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Armande chez le Kiné (5)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

            Le soir même, nous eûmes un long entretien avec Maryse, à qui je racontai mon après-midi en détail, y compris le supplice de la femme blonde et ce qui avait suivi. Elle était partante pour le week-end prochain : Cela ne posait aucun problème : Ses parents, aussi bien que les miens, possédaient une maison de compagne, qui ni l'une ni l'autre, confort rare, ne disposait du téléphone ! Cela ne posait donc aucun problème de mise en place.
Quant-à l'invitation de me (ou nous...) rendre à l'adresse qu'il m'avait donnée, elle était un peu réticente... Après discussion, nous décidâmes d'y aller ensemble le vendredi après-midi : Il nous suffisait de sécher un cours au lycée... La discussion nous ayant échauffées, je lui proposai de la caresser, ce qu'elle accepta : Elle retira sa petite culotte, et je plongeai mon visage entre ses cuisses pour lui bouffer la chatte (je commençais à bien aimer...). Je refusai la réciproque, estimant avoir ma dose de plaisir pour aujourd'hui !!! Rendez-vous fut pris pour le vendredi en début d'après-midi.

            Nous avions chacune un petit sac de voyage contenant nos affaires pour le week-end, que nous passâmes déposer au cabinet du kiné. Comme prévu, c'était passé comme une lettre à la poste et il était ravi. Nos parents respectifs étant ravis de notre bonne entente et de notre amitié : autant l'une que l'autre, nous étions très fréquentables, au moins en apparence ! Il me demanda :

- Tu as été à l'adresse que je t'ai indiquée ?

- Non, mais nous avions l'intention de nous y rendre toutes les deux...

- Excellente idée !!! Allez-y tout de suite, je préviens de votre arrivée... À tout à l'heure !

            L'adresse correspondait à une boutique de lingerie, dans un quartier périphérique. La vitrine arborait des dessous féminins très variés. Nous demandant ou nous allions, nous entrâmes
néanmoins bravement, nous soutenant mutuellement. Aussitôt une vendeuse s'avança vers nous, demandant :

- Vous désirez, mesdemoiselles ?

- Nous voudrions voir Madame Maguy de la part...

- Oui, je suis au courant. Si vous voulez bien me suivre...

            À sa suite, nous traversâmes le magasin et elle nous emmena dans une pièce de l'arrière-boutique, meublée d'un canapé rouge sur lequel était assise une grande femme brune d'un certain âge, vétue d'une longue robe noire et moulante, fumant une cigarette à l'aide d'un fume-cigarette très long. La vendeuse lui dit :

- Madame, voici les deux jeunes personnes annoncées.

- Très bien laisse-nous...

Elle nous toisa de haut en bas avec insistence, debout devant elle, passablement intimidées. L'ordre tomba brusquement :

- Déshabillez-vous. Allez, à poil toute les deux...

            Je sentis que Maryse allait dire quelque chose et lui flanquait un coup de coude pour qu'elle la ferme. Nous commençâmes donc à nous débarasser de nos vêtements, que nous
posions au fur et à mesure que nous les ôtions, sur une chaise.
La femme nous observait d'un oeil aigu, nous mettant mal à l'aise. Au moment d'enlever notre petite culotte, nous eûmes une seconde d'hésitation vite réprimée :

- Allons, mesdemoiselles, j'ai dit à poil ! Enlevez aussi votre slip...

            Dès que nous fûmes toute nues, elle nous fit approcher d'elle, nous examinant de la tête au pied, nous faisant tourner sur nous même, pencher en avant... Elle m'attira encore plus près d'elle, et se mit à me palper tout le corps, lentement, posément, un peu comme un maguignon tâterait une bête au marché. Elle posa ses doigts osseux et secs sur mes seins, ma taille, mes fesses, me fit même écarter les cuisses pour me tâter le sexe et même l'anus ! J'étais morte de honte sous cet examen indiscret, mais n'osai rien dire, ni protester. Elle m'abandonna, me laissant debout comme une idiote, pour s'intéresser de la même façon à ma copine quand elle eût fini de la tâter sous toutes les coutures, elle appuya sur un timbre et une jeune vendeuse en blouse blanche apparût. Elle lui dit :

- Vous allez prendre les mensurations de ces deux demoiselles.

