divergeaient nettement à leur autre extrémité. Comme je l'ai dit, tout celà reposait sur des pieds chromés, et sur les bords des plateaux, étaient fixées des sangles en cuir noir également...
            Je n'eus pas le temps de me poser beaucoup de question : La porte s'ouvrit et Yolande, apparût, encadrée par deux jeunes femmes vêtues comme celle qui nous avait acceuillis. Elle avait les poignets reliés par devant par une paire de menottes et était quasiment nue, si l'on excepte des bas résilles noir, montant très haut sur ses belles cuisses, et maintenus en place par des jarretières de dentelle rouge et noire du plus mauvais goût, et des escarpins vernis noirs à talons aiguilles d'une hauteur démente. Son visage reflétait une très grande apréhension.
            Une des soubrette lui passa sur la tête une cagoule de tissu noir opaque, qui lui couvrit tout le visage, et la fixa autout de son cou par un lacet. Ensuite les deux soubrettes l'aidèrent à
pendre place sur l'étrange meuble : Elles la firent s'agenouiller sur les deux plateaux du bout, puis poser le ventre sur le support central, avant de mettre la tête et les bras, ainsi que le devant des épaules sur la tablette fixée au mur. Ensuite elle entreprirent de l'immobiliser : Ses bras furent tirés en avant et ses menottes fixées à un anneau scellé dans le mur ; une sangle passant autour de sa taille solidarisa son ventre avec le support central ; enfin, chacun de ses mollets fut fixé à l'un des supports, par deux sangles : L'une presque au genou, l'autre à la cheville.
            Tous les plateaux étaient mobiles et elles entreprirent alors de donner au corps de Yolande la position qui convenait. Quand elle eurent fini les divers réglages, elle regardèrent leur oeuvre d'un oeil critique avant de s'éclipser.
            Je regardais aussi, cependant qu'Eric me glissai vicieusement un doigt dans le derrière. Elle était superbe ainsi, d'une obscénité flamboyante ! le haut de son corps magnifique, à la peau très blanche, étiré, les reins très cambrés, la croupe plus haute que la tête, genoux légèrement fléchis et si écartés qu'on voyait saillir comme des cordes, les tendons en haut et à l'intérieur de ses cuisses. Ses seins en peu lourds pendaient sous son torse. Sa position, pieds plus écartés que les genoux, dévoilait entièrement ses parties les plus intimes : Son sexe parfaitement épilé formait un renflement fendu et entrouvert au milieu de sa croupe écartelée, son anus rose aussi était visible, bien dégagé... La crainte de ce qui allait se passer, et qu'elle ignorait, couvrait ses fesses et le haut de ses cuisses de chair de poule.
            Elle n'eût pas longtemps à attendre : la porte s'ouvrit sur un homme entièrement nu, en pleine érection. Il n'était pâs très grand, paraissait une cinquantaine d'année. D'emblée, sans fioriture, il se posta debout entre les jambes de la jeune femme, guida son sexe de la main et le présenta à l'entrée du vagin offert à sa convoitise et la pénétra d'un grand coup de rein. Il la saisit alors par les hanche et entreprit de la baiser rapidement : au bout de quelques minutes, il s'immobilisa en grognant, ventre plaqué aux fesses de sa victime, et je compris qu'il jouissait. Il retira sa verge ramollie du ventre de la femme et l'essuya sur ses fesses avant de quitter la pièce.             Quelques instant plus tard, c'est un grand Noir, doté d'un sexe énorme qui fit son entrée, considérant la croupe mise à sa disposition d'un air gourmand. Sans aucune délicatesse, il lui plongea un gros doigt dans le vagin, le ressorti aussitôt pour le lui mettre entre les fesses. Yolande gémit sous l'intrusion, mais cria très fort quand l'homme remplaça son doigt par son pénis ! Au début, il eut du mal à introduire sa matraque de chair dans le sphincter de Yolande, mais, en forçant, finit par y parvenir et la fit hurler tout le temps qu'il la sodomisa.
            Pendant une heure environ, les hommes se succédèrent entre les cuisses ou les fesses de Yolande, la baisant, l'enculant, passant d'un orifice à l'autre... Certains se contentaient de se branler dans l'un ou l'autre de ses trous, d'autres lui assénaient de grandes claques sur les fesses, ou lui malaxaient durement les seins, ou même fouettaient sa croupe au martinet ou à la cravache, avant ou après en avoir joui ! Une dizaine d'hommes se succédèrent ainsi, de race et d'âge variés. La plupart l'injurait tout en profitant d'elle, la traitant de pute, de salope, de chienne lubrique...
            J'étais fascinée par le spectacle de cette femme très chic habituellement, réduite à l'état de jouet sexuel pour tous ces hommes, de poupée... De notre côté, nous n'étions pas restés inactifs : après m'avoir préparé un peu, il avait exigé que je m'asseois sur lui en lui tournant le dos. Il me guida pour que mon petit trou se pose sur le bout de son gland et me dit :

