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Le docteur X retourne à l'école (04)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

H/f H/f+ F/f F+/f F+/f+ exhibition uro humiliation réticence médical.

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 04 : TROISIEME COURS

Il est huit heures du matin. Mme LEROY m'accompagne au dortoir, où mes élèves m'attendent. En chemin, elle m'explique :

"J'ai suivi vos instructions, Docteur. Les filles vous attendent : elle ont pris un café, mais comme vous l'avez demandé, aucune n'a fait sa toilette. Toutes les douze sont en chemise de nuit. Sur place, vous trouverez tout ce que vous m'avez indiqué la dernière fois..."

Dans le dortoir, qui compte trente à quarante lits, les douze élèves sont alignées au garde à vous, dans leur chemise de nuit en coton, style tee-shirt, leur arrivant à mi-cuisse. L'odeur du dortoir, qui n'a sans doute pas été bien aéré, est lourde et capiteuse, c'est celle des dizaines de filles qui ont dormi ici cette nuit. Elles nous saluent poliment, et dès que la directrice est repartie, je leur annonce :

"Bonjour mesdemoiselles. Aujourd'hui, nous allons étudier l'examen d'une patiente sur son lit d'hôpital. Vous allez donc vous diviser en deux groupes de six : Celles du premier groupe
seront les patientes alitées, les autres vont les examiner. Ensuite vous changerez de rôle. C'est d'accord ?"

Un timide "oui Docteur" me répond. Je prends ma liste et désigne :

"Anne, Béatrice, Fatima, Geneviève, Michèle et Rosa vous retirez votre chemise de nuit et vous vous allongez sur votre lit ; Aline, Elodie, Françoise, Joëlle, Martine et Sophie postez-vous chacune auprès d'une de vos camarades que vous allaz examiner en suivant mes indications."

Six filles nues sont allongées, cuisses serrées, les bras le long du corps, et les six autres, guère plus vêtues sont debout auprès d'elles. J'ordonne :

"Commencez par palper les seins, doucement, soigneusement."

Les examinatrices obéissent, palpant la jeune poitrine de leurs compagnes. Je passe d'un couple à l'autre, donnant des conseils, guidant les mains ; puis je leur demande de changer de partenaire. Quand toutes ont examiné les nichons des alitées, ceux-ci se dressent fièrement, pointe dressée. Elles refont un tour pour palper l'abdomen, l'aine, l'intérieur des cuisses, les mollets. L'atmosphère s'alourdit... Les douze élèves, quoique génées semblent s'exciter également... Je leur indique :

"Maintenant, vous allez demander à vos patientes d'écarter les cuisses et vous allez soigneusement examiner leur vulve : Séparez bien les grandes lèvres avec vos mains, regardez bien l'entrée du vagin, dégagez le clitoris de son capuchon, introduisez doucement le bout de votre doigt en faisant attention à l'hymen le cas échéant..."

Là aussi, je suis les opérations de près. Certaines des cobayes, honteuses de ce pelotage indiscret, se  couvrent le visage de leur coude replié. Les examinatrices les plus zélées sont sans aucun doute Françoise et Joelle : ce sont, comme par hasard, les deux mêmes qui m'ont avoué des rapports lesbiens lors du premier cours. Leur examen ressemble foutrement à une masturbation discrète ! Intéressant ! Elles font également le tour et j'annonce :

"Demandez à vos patientes de se mettre sur le ventre et d'écarter les jambes. Enfilez un doigtier sur l'index droit et trempez votre doigt dans le pot de vaseline. Bien. Maintenant, vous allez écarter les fesses de la patiente de votre main gauche, tandis que vous allez lui masser l'anus avec votre doigt ganté afin de bien l'assouplir.  Allez..."

            Je vais de lit en lit, surveillant le bon déroulement de l'opération. Là aussi mes deux gouines s'en donnent à coeur joie. Au bout de quelques minutes, je leur dis :

"Les "malades", prosternez-vous sur votre lit, genoux écartés, les examinatrices vont vous pratiquer un toucher rectal... Allons, Mesdemoiselles, exécution..."

            Chacune s'acquitte de sa tâche : il est plaisant de voir ces jeunes filles, à peine vêtues de leur courte chemise de nuit, enfoncer leur doigt dans le cul de leur compagne toute nue, installée dans cette pose obscène. Quelques gémissements ou rires chatouillés ponctuent l'examen. Quand chacune à fourré son index entre les fesses des six patientes, J'ordonne le changement de rôle : Les patientes sont autorisées à remettre leur chemise pour devenir examinatrices, alors que les autres retirent la leur pour prendre leur place...