            L'autre commenca par mon amie, notant tous les chiffres, avant de s'occuper de moi de la même façon : à l'aide d'un mètre souple, elle prit tout un tas de mesures : le tour de ma poitrine, de ma taille, de mes hanches, de mes cuisses, la distance de mon entrejambe au sol, etc... Pendant ce temps, la  femme ne me quittait pas du regard, continuant à fumer tranquillement.
            La vendeuse s'absenta et revint avec une de ses collègues, les bras chargés de boîtes. On nous essaya alors tout un assortiment de dessous plus cochons les uns que les autres : Je ne savais même que ce type de lingerie pouvait exister ! Toujours de couleurs criantes, bordés de dentelle. Les soutien-gorges se contentaient de soulever les seins, sans les cacher, quant-aux petites culottes, elles étaient fendues entre les jambes, montrant plus qu'elles ne cachaient ! Des guépières, des porte-jarretelles, des bas de toutes les couleurs, avec ou sans couture, avec ou sans dessins... On nous essaya aussi des robes et des jupes plus ou moins sexy. Nous étions mortes de honte d'être ainsi manipulées, comme de vulgaires poupées qu'on habille (si je puis dire...) ou déshabille. La femme n'en perdait pas une, prenant des notes à toute vitesse. Les vendeuses nous laissèrent et furent remplacées par deux autres jeunes femmes à qui la patronne donna des ordes rapidement et à mi-voix.
            L'une d'elles prit mon amie par la main et l'entraîna avec elle. L'autre en fit autant avec moi, toujours toute nue. Elle m'emmena dans une petite pièce dont le meuble le plus visible était une table, type gynécologie, munie de ses étriers. Ma cicérone me fit asseoir sur un pouf recouvert de fourrure synthétique, dont les poils me piquaient un peu les cuisses, face à un miroir violemment éclairé par des spots. Elle passa sur mon visage un tampom enduit de démaquillant, me nettoyant la peau. Ensuite, armée d'une pince à épiler, elle entrepris d'éclaircir mes sourcils, arrachant ceux qui lui paraissaient superflus. C'était un peu douloureux, mais néanmoins très supportable.
            Elle me demanda ensuite de croiser mes mains retournées sur le sommet de ma tête et me vaporisa un produit mousseux sous les aisselles. Je dus garder la pause un petit moment, puis elle racla la mousse avec une spatule de bois, et mes poils par la mème occasion. Elle me tâta doucement pour vérifier la qualité de l'épilation puis me passa une lotion adoucicante. Elle s'occupa ensuite de mes mains et me fit les ongles. Elle fit de même pour mes pids, me les faisant poser l'un après l'autre sur tabouret. Elle semblaiit très professionnelle, avec des gestes surs et une économie de parole. Je fus surprise quand elle me dit calmement :

- Maintenant, allongez-vous sur la table et mettez vos pieds dans les étriers.

            J'osais demander :

- Mais pourquoi faire ?

- Pour que je puisse procéder à votre épilation intime.

- Quoi ? mais je ne veux pas !

- Cela fait pourtant partie du programme, mademoiselle !

            Elle gardait tout son calme, attendant que je me décide. Je réfléchis rapidement : c'est le kiné lui-même qui m'avait envoyé ici, et il ne pouvait ignorer ce que l'on alliait me faire ; mieux, c'est sans doute lui qui avait fixé le programme... Je vouslais lui plaire, et lui était déjà très soumise, alors je n'allais pas faire d'histoire pour quelques poils, qui de toute façon repousseraient. Je haussai les épaules, dit "OK" et m'installai sur la table, cuisses au grand écart. Elle me sourit, et me dit gentiment :

- Vous verrez, c'est très joli et très doux. Et puis vous ne pouvez pas imaginer le nombre de femmes et de jeunes filles qui ont le sexe entièrement épilé... Moi-même, par exemple...

            Comme pour le reste, elle agit avec calme et efficacité : On voyait bien que c'était une esthéticienne confirmée ! Elle étala de la mousse sur tout mon pubis, mon bas-ventre, mes aines, le haut de l'intérieur des cuisses, une partie de grandes lèvres. Comme pour les aisselles, il fallut attendre que le produit agisse, puis elle le retira délicatement avec une raclette et ma toison partit avec la mousse. Elle nettoya toute la zone épilée avec des cotons imbibés de lotion adoucissante. Il me restait plus qu'une mince ligne de poils, de chaque coté de ma fente. Elle m'expliqua :

- Je vais continuer au rasoir, car sur la zone qui reste, l'emploi d'un dépilatoire peu être dangereux...

            En effet, par petites touches, elle me passait un peu de savon avec un blaireau, le faisait mousser, ce qui me chatouillait, puis glissait ses doigts dans ma fente, tirait sur ma lèvre intime pour bien la tendre, et passait délicatement le rasoir dessus. Elle faisait ça très naturellement, comme elle aurait fait autre chose, comme blasée, mais moi, ses attouchements me faisaient plus d'effet que je l'aurais souhaité. Bien sûr, elle vit et sentit que je mouillais, mais ne fit aucun commentaire. Elle traquait le moindre poil, patiemment, soigneusement... Dès qu'elle avait rasé une zone, elle la nettoyait et y appliquait de la lotion. Au bout d'un moment, elle me dit :

- Bon. Ça commence à être bien. Vous allez vous retourner pour que je vous fasse le sillon fessier.

