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Le docteur X retourne à l'école (05)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

H/f H/f+ F/f F+/f F+/f+ exhibition uro humiliation réticence médical.

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 05 : Françoise et Joelle

Durant le trajet en voiture, les deux filles, installées à l'arrière ne pipent mot. En arrivant au cabinet, pour commencer, je les invite à s'asseoir devant une table, leur donne à chacune une feuille de papier, un stylo et leur dicte le texte suivant, qu'elles écrivent sans protester, mais rouges comme des tomates :

Je soussignée (Nom, Prénom, Adresse)

Reconnait avoir profité du cours de gynécologie pour abuser honteusement de la pudeur de mes camarades, par des attouchements volontairement lascifs sur leurs parties génitales et anales ; les avoir toutes les six masturbées discrètement en faisant semblant d'examiner médicalement leur parties intimes : seins, vulve, vagin, clitoris et même anus, qu'elles ne pouvaient soustraire à ma salacité, par crainte de déclencher un scandale. J'avoue m'être conduite de façon particulièrement vicieuse. Je reconnais donc avoir commis une lourde faute, méritant une punition adéquate. Je prie donc et j'implore le Docteur ... de me corriger comme je le mérite.
            Je consens à être son esclave et à subir tout ce qu'il voudra bien me faire endurer, et ce, jusqu'à ce qu'il déclare ma faute entièrement expiée.

(Date, signature)

            Je relis soigneusement les deux manuscrits, avant de les enfermer ostensiblement dans le coffre-fort. Je me retourne vers les deux jeunes filles apeurées : Elles forment un contraste charmant, Françoise brune, cheveux assez courts, yeux marrons, Joelle un peu plus grande, très blonde, cheveux tombant sur ses épaules, yeux bleus clairs... J'ordonne :

"Levez-vous."

Elles sont debout, face à moi, n'en menant vraiment pas large, n'osant poser de question. Je leur explique :

"Voila. Nous sommes vendredi et il est (je consulte ma montre) 11h15. Vous êtes à ma disposition jusqu'à lundi matin, pour le premier cours. Il est bien entendu que vous avez accepté d'être sévèrement punies : À la moindre incartade, le moindre refus d'obéissance, la moindre rebellion, je vous ramène à l'école et remets votre confession à Mme la directrice. C'est bien compris ?

Incapables de répondre, elles font "oui" de la tête. Je reprends :

"Pour commencer, je vais vous administrer une bonne fessée à chacune. Qui veut commencer ?"

Aucune réponse... Je désigne Françoise. Celle-ci fait deux pas vers moi. Je glisse mes deux mains sous ses jupes, remontant le long des cuisses, palpant ses fesses à travers le fond de son slip de nylon, tout en la morigénant, ajoutant à sa confusion :

"Tu te rends compte, à ton âge, être féssée cul nu comme une petite fille qui a fait pipi au lit, quelle honte !"

"Je continue à explorer ses cuisses, son pubis, ses fesses à travers la culotte. La fille est écarlate. Enfin, je la couche en travers de mes genoux, la dispose à ma main et applique quelques claques pas très fortes sur le fond de sa jupe. Puis je la trousse en deux temps : d'abord la jupe, que je rabat sur son dos, ensuite la combinaison qui suit le même chemin. Elle nous présente ses cuisses moulées par des bas couleur chair, son fessier surélevé emprisonné dans la culotte de nylon bleu...

Deuxième fessée sur le slip. Elle gémit, supplie... Je fais signe à Germaine qui s'approche, s'empare de l'élastique qui retient le sous-vêtement à la taille, et le baisse lentement, le long des cuisses, puis des mollet de l'adolescente en position disciplinaire, avant de le lui retirer complètement. La vraie fessée peu commencer !

J'alterne les claques sur l'une ou l'autre fesse offerte, le haut des cuisses, au-dessus des bas. Sous l'avalanche crépitante, Françoise implore, crie supplie, finit par pleurer comme une petite fille, serrant et écartant ses jambes, ce qui nous donne des apperçus intéressant sur sa jeune féminité...

