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La matheuse matée (13)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

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Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 13.

            À son retour, elle félicita Fabienne qui avait un très veau travail : l'entre-jambe de Joëlle ne présentait plus le moindre poil et était aussi lisse que celui d'une petite fille. Elles se rhabillèrent partiellement le temps d'aller déjeûner. Pendant le repas, la prof demanda timidement :

« Quelle est la suite du programme, Sandrine ? »

            Celle-ci lui répondit en souriant :

« Eh bien, on va s'occuper très sérieusement de votre anus, bien le dilater après l'avoir débarrassé de ses poils superflus. »

            Ça fit rire Joëlle, beaucoup moins Fabienne qui demanda :

« C'est vraiment utile ? »

          Et Sandrine lui répondit :

« Absolument indispensable ! Allez, ne faites pas cette tête : il me semble me rappeler que vous ne détestez pas vous fourrer des trucs entre les fesses ! Et là, ce sera sans aucun danger, je vous le garantis. »

          De retour à l'infirmerie, Sandrine installa la prof dans la position adéquate, après lui avoir demandé de se mettre complètement nue. La jeune femme se retrouva à genoux sur les gouttières rembourrées de la table d'examen, le buste sur le plateau, la tête bien plus basse que le postérieur. On ne voyait plus que cette croupe majestuese, ouverte par l'écartement forcé des cuisses, ne cachant rien à la vue, d'autant plus que tous ses poils avaient disparu. La position faisait aussi un peu bâiller la fente vulvaire aux uqueses brillantes des sécrétions intimes dues à l'excitation que Fabienne ne pouvait s'empêcher de ressentir, malgré sa honte d'être ainsi obscènement exposée. Elle grogna un peu pour la forme, quand Sandrine lui annonça qu'elle allait l'attacher sur la table, pour son bien et afin d'éviter tout accident, mais se laissa faire docilement. Bientôt, elle se retrouva complètement immobilisée, une sangle au niveau des épaules emprisonnant aussi le haut de ses bras, une autre au niveau de la taille, celle-là un peu plus large et qui lui prenait aussi les bras, une autre au niveau de chaque cheville et de chaque mollet, et enfin une au millieu de chaque cuisse. La pauvre prof ne pouvait vraiment plus bouger grand-chose ! Sandrine la contempla, entièrement à sa merci, ouverte et vulnérable et cela lui plut. Elle fit signe à Joëlle, promue assistante pour l'occasion,  d'avancer la table roulante recouverte d'un tissu blanc qui dissimulait les objets posés sur son plateau.
                        Les deux jeunes filles enfilèrent une paire de gants en latex et elles durent unir leurs efforts pour extirper le gros plug du cul de Fabienne, celle-ci poussant, Joëlle lui écartant encore plus les fesses, et Sandrine tirant sur la partie externe. Il y eut un plop sonore, mais pas de gros dégats : le rectum de la prof avait été bien nettoyé. Cependant, le plug ressortit assez souillé d'entre ses fesses et Joëlle le posa dans l'évier, alors que Sandrine essuyait l'anus resté entr'ouvert avec une lingette humide. Alors Sandrine s'installa confortablement sur un tabouret entre les mollets très écartés de la prof et entrepris de la débarrasser de ses poils restants, la rasant soigneusement autour de l'anus, à l'intérieur des fesses, sur le périnée. Parfois elle lui enfonçait un doigt dans le cul pour tendre la peau autour de lui et faciliter le passage du rasoir. Joëlle participait, une main sur chaque fesse qu'elle écartait au maximum. Puis elle élimina les reste de mousse et enduisit cette région avec une crème adoucissante. Alors, elle put attaquer la phase de dilatation proprement dite.
            Elle avança sa main gantée, après l'avoir trempée dans un pot de lubrifiant,  entre les fesses béantes, puis lui enfonça résolument et sans aucune difficulté, deux doigts dans l'anus. Elle fit tourner ses doigts, les écarta, les replia, mais bientôt ils furent trois puis quatre à fouiller le rectum de la jeune femme qui gémissait sans discontinuer. Alors, Sandrine demanda à son amie :

« Vas-y Jojo, branle-lui un peu le clito ! »

            L'autre ne se fit pas prier, cependant que Sandrine continuait son massage, et Fabienne cria son premier orgasme. L'apprentie toubib ne lui laissa aucun temps de répit et remplaça ses doigts par un spéculum anal à trois branches qu'elle ouvrit très largement. Fabienne qui sentait l'air frais à l'intérieur de son rectum, priait, suppliait :

« Non, Sandrine, je t'en supplie, tu vas me déchirer ! »

            Et la gamine impassible continuait à lui ouvrir le cul en grand lui assurant :

« Mais non, Fabienne : votre anus peut s'ouvrir encore bien davantage ! »