- Allez, avale !

            Malgré la douleur, j'y parvins petit à petit, finissant par sentir ses poils pubiens me chatouiller entre les fesses. Sur ses indications, je ne bougeais que très peu, pour qu'il ne parte pas trop vite, par contre, il m'autorisait à me caresser, ce dont je ne me privai pas : Chaque fois que j'obtenais ainsi un orgasme, mon trou du cul se resserrait autour de la base de son membre viril, ce qui le faisait durcir encore plus entre mes fesses...
            Au bout d'une heure, donc, le vagin et l'anus de Yolande laissaient échapper le trop plein du sperme que tous ces hommes avaient déversé en elle, laissant des traînée blanchâtres le long de ses cuisses, jusque sur ses bas ! À ce moment, ce ne fut pas un nouvel homme que je vis entrer, mais un étrange couple de femmes. Eric, toujours fiché au plus profond de mon cul, me
souffla :

- Regarde, c'est intéressant...

            L'une était assez forte, très brune, d'un certain âge, vêtue d'un ensemble de cuir, soutien-gorge clouté, slip, cuissardes ; l'autre, beaucoup plus jeune, était entièrement nue, brune aussi,
le corps maigre, et marchait à quatre pattes, tenue en laisse par la première. La grosse femme vêtue de cuir conduisit son esclave entre les jambes de la feemme attachée, dirigeant son visage, à l'aide de la laisse vers la croupe couverte de sperme, disant :

- Allez, lèche ! Tu vas nettoyer le cul de cette pute avec ta langue !

            Je vis nettement la grimace de dégoût intense qui s'afficha sur le visage de la fille nue, mais sans protester, elle avança son visage vers le sexe de Yolande. Je remarquai aussi qu'elle
avait tout le corps zébré de lignes rouges : Elle avait dû être fouettée sauvagement et récemment. Le kiné m'expliqua :

- La fille est une lesbienne inconditionnelle et déteste le sperme, mais sa maîtresse ne la nourrit pratiquement que de ça...

            La fille tenue en laisse sortit sa langue et se mit à laper tout le foutre répandu : Dans le sexe de Yolande, son anus, sur ses fesses, ses cuisses et même le haut de ses bas... Sa maîtresse l'encourageait dans sa besogne par des coups de cravache appliqués sur sa croupe, et ne la ramena que quand elle estima que son esclave avait terminé son travail de nettoyage !
            Et le défilé des hommes repris, chacun utilisant la croupe de Yolande comme il l'entendait, la fouettant, la pénétrant soit dans le sexe, soit entre les fesses, surtout entre les fesses d'ailleurs... Je jouissais de voir ainsi cette belle femme se faire avilir de la pire façon qui soit ! Eric, toujours profondément fiché dans mon derrière, se décida enfin à jouir quand la femme revint avec sa chienne pour lui faire lécher le cul de la victime consentante, m'inondant le fondement de son sperme trop longtemps contenu. Il n'en finissait pas de se vider dans mon cul : Un vrai lavement !
            Enfin le défilé des hommes était terminé. Deux soubrettes vinrent détacher Yolande. Peu après, rhabillées toutes les deux, je la raccompagnai chez elle où, tout en buvant du thé, elle me
raconta ce qu'elle avait ressenti durant cette séance mémorable, la honte intense, autant que le plaisir : Elle m'avoua avoir joui à de nombreuses reprises. Nous étions installées dans le grand
salon de son appartement, assises sur des fauteuils modernes, bas, en cuir blanc, moi habillée normalement, elle seulement vêtue d'un porte-jarretelles et de bas, comme je lui avais demandé en arrivant : Elle m'avait servi ainsi. De me décrire ses impressions semblaient l'exciter à nouveau ; elle croisait les jambes, les décroisait, s'agitait dans son fauteuil. Je lui demandai brusquement :

- Tu as envie de te branler, n'est-ce pas ?

