suivant
Caroline secrétaire médicale (3)
précédant

Par Docteur Dominique GALLIEN

 

F/f F+/f F+/f+ exhibition ados uro BDSM esclave humiliation réticence médical.

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 2

            Le travail "normal" reprit de plus belle.  Vers cinq heures, nous eûmes une courte pause causée par une décommande. À ce moment, il était assis à son bureau et j'étais debout près de lui. Soudain, avant que j'aie pu réagir, il glissa vivement sa main sous ma jupe, remontant jusqu’à l’entrejambe trempé de ma petite culotte, que ses doigts eurent vite fait d'écarter pour pénétrer mon sexe !
            - Mais dit donc, petite cochonne, ça t'a fait de l'effet de me voir pratiquer un fist fucking ?
            Je ne pouvais le nier, mais n'osais rien dire. Il me caressait merveilleusement et instinctivement, j'écartai les jambes pour lui facilliter l'accès à ma petite chatte. Il jeta un rapide coup d'oeil à sa montre et me dit :
            - Nous avons un quart d'heure devant nous. J'ai très envie de te baiser, tu sais !
            Moi aussi, j'avais envie ! Sans protester, je le laissai me disposer comme il l'entendait : il me fit plaquer le buste sur le plateau de son bureau, passa derrière moi, troussa ma blouse blanche et ma jupe, baissa ma culotte à mi-cuisse, sortit son dard qu'il guida entre mes cuisses d'un geste sur. J'étais tellement trempée qu'il me pénétra d'un seul coup jusqu'au fond du ventre. Tout en me baisant rapidement, il passa une main sous mon ventre et son doigt trouva mon clitoris et s'y agita à toute vitesse. En cinq minutes, je criais mon plaisir et je sentis son foutre gicler tout au fond de moi... Il se retira très vite, remonta ma petite culotte et baissa mes jupes : je compris qu'il désirait que je ne me lave pas, et de mon côté, je crois que j'étais folle amoureuse de mon patron  et j'acceptai avec reconnaissance de garder son sperme dans mon ventre...
            En tout cas, j'étais en apparence très décente pour acceuillir la cliente suivante...

            Le dernier cas bizarre de la journée était programmé en dernier, à 19 h. Il m'expliqua qu'il s'agissait d'un couple de lesbiennes "intégristes" dont l'une était littéralement l'exclave de l'autre, qui jouant sur son dégoût des hommes l'obligeait régulièrement à subir des examens gynécologiques pour l'humilier. Même s'il ne me l'avait pas décrite, j'aurais tout de suite reconnu la "Maîtresse" : une blonde d'environ quarante ans, vêtue d'un élégant tailleur et portant un grand sac en bandoulière. Elle tenait solidement son amie par un bras, et la poussait malgré les protestations de celle-ci, jolie brune qui ne devait guère avoir plus de vingt ans et portait une robe bleue toute simple, assez courte.
            Je fis entrer les deux femmes dans la salle qui servait pour des opérations de petite chirurgie. Cette salle totalement insonorisée, bien aménagée comportait en particulier une table d'opération métallique courte, munie non pas d'étriers, mais de deux gouttières lattérales sur lesquelles reposaient les mollets de la patiente. Bien entendu, la table comportait toutes les sangles nécessaires pour immobiliser totalement la future opérée pour l'empêcher de bouger pour les petites interventions sans anesthésie.
            Je dis à la plus jeune :
            - Déshabillez-vous, s'il vous plaît.
            - Non, je ne veux pas !
            La blonde me demanda alors :
            - Tenez-la-moi, s'il vous plaît, je vais la décider, faites-moi confiance !!!
            J'eus quelque peine à contenir la fille quasi hystérique, le temps que l'autre sorte une cravache de son sac et ne l'abatte violemment sur elle, lui disant :
            - Tu vas te mettre à poil, petite chienne, et plus vite que ça !
            L'autre protestait, pleurait, mais refusait de se soumettre. Alors la blonde se mit à la cravacher partout : fesses, ventre, poitrine, cuisses, sans se soucier le moins du monde de ses hurlements d'écorchée vive. La correction dura un bon quart d'heure et la brune épuisée s'écroula sur le sol, suppliant entre ses sanglots :
            - Ne me punissez plus, s'il vous plaît, Maitresse, je vais me déshabiller tout de suite. Mais par pitié, ne me battez plus.
            Vaincue, elle ne fit plus de manières pour se mettre toute nue, ce qui d'allleurs ne lui prit qu'un instant, celui de retirer sa robe de lainage, sous laquelle elle ne portait strictement rien, même pas un slip ! Elle se laissa conduire sans trop d'histoire vers la table sur laquelle je l'aidai à s'installer sur le dos, fesses juste au bord, cuisses fortement repliées et écartées au maximum, jambes posées sur les supports et l'attachais solidement dans cette position au niveau des bras, des poignets, des genoux et des chevilles, sans oublier deux larges sangles, l'une au niveau des épaules, l'autre sur le ventre.
            Le superbe corps de la jeune fille présentait un peu partout des lignes sombres, qui prouvaient qu'elle avait été, récemment, durement fouettée jusque sur l'intérieur des cuisses et même ses grandes lèvres totalement rasées, ainsi d'ailleurs que tout son entrecuisse.
            Quand le docteur entra dans la pièce, la fille écartelée se mit à glapir :
            - Ne me touchez pas ! Je refuse qu'un homme me touche !
            Se tournant vers moi, il me dit d'un ton agacé :
            - Fais-la taire, s'il te plaît, que je puisse l'examiner tranquillement...
            Je repensais alors à la petite culotte sale, toujours dans ma poche : je pinçais fortement le nez de la fille, l'obligeant à ouvrir grand la bouche pour respirer, dans laquelle je n'eus plus qu'à enfoncer le slip souillé. Le docteur sembla aprécier mon réflexe et me tendit du sparadrap pour terminer de la baillonner.
            Pour l'examiner, il l'examina dans ses moindres recoins ! Tout y passa : palpation des seins, toucher vaginal, spéculum, toucher rectal, il s'attardait, prenait son temps, sans se soucier des grognements inarticulés de sa patiente involontaire ni de ses violents mouvements de tête, car c'est bien tout ce qu'elle pouvait bouger !
            Au bout d'un bon moment de ce manège, la blonde s'adressa au docteur :
            - Vous pouvez la baiser, et même la sodomiser, si le coeur vous en dit, docteur : elle déteste ça, mais elle a encore besoin d'être dressée, d'être assouplie.
            - Je vous remercie, chère madame, je crois que je vais profiter de votre aimable permission.