            Quand je la relâche, en pleur, elle se masse un moment à travers le fond de sa jupe retombée. Joelle ne se fait pas prier pour prendre sa place : elle subit exactement le même sort. La
seule différence avec sa copine, c'est la couleur de son slip, rose, et les poils très blonds qui ne masquent absolument rien de sa mignone fente rose...

            Quand j'en ai terminé avec son cul, je leur impose l'attitude suivante :

"Mettez-vous côte à côte face au mur. Retroussez votre jupe par derrière, tenez-la de la main gauche. C'est ça, très bien ! Écartez bien les jambes. Mouillez votre majeur de salive et introduisez-vous-le dans le derrière."

Après un temps d'hésitations, elles prennent la pause grotesque que j'ai indiqué, et que je leur laisse garder un petit quart d'heure. Autorisées à prendre une attitude plus propice à leur pudeur, je leur tends leurs slips, les invitant à se reculotter. Exprès, j'ai interverti les culottes : la rose pour Françoise, la bleue pour Joelle... Bien sûr, elles s'aperçoivent de la substitution, mais n'osent rien dire, enfilant chacune le slip de l'autre, se croyant tranquilles pour un moment, ce en quoi elles se trompent...

            Je fais signe à Germaine d'approcher et lui donne mes ordres à l'oreille pour la suite. Elle opine et emmème avec autorité les deux filles dans la pièce voisine. Je fume une cigarette pour lui laisser le temps de la mise en scène, puis je passe à mon tour à côté.

Les deux filles sont attachées chacune sur une table, au niveau des chevilles serrées, des genoux, de la taille par des sangles ; leurs poignets liés sont étirés au-dessus de leur tête. Si le bas de leur corps est caché par leur jupe soigneusement tirée, leur buste est entièrement nu : Elles ont dû retirer leur chemisier, baisser le haut de leur combinaison, dégrafer et enlever leur  soutien-gorge et leurs quatre petits seins pointent fièrement vers le plafond. Je pose doucement mes mains sur la poitrine menue de Joelle, faisant signe à Germaine d'en faire autant à Françoise, caressant les seins menus qui ne tardent pas à gonfler et à s'ériger. Alors, nous prenons chacun un martinet et fustigeons les tendres bourgeons offerts...

Les punies pleurent, crient, mais rien n'y fait. Joelle, avec sa peau de blonde, marque plus vite : bientôt tout un réseau de ligne rouges s'entrecroisent sur son buste... Au bout d'une vingtaine de coups de martinet, nous passons à un autre exercice : À l'aide de très fines aiguilles d'accupuncture, j'entrprends de transformer les quatre mamelons en pelotes d'épingle... Chaque
fois que je plante une aiguille, d'un centimètre environ, dans la chair si sensible d'un de ses tétons, la fille pousse un hurlement...

Je regarde mon travail avec satisfaction : Vingt-quatre aiguilles ont été mises en place, bien réparties, et seule une goutte de sang à perlé sur le sein gauche de Françoise ! Pour faire bonne mesure, je leur en ai mis une également, à travers la jupe, juste au-dessus du pubis en un point qui devrait les exciter légèrement.

Les aiguilles tombent d'elles-mêmes. Germaine les récupère et masse les zones sensibilisées avec une crème adoucissante, puis passe un gant de toilette sur le visage baigné de larmes de chaque fille, avant de les détacher et de les autoriser à se rhabiller.

Tout cela nous à amenés aux alentours de midi et je décide d'aller manger. Juste avant de quitter le cabinet, Joelle lève timiment le doigt pour demander la permission d'aller aux toilettes. Je me tourne vers Françoise et demande :

"Tu as envie, toi aussi ?"

"Euh... Oui, Docteur..."

"Venez, je vais vous montrer."

L'effarement des deux adolescentes fait plaisir à voir quand nous pénétrons tous les quatre dans la salle d'hydrothérapie, à la vue des toilettes à la turque, surélevées, installées dans un renfoncement recouvert de glaces, sans porte évidemment... Je dois encourager Joelle :

"Allons, tu peux y aller : va faire ton petit pipi !"

Elle bafouille :

"Mais... Je ne... Pourrais jamais !"

