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Caroline secrétaire médicale (3)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 3

            Le dimanche, je déjeûne chez mes parents et passe l'après-midi au cinéma avec mes soeurs. La nuit précédente, j'ai dormi d'un sommeil agité, sans doute à cause de la cassette que j'avais regardée avant de m'endormir. Ce matin, je me suis livrée à une petite cochonnerie, que je peux confier à ce journal intime.
            J'étais debout, toute nue devant le lavabo de la salle de bains, en train de me brosser vigoureuseemnt les dents quand la phrase du docteur m'est revenue en mémoire : "...Tu peux pisser en te lavant les dents..." et pourquoi pas ? Je resserrai mes jambes et me concentrai pour essayer d'uriner : cette fois ça vint très vite, mais j'essayais de contrôler ma miction, pour qu'elle dure le plus longtemps possible, m'efforçant d'interrompre le jet, puis me relâchant à nouveau ! Mon urine chaude coulait le long de mes cuisses et de mes jambes, et je continuais de ma brosser les dents, me mirant dans le miroir et me traitant de cochonne d'oser faire des choses pareilles...
            D'ailleurs, c'est vrai que la salle de bain était bien agencée : le nettoyage du carrelage ne demanda que quelques secondes en me servant de la douchette de la baignoire. Et je me dis que la prochaine fois qu'il me demandera de faire pipi devant lui, je ferai moins de manières...
            D'ailleurs, il ne s'en prive pas, et depuis cette période, c'est fou le nombre de fois que j'ai dû satisfaire mes besoins naturels, et pas seulement de pipi, devant lui. Il m'a fait pisser dans toutes les positions possibles et imaginables : Debout, accroupie, couchée sur le dos, à quattre pattes comme une chienne, en position gynécologique, nue ou plus ou moins habillée, etc : C'est inoui les variations que l'on peut broder sur ce thème... J'ai toujours aussi honte de me soulager en public, mais c'est une honte délicieuse : Allez y comprendre quelque chose !!!
            L'amour avec lui est toujours renouvelé et je le suis dans le chemin du vice. On ne s'ennuie jamais, tant nos imaginations sont fécondes. Parfois, il décréte que j'ai "le cul trop poilu" et il elimine toute trace de mes poils intimes. Cela coincide habituellement avec son envie de me savoir en permanence sans culotte. D'autre fois, il prétend que sans poils, "mon cul n'a pas d'odeur" et là il aurait plutôt tendance à me faire porter la même petite culotte pendant des jours sans la laver ! Ce n'est pas monotone, et il a su tout me faire aimer toutes ses lubies.
            Nous nous livrons aussi à des jeux de rôle où, la plupart du temps, il conserve le rôle dominant, ce qui nous convient parfaitement à tous les deux. J'ai maintenant une série de tenues et d'accessoires qui me permettent de jouer un grand nombre de personnages différents suivant son humeur. Certains reviennent plus souvent que d'autres, par exemple :  "la fillette", "la poupée", "la prisonnière", "la patiente" et "l'homme invisible". Je vais m'efforcer de décrire, à l'occasion, quelques scènes typiques relevant de ces catégories qui comportent chacune des tas de varaiantes : Je ne prétends nullement être exhaustive...
            Quand je dois circuler dans une tenue qui pourrait étonner, de mon studio au cabinet ou le contraire, une grande blouse blanche assez longue me permet de passer inaperçue dans l'ascenceur.
            Quand il a envie de réaliser un de ces fantasmes, il me le fait savoir en me demandant de consulter sur l'ordinateur, un dossier dont il m'indique le numéro. Ces fameux dossiers contiennent des scénarios détaillés qu'il a écrits, et après l'avoir lu, je sais exactement ce qu'il attend de moi...
            Ce matin, alors que j'ai introduit la dernière patiente et travaille dans mon bureau, il me dit par l'interphone :
            - Veux-tu jeter un oeil au dossier numéro 28, s'il te  plaît  ?
            - Bien sûr docteur, tout de suite...
            - Merci Caroline.
            Je consulte le dossier en question. Il est très détaillé, comme tous les autres : En résumé, je suis une poupée Barbie plutôt BCBG, posée sur le lit. J'aime bien ce rôle qui me laisse totalement passive et je monte tout de suite chez moi pour me préparer.
            Je me déshabille complètement, me rafraîchit l'entrecuisse, et me maquille avec soin dans le style désiré, puis je peigne mes cheveux assez long. Avant d'enfiler ma tenue, je prends le temps de me lubrifier l'anus, de le masser avec mes doigts, de l'assouplir pour en facilliter l'accès, essuyant l'excédent de gel : il doit paraître tout à fait naturel, mais être assez facile à pénétrer. J'enfile une parure bleue toute simple : soutien-gorge, petite culotte, porte-jarretelles soutenant des bas fin couleur chair. Je passe la robe bleue également, boutonnée du cou à la taille, à la jupe évasée qui me couvre le genou. Les chaussures sont des escarpins bleus à très haut talon.