            Elle me guida pour que je prenne la pause et me retrouvai prosternée sur la table de soins, genoux très écartés, le visage et la poitrine appuyés sur la table, les fesses très hautes. Elle me demanda poliment :

- Je vais vous demander de bien écarter vos fesses avec les mains....

            Au point ou j'en étais, je fis honteusement ce qu'elle me demandait et lui ouvris mon derrière autant que je pus ! Elle traita avec douceur cette zone ultra sensible autour de l'anus, et celà prit un certain temps. Puis, munie d'une grosse loupe lumineuse, elle examina chaque millimètre de toute cette zone qu'elle venait de dénuder. Elle débusqua encore quelques poils follets qui avaient échappé à la crème et au rasoir, et me les retira à la pince à épiler, m'arrachant chaque fois un petit cri. Enfin, l'esthéticienne parût satisfaite de son travail et me demanda de me remettre sur le dos et de sa main, enduite de crème blanche, elle me massa longuement tout l'entrecuisse, glissant entre les lèvres de mon sexe, à l'entrée de mon petit trou, ce qui fit grimper mon excitation, même si ce n'était pas son but. Et malgré moi, je m'agitais, allant au-devant de la main professionnelle et si douce. Elle me sourit et dit :

- Vous voilà toute lisse et douce...

 En même temps, elle me regarda droit dans les yeux et me montra sa main droite, paume vers le haut, agitant son médius de façon significative, l'index de l'aute main devant la bouche pour me signifier de ne rien dire. Je fis "oui" de la tête et la main de l'esthéticienne replongea entre mes cuisses pour reprendre son massage ... Et le préciser. Pour ça aussi, elle était drôlement habile, me branlant divinement sans lâcher mon regard. Quand elle vit que j'allais jouir, elle plaqua sa main gauche sur ma bouche pour m'empêcher de crier et je la mordis sans trop appuyer.
            Comme si de rien n'était, elle me fit une toilette intime à l'aide de cotons à démaquiller et d'un produit très doux. Retour sur le pouf : coup de peigne, maquillage léger et discret. Cela me fit tout drôle de voir mon pubis glabre dans le grand miroir. On voyait toute mon intimité... La séance était terminée et la jeune femme me reconduisit près de la patronne, où Maryse me rejoignit quelques instants plus tard : Elle aussi avait dit adieu à sa toison intime, et semblait encore plus génée que moi-même.
            Avant de nous autoriser à nous rhabiller, nouvelle séance de pelotage désagréable par les doigt maigres et secs. Elle les glissa entre nos cuisses et entre nos fesses, vérifiant la douceur de ces régions fraîchement épilées. Elle nous fit aussi pencher en avant, lui tournant le dos, et nous écarta les fesses à deux mains pour bien voir le petit cratère qu'elles recelaient entre elles...
            Enfin, nous retrouvâmes dans la rue, vétues des habits que nous avions sur nous en venant. Au moment de quitter la boutique, on nous remit à chacune un grand carton ficelé, nous demandant de l'apporter au kiné, sans l'ouvrir ! Il nous restait du temps avant notre rendez-vous et nous allâmes dans un café boire un verre et échanger nos impressions. Elle me raconta que l'esthéticienne avait dû beaucoup insister pour qu'elle accepte enfin l'épilation intime. Je lui racontai la gâterie que m'avait fait la mienne, ça la fit rire : Elle n'avait pas eu droit à cette faveur et le regrettait un peu, surtout que les attouchements professionnels l'avait aussi excitée... Nous nous demandions aussi de quoi serait fait le week-end qui commençait, échafaudant les suppositions les plus variées.
           
            Nous étions bien à l'heure, mais il n'avait pas fini. Il nous prit les cartons de vêtements et nous demanda de patienter dans la salle d'attente. Un peu plus tard, il vint nous chercher, nous conduisit dans une des pièces et nous dit :

- Pendant que je termine, enfilez les vêtements que je vous ai préparé : À droite pour Armande, à gauche pour Maryse. À tout à l'heure...