Je hausse les épaules :

"Comme tu voudras. Mais d'ici lundi, il faudra bien que tu y ailles, à moins de faire dans ta culotte, bien sûr, ce qui te vaudrait, comme tu l'imagines, une punition supplémentaire... Allez va..."

Abominablement génée, elle s'exécute, monte sur les patins très écartés, baisse sa culotte en essayant d'en montrer le moins possible, s'accroupit, tête baissée, comme toutes les filles en train de pisser. Sous sa culotte baissée à mi-cuisses, nous voyons nettement sa vulve entr'ouverte. Elle tarde un peu, puis le jet doré jaillit, bruissant entre ses nymphes avant de frapper la porcelaine entre ses pieds... Elle cherche vainement du papier pour s'essuyer. Je lui dis gentiment :

"Il n'y en a pas. Tu peux te reculotter..."

Elle s'exécute, humiliée et je fais signe à Françoise de prendre sa place. avertie, celle-ci se dépêche d'uriner et de se reculotter.

Le court trajet en voiture, jusqu'à la vila se fait en silence. Je dis aux deux punies :

"Vous allez nous attendre quelques temps : nous avons des choses à rêgler avec mon assistante. Prosternez-vous face au mur. C'est ça. Maintenant, vous allez vous trousser par derrière, et baisser votre culotte, juste sous les fesses. Parfait. Passez vos mains par derrière, empoignez vos fesses et maintenez-les écartées. Ne bougez plus, et je veux le silence !"

Consciencieusement, les deux adolescentes ont pris la pose, tirant sur leurs fesses, le cul haut et très ouvert... Nous les laissons pour nous concerter sur la suite du programme. Germaine me souffle quelques bonnes idées de mortifications en tout genre : Elle ne manque vraiment pas d'imagination ! Elle écrit un certain nombre de petits papiers qu'elle plie ensuite et met dans une coupe.

            Les deux filles n'ont pas bougé, le cul toujours à l'air. Je leur donne l'autorisation de se reculotter. Je m'asseois dans un fauteuil, elles sont debout devant moi, penaudes. Je leur dis :

"Nous allons maintenant déjeuner. Pour cela, vous allez changer de tenue, avec les vêtements que Germaine va vous donner. Suivez-la !"

J'en profite pour me servir un apéritif, et j'entends Germaine leur dire dans la pièce voisine :

"Vous allez vous déshabiller complètement et enfiler ces dessous : Ce paquet est pour toi, Joelle, celui-ci est pour Françoise. Et dépêchez vous : Vous avez cinq minutes. Dès que vous êtes prètes, allez retrouver le Docteur..."

Au bout de peu de temps, cependant que Germaine s'active dans la cuisine, les deux filles font leur entrée, rouges comme des pivoines dans leur tenue extrèmement suggestive ; elles sont déguisées, ni plus ni moins qu'en putes : Chacune a dû enfiler un porte-jarretelles, un caraco, une culotte fendue, des bas et des escarpins à talons très hauts.

Pour la brune Françoise, la lingerie est rouge vif, bordée de dentelle noire, les bas marrons ; Joelle arbore des bas bleu marine et le reste est vert cru bordé de dentelle noire. Le tissu, presque transparent laisse deviner leurs seins, et leurs poils pubiens apparaissent largement dans la fente de leur petite culotte... Leur tenue est rien moins que discrète ! Je les contemple un moment, à leur grande confusion, puis nous passons à table.

Pendant le repas, les deux filles ne disent pas grand-chose, et je les comprends ! Dès que nous avons fini de manger, je les ramène dans la salle de séjour, et cependant que Germaine me verse un verre d'Armagnac, je leur dis :

"Bon. Puisque vous semblez manifester des dispositions évidentes au saphisme, vous allez vous caresser mutuellement : Le tapis est à votre disposition. Ne me faites pas attendre, si vous ne voulez pas qu'on vous arrache vos dessous à coup de fouet ! Et gouinez-vous consciencieusement, sinon gare...   