            Quand il ouvre la porte, je suis prète : allongée toute habillée sur mon lit, totalement immobile, avec les jambes serrées, les bras allongés le long du corps et la bouche légèrement entrouverte. Le docteur s'approche, me contemple avec insistance de la tête aux pieds, avant d'y mettre les mains et me palper tout le corps au travers de ma robe, qu'il déboutonne ensuite pour sortir un de mes seins le caresser, le palper, pincer le bout ; il souleve ma jupe pour regarder dessous, me touche les cuisses, le bas-ventre, glisse ses doigts dans ma culotte, me tâte un peu la chatte après m'avoir largement écarté les jambes. Je me laisse faire, inerte comme une vraie poupée, respirant doucement, ne bougeant même pas les yeux, restant dans la position où il me met : ce n'est pas très facile car son jeu m'excite énormément. Il le constate, d'alleurs en écartant l'entrejambe de ma culotte et en me mettant deux doigts dans le vagin, il dit, comme se parlant à lui-même :
            - Elle est géniale, cette poupée, toute prète à être enfilée. Voyons ce que donne le cul !             Avant de me retourner sur le ventre avec deux oreillers pour me réhausser les fesses, ce en quoi je ne l'aide pas du tout, il baisse ma petite culotte et me la retire d'un côté seulement : il me plie fortement les jambes pour la dégager et remonte mon slip en haut de l'autre cuisse où il la laisse. Il rabat ma jupe sur mon dos, dévoilant mon derrière tout entier et m'écarte largement les cuisse. Il contemple longuement mon cul, le claquant aussi, sans provoquer la moindre réaction puis il m'ouvre les fesses à deux mains pour voir mon trou du cul, avant d'y vriller son index et de me fouiller longuement. Il se féllicite :
            - Pas mal non plus, le trou du cul : tojours prète à être enculée, cette salope de poupée Barbie...
            Il m'abandonne quelques instants le cul à l'air, le temps de retirer tous ses vêtements : il bande très fort ! Il s'allonge sur mon dos, tâtonne un peu entre mes fesses pour positionner son gland contre mon anus dans lequel il s'enfonce tout en douceur : ma préparation et celle de ses doigts se montrent efficaces !
            Quand il m'a mis dans ma position actuelle, mon avant droit s'est retrouvé coincé sous mon ventre, le bout de mes doigts au niveau de mon pubis : je sais très bien qu'il ne s'agit pas d'un hasard, alors je pose mon médius sur mon clitoris et commence à me branler par des titillements imperceptibles, pendant qu'il me sodomise, ou plutôt, comme il le dit lui-même, qu'il se branle dans mon cul. Il continue à m'enculer tant qu'il ne m'a pas senti jouir, ce que j'ai fait le plus discrètement possible, en tout cas silencieusement, puis se retire d'entre mes fesses sans avoir déchargé, disant :
            - Bon je ne vais pas lui gicler dans le cul : ça m'évitera d'avoir à la nettoyer ensuite...
            Il m'empoigne alors, me retourne et m'assoie sur le bord du lit, genoux écartés et bras ballants. Debout face à moi, il enfonce son sexe qui sort tout droit de mon cul tout au fond de la gorge : je retrouve ma propre odeur sous ma langue. Là non plus, je ne prend aucune initiative, me contentant de resserer mes lèvres autour de sa verge : il saisit ma tête et la fait aller et venir d'avant en arrière, me baisant littéralement dans la bouche. Bientôt je reçois les giclées de son sperme tout au fond du gosier et avale le plus discrètement possible. Il ne se retire de ma bouche que quand sa queue est devenue toute molle et se rhabille en vitesse, cependant que je reste comme il m'a mise. La séance est presque terminée : il ne reste plus qu'à ranger la poupée.
            Après ça, mes vêtements sont dans le plus grand désordre, auquel il met bon ordre : il rentre mon sein dans le bonnet du soutien-gorge, reboutonne ma robe, remet ma culotte en place, vérifie la bonne tenue de mes bas, m'enfile la chaussure que j'ai perdue dans l'action, et quand il sort, il me laisse dans la position exacte où il m'a trouvée : allongée sagement sur le lit, correctement habillée, jambes resserrée et bras le long du corps...
            Il me reste un peu de temps pour avaler une bricole, me changer et retourner au boulot...