- ... Oui... Souffla-t-elle.

- Et bien fais-le !

            Elle rougit violemment, mais sans protester, elle écarta largement ses belles cuisses, et glissa sa main droite entre elles. Tout le temps de sa masturbation, elle me regarda, très rouge... Quand elle jouit, en gémissant, ses cuisses se refermèrent sur sa main. Le thé m'avait donné envie d'uriner, et je lui demandai où étaient les toilettes. Elle se leva, et répondit :

- Si vous le permettez, j'ai mieux à vous proposer...

- Laissez-moi faire, s'il vous plaît !

            Intriguée, je ne dis rien. Elle vint vers moi, porta les mains à ma taille pour dégraffer ma jupe avant de me la retirer doucement, avant de s'attaquer à ma petite culotte qu'elle m'ôta également. Je me laissai faire, me contentant de soulever les fesses pour lui faciliter la tâche. Elle me guida ensuite, afin que mes fesses soient au bord du fauteuil, me fit replier mes cuisses écartées sur ma poitrine, et se mit à genoux face à mon entrecuisses, écarta délicatement mon sexe de ses deux mains, et y plaqua étroitement sa bouche ouverte, avant de lever vers moi
son regard suppliant.
            Je compris tout de suite ce qu'elle désirait, mais je n'osais pas : Je n'avais encore jamais fait pipi dans la bouche de quiconque ! J'hésitai un bon moment avant de me décider à lâcher mon premier jet d'urine : Pendant ce temps, elle me donnait des petits coups de la pointe de sa langue sur le clitoris et aussi le méat urinaire, augmentant mon envie de pisser... Quand enfin je réussis à émettre les premières gouttes, je lus la reconnaissance dans son regard et elle plaqua sa bouche encore plus étroitement contre ma vulve. Une fois partie... Ma vessie se ralâcha complètement et se vida longuement dans sa bouche acceuillante. C'était une sensation inéfable, de sentir ces lèvres chaudes absorber mon urine au fur et à mesure qu'elle jaillissait, je la voyais déglutir, au fur et à mesure pour ne pas en laisser échapper une seule goutte.
            Je pissai longuement dans la bouche servile de Yolande, et quand j'eus terminé, elle ne retira pas ses lèvres de ma chatte, continuant à me lècher consciencieuseement, finissant par me faire jouir... Ensuite, elle me reculotta très gentiment et me remit ma jupe. Elle me demanda humblement :

- Si vous le permettez, je vais me rhabiller : Mes filles vont rentrer d'un moment à l'autre...

- Bien sûr ! Moi, je vais me sauver...

- Je ne veux pas vous chasser ! Bien au contraire, j'aimerais que vous restiez : Je dois les punir toutes les deux ;
celà vous intéresse-t-il d'assiter à leur pénitence ?

Avant que je réponde, elle ajouta :

- Vous savez, malgré les apparences, j'élève mes deux filles de façon extrèmement stricte, comme je l'ai moi-même été. Vous pourrez participer si vous le désirez... S'il vous plaît !

- D'accord !

- Oh merci, merci !

            Je la suivis dans la salle de bain où elle prit une douche rapide, puis dans sa chambre et assistais, toujours fascinée, à sa transformation en jeune femme BCBG : Personne, la voyant
ainsi, n'aurait imaginé une seconde qu'elle venait de passer une partie de l'après-midi dans un bordel, à se faire enfiler par tous les trous par des dizaines de mâles affamés ! En attendant
la première de ses filles, elle me parla d'elles :

- Elles sont toutes deux élèves dans une boite privée où la discipline est rude, ce qui ne les empêche nullement de se montrer dissipées : J'ai eu un coup de fil édifiant à ce sujet. L'aînée, Frances marche bien à l'école, mais est très indisciplinée et à besoin d'être dressée sans défaillance. Quant-à sa soeur, Audrey, c'est la croix et la bannière pour arriver à la faire se laver correctement : Encore pire que son aînée qui a tendance à ne nettoyer que ce qui dépasse ! Savez-vous ce qu'elles font ?