Très intimidée, c'est Françoise qui fait le premier pas : Elle prend sa compagne dans ses bras et commence à l'embrasser sur les joues, près de la bouche, avant de poser ses lèvres sur celles de Joelle. Leur baiser est d'abord chaste, mais peu à peu devient plus profond, plus sensuel... Les bouches s'entrouvrent, les langues se rencontrent, s'enroulent, luttent. Leurs mains aussi entrent en action : Joelle caresse en sein de Françoise, à travers le fin tissus du caraco, cependant que la main de celle-ci écarter la fente de sa culotte pour lui caresser les fesses.

D'abord horriblement génées, les filles finissent par se prendre au jeu et par être excitées. Leur baiser n'en finit pas et chacune explore fiévreusement de corps de sa partenaire. Leurs mains sont partout : sur les seins, les fessses, entre les cuisses qui s'écartent d'elles-mêmes... Très vite, elles se retirent mutuellement leur caraco qui les gênent et tombent enlacées sur le tapis, se frottant seins contre seins.

Le spectacle de ces deux bacchantes ne me laisse pas indifférent et je fait signe à Germaine. Docilement, elle vient s'agenouiller près de moi, sort ma queue et l'embouche, me suçant lentement pendant que j'admire le spectacle. Celui-ci se corse : Comme prises de frénésie, les filles se caressent maintenant comme si elles étaient seules. Françoise est allongée sur le dos et Joelle lui suce les seins. Sa bouche descend peu à peu sur le ventre plat, la faisant gémir. Quand elle ateint la culotte, Joelle la lui retire et plaque sa bouche sur la fente de sa camarade.

Sa langue parcourt tout le sillon vulvaire, tournoyant sur le clitoris érigé, cependant que ses deux mains pétrissent les seins de Françoise... Mais bientot cela ne lui suffit plus : Rapidement, elle retire sa culotte et enjambe sa camarade pour se placer au-dessus d'elle en position de 69.

Là, c'est du délire : les deux filles se bouffent mutuellement la chatte, buvant à la source de l'autre, se caressent les fesses, allant même jusqu'à s'enfoncer un doigt dans le cul...

Germaine, qui n'arrête pas de me pomper le dard, à glissé une main entre ses cuisses et se branle joyeusement. Nous jouissons tous les quatre à peu près en même temps.

Quand elles reprennent pied avec la réalité, les deux filles sont très génées, toute rouges, ce qui ne les dispense pas de faire la vaisselle, après avoir renfilé culotte et caraco. Cette opération terminée, Germaine leur présente à choisir parmi ses petits papiers surprise et leur ordonne de les lire à haute et intelligible voix. Elles obéissent, blêmes, au bord des larmes.

Françoise anonce :

"Préparation complète à la sodomie : Lavements, dilatation de l'anus..."

Et Joelle bégaye en echo :

Épilation totale de la vulve et de l'anus ; port d'un gode anal (petit)...

Je les sens sur le point de protester, mais le regard que je leur lance les laisse coites. Je leur dis :

"Et bien, nous allons nous rendre à mon cabinet pour exécuter les gages que vous avez librement choisi. Enfilez votre robe."

Sur place, je décide de laisser agir Germaine et de jouer les voyeurs. Elle introduit les deux jeunes filles dans la salle d'hydrothérapie et leur ordonne de se déshabiller entièrement, à part les bas. Elle installe Joelle en position gynéco, cuisses très ouvertes et relevées, et fait mettre Françoise à plat ventre, jambes légèrement écartées, sur l'autre table. Elle laisse alors ses deux victimes en attente pendant qu'elle prépare le matériel dont elle va avoir besoin.

Les filles étalées, qui n'ont pas eu l'autorisation de se laver, exhalent une forte odor di femina. Germaine commence par vaporiser de la mousse à raser entre les cuisses de Joelle : Toute la région qui comporte des poils devient blanche. Se tournant vers Françoise, elle lui ouvre les fesses d'une main, débusquant son anus, dans lequel elle introduit successivement trois gros suppositoires à la glycérine, disant :

"Tu vas les garder un quart d'heure avant d'aller te vider."

Revenant à Joelle, se saisissant d'un rasoir, elle commence à lui raser le mont de Vénus, puis les grandes lèvres, n'hésitant pas à glisser les doigts de sa main gauche dans la vulve offerte pour l'écarter et tendres les lèvres vaginales.