            Ce jeu de la poupée peut revêtir de multiples formes : il me trouve en levrette sur le lit, guépière, bas résille, culotte fendue, me cravache les fesses, m'enfile par les deux trous ; à quatre pattes, nue dans la baignoire : il joue à m'enfoncer le tuyeau annelé de la douche dans la chatte ou dans le cul, m'innodant l'intérieur de trombes d'eau, avant de se vider dans l'un ou l'autre des mes trous ; tailleur strict, assise dans le fauteuil : il se branle simplement dans ma bouche ; etc...
            Quand je suis la "prisonnière", je dois m'attendre à une séance plus rude, simulant un viol brutal. Là aussi, les variantes sont nombreuses, mais ont des points communs : je dois me démaquiller, emmêler mes cheveux et l'attendre plus ou moins entravée, dans la tenue adéquate. Pour ce scénario, il me prévient toujours au moins la veille. Mercredi dernier, il m'a demandé un dossier dans ce style pour samedi matin, jour où il n'a que deux ou trois rendez-vous : je ne descendrai pas au cabinet, mais dans la cave qu'il a fait aménager pour ce genre de divertissemements, en suivant les indications très précises du script.
            Ainsi, je ne dois plus changer de culotte ni me laver la chatte, ce qui ne l'empêche nullement, le jeudi et le vendredi de me baiser ou me branler. Le samedi matin, j'ai l'entrecuisse poisseux, les poils collés et j'ai l'impression désagréable de puer abominablement. De plus, aller à la cave m'engoisse toujours un peu.
            Cette pièce au sous-sol ressemble à un temple du sado masochisme, avec les anneaux aux murs et au plafond, les fouets et autres cravaches accrochés çà et là, l'étroit lit métallique sans le moindre matelas, le seau hygiénique posé dans un coin. Suivant les instructions, je me prépare : je retire tous mes vêtements que je range dans un placard, sauf mon slip qui me colle à la fente. J'enfile la robe informe et assez courte de toile grossière rayée, ainsi que des sabots, sans oublier d'ébouriffer mes cheveux. Ensuite, je fixe la barre métallique d'environ un mètre à mes chevilles par les bracelets de cuir qui la prolongent, et qui m'oblige à garder les jambes très écartées. Pour terminer ma préparation, j'emprisonne mon poignet droit dans une paire de menottes fixée à un barreau de la tête du lit...
            Quand le docteur arrive, il me trouve ainsi : allongée sur le dos, les jambes maintenues éartées, avec seulement ma main gauche de libre ; le décolleté très échancré de ma "robe" laissant une partie de mes seins à découvert, le bas m'arrivant à mi-cuisse...
            Pendant au moins deux heures, je vais subir ses cruelles fantaisies, être sa chose, son jouet, et bien sûr, mes supplications, mes cris et mes pleurs n'y changeront rien. Je me débats aussi autant que je peux, mais ça l'excite encore plus. Il pétrit violemment mes nichons, me giffle, fourre brutalement ses mains entre mes cuisses, déchire ma culotte, me fouille durement le vagin  et l'anus. 
            Puis il m'asseoit au bord du lit, me force à ouvrir la bouche en me pinçant les narines, pour y fourrer sa queue, me baisant littéralement dans la bouche, s'enfonçant le plus loin qu'il peut. Je me retrouve ensuite à plat ventre, troussée, avec ma culotte en lambeaux qui ne cache plus rien, et il me fesse longuement, avant de prendre la cravache qu'il abat sur mes pauvres fesses, ou qu'il m'enfonce par devant ou par derrière.
            Remise sur le dos, il empoigne la barre d'écartement pour me relever les jambes à la verticale, me baisant et m'enculant alternativement, passant sans arrêt d'un trou à l'autre. Mais c'est dans ma bouche qu'il finit par enfoncer son sexe gluant et odorant pour y jouir...
            Quand il en a assez, il s'en va, me laissant me libérer toute seule : je suis moulue... Il ne me reste plus qu'à me rhabiller après avoir pris un bon bain.
            Parfois, mon patron n'est pas le seul à violer la "prisonnière" et je me souviens à ce propos d'une séance assez éprouvante pour moi. Il m'avait laissée nue, sur le dos, bras et jambes écartelés aux barreaux du lit. J'ai eu alors la surprise de le voir revenir accompagné de trois de ses confrères. Les quatre hommes jouent de mon corps comme ils l'entendent : tous me passent dessus pour me baiser, ou s'asseoient sur ma poitrine pour que je les suce, me meurtrissant sur les ressorts métalliques du lit, m'enfoncent divers objets dans l'un ou l'autre orifice, me retournent, me fessent, me fouettent avant de me sodomiser à tour de rôle. Pour finir, ils se masturbent autour de moi, m'éclaboussant de leur sperme le visage, les cheveux, les seins le bas-ventre, avant de me faire subir la pire humiliation, uriner tous ensemble sur tout mon corps... Ils me laissent enfin, souillée, pantelante, mais heureuse, car, pourquoi le cacher, j'ai éprouvé un nombre incalculable d'orgasmes.