            Sans plus attendre, il ouvrit sa blouse et sa braguette et sortit sa queueue en pleine érection et j'eus un pincement violent de jalousie en le voyant se guider de la main pour embrocher la fille impuissante. Il la baisa ainsi un certain temps, tout naturellement, comme s'il avait été seul avec elle, allant et venant puissamment entre ses cuisses. Intérieurement, je bouillais de rage ! Puis il ressortit sa queue du vagin de la fille pour la pointer, un peu plus bas sur son anus : je crus qu'elle allait casser les sangles qui la maintenaient tant elle tenta de se débattre, mais bien sûr, rien n'y fit, même si au début il eut du mal en introduire son pénis dans l'étroite ouverture plissée, qui finit par céder sous la pression et il s'enfonça jusqu'aux couilles dans le fondement de la lesbienne. Il ne lui fallut pas longtemps pour prendre son pied, la verge comprimé dans ce joli petit cul serré : je le vis la pénétrer à fond et rester ainsi abouté et je compris qu'il déchargeait dans les entrailles de la fille qui, elle, pleurait à chaudes larmes.
            Rajusté, avant de quitter la pièce, il s'adressa à la femme blonde :
            - Je vous remercie. Mais si je puis me permettre, vous devriez me l'amener régulièrement pour une dilatation anale : elle trop étroite de ce côté et on se fait mal en l'enculant. Il faudrait l'alèser un peu... Merci également de lui retirer son baillon quand vous serez sorties : j'en ai assez de ses cris...
            - Ma voiture est en bas, je le lui enlèverai peut-être de retour à la maison. Vous avez raison, il va falloir penser à lui élargir son petit trou...
            La brune détachée, folle de rage, enfila sa robe en un tournemain et suivit docilement sa maîtresse, qui elle aussi, me tendit une enveloppe et glissa un billet dans la poche de ma blouse.
            La journée était finie et je retrouvais le toubib, plutôt boudeuse. Il le vit et se fâcha :
            - C'est pas la peine de faire la geueule, Caroline : c'est pas parce qu'on baise ensemble qu'on s'est juré fidélité ! De ton côté, tu peux bien te faire sauter par qui tu veux, ça m'est complétement égal, alors épargne-moi tes scènes de jalousie ! Viens plutôt m'embrasser...
            - Non...
            Il se jeta sur moi, m'enleva dans ses bras puissants et plaqua sa bouche à la mienne. Au début, je résistai, serrais les dents mais je finis par fondre totalement et lui rendre son baiser avec usure.
            Avant de partir, il m'expliqua que les dossiers des "cas spéciaux" n'étaient pas, évidemment, sur le disque dur de l'ordinateur, mais sur une disquette qu'il emmenait toujours avec lui. Il m'indiqua aussi comment accéder à ces dossiers secrets et où il rangeait la fameuse disquette dans la journée : après tout, une belle preuve de confiance...
            Le soir, à table, je fus évasive : je ne pouvais tout de même pas raconter ma journée en détail à mes chers parents ! De plus, j'avais hâte d'être seule dans ma chambre. Ma culotte était poisseuse du sperme qui était ressorti de mon vagin, mélé à ma propre liqueur intime qui avait coulé en abondance tout au long de cette journée mémorable. Je reniflais longuement les odeurs mêlées du sous-vêtement et décidai de dormir avec, sans passer sur le bidet, ce qui n'aurait pas été un luxe, remettant celà au lendemain matin. Je m'endormis la main dans la culotte, coincée dans la fourche grasse de mes cuisses, et me réveillais le lendemain ainsi.
            Le mois d'essai passa très vite, avec beaucoup de travail et aussi pas mal de plaisirs. Mon patron ne me laissait aucun répit. Nous faisions l'amour quasiment tous les jours, parfois deux fois, ne manquant jamais une occasion de fourrer ses mains sous ma jupe ou dans mon corsage. Parfois, le midi, au lieu d'aller manger à l'extérieur, nous montions baiser dans le studio qu'il possédait dans l'immmeuble et qu'il avait promis de mettre à ma disposition par la suite : il était vaste, clair, bien aménagé, en un mot il me plaisait beaucoup et j'espérai pour ça, entre autres, qu'il me garderait.   
            C'est dans le courant de la deuxième semaine que je reçus ma première fessée : j'avais commis une étourderie et il m'appela dans son bureau pour m'annoncer calmement :
            - Ton oubli mérite une bonne fessée que je vais te donner tout de suite.
            - Je refuse, il n'en est pas question...
            - Parfait, dans ce cas, tu t'en vas : je t'avais prévenue dès le départ, si tu restes, tu acceptes le règlement. C'est toujours non ?
            - Ben euh... pas trop fort alors ?
            - Ça, ma petite Caroline, c'est moi qui décide. Allons approche...
            Il s'assit sur une chaise, et vaincue, tête baissée, je vins près de lui. Il me bascula à plat ventre sur ses genoux, rabattit ma blouse et ma jupe sur mes reins et abattit sa main pour une première claque sur mon postérieur à travers le fond de ma culotte. Je sursautais, mais je n'étais pas au bout de mes peines! Il me fessa ainsi un moment sur ma culotte, avant de me la baisser jusqu'au genou et de reprendre la fessée directement sur la peau. En même temps, il me grondait, me disait que j'avais besoin d'être éduquée, etc... j'avais les fesses en feu et étais humiliée d'être ainsi traitée comme une gamine qui aurait fait pipi au lit ! Je priais, suppliais, gigottais, m'agitais, mais en vain : son bras gauche me maintenait solidement par la taille. La fessée dura au moins un quart d'heure et je ne savais pas où allait tomber la prochaine claque : fesse droite, fesse  gauche, le haut des cuisses. C'était très douloureux, mais la chaleur intense de mon postérieur se communiquait peu à peu à mon bas-ventre, et, étonnée, je sentis que je mouillais malgré la douleur...
            Enfin il me lacha et je me massais un moment les fesses nues et brûlantes en pleurnichant, avant de remettre ma petite culotte en place. Il me dit encore :
            - Comme dans un premier temps tu as refusé ta juste punition et que tu n'as pas arrêté de te débattre, tu auras une nouvelle fessée demain matin, mais celle-là librement consentie : penses à me la réclamer en arrivant...
            Le reste de la journée se déroula normalement. Je lui fis une fellation à sa demande, il me prit aussi en levrette et j'éprouvais un super orgasme. Je ne demandais si c'était la fesssée que j'avais reçu qui m'avait si bien préparée, n'osant toutefois y croire...
            Le lendemain, quand j'arrivai au cabinet, il était déjà là. Je le retrouvai dans son bureau et après l'avoir salué, je dus prendre sur moi, faire un énorme effort pour bégayer, la gorge nouée :
            - Hier, vous m'avez promis une fessée : je suis prète à la subir quand vous voudrez...