Rapidement, Françoise commence à ressentir les effets des suppos : Elle n'ose rien dire, mais commence à se tortiller de façon significative, serrant les cuisses et surtout les fesses. Quand Germaine l'autorise à aller se soulager, elle n'hésite pas une seconde et se précipite sur les W.C. à la turque, malgré sa honte à s'exiber ainsi : accroupie, entourée de miroirs...

Pendant qu'elle se vide, à grand bruit, mon assistante continue le défrichage de la chatte de Joelle. La mousse qui la masque disparaît peu à peu, en mème temps que les poils blonds, laissant apparaitre la chair rose clair... Quand les lèvres intimes sont bien dénudées, ainsi que les aines et le mont de vénus, elle ordonne :

"Mets toi à quatre pattes, que je te rase la raie des fesses. Écarte bien les genoux et cambre-toi au maximum."

Laissant sa patiente ainsi, le cul en l'air, elle prépare un grand lavement : Deux litres d'eau chaude, additionnés d'un peu de savon liquide, dans un bock qu'elle accroche en hauteur. Au bout du tuyau, elle met une canule noire assez grosse, comportant deux renflement à sa base.

La pauvre Françoise ne sait plus ou se mettre : il n'y a toujours pas de papier dans les W.C. et au lieu de l'autoriser d'aller sur le bidet proche, Germaine lui fait signe impérativement de se recoucher sur la table, sur le coté gauche, cette fois. Après avoir enfilé une paire de gants en latex, elle écarte les fesses de la fille d'une main ; de l'autre, enuite de vaseline, elle lui masse l'anus, avant de présenter le bout de la canule au petit orifice pas très propre... Pendant l'intromission, la fille gémit, pleure même un peu. Dès que le premier renflement à franchi le sphincter, Germaine ouvre le robinet en grand pour que l'eau s'engouffre dans les intestins de sa victime.

Alors elle revient tranquillement à la raie du cul de Joelle qu'elle rase soigneusement. Quand c'est terminé, elle passe un linge humide sur tout l'entrecuisses de la fille qui apparaît lisse comme chez une petite fille... Elle revient à Françoise qui a ingurgité toute l'eau du bock. Rapidement elle retire la canule d'entre ses fesses pour la remplacer aussitot par un Tampax, et fait mettre la patiente en position gynéco pendant une bonne demi-heure, le temps pour elle de parfaire l'épilation de l'autre à la pince à épiler, ce qui nous vaut quelque braillement chaque fois qu'elle arrache un poil dans une zone particulièrement sensible, près du clitoris ou de l'anus...

Françoise aussi geint, supplie qu'on la laisse aller aux toilettes. Elle est pitoyable, le ventre gonflé agité de coliques, ses cuisses écartées et relevées, montrant sa chatte entr'ouverte et son anus d'où pend, incongru, le cordon du tampax. Quand on l'autorise enfin à se soulager, elle ne fait plus de manières pour s'accroupir sur la cuvette panoramique, tant son envie est forte. Elle commence par pisser abondamment ; mais par derrière, rien ne se passe : malgrè son envie, elle a beau pousser, elle n'arrive pas à expulser le tampon qu'elle a dans l'anus ; elle gémit, sanglote, supplie, mais Germaine lui interdit de tirer sur le cordon...

Après moult efforts, elle finit par rejeter son bouchon, d'abord millimètre par millimètre, avant qu'il ne soit violemment expulsé à grand bruit, suivi d'un niagara d'eau sale mélée d'excrément. Malgré l'humiliation, le visage de la fille reflète un soulagement bestial... Quand elle s'est bien vidée, cette fois elle a la permission de passer sur le bidet. Pendant qu'elle fait ses ablutions intimes, Germaine se tourne vers Joelle :

"Debout, toi !"