            Si le numéro de dossier qui l'intéresse se situe entre 40 et 49, c'est une variante de "l'homme invisible" : il me précède dans mon studio, et quand j'y arrive à mon tour, je dois agir comme si j'étais toute seule, et, bien entendu, me montrer aussi vicieuse et salope que possible, comme s'il était devenu, subitement, totalement transparent.
            Ce soir, au moment où je raccompagne la dernière patiente, il me dit :
            - Veux-tu me sortir le dossier 46 ?
            Je dis oui, et la cliente sortie, je vais consulter l'ordinateur, ce qui lui laisse largement le temps de s'installer chez moi.
            Je ferme le cabinet et monte chez moi : j'ouvre la porte à la volée, la claque, jette au passage mon sac à main sur le lit et me précipite vers les toilettes dont la porte est grande ouverte, relève fébrilement ma jupe, baisse ma culotte à toute vitesse, m'accroupis sur la cuvette à la turque, et bien que mon envie ne soit pas aussi urgente que ça, me mets à uriner puisamment, le visage bestialement réjoui de me soulager. Quand j'ai fini de pisser, je reste dans la même position, poussant comme si je n'arrivais pas à déféquer pendant un moment, puis je me relève sans utiliser du papier hygièneique pour m'essuyer la vulve, mais le fond de ma culotte, avant de la remettre en place, tout en pestant :
            - Et zut ! Je suis encore constipée !!!
            Je vais alors chercher un suppositoire à la glycérine dans la salle de bain. Pour me l'introduire dans l'anus, je relève à nouveau ma jupe, baisse mon slip aux genoux, me penche en avant jambes très écartées et tâtonne entre mes fesses pour trouver le trou : le suppo introduit, mon doigt disparaît à son tour au fond de ma croupe pour le pousser le plus loin possible. Ensuite je me reculotte laisse retomber ma jupe... En attendant que le suppositoire agisse, je me mets à l'aise : je retire ma jupe et la suspends soigneusement dans la penderie, ainsi que mon chemisier, dépose mes chaussures dans le bas, je range mon sac sur la commode, enclenche une cassette au hasard dans le magnétoscope et vais m'allonger sur mon lit en petite tenue. En regardant le film porno, je me caresse les seins au travers du soutien-gorge, le ventre, les cuisses, la chatte à travers ma culotte.
            J'arrête pour retourner m'accroupir aux W.C., sans grand résultat d'ailleurs, à part un peu d'huile qui ressort de mon petit trou : il va falloir employer les grands moyens, un bon lavement s'impose ! Pendant ce temps, les scènes de cul continuent à défiler sur l'écran du téléviseur. Je sors le bock émaillé de plus de deux litre et mets de l'eau à chauffer dans la cuisine et pendant qu'elle chauffe, je finis de me déshabiller, roulant mes bas et retirant le reste, prenant soin de renifler l'entrejambe de ma culotte avant de la mettre au sale dans le panier de la salle de bains. Je prends alors des poses devant la glace, me regardant nue. J'écarte les lèvres de mon sexe à deux main et pousse le pubis en avant pour voir l'intérieur. Puis je tourne le dos au miroir, me penche en avant, jambes très écartées et m'ouvre les fesses à deux mains pour admirer le petit cratère strié entre elles...
            Bon, l'eau est mainteant bien chaude : je remplis le bock et le pose sur la table de nuit à la tête du lit et j'attends encore un peu que la temparature baisse, avant de m'allonger à plat ventre. Je saisis alors la fine canule qu'un tuyau rouge en caoutchouc relie au bock, la met dans ma bouche pour bien l'humecter de ma salive avant de la mettre entre mes fesses. Dès qu'elle a pénétré mon petit trou à fond, j'ouvre le robinet et sens l'eau presque brûlante s'engouffrer dans mes intestins. Je laisse le temps au bock de se vider entièrement, une main entre les fesses pour maintenir la canule en place, puis retire celle-ci de mon cul. J'ai décidé de garder le lavement le plus longtemps possible avant de l'évacuer et je m'occupe du mieux que je peux pour meubler l'attente : Je rince le bock, lave la canule, range le tout à sa place, puis je fais les cent pas dans le studio, pliée en deux par les colliques, serrant les cuisses et les fesses. Mais au bout d'un quart d'heure environ, il faut y aller : je ne peux plus tenir et cours aux toilettes où je me vide longuement et bruyamment.
            Il ne me reste plus qu'à faire ma toilette intime sur le bidet, puis j'enfile une nuisette noire transparente qui m'arrive à peine en haut du pubis et je commence à préparer mon repas du soir : je sors des carottes que je vais raper. L'une est superbe, très grosse, et avant de la découper, je la passe sous le robinet d'eau chaude et me l'enfonce carrément dans le vagin ! Je reviens alors dans le séjour, tenant la carotte bien enfoncée entre mes cuisses, m'allonge sur mon lit et tout en regardant le film qui continue, je m'astique la chatte avec le légume...