- Non ?

- Et bien elles s'enferment dans la salle de bain et regardent couler les robinets pour faire croire qu'elles se lavent, vous vous rendez compte !!!

            Je souris intérieurement : moi-même, si je faisait des efforts pour être toujours impeccable, surtout depuis que je connaissais le kiné, j'en avais fait bien autant, comme sans doute la majorité des adolescents, qui ont tendance à se complaire dans un certain négligé, mais je m'exclamai :

- Tu as tout-à-fait raison : Il faut les punir pour ça ! Pendant qu'elles seront là, je te dirai "vous" : je suppose que ta vie personnelle ne les regarde pas ?

- Oui. Je vous remercie d'y avoir pensé...

            Nous échangeames des propos en attendant l'arrivée de ses filles. On sonna. C'était Frances, l'aînée, qui arrivait. Je l'entendis dans l'entrée dire poliment :

- Bonsoir Mère...

            Immédiatement, j'entendis claquer une paire de giffles et Yolande dit :

- Viens au salon, nous avons à parler toutes les deux, je suis très mécontente de toi !

            Elle entra, poussant sa fille devant elle. C'était une jolie blonde, à peu près de ma taille, sobrement mais très élégament vêtue. La peau de ses joues porait la marque de la paire de baffes qu'elle venait de recevoir en guise d'acceuil, elle était très rouge et baissait la tête comme prise en faute. Sa mère fit rapidement les présentations :

- Armande, voici Frances, ma fille aînée.
            Elle s'assit dans un fauteuil et fit signe à sa fille d'approcher, la laissant debout devant elle penaude, tête baissée et attaqua tout de suite :

- As-tu mis une culotte propre ce matin ?

- Oui mère, bien sûr...

- Menteuse !

Et aussi sec, elle lui donna une paire de giffles retentissante.

- Tu mens. Ce matin tu as subi la visite médicale scolaire, n'est-ce pas ?

- Oui mère...

- Eh bien on m'a signalé à cette occasion que ton petit endroit n'était pas très propre. J'ai très honte pour toi, et tu va être punie pour celà.

La fille éclata en sanglot, suppliant :

- Oh non, Mère, je vous en supplie ! J'ai dû oublier, je vous promets que je ne le ferai plus !

- Trop tard ! As-tu fais ta toilette intime ce matin ?

- Euh... je ne sais plus...

- Eh bien nous allons le vérifier. Enlève ton slip et donne-le moi !

            La fille me jeta un regard affolé, mais n'osa se rebeller, glissa ses main sous sa juppe et se déculotta maladroitement, tendant le petit chiffon de tissus bleu à sa mère qui le déplia et en examina attentivement l'entrejambe, me prenant à témoin :

- Qu'en pensez-vous Armande ?

- En effet, cette culotte a sans doute été portée plusieurs jours pour être aussi souillée !

            L'adolescente ne savait plus où se mettre, rouge de honte. Sa mère la prit fermement par le bras en disant :

- Allons dans ta chambre pour régler ça !

            Elle l'obligea à se déshabiller entièrement dévoilant un joli corps gracile et à la peu très blanche, et à s'allonger sur son lit. Elle lui ordonna alors d'écarter les jambes pour regarder sa féminité, à peine voilée par un duvet très clair. Il s'en exhalait une odeur forte et ses poils blonds étaient poisseux, collés... Elle lui ordonna ensuite de se proterner sur le lit, et lui ouvrit les fesses à deux mains, dévoilant son anus, lui non plus pas très propre...

- Je vais t'apprendre à te laver le derrière, crois-mois !