            Nous nous mîmes à poil, la pudeur n'était plus de mise entre nous, et je ne pus m'empêcher de caresser le pubis tout lisse de mon amie. Pour elle, très brune, était prévue une robe rouge ; bleue pour moi, presque blonde. Les robes étaient très jolies, asses longues, à la jupe évasée en corolle, d'un tissu soyeux et brillant. Sur chacune était posé l'ensemble de dessous censés aller avec, de couleur assortie, mais quels dessous ! Nous les enfilâmes, très génées de leur aspect obscène : pour Maryse, un soutien-gorge aux bonnets percés pour laisser passer les pointes
de ses seins, rouge vif, bordé de dentelle noire ; une culotte ample, style boxer, aux jambes larges, remontant jusqu'à la taille, mais entièrement fendue entre ses jambes, fente bordée de dentelle noire ; un porte-jarettelles et des bas noirs, très fins à couture ! Je l'aidai à ajuster l'ensemble, et elle me rendit le même service. Elle m'aida à enfiler et à tirer une paire de bas gris fumé ornés de dessins, qui montait très haut, presque jusqu'à l'aine et était maintenue en place par des jarretières de dentelle bleue. Mon soutien-gorge ne masquait absolument pas mes seins : Entièrement découpé, il se contentait de les entourer à la base, d'une fine bande de dentelle élastique qui serrait un peu et les faisait saillir en avant. La petite culotte n'avait rien d'ordinaire non plus : Petite, serrée sur les hanches. Une fois en place, ce qui n'était pas très facile, elle s'ouvrait derrière : deux bandes très élastique passaient entre mes fesses, les tirant vers l'extérieur, les maintenant écartées en permanence ! De plus, elle était transparente... Une sensation très étrange !!! Bien sûr, une fois les robes enfilées, à part qu'on apercevait le bourgeon de nos seins pointant à travers le tissu, nous pouvions passer pour deux jeunes filles courantes, élégantes même...
Avant de partir, il nous demanda de lever nos jupes, comme ça, pour voir, et parût satisfait. Nos affaires chargées dans le coffre de sa voiture, nous prîmes la route : il nous emmenait dîner dans une auberge discrète. J'étais assise à l'avant, près de lui, et profita du trajet pour me peloter les cuisses.
            Le repas fut, excellent, gai et bien arrosé. Il se montrait aimable, avait de l'humour. Tout aurait été parfait, si ce n'est ma culotte qui me génait : Maintenant mes fesses écartées, j'étais assise directement sur mon anus, c'était pire, en fait, que de ne pas avoir du tout de culotte... Au retour, il nous fit monter toutes les deux à l'arrière, nous disant finement :

- Comme ça, vous pourrez vous gouiner si vous en avez envie.

            Après tout, oui, nous avions un peu envie ! Nous avions un peu bu, plus qu'à notre habitude, en tout cas, et les dessous cochons que nous portions nous excitaient aussi. Nous profitâmes donc de sa permission (ou de son ordre ?), nous embrassant à pleine bouche, nous passant une main sous les jupes, sur les seins... Il ne nous quuittait pas du regard dans le rétroviseur.
            Arrivé chez lui, une grande villa, il sortit un boitier de télécommande et le portail s'ouvrit automatiquement devant la voiture, pour se refermer après notre passage. Quand il ouvrit la porte de la maison, surprise de taille : une très jeune fille, ou plutôt une gamine de type asiatique, attendait, debout, entièrement nue et nous acceuillit avec un grand sourire. Elle paraissait très jeune, petite, frêle, arborant deux seins minuscules, à peine esquissés, le sexe totalement dépourvu de poil. Eric lui flatta les fesses au passage et lui dit de nous servir le champagne au salon.
            Une fois installés sur le canapé, je lui demandai qui était cette jeune asiatique :

- Mon esclave personnelle. Je l'ai achetée lors de mon dernier voyage en Thailande pour quelques dizaines de francs...

- Mais c'est déguelasse ! ne pus-je m'empêcher de m'exclamer.

- Pas tant que tu crois, sotte ! Elle a échappé ainsi au bordel auquel elle était destinée et un jour je la ramènerai dans son pays, lestée de quelques centaines de dollars, ce qui en fera une femme riche...

- Mais quel âge a-t-elle ?

- 18 ans, elle ne fait pas son âge, et elle répond au doux nom de Lao Tsi. Vous verrez qu'elle est très douée...