            ...Il quitte discrètement la pièce : nous ne nous sommes pas touchés et n'avons pas échangé un seul mot ! Je me dis avec un brin de nostalgie que c'est sa femme, à son retour qui bénéficiera de l'excitation que mon comportement vicieux a fait naître en lui...
            Hier soir en partant, il m'a dit :
            - Demain, tu me sortiras le dossier 58 pour 8 h 30, merci...
            Ce qui en langage commum signifie qu'il me veut dans la salle d'attente transformée en fillette à l'heure dite ! Ça tombe bien, en ce moment j'ai la chatte entièrement épilée, ainsi d'ailleurs que ses alentours immédiats : pubis, aines, grandes lèvres, raie culière. J'ai fait deux nattes avec mes cheveux, attachées au bout par deux rubans, éliminé toute trace de maquillage et je descend en avance pour finir de me préparer dans mon bureau. Je retire tous mes vêtements normaux et enfile une culotte blanche de coton cottelé, style "petit bateau", un soutien-gorge formant une bande de toile qui écrase mes seins, une jupe plissée très courte bleue marine, un corsage de gamine blanc à col claudine. Des soquettes blanches et des souliers vernis sans talons complètent mon accoutrement et c'est ainsi qu'il me trouve en arrivant, sagement assise dans la salle d'attente. Il s'enquiert alors :
            - Qu'est-ce que tu fais là, ma chérie ?
            Je prends mon air le plus enfantin et le plus nunuche possible pour lui répondre :
            - C'est ma maman qui m'a dit de venir vous voir, parce que mon minou me gratte. Elle n'a pas pu m'accompagner parce qu'elle travaille...
            - Ah bon. Eh bien attends encore un peu, je vais venir te chercher dans quelques minutes...
            Il revient en effet et m'invite à le suivre. Il me fait asseoir devant son bureau et commence à m'interroger, comme s'il avait réellement affaire à une pré-adolescente, dont je continue à jouer le rôle. Il me demande s'il m'arrive de pisser au lit ou dans ma culotte, etc... Quand il me demande de me déculotter pour pouvoir m'examiner, je minaude, refusant de "montrer mon zizi". Au début, il se montre patient, essayant de me convaincre, et comme je m'obsine, devient menaçant et finit par m'empoigner, me coucher sur ses genoux, trousser ma jupette et me flanquer une retentissante fessée, d'abord sur le fond de ma culotte, avant de me la baisser et de continuer sur mon petit cul nu... Je me débats comme une diablesse, pleure beaucoup. Quand je capitule et lui assure entre mes sanglots que je vais être bien sage, que je vais me laisser examiner, ça ne l'arrête pas pour autant et il me dit :
            - Il fallait te décider plus tôt, sale morveuse, de toute façon tu as mérité une bonne correction, petite pisseuse...
            J'ai beau implorer, pleurer, supplier, rien n'y fait et s'il arrête la fessée c'est pour attrapper un martinet et me fustiger tout l'arrière du bas de mon corps, des reins aux mollets, redoublant mes sanglots de petite fille punie. Enfin, après qu'il m'ait fait promettre pour la millième fois que je me laisserai faire bien sagement, il cesse et m'ordonne :
            - Pour t'apprendre à te montrer docile, au lieu d'enlever simplement ta culotte, tu vas te mettre toute nue !
            Ce que je fais en reniflant mes larmes, et c'est avec beaucoup de réticence, lentement, que je retire tous mes vêtements. Quand je suis nue, il ne m'examine pas tout de suite : il me regrerde de la tête aux pieds, me fait tourner sur moi-même, pencher en avant et me dit :
            - Avec tes jérémiades, tu m'as mis en retard, tu vas m'attendre. Prosterne-toi face au mur, genoux très écartés.
            Comme je feins d'hésiter, une cravache apparaît dans sa main comme par magie : je ne discute plus et me dépêche de prendre la pose infamante, exposant toutes mes parties les plus intimes. Mais ce n'est pas tout : il me dit de passer une main derrière moi, et de m'enfoncer un doigt dans le derrière ! J'obéis en pleurinichant que j'ai honte, que ça me fait mal à mon cucul, mais il insiste :
            - Plus loin, ton doigt ! Entre-le tout entier dans ton petit trou de gamine mal élevée ! Tu restes comme ça en attendant mon retour, sinon gare !
            Il disparaît pour aller examiner une ou deux patientes et je l'attends, un doigt planté dans le cul... Il revient, me fait monter sur la table et écarter les cuisses, m'attache dans cette position, magré mes faibles protestations et commence à m'examiner très en détail. Une fois le spéculum en place, il s'en va à nouveau, me laissant écartelée en position gynécologique, l'instrument métallique dilatant ma petite chatte épilée.