Le manège dure deux heures en tout et je signale la fin du cours, autorisant les filles à aller faire leur toilette, sauf Françoise et Joelle à qui je fait signe de rester. Les deux filles sont toujours nues, n'osant enfiler leur chemise. J'attaque :

"Vous imaginez sans doute que je n'ai pas vu votre manège ?"

Les adolescentes ne répondent pas, mais rougissent violemment en se regardant du coin de l'oeil : C'est un aveu. J'insiste :

"Je me demande ce que dira Madame Leroy quand je lui parlerai des gestes déplacés que vous avez eus à l'égard de vos camarades. Car vous avez abusé de la situation, n'est-ce pas ?"

Pas de réponse. Les deux filles baissent la tête : Elles ont l'air godiche, debout devant moi, à poil, ne sachant que faire de leur bras... Devant leur mutisme, j'ordonne :

"Bien vous allez enfiler votre chemise et me suivre chez la directrice : Peut-être qu'avec elle vous vous montrerez plus loquaces ?"

J'ai touché le point sensible. Au bord des larmes, elles me supplient en choeur :

"Oh non, Docteur, par pitié, ne faites pas ça !"

"Et pourquoi donc ? Ainsi vous avouez votre inconduite ?"

Un oui imperceptible me répond. Elles continuent à m'implorer, se tordant les mains de désespoir. Je feins de me radoucir :

"Bon. Mettons que je ne dise rien."

Elles me regardent avec espoir et disent :

"Oh s'il vous plaît, Docteur. On ne le refera plus..."

"Attendez ! Vous méritez tout de même une punition. Voyons, il y aurait bien un moyen..."

"Le... lequel... Docteur ?"

"Eh bien que vous acceptiez que ce soit moi qui vous inflige votre pénitence : la morale sera sauve, personne n'en saura rien et vous évitez le renvoi inévitable, après moult punitions, et la colère de vos parents. Qu'en dites-vous ?"

La blonde et la brune se regardent dubitativement.

"J'insiste. Décidez-vous : vos camarades vont revenir, et après je ne pourrai plus rien pour vous...

Joelle me demande timidement :

"Que nous ferez-vous ?"

"Vous le verrez bien ! Mais si vous préférez l'autre solution, libre à vous..."

"...Non... Docteur..." S'arrachent-elles péniblement.

"Donc, vous préférez être punies par moi ?"

"...Oui."

"Parfait : J'arrangerai les choses avec Mme Leroy. Personne ne saura rien, mais vous serez punies comme vous le méritez. Nous sommes bien d'accord ?"

"...Oui."

"Rhabillez-vous : Vos camarades vont revenir. Arrangez-vous pour être prêtes les dernières."

En effet, les autres reviennent des lavabos, intriguées de notre aparté. J'assiste avec plaisir au rhabillage des douze filles : Elles retirent leurs chemises, passent leur porte-jaretelles, tirent leurs bas, enfilent leur slip, soutien-gorge, avant de passer combinaison et robe... Dès qu'elles sont prêtes, elles me saluent et s'en vont les unes après les autres... Quand il ne reste plus que Joelle et Françoise, je leur fais signe de me suivre et elles m'emboitent le pas direction de bureau directorial.

Je laisse les deux filles confondues dans le couloir et entre après avoir frappé. Le regard de la directrice m'en dit long sur leur façon de meubler l'attente... Elle me dit :

"Tout s'est bien passé, Docteur ?"

"Justement. J'ai pincé Françoise et Joelle : Je les ai persuadées d'accepter d'être punie par moi, plutôt que de vous faire un rapport."

"Vous avez bien fait. Que comptez-vous en faire ?"

"Et bien voilà. Nous sommes vendredi. Pouvez-vous me les confier jusqu'à lundi matin ?

"Pourquoi pas ? Mais promettez-moi de ne pas trop les abîmer !"

Je lui retourne du tac au tac :

"Germaine vous a-t-elle déjà abimée ?"

Elle rosit et sourit :

"Allez, elles sont à vous, Docteur..."

Avec Germaine, nous retrouvons les deux autres dans le couloir et pendant qu'elle s'éloigne un peu, je leur dis doucement :

"C'est arrangé. Je lui ai dit que je proposais de vous donner des cours intensifs de rattrapage pendant le week-end. Elle est d'accord. Suivez-nous.

Elles murmurent un timide "Merci Docteur" et nous emboîtent le pas.

perverpeper@perverpeper.com

 

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