            Elle s'assit sur une chaise, bascula sa fille en travers de ses genoux et lui appliqua une solide et interminable fessée. La pauvre fille gémissait, criait, suppliait. Instinctivement, elle serrait et écartait les jambes, ce qui à chaque fois me donnait des apperçus fort intéressants sur ses parties les plus intimes. Au bout d'un moment, fatiguée de frapper, Yolande me demanda de
la remplacer et de continuer à fesser Frances. Je pris donc sa place, la fille couchée à plat ventre sur mes cuisses et entrepris de reprendre la fessée sur son postérieur déjà bien rouge. Elle pleurait, suppliait, ruait, tentait de se libérer, mais je la tenais solidement par la taille...
            J'en avais mal à la main de claquer ces jolies fesses rondes et dures. Yolande revint, tenant un martinet, et me fit signe de la tenir solidement. Elle leva le martinet et l'abbatit sur les fesses de sa fille, la faisant sursauter violemment. Sous les hurlements de la punie, elle entrepris de la fustiger sévèrement, sur les reins, les fesses, le haut des cuisses, et même entre elles, parfois, frappant longitudinalement quand l'autre ne s'y attendait pas, faisant redoubler ses cris !
            Quand elle jugea que c'était suffisant, au bout d'un grand moment, le derrière de la fille était rouge tomate, strié dans tous les sens par la marque des lanières du martinet, elle sanglotait convulsivement. Mais sa mère n'en avait pas terminé pour autant avec elle : Elle la traina, dolente et toute nue vers la salle de bains et la fit asseoir sur le bidet, me demandant de lui maintenir solidement les poignets dans le dos. Alors elle enfila un gant de toilette, le savonna et frotta énergiquement l'entrecuisse de sa fille. Après rinçage, c'est un gant de crin qu'elle prit pour le passer sans ménagement sur les zones les plus fragiles et intimes de sa fille : Ce fut du délire, tant
celle-ci hurlait, se débattait, au point que j'avais toutes les peines du monde à maintenir ses poignets !
            Pour finir, Frances, le visage baigné de larmes, tenant à peine debout, fut conduite vers un étroit placard, dans lequel elle ne pouvait se tenir que debout. Avant de l'enfermer toute nue dans le noir, Yolande lui dit :

- Tu vas réfléchir un peu, ça va te faire du bien. En tout cas, dorénavant, j'inspecterai systématiquement ta propreté intime avant que tu ailles à l'école...

            La deuxième fille de Yolande, Audrey, arriva un peu plus tard, elle aussi fut cueillie à froid par une paire de giffles bien sentie, son cartable encore à la main. Encore d'aspect enfantin, petite, de long cheveux châtains et de beaux yeux bleus pour l'instant remplis de larmes. Sa mère la morigéna un moment et lui demanda :

- As-tu fait correctement ta toilette ce matin ?

- Oh oui, Mère !

- Eh bien nous allons voir celà tout de suite. Viens dans ta chambre...

            Pas très fiere, la gamine nous suivit dans sa chambre. Nous avions convenu avec Yolande, que c'est moi qui m'en occuperait. Elle lui dit :

            - Armande, ici présente, va s'assurer que tu es bien propre de partout. Tu vas te laisser faire bien gentiment, sinon, gare !
            La gamine me jeta un ragard paniqué. J'étais nettement plus grande qu'elle, et tournais autour d'elle, sans rien dire, la regardant de haut en bas, la mettant très vite mal à l'aise, jouant en quelque sorte au chat et à la souris. Je procédai par étape, pour graduer l'humiliation : Je lui fit ouvrir grand la bouche, regardai l'intérieur de ses oreilles, soulevai ses cheveux pour voir derrière. Tout celà n'était pas nickel et je le dis à la mère, au désarroi grandissant de la fillette. Je dis à Audrey :

- Lève les bras très haut !

            Sans comprendre, elle obéit. Je me penchai alors pour la renifler sous les aisselles : C'était concluant ! Je lui ordonnai alors :

- Déchausse-toi et enlève tes chaussettes !

            La aussi, paniquée, toute rouge, elle obéit. Je la fis alors s'allonger sur son lit et me penchai sur ses pieds, écartant ses orteils : Pas net non plus de ce côté là ! Je me tournais vers sa mère :

- Chère amie, je puis d'ores et déjà vous affirmer que votre fille est très négligée et qu'elle ne s'est lavée ni les dents, ni les oreilles, ni les pieds, ni sous les bras récemment... Je suppose qu'il en est de même pour sa petite toilette, mais avant de le vérifier, je suggère déjà une bonne fessée. Qu'en pensez-vous ?