            Ainsi, je passe un temps infini sur cette table d'examen : il s'occupe un peu de moi, m'abandonne un moment, revient... Par exemple, il me fait mettre à quatre pattes, en appui sur mes avant-bras, me lie à la table dans cette posture, me fouille longuement l'anus avant d'y introduire lentement et bien à fond, les trente centimètres de l'anuscope dans le rectum. Là aussi, je dois patienter pendant qu'il fait autre chose, le cul en l'air percé par le long tube nickelé.
            La consultation se termine : il me détache et m'autorise à me rhabiller, et là, j'obéis à toute vitesse, mais il a pris ma culotte et la garde ostensiblement à la main, m'annonçant tranquillement :
            - Tu vas rentrer ainsi chez toi, sans culotte, ça évitera à ta mêre à avoir à te la retirer pour te flanquer la correction que je vais lui conseiller par téléphone, et que ton inconduite mérite amplement...
            Je me tords les mains, pleure de plus belle, le supplie. Il fait mine de s'attendrir et me dit :
            - Si tu es très gentille, je ne dirai rien à tes parents...
            - Je ferai tout ce que vous voudrez, mais par pitié, ne me faites pas punir davantage...
            - Alors approche !
            Il est assis sur un fauteuil et sors son sexe bandant, ajoutant :
            - Mets-toi à genous et suce, petite merdeuse !
            Je m'exécute maladroitement, comme si c'étais la première fois que je faisait une fellation, mais cette maladresse même fait partie du jeux, et il ne tarde pard à jouir, m'éclaboussant la bouche et aussi le visage... Je récupère enfin ma culotte et il me vire en me recommandant :
            - La prochaine fois, tâche de te montrer plus docile, si tu veux évier les ennuis...
            À quelques jours de là, le docteur et moi nous avons l'occasion de vivre une situation réelle ayant quelques similitudes avec cette gentille comédie : une des patiente habituelle, Jeannine, une blonde un peu molle d'environ trente-cinq ans vient au cabinet, accompagnée de sa jeune fille Muriel, afin que le médecin l'examine. L'adolescente est une vraie peste : fille unique, mal élevée, chieuse comme il n'est pas possible. Déjà, dans la salle d'attente, elle engueule violemment sa mère, puis dans la cabine de déshabillage refuse tout net d'enlever sa culotte. Je préviens mon patron qui me dit simplement :
            - Fais-les entrer, on va voir ce qu'on va voir...
            Dans le cabinet de consultation, la fille se calme un peu, apparemment impressionnée par la prestance et le calme froid du toubib, mais boude, complètement butée, ne répondant pas aux questions qu'il lui pose. Il n'insiste pas et lui dit :
            - Bon je vais t'examiner : retire ta culotte s'il te plaît.
            - Non je ne veux pas être examinée...
            Il se tourne vers la mère et lui dit avec un calme, qui pour moi qui le connais bien ne présage rien de bon :
            - Madame, dites à votre fille de se préparer !
            La femme bredouille alors lamentablement :
            - Allons, ma chérie, sois raisonnable, fais ce que te demande le docteur...
            - Pas question !!!
            Avant qu'elle n'ait le temps de réagir, il a bondi sur elle, la saisit fermement par un bras et l'arrache du fauteuil sur lequel elle était assise, empoigne son autre bras, lui réunit les poignets dans le dos et lui tire les bras vers le haut, l'obligeant à se pencher fortement en avant. La jeune fille est furieuse, hurle, trépigne, rue, menace même, mais elle ne fait pas le poids, d'autant que, sur un signe j'apporte mon aide au docteur : sur son conseil, je saisis la tête de l'adolescente, la fourre sous mes jupe et la coince fermement entre mes cuisses. Je prends alors ses poignets dans mes mains et continue à les tirer vers le haut pour l'empêcher de se relever. Dans le même temps, le toubib qui a maintenant les mains libres, lui relève brusquement sa jupe et la lui rabat sur le dos, dévoilant les jambes nues de la fille et son postérieur moulé dans une petite culotte de nylon bleu, sur laquelle s'abat sa main vengeresse. Il la fesse longuement, sévèrement, et elle pleure sous ma jupe, hurle, se trémousse dans tous les sens sous l'avalanche crépitante qui tombe sans relâche sur ses fesses et ses cuisses, mais refuse toujours de céder. J'ai du mal à la maintenir tant elle gigotte, mais sa position m'est favorable. Sa mère, prise elle aussi de court, contemple la scène d'un air ahuri sans réagir, comme clouée à son fauteuil.