            - C'est bien d'y avoir pensé. Quitte ta jupe et ta culotte et pose ton buste sur le bureau.
            J'étais bien décidée à me montrer docile et lui obéis immédiatement, plaquant ma poitrine sur le plateau de son bureau, fesses tendues et jambes écartées : je savais que dans cette position je montrais parfaitement mes parties les plus intimes et j'espérais vaguement que ça l'attendrirait : tu parles !
            Avant de débuter la fessée, il prit possession de mon fessier, le caressant, le pétrissant, l'écartant au maximum. Puis les claques se mirent à pleuvoir sur mon pauvre petit cul. Je serrais les dents bien décidée à me laisser faire jusqu'au bout, ce qui m'empêchait pas les gémissements que je ne pouvais retenir. De temps en temps, il arrêtait de frapper mes fesses pour glisser sa main entre mes cuisses et m'explorer de ses doigts, de l'anus au clitoris. Ce traitement était très efficace et je me mis à couler comme une fontaine. Il ne manqua pas de s'en apercevoir, se moquant de moi :
            - Mais dis-donc, petite vicieuse tu sembles aimer ça, te faire claquer le cul ! Tu veux que je te baise ?
            - Oh oui, s'il vous plaît, prenez-moi...
            Mais il continuait à me fesser sans relâche. Parfois, il me frappait ongitudinalement, du plat de la main, entre les cuisses, directement sur les cuisses, directement sur la chatte, à la douleur vive s'ajoutait un bruit mouillé qui me gênait beaucoup.
            Au bout d'un moment, j'avais le feu au cul et la tête à l'envers : le mélange savant de claques et de caresses me mettait dans tous mes états. J'abdiquais toute pudeur, le suppliant de me pénétrer, répétant après lui que j'aimais la fessée... J'étais complètement folle à ce moment.
            J'avais le visage sur le dessus du bureau, appuyé sur la joue et juste sous mes yeux brouillés par les larmes, je voyais une longue et large règle plate en bois. Je ne m'explique toujours pas ce qui me prit, toujours est-il que ma main, comme indépendante de ma volonté, prit la règle et la lui tendis par derrière ! Il s'en saisit sans hésiter et m'appliqua une vingtaine de coups du plat, des reins aux cuisses... Puis je le sentis derrière moi et sa bite s'enfoça d'un coup et de toute sa longueur dans ma chatte, me provoquant un orgasme très intense et immédiat, il me pilonnait à toute vitesse et je jouis encore deux fois avant qu'il ne se vide tout au fond de mon vagin...
            Alors il me releva, se montra très tendre, me serrant dans ses bras, me caressant doucement les fesses, lèchant les larmes dont mon visage était baigné. Il me dit gentiment :
            - Va te rafraîchir, tu en as besoin...
            Je me rendis dans le cabinet de toilette, nue depuis la taille à l'exception de mes bas pour me laver le museau et l'entrejmmbe. Quand je revins pour me rhabiller, je rougis violemment : il tenait ma petite culotte pressée contre ses narines me sourit et me dit :
            - Dommage, elle ne sent pas grand-chose...
            - C'est normal, elle est toute propre de ce matin !
            J'enfilai ma jupe et lui demandais :
            - Voulez-vous me rendre ma petite culotte, s'il vous plaît ?
            - Non, je la garde !
            - Mais enfin, je ne peux tout de même pas travailler avec les fesses à l'air ?
            - Pourquoi pas ? Nous serons les seuls à le savoir...
            Il avait vraiment réponse à tout : je haussais les épaule et cédais une fois de plus. D'ailleurs, ça avait aussi un côté pratique quand à l'occasion il fourrait sa main sous ma jupe, rien ne le gênait !
            De même, à la pause, il voulut me donner du plaisir avec sa bouche : je n'eus qu'à me trousser et m'installer sur la table d'examen, les pieds dans les étriers. Il s'installa entre mes
cuisses et plaqua sa bouche à mon sexe. Il me lêcha divinement, un long moment, du clitoris à l'anus, en passant par la vulve, me provoquant je ne sais combien d'orgasmes...
            Entre parenthèse, la position gynécologique est bien pratique pour baiser...
            Mon dépucelage anal se passa très bien. Nous étions nus tous les deux sur le lit du studio et nous avions déjà fait l'amour et il me dit à l'oreille :
            - J'ai envie de t'enculer, tu veux bien ?
            - J'ai peur d'avoir mal...
            - Mais non, tu verras, je vais bien te préparer : tu vas aimer ça...
            Je n'en étais pas vraiment convaincue, mais je ne savais déjà rien lui refuser ! Il me fit prosterner sur le lit, le cul bien haut et ouvert et me prépara en effet longuement, en alternant des fessées pas trop fortes et de longues séances de léchage de mon petit trou. Puis il me lubrifia soigneusement, me dilata doucement l'anus avec ses doigts, si bien que quand il les remplaça par sa queueue, j'étais prète à l'acceuillir entre mes fesses. J'eus un peu mal, bien sûr, surtout au début, mais je ressentis un orgasme très profond, inhabituel. Il faut reconnaître qu'il n'arrêtait pas de me branler le bouton en même temps qu'il me sodomisait. Il m'excitait aussi en me murmurant des obscénités à l'oreille :
            - Tu la sens bien dans ton trou du cul, ma grosse bite ? Dis que tu aimes ça, être enculée, qu'on te défonce le cul...

            Les deux lesbiennes étaient revenues, et la scène s'était déroulée à peu près de la même manière. Quand elles furent reparties, je posai la question conne par excellence :
            - Ça fait très mal, un coup de cravache ?
            - Tu vas le savoir tout de suite !
            Il ouvrit un tiroir de son bureau et en sortit une cravache de cuir fauve. Je tremblais de frayeur, regrettant amèrement d'avoir ouvert ma grande bouche. Je me défendis :
            - Non, non, je demandais ça comme ça...
            - Pour savoir si tu aimes, il faut essayer. Alons, tourne-toi, trousse-toi, baisse ta culotte et penche-toi en avant!
            Me traitant mentalement de tous les noms, je pris la pose, morte de trouille. En levant la cravache, il me dit :
            - Serre les dents, c'est parti pour cinq coups !
            Quand la cravache se fut abattue cinq fois sur mes pauvres fesses, j'avais la réponse à ma question idiote : oui, ça fait très mal ! Si mal, que mes lèvres saignaient un peu, tant je les avais mordues pour ne pas hurler ! 