            La fille nue ramena le champagne et nous servit alors que lui commençait à nous peloter, Maryse et moi, fourant ses mains dans nos corsages et sous nos jupes... Rapidement, nous nous retrouvâmes toutes les deux vêtues de nos seuls dessous, puis on passa dans la chambre à coucher pour une partie mémorable !
            Le kiné était partout à la fois, avec ses mains, sa bouche et son sexe infatiguable. Il baisa Maryse, pendant que Lao Tsi me préparait l'anus pour la sodomie de sa bouche et de ses doigts enduits de crème. Nous dormîmes très peu cette nuit-là ! Toutes les positions y passèrent, et la jeune Thaï nous apportait le concours de ses mains et de sa bouche. À un moment, il nous fit mettre tête-bêche avec Maryse, elle au-dessus de moi, et la pénétra en levrette, leurs sexes imbriqués à quelques centimètres de mes yeux !
            Cependant que mon amie me sucait la chatte, je voyais en gros plan le pénis du kiné aller et venir dans sa fente, comme un gros piston bien huilé. De temps en temps, il ressortait du vagin
de ma copine pour plonger profondément dans ma bouche, qu'il abandonnait ensuite pour replonger entre les cuisses de Maryse. Lao Tsi s'était allongée entre mes cuisses et me lèchait l'anus.
            Nous inversâmes la position, et il me prit entre les fesses, au-dessus du visage de Maryse qui me sucait la fente, alors que la gamine lui rendait le même service...
            Nous nous endormîmes les membres emmélés, sur le grand lit, sauf Lao Tsi qui dormit pour sa part sur un tapis au pied du lit.
            Le lendemain, après le café que nous amena la jeune Thaï, nos ébats reprirent de plus belle. Il en fut ainsi tout le long du week-end, de toutes les façons et dans toutes les position posibles et immaginables : Dans le lit, dans sa piscine, dans le salon, nues ou très dévêtues... Il encula sous nos yeux la petite asiatique, dont on aurait jamais cru, vu son gabarit et son apparente fragilité que son anus pourrait avaler un sexe pareil, et y pendre du plaisir. Il nous fit égalememt faire tout un tas de cochonneries toutes les trois : Nous caresser, nous sucer, nous pisser dessus, nous pénétrer avec divers objets... Il disposait de nos trois bouches, nos anus, et les sexes de mes compagnes, puisqu'il continuait à respecter mon pucelage, et ne s'en priva pas le moins du monde ! À un moment, il nous mit même à quatre pattes, côte à côte, et nous sodomisa alternativement : Sa verge passait d'un cul à l'autre, ressortant d'entre les fesses de l'une de nous trois, pour plonger aussitôt entre celles de sa voisine !
            Le dimanche après-midi, il nous a raccompagnées l'une et l'autre, repues de plaisir et enchantées, nous promettant de recommencer à l'occasion.

            Lors de notre prochaine rencontre, avec Maryse, nous remémorer ce week-end fameux, nous excita et nous fîmes l'amour avec violence et grand plaisir. En attendant de retourner chez le
kiné, j'avais envie de revoir Yolande, la femme blonde masochiste et en parlai avec mon amie, qui bien sûr était partante. J'avais envie de dominer cette femme qui aurait pu être maman, même si je ne savais pas trop comment j'allais m'y prendre, malgré tout ce que je l'avais déjà vu subir chez notre kiné. Mais j'avais trop envie de la revoir : On verrait bien.
            Je composais donc le numéro qu'elle m'avait donné, et elle répondit très rapidement :

- Bonjour madame, c'est Armande. Vous vous souvenez de moi ?

- Oh oui, très bien. C'est gentil de m'appeler ! Que puis-je faire pour vous être agréable ?

- J'aimerais passer vous voir cet après-midi. Vous voulez bien ?

- Mais avec plaisir ! Je suis à votre entière disposition.

            Elle avait insisté sur les derniers mots, ce qui m'encouragea vivement. Elle ajouta :

- Voulez-vous que je me prépare d'une quelconque façon pour vous acceuillir ?

- Je trouverais amusant que vous vous habilliez en gamine : Vous êtes mince, vous devriez pouvoir enfiler des vêtements appartenant à votre plus jeune fille, non ?

- Je... pense, oui...

- Disposez-vous d'accessoires ?

- Oui... Ils seront à votre disposition, ainsi que moi-même...

- C'est parfait, à tout-à l'heure...

- Je vous attends...

            Maryse me demanda :

- Que vas-tu lui faire ?

- Je n'en sais trop rien encore, mais je trouverai bien. Veux-tu venir avec moi ?

- Oui, bien sûr, mais tu ne l'as pas prévenue. Elle ne dira rien ?

- Pense-tu !

            À deux heures, j'appuyai sur le bouton de sonnette de l'appartement de Yolande, et elle nous ouvrit aussitôt et marqua un instant de surprise en voyant que je n'étais pas seule. Je lui dit :

- Je me suis permis d'amener une amie, Maryse...

- Vous avez très bien fait. Veuillez entrer, je vous prie...