            Mais Muriel en plus de son sale caractère est une coriace : il a beau lui claquer le cul, elle ne veut rien savoir. Il prend alors le martinet et les lanières de cuir la cinglent durement des reins aux mollets en passant par les fesses et les cuisses, redoublant ses imprécations et ses pleurs, mais ne la faisant pas encore céder !!! C'est finalement la cravache qui vient à bout de sa résistance opiniâtre : Au cinquième coup qu'elle reçoit en travers des fesses, malgré la protection illusoire du fond de sa culotte, elle s'effondre, craque complètement. Elle jure qu'elle va se laisser docilement examiner, promet tout ce qu'on veut, enfin brisée. Je relâche l'étreinte de mes mains sur ses poigets et celle de mes cuisses autour de sa tête. Mon patron garde la cravache à la main et lui ordonne froidement :
            - Au lieu de retirer simplement ta culotte, tu vas te mettre toute nue pour t'apprendre à résister !
            Vaincue, elle obtempère aussitôt, les cheveux en désordre et le visage ruisselant de ses larmes, nous dévoilant un joli corps dont les formes la font paraître plus jeune qu’elle n’est. Ses seins sont minuscules et la toison de son pubis peu fournie. Elle ne résiste pas quand je la conduis vers la table d'examen et que je l'aide à se mettre dans la position gynécologique avec ses pieds dans les étriers ; mais mon patron rendu prudent, décide toutefois de l'attacher.
            Durant tout l'examen, elle peure de honte et d'humiliation, et lui prend tout son temps ! Il palpe d'abord durement les petits nichons de la récalcitrante, la fouille longuement d’un toucher vaginal, lui met en place un petit spéculum, et termine par le toucher rectal... La fille est détachée de la table, autorisée à prendre ses vêtements pour aller se rhabiller dans une cabine où je la conduis et la laisse en larme avant de retourner dans le cabinet.
            La mère n'a pas bougé, dépassée par les évènements et s'excuse platement pour la conduite de sa fille. Il l'interrompt brutalement :
            - Si votre fille se conduit aussi mal, c'est que vous l'éduquez mal. J'ai dû lui donner une râclée simplement pour pouvoir l'examiner : En fait c'est vous qui méritez une correction pour vous montrer aussi faible à son égard !
            Elle balbutie, complètement perdue et il ajoute :
            - D'ailleurs, vous allez l'avoir tout de suite pour avoir à ce point laissé votre fille troubler l'ordre de mon cabinet.
            - Mais... Je...
            - Ne discutez pas : vous méritez une punition, et vous le savez très bien. Levez-vous !
            La jeune femme est faible de nature, prête à se soumettre à la moindre autorité et elle obéitn apeurée. Il lui ordonne :
            - Vous allez retirer votre culotte, vous trousser largement et poser votre buste sur le bureau.
            Le plus curieux c'est qu'elle obéit sans discuter : elle glisse ses mains sous sa jupe pour se débarasser de son slip de dentelle noire, et prend la pose, fesses très blanches et un peu grasse étalées au-dessus de ses cuisses gainées de bas noirs à couture. Autre surprise, des lignes sombres marquent ses fesses et le haut de ses cuisses, qui prouvent sans erreur possible, qu'elle a été fouettée récemment... Mon regard croise celui de mon patron : Nous nous comprenons ! Il lui annonce gaiement :
            - Je vais vous donner 10 coups de cravache sur les fesses, et vous aller les compter...
            Et ça se passe ainsi : elle compte les dix coups qu'il lui assène, se mordant les lèvres pour ne pas crier. Il cesse de la fustiger et lui dit :
            - Vous pouvez remettre votre culotte, et pendant les huit jours qui viennent, vous passerez tous les jours pour la suite de votre punition, que mon assistante ou moi-même continuerons à vous appliquer...
            - Oui docteur...
            Il me prend à part et me dit à l'oreille :
            - Raccompagne la mère et ramène-moi la fille : je pense qu'il y a quelque chose à en tirer...
            Je ramène la mère dans la salle d'attente et vais chercher sa fille dans la cabine de déshabillage où je l'ai laisée précédemment, et la retrouve rhabillée, coiffée, visage essuyé, normale, quoi ! Je la prends par le bras en lui annonçant :
            - Viens avec moi, le docteur a un mot à te dire...
            Dans un premier temps, elle a un mouvement de recul, mais je la rassure :
            - Ne fait pas ta mauvaise tête : je pense que c'est pour ton bien...
            Pas rassurée, elle me suit sans enthousiasme. En route, je lui suggère :
            - Tu sais, je pense que tu devrais lui présenter des excuses pour ton attitude de tout à l'heure : Ce n'est pas le mauvais bougre, mais il ne faut pas le chercher, comme tu as pu t'en apercevoir...