La blonde obéit. Mon assistante commence par lui dégraffer son porte-jarettelles qui tombe comiquement, puis lui fait lever un pied puis l'autre pour lui enfiler une sorte de ceinture de chasteté en cuir : celle-ci est formée de quatre bandes, l'une passant autour de sa taille, une autre entre ses fesses qu'elle maintient écartées, les deux autres le long des aines. À l'intersection, se dresse fièrement une canule assez longue mais pas très grosse, que Germaine a eu l'humanité de lubrifier. Elle remonte le bizarre sous-vêtement le long des cuisses de Joelle, jusqu'a ce que la tige bute contre ses fesses. Germaine écarte alors les fesses de la patiente pour guider le bout du god vers son anus. Quand il est bien positionné, elle continue de remonter la ceinture, la canule disparaissant dans le rectum de la jolie blonde qui pleure un peu, mais tout finit par rentrer et Germaine peut boucler la ceinture autour de sa taille, la fixant par un petit cadenas. Il ne lui reste plus qu'à rattacher le porte-jarettelles qui masque en partie la ceinture.

Joelle est pitoyable : elle n'a pas très mal car la tige qu'elle a dans le cul est assez fine, mais elle est supprèmement humiliée ; la sangle qui parcourt sa raie fessière, assez large, l'empêche de resserer ses lobes...

Pendant ce temps, sa copine Françoise a fini de se laver sur le bidet. Germaine l'invite fermement à remonter sur la table, cette fois à quatre pattes, prosternée, le cul relevé. Tirant Joelle par la main, elle la place face au fessier ouvert de sa camarade, lui disant :

"Allez, tu vas lui lécher l'anus, le pénétrer avec ta langue, bien l'humecter de ta salive pour la préparer à la suite. Pour toi, c'est fini. Allez, prépare-la bien..."

Subjuguée, la blonde plonge son visage entre les fesses écartées de sa copine et s'acquitte consciencieusement de la mission qui lui est confiée. Sa langue tourne autour du petit trou plissé, le pénétre doucement du bout, salivant abondamment. Evidemment, malgré sa gène, l'autre ne reste pas insensible à ce genre de caresse et commence à gémir et ne peut s'empêcher de tortiller joliement son cul...

Germaine en profite pour préparer une série de canules de grosseur croissante, ainsi qu'un gode gonflable. Elle revient vers ses victimes, munie de son matériel et tirant en arrière la tête de la blonde en l'empoignant par les cheveux, elle lui met en main la plus petite tige en main, ainsi qu'un tube de vaseline et lui ordonne :

"Tu vas lui enfoncer cette canule entre les fesses !"

Joelle n'ose rien dire et s'exécute, enculant sa copine sous nos yeux attentifs. Françoise geint un peu, mais son derrière absorbe le petit god manié avec douceur. Sous les ordres précis
de mon assistante, Joelle le fait aller et venir entre les fesses de sa camarade prosternée. Puis, toujours guidée, elle change de tige pour en prendre une plus grosse. Dès qu'une des canules
coulisse bien dans le cul de la jeune fille, Germaine fait signe à Joelle et lui en présente une plus grosse. Quand celle-ci à la plus grosse en main, elle nous jette un regard implorant et supplie :

"Oh non ! Ça ne rentrera jamais ! Je vais lui faire très mal ! Par pitié !"

Bien sûr nous restons inflexibles et Françoise pleure beaucoup malgré la douceur que met sa camarade à lui introduire la grosse canule...

Germaine passe ensuite au stade suivant. Elle retire la dernière canule du petit cratère de la punie, la fait ramettre en position gynécologique, l'attache solidement dans cette position et introduit dans son anus le gode dégonflé, qui entre sans aucune difficulté, dans Françoise a le cul ouvert. Elle le gonfle rapidement, jusqu'à ce que la fille crie à nouveau. L'anus martyrisé, complétement distendu, forme un bourrelet livide autour de la tige qui le perfore... La jeune chatte, applatie est repoussée vers le haut. Germaine ordonne alors à l'autre élève de lécher le sexe de sa copine pendant qu'elle s'occupe de lui dilater l'anus au maximum...

Et chose incroyable, malgré ses cris d'empalée vive, sous les léchages savants de sa copine, Françoise finit par jouir violemment, s'agitant dans ses liens, cul complètement défoncé...