            Elle avait suivi mes instructions à la lettre : Sans aucun maquillage, elle avait tressé ses longs cheveux blonds en deux nattes, portait un chemisier blanc tout simple, sous lequel, visiblement elle n'avait pas de soutien-gorges, une jupe bleu marine plissée, du style que je mettais il n'y avait pas si longtemps, qui vu sa taille lui couvrait le tiers de la cuisse.
Des chaussettes blanches montant presqu'au genou et des ballerines à talons plats complétait sa tenue de collégienne.

            En arrivant dans le salon, je lui demandais :

- Alors, vous vous êtes remises de vos émotions de l'autre jour ?

            - Oui, je vous remercie... Mais vous pouvez me tutoyer, si vous le désirez, mademoiselle...

- D'accord. Fais-nous visiter...

            Nous la suivîmes dans l'appartement vaste et luxueux et elle nous montra toutes les pièces. Dans sa chambre, elle me désigna une grande valise sur le lit, et me dit en rougissant :

- C'est le matériel que vous m'avez demandé, Mademoiselle...

Elle agit sur les serrures et l'ouvrit en grand. Je m'approchai et admirais le contenu de la valise : tout y était ! Elle était remplie de gadget de toutes sorte : Martinets, cravache, fouets, menottes, tiges de différentes tailles, baillons, godemichets, etc... Au passage, j'avais repéré la chambre de sa plus jeune fille, facile à reconnaître avec son décor enfantin, les peluches sur le lit étroit : Je lui ordonnai d'y porter la valise. J'avais décidé de m'occuper d'elle dans ce cadre juvénile, et ça m'excitait énormément de la traiter comme une petite fille, alors qu'elle aurait pu être maman. Je sentais ma petite culotte trempée à l'entrejambe. Je m'assis sur une chaise, Maryse sur le lit et je fis signe à la fausse fillette d'approcher.
            Elle vint se placer près de moi, tête baissée, comme prise en faute, rouge. Je glissai mes deux mains sous sa trop courte jupe, prenant possession de ses cuisses nues de son fessier emprisonné dans une culotte de coton côtelé, un peu petite pour elle, de son entrecuisse, tout en la grondant comme une gamine en faute :

- Tu n'es pas raisonnable, tu vas encore m'obliger à te punir, comme une vilaine petite fille que tu es ! Tu vas avoir la fessée que tu mérite !

            Je glissai deux doigts sous l'élastique de sa culotte et les enfonçai sans douceur dans son vagin trempé :

- Mais tu mouilles, petite cochonne ! Allez, couche-toi sur mes genoux pour avoir pan pan cucul !

            Docilement, elle m'obéit. Je relevai sa jupe sur ses reins, découvrant sa culotte de gamine pleine à craquer, sur le fond de laquelle j'abattis ma main droite. C'était bien la première fois que je donnais une fessée, mais j'y pris vite goût : Je frappais tantôt une fesse, tantôt l'autre, ou bien le haut des cuisses. Habituée à bien plus dur, la femme ne disait rien, se laissait fesser. Je dis à Maryse :

- Retire-lui sa culotte : Je vais continuer à cul nu !

            Ma copine s'approcha, empoigna l'élastique à la taille et baissa puis retira complètement la culotte de coton, dévoilant le fessier déjà bien rouge de Yolande. Je repris la fessée de plus belle, directement sur la peau. Sans pour autant essayer de se soustraire à la punition, la jeune femme se tortillait, écartait les jambes, les resserait... J'en avais mal à la main, et au bout d'un moment, je proposai à Maryse de prendre ma place, ce qu'elle accepta avec plaisir : Comme moi, si elle avait déjà reçu pas mal de feesées, elle n'avait jamais eu l'occasion d'en donner, mais elle s'y fit très vite...
            J'en profitai pour fouiller dans la valise, cherchant des idées pour la suite de la séance. Je m'emparai tout d'abord d'un martinet, tout à fait ordinaire et l'essayai sur les cuisses et les mollets de notre victime consentente, la faisant sursauter, alors que ma copine continuait à la fesser à la main. Je lui fis signe d'arréter et lui dit :

- Ecarte-lui les fesses au maximum !

            Elle le fit aussitôt, dévoilant ainsi toute l'intimité de Yolanade, sa chatte entrouverte et trempée, et même son anus. Je visais soigneusement, et d'un revers du poignet, balançait les lanières de cuir en plein entre ses cuisses, atteignant ses parties les plus sensibles : La femme se cabra sous la douleur, et poussa un cri. Je reposai le martinet, pour prendre la cravache de cuir fauve. Profitant que Maryse lui maintenait toujours les fesses bien ouvertes, j'en promenais le bout sur toute cette région, du clitoris à l'anus, la faisant frissonner. La pointe de la cravache glissait sans peine entre les lèvres de son sexe dégoulinant, et je la lui enfonçai dans le vagin, la
faisant aller et venir. Elle se tortillait, allant d'elle-même au-devant de la pénétration.
            Je retirai le bout de la cravache luisant, de son sexe et remontai un peu plus haut, pour le poser sur son anus. Elle gémissait, suppliait :

- Non, je vous en prie, pas là !