            Moi qui me croyais prude, je faisais des progrés dans le vice tous les jours, m'étonnant moi-même. Il est vrai que j'étais guidée dans cette voie par un expert qui avait su deviner ma véritable personnalité dès notre premier entretien. Faire l'amour avec lui était mille fois plus jouissif qu'avec les quelques minets de mon âge que j'avais connus jusqu'alors. Il avait une immagination débordante et j'essayais de me plier à tous ses fantasmes.
            Ainsi le lundi de la dernière semaine d'essai, il demanda dès mon arrivée :
            - Tu veux me faire un grand plaisir ?
            Je me méfiais : je commençais à le connaître et je me demandais ce qu'il allait encore exiger de moi. Je répondis prudemment :
            - Ça dépend de ce que vous allez me demander...
            - Oh c'est tout simple, j'aimerais simplement que tu acceptes de porter la même petite culotte pendant toute la semaine sans en changer ni la laver...
            - C'est dégueulasse, mais si cela peut vous faire plaisir, je veux bien essayer. Mais elle va puer...
            - Justement... Tiens, je t'en ai apporté une en coton, matière qui conserve mieux les odeurs. Passe-la tout de suite.
            Sans plus me faire prier, je retirai le petit slip de nylon bleu que je portais en enfilais à la place la culotte toute simple de coton blanc qu'il me tendait. Il insista lourdement :
            - Tu la garderas même pour dormir ?
            - Oui...
            - Pour uriner, écarte simplement l'entrejambe et ne t'essuie pas après avoir pissé...
            - C'est tout, oui ?
            Et je me pliais à son désir : je ne retirais pas la fameuse culotte de toute la semaine, la baissant seulement pour faire ma toilette intime ! Je me sentais sale, mais l'excitation que cela lui apportait était contagieuse et je n'arrêtais pas de mouiller. Nous ne baisions pas non plus tout ce temps : je le sucais à fond, avalant son sperme, et il me rendait la pareille, me lèchant la chatte et le cul en écartant simplement l'entrejambe de mon sous-vêtement de plus en plus odorant, complètement amidonné par mes sécrétions intimes et par les quelques gouttes d'urine qui y restaient chaque fois que je faisais pipi ! Le soir, dans mon lit, avant de m'endormir, je me branlais, d'abord à travers le tissu puis en glissant ma main en dessous.
            Il se privait moins que jamais de me mettre la main au cul, mais en plus, à la moindre occasion, il reniflait le fond de ma culotte, ce qui me gênait autant que ça m'excitait. Dès que nous avions une minute à nous, il me demandait :
            - Fais-moi sentir ton cul de petite chienne en chaleur !
            Soit il s'agenouillait devant moi, baissait mon slip au genou, me faisait écarter les jambes pour le tendre, et plongeait son visage sur le renfort d'entrejambes de plus en plus souillé. Ou bien, il me faisait monter sur une table d'examen, à genoux, il me troussait pour me renifler le derrière... Au bout de plusieurs jours de ce manège, il m'autorisa à changer de petite culotte : il était temps ! Celle-ci puait vraiment, et le manque d'hygiène commençait à m'irriter la vulve...
            J'avais aussi accepté d'être solidement attachée sur la table d'opération, pour y subir un "examen approfondi", où il s'intéressa de très près à mes deux orifices, y introduisant divers instruments, pour finir par me baiser et me sodomiser dans la même position, toujours immobilisée...  
            Le dernier mercredi, il me demanda :
            - Ton mois d'essai se termine. De mon côté, je suis prêt à signer ton contrat. Et toi, veux-tu continuer ?
            Je répondis, folle de joie :
            - Mais, oui, bien sûr ! Je vous remercie de m'engager : j'essaierai de ne jamais vous décevoir...
            - Alors tout est bien. 
            Le docteur m'expliqua toutes les clauses du contrat à durée indéterminé qu'il me donna à signer, m'en laissant un exemplaire et m'apporta toute précision sur les conditions particulières. Le salaire était tout à fait correct, avec des à-côtés, comme j'avais pu le constater avec les "cas spéciaux". Le studio était mis à ma disposition, jusqu'à six mois après mon départ éventuel du cabinet. Le loyer, retenu sur ma paye était plutôt symbolique, couvrant simplement les charges fixes. De plus, la femme de ménage qui s'occupait du cabinet continuerait à en assurer l'entretien comme par le passé, une par jour en semaine.
            C'était presque trop beau et je lui sautais joyeusement au cou pour l'embrasser. Pour conclure, il ajouta :
            - Tu peux aménager quand tu veux, vendredi, par exemple ? Tu n'amènes rien, tu trouveras tout ce dont tu auras besoin sur place, y compris des vêtements : considère que c'est ta prime d'embauche. Vendredi soir, je t'invite au restaurant pour fêter l'évènement, et ensuite, si tu m'acceptes, je passerai la nuit chez toi. Ok ?
            - C'est merveilleux !
            Puis j'eus un doute :
            - Je suis ravie de vous avoir pour moi toute une nuit, bien sûr, mais que dira votre femme ?
            - Ne t'inquiète donc pas pour ça : avec ma femme, nous sommes très complices, même si nous sommes très indépendants sexuellement. Ne te fais pas d'illusion, elle ne s'ennuie pas de son côté, crois-moi... D'ailleurs, il faudra que je te la présente un de ces jours : je lui ai parlé de toi et elle brûle d'envie de faire ta connaissance.
            - Que... que lui avez-vous dit sur moi ?
            - Mais à peu près tout, petite fille : je te l'ai dit, nous sommes très libres, et si ça se trouve, elle est encore plus vicieuse que moi, ce qui est peu dire ! Tu pourras en juger quand tu la connaîtras...
            - Mais je n'oserai jamais la rencontrer, j'aurais trop  honte !!!
            Il éluda :
            - On verra ça. À midi, je te ferai visiter le studio en détail : jusqu'ici nous n'avons fait qu'y passer en coup de vent.
            En effet, à la pause, il me fit faire le tour de propriétaire de mon nouveau domaine. Comme je l'ai déjà dit, le studio était superbe, au septième étage, avec un balcon donnant sur les toits, un séjour vaste et clair, une cuisine entièrement équipée, ainsi qu'une magnifique salle de bains très complète. Il me fit remarquer que le sol formait une légère cuvette, avec un écoulement au centre, me précisant :
            - Ainsi, si tu sors en courant de la baignoire, pas de risque d'inondation, ni si tu veux uriner tout en te lavant les dents...