C'est le moment que je choisis pour me la faire : je bande comme un cerf, me met debout face au fessier ouvert, Germaine retire rapidement le gode après l'avoir dégonflé : Mon sexe le remplace avantageusement... Je n'ai aucune difficulté à enculer la fille attachée, tant son anus est bien dilaté...

Pendant que je me branle littéralement dans son cul qu'elle n'est pas en état de me refuser, Germaine à fait s'accroupir Joelle, et après s'être prestement débarrassée de sa culotte et s'être troussée jusqu'à la taille, se fait sucer par Joelle, maintenant sa tête plaquée contre son pubis à deuxmains...

Quand j'ai joui tout au fond du cul à ma disposition, Françoise est détachée et les deux filles sont autorisées à reprendre une attitude plus pudique et nous retournons à la villa, Joelle avec toujours son petit god entre les fesses, mais ne marchant pas plus en canard que sa compagne d'infortune.

Pour le dîner, les trois filles sont nues, si l'on excepte un porte-jarettelles et des bas : rouges pour Françoise, bleus pour Joelle et blancs pour Germaine : Ce soir, je me sens l'âme patriotique... Au déshabillage des filles, Germaine a trouvé des traces de sperme sur la culotte et le long des cuisses de Françoise, foutre régurgité par son anus mal refermé : Punition prévue pour demain...

Après le repas, quand les filles ont fait la vaisselle, je me fait sucer la queue par les deux élèves, dont le zèle est amplement stimulé par la cravache maniée de main de maître par Germaine : elle se battent presque pour s'aproprier mon dard turgescent...

Pour dormir, les deux élèves infirmières sont nues et les poignets reliés dans le dos par des menottes. Germaine prend Joelle avec elle : Le lendemain, elle m'avouera que l'autre, malgré son mini-gode qu'on lui a laissé dans le derrière n'a pas arrêté de lui bouffer la chatte... De mon côté, je prend Françoise et je l'encule encore deux fois dans la nuit, sodomies entrecoupées de pipes voluptueuses, bien qu'assez malhabiles... Au cours de la seconde séance, je réussi à la faire jouir en branlant son clitoris pendant que je lui en met plein le cul...

Samedi matin, lever tard après une nuit agitée. Petit déjeûner, filles à poils. Le gode retiré très sale du cul de Joelle est donné à sucer pour nettoyage impeccable à sa complice, Françoise. Bon moment... Les deux filles sont autorisées à aller aux toilettes et à faire leur toilette en public. Déjeûner en tenue de ville, sauf, petit détail, que les filles n'ont pas de culotte sous leurs habits normaux, après une bonne fessée à chacune.

Nous passons l'après-midi à jouer avec nos proies, leur faisant subir tout un tas de supplices : Habillage, déshabillage, retroussage, masturbation individuelle ou réciproque imposée aux deux élèves...

Françoise a droit à un traitement de faveur : Ammenée nue, dans le coffre de la voiture au cabinet, Germaine lui pratique une épilation intime soignée suivie d'une bonne frottée aux orties de la vulve et de l'anus, ce qui la fait bien hurler, cependant que sa compagne subit à son tour l'épreuve des lavements répétés.

Nues, elles doivent marcher à quattre pattes, tenues en laisses comme des chiennes, pisser dans le jardin...

La nuit, j'encule alternativement les deux filles... Évidemment tout au long du week-end, nous avons fait un grand nombre de photos des filles, dans des positions très scabreuses, ce qui devrait les empêcher de la ramener...

Le lundi matin, en allant donner mon cours à leurs compagnes, je les raccompagne à l'école, rhabillées mais sans leurs culottes, gardées en souvenir. Je leur laisse entendre que leur punition n'est pas forcément terminée... Je laisse Germaine chez la dirlo qui nous presse de questions : quand je les laisse pour aller retrouver les élèves, Germaine est assise dans un fauteuil, jupe haut troussée, culotte retirée, et madame LEROY est agenouillée entre ses cuisses et lui suce servilement la chatte, cependant que l'autre lui raconte tout ce que nous avons fait subir à ses deux pensionnaires...

perverpeper@perverpeper.com

 

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