            Bien entendu, je ne l'écoutai pas et la pénétrai, cette fois par derrière... Malgré ses protestations, assez molles, elle aimait ça, la salope, tortillant du cul ! Je pense que j'aurais pu la faire jouir, ainsi, en lui branlant le trou du cul, mais je m'arrêtai à temps. Elle était toujours à plat ventre sur les cuisses de mon amie, je fis le tour, et présentai à sa bouche le bout de la cravache qui sortait tout droit d'entre ses fesses, lui disant de la sucer, ce qu'elle fit sans se faire prier...
            Avant de changer d'exercice, toujours dans la même position, je lui assénai quelques coups de cravache en travers de ses fesses et sur le haut de ses cuisses, la faisant crier à chaque fois.
            Je la fis se redresser : Elle avait les yeux remplis de larmes, et paradoxalement, me regardait avec une sorte d'adoration : Décidément, elle en voulait ! J'espérai me montrer à la hauteur de ses exigences masochistes...
            Je la fis asseoir sur la chaise paillée, jupe relevée, directement sur ses fesses nues. Avec des menottes, je fixai ses poignets aux pieds arrière, et ses chevilles aux pieds avant et je déboutonnai entièrement son chemisier, libérant ses seins magnifiques. Avant de m'en occuper, j'eus une idée pour l'humilier un peu plus : Je retirais rapidement ma petite culotte et la lui mis sur le visage, l'entrejambe humide au niveau du nez et de la bouche.

            Pendant un bon moment, on ne s'occupa que de sa poitrine, la caressant, pinçant les tétons, couvrant les deux globes laiteux d'un réseau de lignes rouges à coups de martinets, lui posant des pinces sur les bouts... La femme gémissait, pleurait, même, sous la douleur qu'on lui infligeait. Au bout d'un moment, je la détachai.
            Je lui retirai alors sa jupe et son chemisier, lui laissant seulement ses chaussettes et ma petite culotte toujours sur sa figure, la fis mettre à quattre pattes et lui mis autour du cou un collier en cuir relié à une laisse. Je lui fis parcourir ainsi tout l'appartement, la tenant en laisse comme une chienne...
            Dans le salon, on fit une pause pour qu'elle nous suce le sexe à tour de rôle. C'est Maryse qui profita la première de la langue de notre hôtesse : Elle retira sa culotte, releva sa jupe et s'installa dans un fauteuil, fesses au bord, cuisses écartées. Pour lui faciliter la tâche, je récupérai mon slip, toujours sur son visage. Yolande s'avança à quatre pattes entre les jambes de mon amie et plaqua sa bouche à son sexe. Je passai derrière elle et la fouillai durement entre les cuisses et entre les fesses : Elle était trempée ! Je décidai de me débarasser de ma petite culotte que j'avais à la main et j'entrepris de l'introduire dans son sexe, la poussant à l'aide de mes doigts : Peu à peu, je réussis à faire disparaître entièrement la petite boule de nylon bleu dans son vagin, l'enfonçant le plus loin possible !
            Dès que Maryse eût joui, je pris sa place et Yolande s'occupa de mon entrecuisse de sa langue dont je connaissait l'efficacité.
            Pour terminer la séance, je l'emmenais, toujours à quatre pattes, dans la salle de bain. Je lui fis retirer ses chaussettes, lui demandai de se mettre à quatre pattes dans la baignoire, démontai l'embout de la douche et lui enfonçai une vingtaine de centimètre du flexible annelé entre les fesses, avant d'ouvrir l'eau en grand ! Tout d'abord, il ne se passa pas grand-chose,
puis l'eau qui s'engouffrait en elle se mit à régurgiter de son anus, débordant... Bientôt je retirai le tuyau de son cul, la fis mettre debout, jambes serrées, et l'autorisai à se masturber. Elle obéit immédiatement, mettant sa main entre ses cuisses, tout en évacuant l'eau mélée d'excréments, qui dégoulinait le long de ses jambes... Elle éprouva un orgasme d'une intensité incroyable, me regardant amoureusement...
            Après une douche bien utile, nous nous apprétions à prendre congé de Yolande, toutjours nue. Elle me dit :

- Euh... Et votre petite culotte ? Je l'ai toujours en moi... que dois-je en faire ?