            En effet, matée, en rentrant dans le cabinet, elle dit humblement :
            - Docteur, je vous prie de bien vouloir m'excuser pour tout à l'heure. Je suis désolée de m'être montrée aussi désagréable.
            - Ok. Assieds-toi Muriel.
            Dès qu'elle a obéi, pas plus rassurée que ça, il lui assène sans prendre de gants :
            - C'est parce que tu n'es plus vierge que tu refusais que je t'examine ?
            Elle ne répond rien, mais baisse la tête en rougissant violemment, ce qui vaut tous les aveux. Il enfonce le clou :
            - Essaie de me faire croire que tu n'as jamais été sodomisée...
            Elle ne répond toujours pas, mais rougit encore plus si possible, au bord des larmes. Il l'engueule franchement :
            - Bon, tu es encore jeune, est-ce que tu as envie de te retrouver enceinte ? Ta mère est trop faible avec toi, mais ton père ? Suppose que je lui téléphone pour lui annoncer que tu t'es déjà faite baiser et enculer, quelle sera sa réaction à ton avis ? Je suis prêt à parier qu'après une bonne raclée à coup de ceinture à côté de laquelle celle que j'ai du te donner tout à l'heure ne serait qu'un douce plaisanterie, il te colle aussi sec dans une école de correction, où je te jure que ton caractère de cochon ne te vaudra que des avanies supplémentaires... Pour l'instant, je n'ai rien dit à ta mère, qui le répèterait forcément à ton père. Tu veux jouer les grandes, et bien assume-toi !!!
            - Que dois-je faire, docteur ?
            - Déjà prendre la pillule, petite conne ! À quelle heure sors-tu de l'école demain ?
            - Dix-sept heures, docteur...
            - Bien, passe me voir à ce moment-là et je te ferai une ordonnance pour un contraceptif. Tu feras ce que te dirs Caroline, mon assistante, et s'il te plaît, sans foutre le bordel comme aujourd'hui. D'accord ?
            - Oui docteur, merci, je viendrai demain. ...Et je serais bien sage, promis !
            Dès que toutes deux ont quitté le cabinet, nous avons quelques minutes devant nous : Il m'enlève dans ses bras et m'embrasse fougeusement, fourrant sa main sous ma jupe. Puis,
rapidement, il m'explique :
            - J'aimerais que tu prennes en charge ces deux-là, tu t'en sens capable ?
            - Je ne sais pas trop, qu'entendez-vous par "prendre en charge" ?
            - Et bien leur imposer ta personnalité, tout simplement, les soumettre, les faire te manger dans ta main. Ce serait un bon exercice pour toi : la mère est veule et tu as remaurqué comme moi qu'elle a été récemment fouettée assez fort pour laisser des traces. Si on sait s'y prendre, on doit pouvoir lui faire faire pas mal de choses et la recruter comme "spéciale". Quant-à la fille, malgré sa grande gueule, il suffit de lui montrer qui est le maître, tout simplement : remplacer l'autorité que ses parents n'ont pas sur elle, et dont elle ressent le besoin impérieux.
            - Vous m'aiderez, vous me guiderez ?
            - Mais bien sûr, au début, je te donnerai des idées. Par la suite, je suis certain que tu sera tout à fait capable de te débrouiller toute seule. Pour la mère, humilie-la, provoque ses confidences, vois ses fantasmes, fait moi une fiche en béton, filme-la en position compromettante. Tu te sens capable de lui cravacher les fesses ou l'entrecuisse ?
            - Euh... je veux bien essayer pour vous être agréable...
            - Parfait. Pense à lui faire payer chaque séance, fais-la mariner dans son jus. Trouve-lui une idée pour chacun des huits jours qui viennent, et empoche le fric : C'est pour toi.
            - Oh, mais non, il n'y a pas de raison...
            - Tu obéis, compris ? Bon pour sa fille, tu devrais pouvoir capter facilement sa confiance, confesse-la, elle ne demande qu'à communiquer. Elle est intelligente et doit se faire sauter par un petit con, sans y trouver beaucoup de plaisir, simplement parce que "ça fait bien". Devient sa copine. Demain, tu auras tout le temps pour la cuisiner, puis tu la fais déshabiller, fais-lui un toucher rectal puis un lavement : Je vais l'examiner soigneusement sur le plan anal, sous prétexte que la sodomie peut provoquer des dégâts. Surveille son cycle menstruel, fais-la venir ensuite tous les jours, explique-lui qu’on ne lui donnera la pillule qu'à bon escient, au bon moment de son cycle et qu'en attendant elle soit prudente et sucer ou se fasse sodomiser, ou encore qu'elle utilise des préservatifs : donne-lui en quelques uns à l'occasion. Il me donne encore des précisions pour bien traiter mes deux nouvelles "patientes".

perverpeper@perverpeper.com

 

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