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La matheuse matée (11)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 11.

             Plusieurs jeunes femmes en tenue légère attendaient dans l'antichambre de la salle réservée aux nettoyages internes et des plaisanteries plus ou moins fines fusèrent à l'arrivée de l'adolescente, qui non seulement ne s'en offusqua pas, mais y répondit en riant. Elle leur dit :

« Comment, vous n'êtes pas encore toutes à poils, mesdames ? »

« Et toi, alors ? »

            Mutine, la jeune fille empoigna le bas de sa blouse qu'elle releva très haut, leur montrant la jolie touffe blonde qui bouclait au bas de son ventre, puis se tourna pour leur montrer ses fesses bien rondes. Il y eut des exclamations, des rires, mais déjà la blouse était retombée, masquant les charmes intimes de l'apprentie toubib, et les femmes finirent d'ôter leurs dernières lingeries.
                        Au début, quand l'infirmière avait institué le rite des lavements en groupe il y avait eu quelques réticences, mais les membres du personnel avaient fini par s'y faire et la plupart y prenait même un certain plaisir, pour ne pas dire un plaisir certain, et maintenant tout se passait dans la bonne humeur. Sylvie les encourageait à se détendre, à se laisser aller, et toutes reconnaissaient les bienfaits de ce nettoyage interne.
            Sandrine de son côté, et surtout depuis la visite d'embauche de la prof de math, avait mûri, pris de l'assurance, toujours sous la houlette de Sylvie : plus grand chose était capable de la choquer, sa volonté et son humour faisant le reste.
            Alors qu'une des jeunes femme, jambes écartées et un peu fléchie tâtonnait entre ses fesses pour s'introduire une canule lubrifiée dans le rectum, deux autres face à face, enlacées se rendaient mutuellement le même service. La quatrième, Angèle, la prof d'informatique âgée de trente ans demanda avec une fausse timidité à Sandrine :

« Tu veux bien m'aider, ma chérie ? J'ai du mal à trouver le trou... »

            Les autres pouffèrent et la jeune fille répondit gentiment :

« Mais bien sûr, avec plaisir ! Alongez-vous sur le ventre sur cette table, je vais m'occupper de vous. »

            L'autre obéit docilement, écarta largement les jambes, dévoilant ainsi, outre son anus strié, sa vulve entrouverte ...et bien humide. Quand elle vit l'énorme canule que tenait Sandrine et cette dernière bien décidée à la lui fourrer entre les fesses, ses yeux s'écarquillèrent et elle gémit :

« Oh non... C'est pas possible ! »

            Sandrine en riant lui répondit :

« On parie combien ? »

                        Et sans plus attendre, elle se plaça sur le côté gauche de la table et posa résolument le bout renflé de la canule contre la rosette de la jeune femme, puis se mis à pousser. L'autre gémissait, pleurnichait, disait que c'était trop gros, mais l'adolescente resta inflexible : la canule était très bien lubrifiée et elle se doutait que le trou du cul de sa victime consentante en avait vu bien d'autres ! En effet, quand le renflement eût franchi le sphincter, lui arranchant un cri, le reste suivit sans encombre.
            Les femmes allongées sur le dos, cuisses repliées, la jeune fille se pencha successivement sur leur entrejambe, le visage tout proche de leur intimité pour brancher les tuyaux de la machine, constatant sans  peine qu'elles étaient déjà assez excitées. Puis elle lança un programme lent de deux litres : personne n'était pressé, et après tout, il ne s'agissait nullement d'une séance de torture ! Souriante, elle leur dit :

« Bon, les nanas, cool ! Relaxez-vous, le lavement n'en sera que plus efficace, et si vous avez envie de vous caresser ou même faire pipi, ne vous gênez pas pour moi ! »

            Elles hésitèrent un peu à suivre son conseil, mais une première main se glissa dans l'entrecuisse de sa propriétaire, une autre se posa sur un sein... Et peu à peu, elle s'enhardirent et finirent par se masturber franchement, lâchant des jets d'urine plus ou moins violents...
            Pendant le cycle, Sandrine de plus en plus excitée par le comportement de ces femmes qu'au fond elle dominait, eût le temps de distribuer plusieurs douches vaginales à des jeunes femmes dont les règles venaient de se terminer. Elle agissait en prenant tout son temps et réussit à les faire toutes jouir... Comme une seule main lui suffisait pour utiliser le karcher, rapidement elle glissa l'autre sous sa blouse, et elle aussi, se mit à se branler furieusement..

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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