- Laisse-là où elle est : Ainsi tu penseras à moi !

- Oh merci, mais je vais vous en donner une autre... S'il vous plaît !

- D'accord, si tu veux...

            Je la suivis dans sa chambre. Toujours toute nue, elle fouilla dans son armoire et en sortit une jolie petite culotte de soie noire, de forme boxer, avec un élastique à la taille, mais pas aux jambes bordées de dentelle, qui devait coûter un prix fou. Elle leva les yeux vers moi, suppliante :

- Ce modèle vous convient-il ? Un autre serait sans doute trop grand pour vous : Là c'est vague et taille unique...

- Ça ira. Mets-là moi !

            Aussitôt elle s'accroupit devant moi, me demanda de lever un pied puis l'autre pour me faire enfiler la culotte, qu'elle fit remonter lentement le long de mes jambes et de mes cuisses, sous ma jupe, jusqu'à ce qu'elle soit bien en place. Je me troussai devant la glace pour juger de l'effet : Elle me plaisait bien et j'avais intérêt à ne pas la laisser traîner...
            La jeune femme enfila un peignoir pour nous reconduire sur le palier, et me fit promettre de revenir quand j'en aurais envie. En parlant, comme ça, nous nous aperçûmes que nous avions
rendez-vous le même jour, et à la même heure chez le kiné. Je lui proposai de passer la prendre et d'y aller ensemble, ce dont elle me remercia, ajoutant :

- Vous pouvez passer plus tôt, si vous le désirez : Nous pourrons bavarder...

            L'invite était on ne peut plus claire : j'avais dû me montrer à la hauteur de son attente. Je promis.

            Rentrées chez Maryse, nous échangeâmes nos impressions et elle me dit que la prochaine fois elle ne pourrait pas m'accompagner. Puis la conversation vint sur la fessée : "comment pouvait-on aimer ça ?" se demandait-elle. Il est vrai qu'autant l'une que l'autre, il nous était arrivé d'en recevoir une bonne, mais cela ne nous avait jamais fait jouir ! Je suggérai que cela devait dépendre des circonstances, et lui proposais d'essayer de lui en donner une petite.

- Je veux bien, mais pas une trop forte, alors...

            Je m'assis sur une chaise, la prit par le bras et la couchai en travers de mes genoux, l'assurant :

- Si je vais trop fort, tu me le diras !

            Je pris tout mon temps pour peloter son derrière à travers le fond de sa jupe, avant de la lui retrousser jusqu'aux reins et repris mes caresses de découverte sur son slip vert d'eau. Je levai ma main et l'abattis, pas trop fort sur le fin nylon qui emprisonnait son fessier. Elle gémit un peu, et je recommençai, toujours sans trop appuyer mes coups. Je répartissai les claques sur une fesse, l'autre, le haut de ses cuisses, au-dessus du revers de ses bas. Au bout d'un moment, je lui dis :

- Mets-toi debout, que je te déculotte, sale gamine !

- Oh non, pas la fessée cul nu, je t'en prie !

            Mais c'était de la comédie et elle se mit debout devant moi. Je glissai alors mes mains sous sa jupe, les remontant jusqu'à sa taille pour saisir l'élastique de sa petite culotte et la lui baisser jusqu'aux chevilles. De nouveau en position disciplinaire, je la troussai à nouveau et repris la fessée directement sur la peau de son joli cul. De temps en temps, j'arrêtais de la frapper pour glisser ma main entre ses cuisses : Elle mouillait drôlement, la garce ! Comme elle ne se plaignait pas trop, j'augmentai progressivement la cadence et la force de la fessée, la faisant gigotter de plus en plus. Pour la maintenir, je resserrai l'emprise de mon bras gauche autour de sa taille, ma main sous son ventre, tout en bas : Peu à peu, je m'arrangeai pour la descendre, jusqu'au haut de sa fente aussi lisse que la mienne. Mine de rien, mon médius trouva son clitoris et se mit à le branler, alors que ma main droite continuait à la fesser copieusement... Évidemment, elle jouit assez vite sous ce traitement.

            Quand je la libérai, elle se massa, les fesses bien rouges, jupe relevée, trépignant, se plaignant de très mauvaise foi :

- Tu m'as fait très mal, méchante ! Je vais t'en faire autant, ça t'apprendra : prépare ton cul !

            Comment refuser ? À mon tour, je subis ce que je venais de lui infliger et y trouvai largement mon compte ! Évidemment, la fessée vue ainsi n'avait rien de désagréable et notre entrevue se termina par un 69, chacune lèchant le sexe de l'autre...

perverpeper@perverpeper.com

 

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