            Je ris, trouvant l'idée saugrenue. Il me fit également remarquer dans le séjour et la salle de bain, l'éclairage central au plafond : une vasque translucide suspendue au plafond par trois chaîne, et comportant, au-dessous une anneau rond décoratif en cuivre. À première vue, rien que de très banal, d'un goût assez moyen, mais passe-partout. Je ne comprenais pas très bien son insistance à insister sur l'éclairage, mais il me saisit à bras le corps, me souleva comme une plume, et me dit :
            - Lève la main et attrappe l'anneau !
            Intriguée, Je fis ce qu'il me demandait, empoignais l'anneau et il me lâcha : je restais ainsi suspendue, les pieds à cinquante centimères du sol ! Je commençais à comprendre : c'était du solide et on pouvait y suspendre n'importe quoi ... Ou n'importe qui...
            Les meubles étaient simples et très fonctionnels. Il ouvrit la penderie et je vis des vêtements féminins suspendus : robes, jupes, chemisiers, dans le bas étaient alignées plusieurs paires de chaussures.
            Il y avait aussi une commode à quatre tiroirs, sur laquelle étaient posés un poste de télé et un magnétoscope, ainsi qu'un téléphone. Le docteur ouvrit succesivement les tiroirs : celui du haut contenait du linge de maison : draps, serviettes, torchons... Le deuxième recelait des chemisiers et corsages, le troisième était rempli de dessous féminins : combinaisons, caracos, soutien-gorges, guépières, porte-jarretelles, bas de toutes les couleurs, petites culottes, etc...
            Il me tendit une petite clef en me disant :
            - Je te conseille de laisser le tiroir du bas fermé à clef, au moins pendant ton absence : son contenu ne regarde pas la femme de ménage qui passera du lundi au vendredi. Ouvre-le !
            Mue par ma curiosité naturelle, je m'empressai d'obtempérer, frisonnant et sursautant violemment à la vue de son contenu !
Ce tiroir, le plus haut des quatre, donc le plus grand, était rempli de tout un bric à brac soigneusement rangé : il avait dû falloir dévaliser un sex-shop pour le garnir, d'où mon premier mouvement de recul. Tout y était : fouet, cravache, martinet, chaînes, pinces, godemichets, accessoires de cuir, vibro-masseurs, menottes, cordes, barre métallique se terminant par deux bracelets de cuir... J'en oublie !!! Tout cet attirail m'effrayait et me fascinait à la fois. Il y avait également tout un tas de cassettes vidéos, dont les photos de couverture de certaines ne laissaient aucun doute sur leur nature pornographique ! D'autres cassettes ne comportent pas de photo, mais un timple titre.
            J'étais penchée en avant, stupéfaite, et il profitait pour me peloter outrageusement les fesses, me disant :
            - Tu verras, je t'apprendrai à prendre du plaisir avec tout celà...
            Je refermai le fameux tiroir et il me dit de garder la clef. De même, il me remit un trousseau de clef, celles de l'immeuble, du studio, de son cabinet, et quelques autres pour l'intérieur du cabinet, dont il promit de me révéler quelques spécificités extrèmement discrètes... 
            Il était temps de redescendre au boulot, nous n'avions même pas le temps pour une petite gâterie.
            Le soir, je montrais les clefs de chez moi ainsi que le contrat signé et toute la famille était ravie que j'ai du même coup décroché un boulot stable et un logement à prix raisonnable. Mes deux soeurs cadettes, Odile 19 ans à l'époque et Martine, 17 ans, étaient encore plus contentes : elle ne devraient plus partager leur chambre, puisque l'une ou l'autre allait récupérer celle que je libérais. De plus, je leur abandonnais toutes mes affaires personnelles, en particulier ma lingerie qu'elles m'empruntaient souvent sans me le dire, croyant que je ne m'appercevais de rien, en expliquant que le studio était tout équipé, même en linge, et que comme je démarrais une nouvelle vie, j'utiliserai ma première paye pour renouveller totalement ma garde-robe. D'ailleurs, ça me revenait, il y avait même dans la salle de bain, une brosse à dents neuve, du dentifrice  et un flacon de mon eau de toilette préférée ! J'avais repéré étalement une mini-chaîne : j'emporterai donc la vingtaine de disques que j'aimais le plus. De toute façon, je ne quittait pas la ville et on continuerai bien sûr à se voir régulièrement. Tout baignait donc dans l'huile.  
            Le vendredi matin, je m'habillai tout simplement d'un chemisier tout simple et d'une jupe plissée et des ballerines. J'avais tiré mes bas très haut sur mes cuisses et omis sciemment d'enfiler une petite culotte, pour lui faire la surprise.
            Après qu'il m'ait embrassé violemment comme d'habitude, je pris l'air géné, et dis :
            - Ce matin je suis partie précipitamment et j'ai oublié de mettre ma culotte. Quelle étourdie je fais !!!
            - En effet, mais celà va me simplifier la tache pour te donner la fessée que tu mérites pour le ballader le cul nu sous ta jupe !
            - Oh non, je vous en prie...
            Mais c'étaient des minauderies : je commençais à prendre goût à la fessée et il ne fut pas dupe : m'empoignant fermement, il coucha en travers des ses genoux, leva ma jupe d'un geste preste, il fit crépiter une bonne fessée sur mon cul nu...
            À la fin de la journée, il me dit :
            - Monte chez toi te changer. Je passerai te prendre dans 3/4 d'heure.
            J'appréciai beaucoup mon nouveau logis. Je me déshabillais, pris un bon bain, refis mes ongles. Pour m'habiller, j'étais perplexe : je ne savais vraiment pas quoi mettre ! J'étais nue sous mon peignoir de bain, debout devant l'armoire ouverte quand il frappa à la porte. J'ouvris et lui dit :
            - Je ne sais que mettre. Voulez-vous choisir ma tenue ? Puisque vous m'invitez, au moins que je sois à votre goût...
            - Pourquoi pas ?
            Il décrocha une robe longue rouge sang très décolletée devant et derrière, fendue de chaque côté. Il sortit du tiroir de la commode un petit porte-jarretelles noir en dentelle, une paire de bas très fins et une drôle de culotte : en forme de short, dont les jambes devaient arriver à mi-cuisse, ample, sans élastique aux jambes. Ce n'est pas tout ! Couleur rouge vif, dentelle noire au bas des jambes, entièrement fendue devant et derrière, fente bordée le la même dentelle !!! Un vraie culotte de pute... Il posa le tout sur le lit, précisant :
            - Sous cette robe, il est impossible de mettre un soutien-gorge, dont tu n'as d'ailleurs aucun mal à te passer.
