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La matheuse matée (12)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 12.

            Sandrine n'eut pas le temps de souffler : à peine les membres du personnel s'étaient éclipsés, que se présenta une classe de quatrième, en tout cas celles qui n'avaient pas leurs règles en ce moment, seize filles accompagnées par Odile, une surveillante de 25 ans, sans doute la plus sévère et sadique de toutes celles du pensionnat : Sandrine ne la craignait nullement, mais ne l'aimait pas. Cependant, elle devait bien reconnaître son efficacité pour faire obéir les filles placées sous ses ordres. Elle se promit de demander à Sylvie de la convoquer un de ces quatre pour s'en occuper très sérieusement !
            En effet, c'est en silence et sans bousculade que les gamines s'alignèrent face aux portemanteaux qui surmontaient le long banc et qu'elles commencèrent à ôter leur uniforme. Pendant se temps, Sandrine planta une vingtaine de canules dans un gros pot de vaseline : elle avait choisi un modèle assez fin, d'un diamètre égal à environ celui de son index, car les filles étaient très jeunes et sans aucun doute aussi vierges de l'anus que du vagin. Chaque canule comportait une pointe fine à l'une de ses extrémités, et un renflement ovoïde presque à l'autre bout, destiné à empêcher l'objet de ressortir tout seul du petit trou dans lequel il était introduit. Ensuite un étranglement puis une extrémité assez large pour empêcher la canule de remonter à l'intérieur du rectum et où brancher le tuyau de la machine. Puis elle enfila une paire de gants en latex.
            Une fois nues, certaines des gamines gênée mirent un bras en travers de leur poitrine, cachant leur pubis de l'autre main, mais Odile leur ordonna sèchement :

« Les bras le long du corps, les filles ! Et prenez votre culotte dans la main droite ! »

            Elles obéirent, certaines très rouges, yeux baissés. Alors la surveillante parcourut la file et s'arrêta devant chaque adolescente en tendant la main, afin que celle-ci lui remette son slip qu'elle saississait, dépliait, observait et dont elle portait l'entrejambe à ses narines pour la humer longuement. Quand elle tombait sur un sous-vêtement douteux, voire assez sale, elle le fourrait dans sa poche et disait avec mépris à l'intéressée :

« Tu n'as pas honte de porter une culotte aussi sale ? Confisquée ! »

            Si l'objet lui semblait propre, elle le jetait sur le banc derrière la fille.
            Sandrine observait le manège et était étonnée par les différences morphologiques entre les filles : taille et forme des petits seins, importance de la toison pubienne, etc. Toutes étaient pubères, mais visivlement, certaines n'étaient pas rêglées depuis bien longtemps.
            Son inspection terminée, la surveillante leur ordonna :

« Placez-vous face au mur, jambes bien écartées, puis penchez vous en avant jusqu'à appuyer vos avant-bras et votre visage sur le banc ! »

