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Le docteur X retourne à l'école (03)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

H/f H/f+ F/f F+/f F+/f+ exhibition uro humiliation réticence médical.

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 03 : DEUXIEME COURS

J'ai laissé Germaine à ses turpitudes avec la dirlo et fais face aux douze filles.

"Sophie, Aline et Fatima, vos règles sont-elles terminées ?"

Les trois filles rougissent violemment, mais répondent en choeur :

"...Oui, Docteur..."

"Parfait : ainsi vous allez pouvoir montrer à vos petites camarades ce qu'elles vous ont fait voir la semaine dernière. Veuillez vous déculotter, s'il vous plaît ! Sophie tu viens en premier."

Je procède avec la jolie blonde de 18 ans, pucelle de surcroît comme précédemment avec ses copines, à sa grande confusion...
Je la libère et Fatima s'installe à sa place : C'est sans doute la plus âgée de toutes : Vingt ans, très brune, de type Nord-Africain, un peu boulotte. Entre ses cuisses largement écartées, elle exibe un sexe très velu, noir comme de l'encre. À ma question :

"Es-tu vierge, Fatima ?"

Elle ne répond rien, mais fait "non" avec la tête.

"Très bien. Aline va te faire un toucher vaginal pour voir si elle a bien retenu la dernière leçon..."

Les deux filles, surprises protestent un peu, mais j'ai vite fait de ramener de l'ordre :

"On ne discute pas ! Aline, enfile ce doigtier et fais ce que je te dis ; Fatima, tu ne bouges pas..."

La blondinette est très empruntée face à l'entrecuisse béant de l'autre, ne sachant trop comment s'y prendre : Je dois prendre sa main et la guider vers la vulve de sa camarade, dans laquelle elle enfonce maladroitement son index. Je la laisse patouiller un instant avant de lui dire de cesser et de remplacer Fatima sur la table. Elle s'y installe, plus morte que vive et nous montre un sexe rose entouré de poils très blonds que j'entrouve pour montrer l'hymen à ses compagnes. Je les fais approcher et leur demande de nommer tous les points sur lesquels je pose le doigt : Elles ne s'en tirent pas trop mal, et je libéure une Aline au bord des larmes.

Petite récréation, et quand elles rentrent en classe, la femme de l'autre jour est installée en position gynécologique, l'entrecuisse béant face à la salle. J'annonce :

"L'autre jour, je vous ai montré comment dilater le vagin d'une patiente. Aujourd'hui, vous allez le faire chacune à votre tour, et je me contenterai de regarder. Enfilez un gant, et essayez d'introduire votre main dans la vulve de cette femme, sans lui faire mal. Allez, à la première..."

Dans l'ensemble, elles n'ont pas de très grandes mains, et si les premières à passer ont quelque peine à introduire trois doigts, les suivantes n'ont aucun mal à enfoncer leur main toute entière, jusqu'au poignet dans la chatte dilatée. Sous ces manipulations, parfois maladroites, peu à peu la femme s'excite : Quand la dernière éléve retire sa main, elle est très rouge, son vagin reste béant...

J'envoie les filles dans la cour et m'adresse à la femme, toujours étalée, écartelée :

"Ça va ? ce n'est pas trop pénible ?"

"Euh..."

"Dites-moi franchement : Cette série de pénétration vous a-t-elle excitée ?"

"...Oui... Oh, j'ai honte !"

"Il ne faut pas, chère Madame ! Vous pouvez d'ailleurs vous masturber, si vous le désirez : cela vous détendra car la séance n'est pas terminée !"

"Que je me... devant vous !!!"

"Mais oui, allez-y, vous en mourez d'envie..."

Obéissante, elle porte une main entre ses cuisses écartées et commence timidement à se branler le clitoris. Mais l'excitation est la plus forte et elle ne tarde pas à agiter follement sa main, provaquant une jouissance qui la laisse extrèmement confuse... Je lui donne mes ordres pour la suite :

"Vous devriez retirer votre jupe : Vous serez plus à l'aise. Comme elles l'ont fait pour le vagin, les filles vont maintenant vous dilater l'anus le plus possible, à tour de rôle. Ne résistez surtout pas, vous auriez mal. Au contraire, détendez-vous le plus possible, poussez même, comme pour aller à la selle : vous verrez, ça ira tout seul... Voilà : Prosternez-vous sur la table et écartez bien les genoux. C'est ça, plus haut les fesses, ouvrez-vous bien..."

Et la séance reprend : Chaque élève essaie d'introduire le plus de doigts possible dans l'anus de la femme. Les filles passent dans l'ordre inverse de tout à l'heure. Peu à peu le troufignon s'écarte, se dilate...

C'est Joelle qui passe la dernière : Elle a une petite main. En la guidant habilement, je l'aide à l'introduire tout entière dans le fondement de la femme-cobaye qui gémit : son anus, très dilaté forme une bague livide autour du poignet de la jeune fille... Je fais signe aux autres qui font cercle et indique à Joelle de fermer le poing et de faire un mouvement d'aller et retour entre les fesses de la patiente...

Ainsi pistonnée, le cul défoncé, la femme se plaint, geint, pleurniche. L'adolescente veut retirer sa main, mais je la maintiens solidement en place de ma main gauche, pendant que de la droite, je m'attaque au clitoris de la femme : Ainsi sollicitée, brutalement sodomisée et habilement masturbée, celle-ci ne tarde pas à éprouver un orgasme dévastateur, que chaque élève peut admirer, non sans rougir, en gros plan... La femme, épuisée, est retombée à plat ventre et Joelle a quelque difficulté à retirer sa main d'entre ses fesses...

Je donne congé aux filles et autorise la femme à se rhabiller. Avant de quitter l'école, je passe voir la directrice, pour récupérer Germaine et donner mes instructions pour le cours suivant. Mme LEROY est tout à fait d'accord pour qu'il se déroule dans le dortoir des filles, tôt le matin et sur tout ce que j'exige. Elle a les yeux cernés et je suppose que ma jeune assistante à dù lui en faire voir...

perverpeper@perverpeper.com

 

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