            Assis dans le fauteuil, il me regarda avec gourmandise ceindre le porte-jarretelles autour de ma taille, enfiler délicatement mes bas, les dérouler très haut sur mes cuisses avant de les accrocher aux jarretelles, enfiler la fameuse culotte dans laquelle je me sentais plus que nue ; elle remontait très haut, jusqu'à la taille et m'arrivait effectivement à mi-cuisse, vague, flottante ; la fente commençait à 10 centimètres au-dessus du pubis pour se terminer juste en haut de ma raie culière : debout, on ne voyait pas grand-chose, mais au moindre mouvement, elle ne demandait qu'à s'ouvrir... J'enfilai la robe qui me moulait comme un gant, laissant la moitié supérieure de ma poitrine nue, ainsi que la majeure partie de mon dos.   
            Des escarpins rouges à tailons très haut et une veste de lainage complétèrent ma tenue.
            Dîner gastronomique aux chandelles dans un restaurant de luxe, bien arrosé (un peu trop d'ailleurs pour moi...) le toubib, charmant et plein d'humour, apparemment fier de se montrer avec moi qui attire pas mal de regards d'hommes... Après le repas, nous n'avons qu'une hâte : rentrer au studio pour baiser ! Déjà dans la voiture, il fait sortir mes seins de la robe, ce qui n'est d'ailleurs pas très difficile, et me demande de me trousser jusqu'au ventre et de me branler par la fente de ma culotte, ce que je fais sans discuter parce que je suis un peu grise et déshinibée. Dans l'ascenceur nous nous embrassons à perdre haleine et il manque me sauter ! À peine la porte mon studio refermée, il me pousse sur le lit où je tombe les pattes en l'air en riant, et sans me laisser le temps d'enlever ma robe, il me trousse et m'enfile sur bord du lit, s'engoufrant dans l'ouverture de ma culotte. Ce premier assaut est bref et nous jouissons ensemble.
            Puis je me débarasse de ma robe un peu frippée de mes bas filés et de mon porte-jarretelle, conservant ma culotte qui lui plaît bien. Il me fait ouvrir le tiroir du bas de la commode et me fait essayer quelques gadgets, boules de geisha, vibro dans la chatte, m'oblige même à me pénétrer moi-même avec un gode plus vrai que nature et de me faire jouir avec.
            Ensuite il décide de m'enculer et pour celà, je me retrouve bras et jambes écartés attachées aux quatre coins du lit, sur le ventre. Il me lèche longuement l'anus pour le préparer, avant d'y enfoncer son dard jusqu'au fond ! Il me sodomise un bon moment, déchargeant au fond de mon cul, et ... nous nous endormons comme ça, lui sur mon dos, sa queue ramollie toujours entre mes fesses.
            C'est une furieuse envie d'uriner qui me réveille, et je le secoue pour qu'il me détache et que je puisse aller soulager ma vessie distendue. Quand il comprend pourquoi je l'ai réveillé, il me dit :
            - D'accord, mais je veux te voir pisser !
            - Ca, c'est absolument hors de question ! 
            - On va voir...
            - C'est tout vu ! Je ne ferai jamais une chose pareille.
            Sans répondre il libére mes chevilles décroche les chaînettes qui relient mes bracelets aux montants de la tête du lit, sans vraiment me lacher. Il me fait lever, et me tenant solidement par les poignets, il me traîne à sa suite dans la salle de bain : je ne suis pas de force à lui résister, et avec une habileté diabolique, il accroche les bracelets de mes poignets au cercle de la suspension et je me retrouve debout, les bras étirés vers le haut. Il baisse et me retire ma culotte et m'ordonne :
            - Vas-y pisse ! Soulage-toi !
            - Non, jamais...
            Je suis sincère : j'en ai pourtant pas mal vu et subi avec lui, mais pisser devant lui, je ne peux m'y résoudre. Il essaie de me convanicre, mais je reste inflexible. Il ouvre les robinets du lavabo pour que le bruit de l'eau provoque ma miction : en pure perte ! Je suis bloquée et même si je le voulais, je ne pourrais pas : mon envie pourtant pressante semble m'être passée tant je me refuse profondément à cette humiliation. Il me menace encore :
            - Allez, tu vas pisser ! Sinon je te fouette aussi longtemps qu'il le faudra...
            Butée, je lui réponds :
            - Ça m'est complètement égal : faites ce que vous voudrez mais je n'urinerai pas devant vous ! D'ailleurs, même si je le voulais, je ne le pourrais pas : j'aurais trop honte...
            Tout aussi obstiné que moi, il va chercher le martinet dans le tiroir et commence en effet à me fouetter sur tout le corps, s'attardant sur mes fesses, mes seins, mon ventre mes cuisses. Sans arrêter de me battre, il me demande régulièrement :
            - Alors, tu vas te décider à pisser ?
            Pendant longtemps, la réponse est "Non", mais les lanières de cuir qui me cinglent violemment viennent peu à peu à bout de ma résistance, je capitule une fois de plus et en sanglotant je le supplie :
            - Ne me battez plus, je vais le faire...
            Il arrête instantanément de me frapper et attend. Mais je me suis tant retenue, que je n'y arrive plus ! il m'encourage à me concentrer, à me laisser aller, me caresse les fesses, me glisse un doigt dans le cul... Il bande très fort...
            Enfin, je réussis à lacher un premier jet d'urine, puis c'est la débâcle, je me vide complètement en pleurant plus de honte et rage impuissante que de douleur. Le jet, très fort,  sort en chuintant entre mes lèvres intimes et va frapper violemment le sol entre mes pieds ! Dès que je commence à vider ma vessie, il passe derrière moi, m'écarte les fesses et remplace son doigt  toujours fiché dans mon anus par son gland. Il me pénètre alors d’une poussée rectiligne, sans que je puissse m'arrêter pour autant de pisser ! En plus, il se met à me caresser le clitoris, et le salaud arrive à me faire jouir, comme ça, debout, finissant ma miction, enculée...
            Après, il est très tendre, m'embrasse, me caresse avant de me détacher ; entre deux baisers passionnés, il me dit :
            - Tu étais superbe ! Tu as vu l'effet que ça me fait de te voir pisser ? D'ailleurs tu as aimé, aussi ! Tu le referas, devant moi ?
            - Oui... peut-être...
            - Je vais se sucer la chatte pour te remercier...
            - Non, non... je vous en prie : je suis toute pisseuse ! 
            Mais il ne m'écoute pas, s'accroupit devant moi et plaque sa bouche à mon sexe qu'il se met à dévorer, tout en faisant aller et venir un doigt dans mon trou du cul : moralité, je jouis une fois de plus !!!
            Une bonne douche prise en commun, et nous allons dormir.