            Là aussi, les filles obéirent sans discuter, certaines, un peu moins souples, devant fléchir un peu les genoux pour prendre la pose honteuse qui leur était commandée. Et Sandrine put admirer l'alignement des postérieurs exposés, voyant là aussi de nombreuses différences. Elle colla son pot de vaseline entre les mains de la surveillante, récupéra une canule et se pencha sur le premier petit cul de la file : de la main gauche, elle ouvrit la raie culière, ne pouvant pas réprimer une grimace de dégoût quand l'odeur forte exhalée par l'entrejambe de la fille atteignit ses narines, posa la pointe de la canule sur l'anus plissé et poussa... La gamine émit un petit gémissement, mais la canule était fine et bien lubrifiée et perfora très facilement sa petite bouche secrète, puis progressa rapidement dans son rectum. La fille eut un nouveau gémissement et un léger sursaut quand Sandrine poussa un peu plus fort pour faire pénétrer le renflement ovoïde. Puis elle passa à la suivante...
             Elle eut l'occasion de voir de près les zones les plus secrètes des seize adolescentes, et surtout de les renifler : dans l'ensemble, elles avaient une hygiène intime assez négligée et répandant une odeur très caractéristique de vulves et d'anus mal lavés. Elle en imputa naturellement la faute à Odile, qui, en tant que surveillante, aurait dû veiller à leur propreté et s'assurer qu'elles changeaient régulièrement de culotte. elle se promit d'en parler à Sylvie, se disant qu'il y avait là un bon moyen de la coincer : la rumeur disait qu'elle apréciait grandement l'entrejambe peu net des jeunes adolescentes placées sous ses ordres, et que quand elle obvligeait l'une d'elle à la lêcher intimement, la petite s'apercevait vite que la chère Odile n'était pas une fanatique du savon entre les cuisses. Et priver certaines de slip était hypocrite et seulement destiné à les humilier pour le plaisir. Oui, ça devrait marcher, car pour le reste, on n'y pouvait pas grand'chose : qu'elle distribue généreusement giffles, fessée, martinet ou même cravache à ses élèves, n'étant pas répréhensible puisque les châtiments corporels faisaient partie de l'éducation des élèves. Mais la propreté... A voir !
            Odile faisait un peu la gueule : elle aurait aimé enfoncer elle-même les canules entre les fesses des filles, sans douceur aucune, et d'ailleurs, elle se désolait que Sandrine les ait choisies si fines. Elle rageait d'en être réduite au rôle de "porte-pot", et elle se renfrogna encore davantage quand Sandrine faisant entrer les filles dans la salle d'hydrothérapie, lui en interdit formellement l'accès au prétexte qu'elle était habillée. Comme elle savait pertinament qu'elle n'était pas très nette, non plus que ses dessous, elle n'insista pas et s'assit l'air morose...
            Dans la salle, Sandrine déclencha les grandes eaux, envoya huit des filles dans le coin douche avec un morceau de savon et ordre de se récurer à fond, suggéra à quatre autres de s'accroupir au-dessus des jets verticaux, et enfin fit monter les dernières sur les tables et se prosterner. Alors elle brancha un tuyau à l'extrémité de chaque canule et lança un programme rapide d'un litre d'eau chaude sans additifs.
            Les filles étaient plus détendues, plaisantant même entre elles. Dès que les premières furent remplies, Sandrine débrancha les tuyaux, retira prestement les canules qu'elle jeta dans la machine à laver, et passa au quatuor suivant, demandant aux autres de permutter des jets à la douche, vice-versa...
            Tout se passait dans la bonne humeur et dans un ordre relatif : toutes aimaient bien Sandrine, et au moins pour un moment, elles se sentaient libérées d'Odile.
            Il n'y eut qu'un petit incident : les toilettes à la turque étaient prises d'assaut, et l'une des filles qui attendait son tour ne put se retenir suffisamment : elle se tortilla, serra les fesse, se plia en deux, tordue par les colliques, et vaincue, elle finnit par tout lâcher, l'eau brunie mêlée d'excrément ainsi que l'urine coulant le long de ses cuisses et ses jambes serrées. La pauvrette se cacha le visage dans les mains et éclata en sanglots. Bien sûr, les autres, peu charitables, éclatèrent de rire... Sandrine, émue par la détresse de la pauvre gamine eût toutes les peines du monde à ne pas pouffer aussi. Elle saisit une lance et à l'aide du puissant jet d'eau, elle repoussa les déjections vers un trou d'évacuation. Elle insista pour que les filles se nettoient soigneusement, et dans les moindres recoins, et quand elle les libéra, elles étaient toutes propres comme des sous neufs.
            Une fois rhabillées, elles suivirent leur surveillante et Sandrine aurait pu désigner sans se tromper, à leur démarche moins assurée et à leur air crispé, celles qu'Odile avait privées de leur culotte...

perverpeper@perverpeper.com

 

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