- Je vous laisse juge...

Je me retournai vers la fillette :

- Tu as entendu ? Mets-toi à plat ventre !

Elle pleurnicha :

- Oh non, je vous en prie, pas la fessée, s'il vous plaît...

            Mais prit la pose indiquée. Je rabattis sa courte jupe plissée sur son dos, découvrant ses cuisses maigres et son petit derrière moulé dans une culotte de coton blanc côtelé, plutôt douteuse. Je commençai alors à la fesser sans douceur au travers de sa culotte. La petite crie très fort, ce qui ne m'empêche pas de demander un martinet à sa mère pour lui fustiger les fesses, les cuisses et les mollets : Je dois la maintenir fermement de ma main gauche au creux de ses reins. La fillette rue, se trémousse, pleure supplie... Quand je la relâche, elle se lève, trépigne sur place en se frottant de derrière à travers le fond de sa jupe. Je m'assis sur une chaise et lui dit sèchement :

- Viens ici, que je vérifie ta propreté intime !

- Non ! Pas ça ! Je ne veux pas !

            Aussitôt yolande lui assène une magistrale paire de giffle, l'empoigne et me l'amène, la tenant debout, sanglotante, face à moi, lui maintenant les poingets dans le dos. Je commence par lui dégraffer et lui retirer sa jupette, avant de lui baisser sa culotte à mi-cuisse : la couleur jaunâtre de l'entrejambe est révélateur ! Son pubis est totalement imberbe, renflé, et sa petite fente charnue est close, comme il est normal à son âge.
Je glisse mes doigts entre les lèvres de son sexe poisseux et les porte à mes narines en faisant la grimace : ils sentent très fort la petite fille négligée ; je les lui mets également sous le nez et elle détourne le visage. Je finis alors de la déculotter et m'adressant plus particulièrement à sa mère, je dis :

- Elle est vraiment très sale ! Bon on va voir le derrière maintenant : faites-la pencher en avant !
            Yolande aussitôt, relève les poignets de sa fille, qu'elle tient toujours, jusqu'à la verticale, l'obligeant à se plier en deux, et à écarter largement les jambes pour maintenir son équilibre. Je m'accroupis derrière elle, pose mes mains sur ses petites fesses et les écarte le plus que je peux, pour dévoiler son anus. Une odeur puissante se dégage de tout son entrecuisse. Je glisse mes doigts dans sa raie, juste pour le plaisir de l'humilier, posant mon index sur son petit trou, poussant un peu, le pénétrant d'une phalange. Je me relève et dit à sa mère :

            - Je pense qu'à part une bonne toilette, votre fille mérite d'être punie sur cet endroit si négligé...

            Elle opine. Nous finissons de déshabiller la petite Audrey et l'installons pour la punir : nous la mettons sur son lit, sur le dos ; ses poignets sont tirés vers le haut et attachés avec une cordelette aux barreaux du lit ; nous relevons également ses jambes vers la tête du lit, les écartons au maximum et les attachons également. Il ne reste plus qu'à lui glisser un coussin sous les fesses. Elle est écartelée, béante, montrant tous ses petits trésors intimes, et n'en mène pas large !
            Elle a raison, d'ailleurs : j'ai décidé de la fouetter à l'aide du martinet, uniquement entre ses cuisses en grand écart. Dès les premier coups, elle hurle comme une écorchée vive. Pour ne plus l'entendre, je saisis sa culotte sale et lui enfonce l'entrejambe souillé tout au fond de la gorge : Ainsi baillonnée, elle ne peut plus émettre que des grognements, sanglotant à chaudes larmes. Quand je cesse de la torturer, toute la zone que je vient de punir et rouge, enflée. Nous la laissons dans cette position pour aller discuter au salon.

Yolande me félicite et me propose :

- Voulez-vous rester ici ce soir ? Mon mari est en déplacement pour quelques jours... De plus, vous pourriez ainsi continuer à punir mes deux pisseuses qui en on bien besoin... Qu'en pensez-vous ?

perverpeper@perverpeper.com

 

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