            Je suis réveillée par une sensation très agréable : je suis couchée sur le dos jambes écartées, il est penché au dessus de moi et titille doucement mon clitoris du bout de sa langue ! Je décide de feindre le sommeil : je grogne un peu m'ouvre au maximum et attends la suite. Je n'ai pas spécialement envie d'avoir du plaisir, mais qu'il m'utilise à son gré. Je ne suis pas sûre qu'il soit dupe, mais il joue le jeu : il me caresse partout très doucement, très tendrement et moi je reste passive, me faisant toute molle. Avec des précautions de sioux, il me relève les cuisses, présente son gland à l'entrée de ma chatte et m'enfile en douceur. Il me baise alors très lentement, très tendrement. Je suis bien : je ne suis qu'une simple poupée dans laquelle il se branle tranquillement et je suis contente quand je le sens gicler tout au fond de mon ventre.... Alors, seulement, je "me réveille" et lui sourit...
            Il est tard dans la matinée du samedi et avant de rentrer chez lui, il me montre le système vidéo du cabinet. Des caméras numériques sont installées dans chaque pièce, ainsi qu'un terminal de l'ordinateur central. Le tout est piloté par un logiciel qu'on peut appeler comme n'importe quel autre en cliquant sur une icône et on peut alors télécommander toutes les caméras et voir l'image sur l'écran. À côté de chaque écran, un petit tableau très discret où chaque caméra est représentée par une diode verte : elle s'allume si la pièce est occupée, et si elle clignote, je dois lancer l'enregistrement des images sur disque dur. Évidemment, par la suite on peut revoir le film sur l'écran du terminal ou tout simplement le stocker sur une simple cassette vidéo. Celles-ci sont stockées dans un placard dont nous sommes les seuls à posséder la clef et qu'il m'invite à fouiller pour me mettre au courant, surtout des cas spéciaux.
            Le système sophystiqué a plusieurs utilités : branché en veille la nuit, il filmera toute intrusion éventuelle d'un cambrioleur, donnant l'alarme au commissariat voisin, mais surtout, c'est un excellent moyen de prévenir tout chantage, que ce soit de la part des "cas spéciaux", ou tout simplement d'une cliente normale qui pourrait prétendre avoir été violée.
            Le toubib est parti et je suis seule et prend possession de mon studio. Le frigo est garni et je n'ai même pas à sortir pour faire des courses. Je fais l'inventaire des vêtements mis à ma disposition : tout me va très bien et les tenues sont très variées, allant du très sage au très sexy, d'autres plus ésotériques, pas vraiment faites pour sortir avec, ressemblant plutôt à des panoplies pour fantasmes d'adultes.
            Pour les dessous, c'est pareil, on y trouve de tout, depuis les parures enfantines toutes simples en coton, jusqu'aux culottes fendues, transparentes et au soutien-gorges entièrement ouverts, toujours de couleur criarde, aux bas résille, avec à mi-chemin, de très jolies chose de très bon goût : de mignons ensembles de dentelles, des slips coquins mais pas obscènes. Là aussi j'essaie tout, me mirant dans le grand miroir, me faisant rougir moi-même de me voir dans des sous-vêtements très cochons.
            Je me passe également les cassettes que j'ai empruntées au placard secret. Chacune porte un numéro, suivi de la lettre "N" pour normal, ou "S" pour spécial. Les normales montrent des consultations gynécologiques tout à fait banales : c'est répétitif et assez vite lassant de voir ces femmes se faire examiner les pieds dans les étriers. Les autres cassettes sont beaucoup plus intéressantes et variées, montrant toute une gamme de "traitements" dans le genre de ceux auxquels j'ai déjà assisté, mais aussi de simple entretiens entre le médecin et sa patiente habillée, où il lui fait dire explicitement ce qu'elle attend exactement de lui, et souvent il leur demande de se masturber devant lui. On voit aussi sur les images des documents officiels tels que carte d'assurée sociale ou d'identité tendues vers lui par la femme.
            Parfois c'est un homme qui est assis en face du docteur, lui parlant de sa femme et des traitements qu'il voudrait lui voir subir. Là-aussi, si la femme en question est présente, le médecin s'arrange pour les "compromettre" : les images montrent bien les trois personnages, le toubib assis à son bureau en blouse blanche et le couple qui exécute un "gage" de sa bonne foi. La femme peut être nue, en dessous sexy, troussée, l'homme peut la fesser cul nu, ou lui mettre en doigt dans le cul ou dans la chatte, etc... C'est sûr que ces images et les dialogues qui vont avec sont une bonne assurance de future tranquillité pour mon patron...     
            J'explore le tiroir des accessoires érotiques, un peu effrayée et éxcitée à la fois. Je ne connais pas l'usage exact de tous les ustensiles, en essaye quelques uns devant le grand miroir. En particulier, je dénude ma poitrine et pose une pince dont les mors sont recouverts de caoutchouc sur chacun de mes tétons : ça fait très mal, mais je suppose que je devrai m'y habituer, ces objets n'ayant pas attérri là par hasard ! Toujours devant la glace, je relève ma jupe, écarte ma culotte pour me pénétrer avec un godemichet... Enfin je fais mille cochonneries toute seule et l'après-midi passe très vite.
            Après dîner, j'enfile une nuisette mets une cassette et me mets au lit avec un vibro-masseur dans la main. Ce n'est pas mon premier film porno, bien sûr : une copine m'en avait montré quelques-uns, après avoir découvert où ses parents les rangeaient, et nous riions un peu bêtement en les regardant, autant l'une que l'autre, nous nous serions plutôt faites couper en morceaux plutôt que d'avouer que notre petite culotte était trempée... Celui-ci me plaît bien et je me branlais tout le temps en le regardant.
            L'action se situe dans une clinique très spéciale, où les toubibs, tous beaux mâles, passent le plus clair de leur temps à peloter et sauter les infirmières, jolies minettes à peu près nues sous leur blouse blanche. Il y a aussi le gynécologue obsédé, qui termine tous ses examens (assez réalistes, je dois dire), en baisant ou en sodomisant sa patiente sur la table d'examen. Les "malades" ont tous un problème au-dessous de la ceinture : des hommes ont des problèmes d'érection que les infirmières et médecins femmes s'emploient (et parviennent) à guérir ; les femmes souffrent du vagin ou du rectum ; avec pour tous, examens intimes répétés, lavements et autre soins... Mais voici le clou du spectacle :
             Une ambulance entre dans la cour, faisant crisser ses pneus et deux brancardiers en sortent une civière sur laquelle est allongée une jeune femme qu'ils emmennent au service des urgences avant de s'en aller. Toute une équipe est en place pour s'occuper d'elle, arrivée nue roulée dans un drap et elle raconte sa mésaventure : elle partouze gentiment avec trois types dans une salle de billard et ils s'amusent bien, la baisant et la sodomisant sur le tapis vert, lui enfonçant même le bout des queues de billard dans l'un ou l'autre de ses orifices. Soudain, l'un deux a une idée saugrenue : lui mettre une boule de billard dans le cul ! Tous s'esclaffent et ausitôt, la fille est saisie, retournée sur le ventre, on lui écarte fortement les fesses et la boule et posée sur son anus : il faut pousser un peu, et elle disparaît dans son fondement. La chose est si amusante, qu'ils récidivent et lui introduisent les deux autres boules dans le rectum. C'est après que sa se gâte : pas moyen de faire ressortir les fameuses boules, d'où sa présence ici...
            Son récit a amusé les participants, qui essaient, à tour de rôle, et par tous les moyens, de faire ressortir les boules : on lui masse le ventre, lui enfonce des doigts dans le cul et le vagin, sur le dos, prosternée, accroupie... Aucun résultat. On essaie de grands lavements : rien. Un joyeux carabin propose même de la sodomiser pour "faire un rétro" : solution acceptée, "au point oû nous en sommes...", qui n'a d'autre résultat que de montrer une nouvelle scène de sodomie. En désespoir de cause, il est décidé de l'opérer.
            Et la aussi, la suite est criante de réalisme ! La fille est préparée : rasage intégral de la vulve, du pubis, entre les fesses. Ensuite elle subit une toilette intime très minutieuse, on lui enifile des bottes, une camisole et un bonnet de toile blanche, on la met sur un chariot, enroulée dans un drap et on la conduit au bloc opératoire oû l'équipe habillée en vert, avec coiffe et masque la prend en charge, la transfère du brancard à la table d'opération métallique où on la dispose sur le dos, les cuisses fortement repliées sur la poitrine et écartées au maximum. Chacun accomplit sa tâche de façon efficace : les jambes de la fille sont posées sur des supports en forme de gouttière, on relève sa chemise pour lui poser les électrodes de l'électro-  cardiogramme sur la poitrine, pendant qu'une auttre lui pose une perfusion, et qu'on lui met le bout de l'index dans le doigtier pour mesurer la pression d'oxygène dans le sang, et qu'on passe le brassard du tensiomètre autour de son bras. Lors de mes études, j'ai eu l'occasion d'assister à plusieurs opérations chirurgicales au travers des hublot cernant la coupole d'un bloc opératoire, et toute cette préparation est très plausible... Les assistants immobilisent totalement le corps de la jeune femme dans cette position gynécologique forcée par des sangles sur les membres et le ventre. L'anesthésiste s'asseoit près de sa tête, l'oeil fixé sur les cadrans de ses appareils et commence à échanger des banalités avec la patiente, donc l'élocution devient de plus en plus pâteuse et qui finit par ne plus rien dire du tout. Au bout d'un petit moment, l'anesthésiste lui ouvre la bouche d'un main et enfonce très loin dans sa gorge le gros tube de la ventilation, qui va permettre de lancer la véraitable anesthésie au protoxyde d'azote, et plus tard de démarrer la phase de réveil en lui envoyant de l'oxygène pur dans les poumons.
            À ce stade, j'en oublie de me branler : je suis éberluée ! Ce n'est pas du réalisme, c'est la vérité : la fille est vraiment profondément endormie par l'anesthésie !!! Pour y avoir assisté, je suis sûre de ne pas me tromper : elle est totalement inerte, comme morte, son corps semble tout flasque et la chair de ses cuisses pourtant habituellement apparamment très ferme semble couler, pendre, alors que l'actrice est jeune et mince ! Et ce n'est pas tout : l'urine se met à couler doucement de sa vulve, essuyée au fur et à mesure avec des compresses par une des assistantes. Entre ses fesses écartées, son trou du cul ausssi s'est relâché, s'ouvrant de lui-même, formant un petit cratère rond... L'anesthésiste fait alors un signe au chirurgien, signifiant : "Vas-y, elle est prête". J'en reviens pas, car c'est absolument incroyable !!!
            Le chirurgien prend alors le relais, avance sa main gantée vers l'entrecuisse de la patiente et lui pénètre l'anus de trois doigts sans difficulté apparente. Il y joint très vite un quatrième sans problème et les bouge, les écarte pour l'élargir. Puis il retire sa main et plonge deux doigts de chaque main dans l'anus qui n'offre aucune résistance, le tirant, l'ouvrant comme je n'aurais jamais cru que celà fut possible !!! Quand il retire ses doigts, l'anneau de chair reste béant, grand ouvert et une assistance lui tend l'écarteur qu'il met en place. Cet instrument ressemble à un spéculum en bien plus gros et l'ouvre en grand en tournant la molette. Je suis effarée par la dilatation actuelle de l'anus de l'actrice : plusieurs centimètrre de diamètre !
            Le plateau de la table d'opération est remonté, incliné un peu vers le bas et une puissante lumière est projetée par l'ouverture de l'écarteur, accrochant des reflets sur l'une des boules d'ivoires à extraire. Ensuite, tout va très vite : le chirurgien saisi le tube relié à un appareil et terminé par une ventouse qu'on lui tend, le plonge dans la lumière de l'écarteur, plaque la ventouse sur la première boule, et donne un ordre. Une assistance manoeuvre des boutons sur l'appareil à vide et le chirurgien retire triomphalement le tuyau du cul de la fille, ramenant la boule aspirée par la ventouse qu'il dépose dans un plateau. Il ne lui reste plus qu'à renouveler l'opération pour aller chercher les deux autres boules de billard dans le rectum de la patiente... À peine la dernière ressortie, l'anesthésiste s'affaire autour des ses appareils pour provoquer la réanimation. L'écarteur est retiré du cul de l'actrice, qui reste néanmoins immensément ouvert, béant ! D'ailleurs, en attendant qu'elle se réveille et que son petit trou se resserre, tous les mâles présents y plantent leur pénis, une fois la table mise à une hauteur commode. Ils sont ainsi quatre à se faire branler par une des infirmières dans le cul de la fille que leur sexe, malgré une bonne turgescence et une taille honorable n'arrive pas à remplir tant il est encore dilaté...
            Le film se termine au moment où la jeune femme encore somnolente est emmenée sur un brancard vers sa chambre... Prise d'un doute, je reviens en arrière pour revisionner la scène au bloc, faisant même des arrêts sur image : aucun doute ne subsiste plus après celà : la fille a bel et bien été réellement anesthésiée : je me promets de demander des explications à mon patron. En attendant, je coupe tout et m'endors, ne finissant même pas de me donner du plaisir...

perverpeper@perverpeper.com

 

RETOUR A L'INDEX