                        Puis elle referma le spéculum et le retira. Elle prit sur le plateau de la table roulante une tige de verre d'environ 25 centimètres de long, en fait formée de boules accolées dont le diamètre allait croissant progressivement des extrémités vers le milieu, soit de2 centimètres à 5. L'introduction des premières boules dans son cul fut plutôt agréable à Fabienne, mais cela commença à se gâter au fur et à mesure que leur taille augmentait, et elle poussa un hurlement quand la plus grosse franchit, non sans mal, son sphincter. Ensuite, jusqu'à la fin de l'objet, ça redevint très supportable, mais déjà Sandrine retirait la tige pour la lui enfoncer à nouveau bien au fond du rectum. Elle continua un bon moment à la ramoner ainsi, laissant même un moment sa place à Joëlle. La pauvre prof ne savait plus où elle en était : elle gémissait, priait, criait, et prise entre la douleur et le plaisir, elle jouissait aussi presque en continu...
                        Quand la tige fut définitivement retirée de son cul, elle était brisée, abattue, dolente, et pensait que son pauvre trou du cul ne se refermerait jamais : en effet, il présentait encore une ouverture d'environ trois centimètres de diamètre !
            Malheureusement pour elle, son supplice n'était pas terminé pour autant ! Déjà Sandrine lubrifiait soigneusement un gode monstrueux avec un gland énorme dont elle posa l'extrémité sur la colerette anale qui n'en demandait pas tant ! L'intromission ne se fit pas sans douleurs  ni sans pleurs et hurlements, mais elle y réussit, non sans mal. Pour se faire, elle avait abandonné son tabouret et se tenait debout sur le côté gauche du postérieur de Fabienne : bonne idée, car cette dernière ne put maîtriser sa vessie et lâcha quelques jets d'urine, qui d'ailleurs jaillissaient un peu n'importe comment, le vagin étant écrasé vers le bas par l'énormité du pal, la vulve ressemblant plus à un lozange qu'à une fente verticale. L'anus, quant-à lui avait perddu toutes ses stries et formait un cercle tendu et livide autour de la tige qui y était enfonçée jusqu'à la garde.
                        Tant que dura cette sodomie hors norme, la jeune femme fut surprise de ressentir de fréquents orgasmes, malgré la grande douleur bien réelle de son cul torturé et qu'elle sentait sur le point de se déchirer, d'éclater. De même, elle ne put se retenir de pisser par moment, profondément humiliée de ne pouvoir se retenir et par les réflexions de Sandrine, du genre :

« Mais arrêtez donc de pisser comme ça ! C'est dégueulasse et infantile ! Retenez-vous, que diable ! »

            Quand elle fut enfin désempalée, Fabienne était inerte, morte de souffrance et de plaisir mélangés, au bord de l'évanouissement. Aussi ne sentit-elle qu'assez vaguement la main gantée et lubrifiée qui entreprenait de l'investir par son trou en principe le plus étroit. Sandrine avait réuni ses doigts en cône, le pouce à l'intérieur des autres doigts et n'eût finalement pas trop de mal à l'introduire toute entière dans le rectum distendu. Quand elle referma son poing à l'intérieur et entrepris un mouvement de va et vient, cela réveilla en partie une Fabienne incrédule et complètement dépassée, qui ne pouvait, impuissante que sanglotter. Sandrine s'étonnait elle-même de cette cruauté qu'elle ne se connaissait pas, un peu effrayée, mais aussi excitée... Il faudrait qu'elle s'en ouvre à Sylvie... Un peu honteuse, elle retira sa main assez doucement.
            Les deux jeunes filles se penchèrent sur ce postérieur dont Joëlle écartait à deux mains les globes jumeaux : elles fure un peu effarées par la taille de l'ouverture du trou du cul, sans doute d'un diamètre de 6 ou 7 centimètres et qui palpitait doucement. On pouvait même voir les muqueuses internes !
            Sandrine hésita : devait-elle remettre en place un plug encore plus gros dans le cul de Fabienne ? Le précédent avait été très dur à retirer... Alors elle opta pour une sonde gonflable. L'objet en caoutchouc mesurait une dizaine de centimètres de longueur, formé d'une tige centralle encadrée par deux boules nettement plus grosses destinées à maintenir l'engin en place dans l'anus, l'empêchant de ressortir mais également de remonter dans le rectum. Avant de le lui insérer, Sandrine procéda à sa toilette intime avec une lingette. La prof ne sentit même pas l'introduction de la première boule dégonflée, et il fallut que la jeune fille appuie plusieurs fois sur la poire pour que le diamètre de latige centrale rejoigne celui de la rosette distendue. Alors elle débrancha la poire et libéra sa victime de tous ses liens.
            En descendant de ce qui venait d'être sa table de torture, la prof tenait à peine debout, les jambes en coton. Les filles l'aidèrent à aller s'allonger sur l'un des lit où elle se recroquevilla en position foetale, complètement épuisée. Sandrine la recouvrit d'un drap et la laissa cuver tranquilement douleur, plaisir et humiliation.
            Fabienne n'eût pas envie de les accompagner à la cantine et elle dormait profondément, ou faisait semblant,  quand elle en revinrent. Joëlle demanda :

« Qu'est-ce qu'on fait maintenant ? »

            Sandrine s'étira, bâilla et répondit :

« En ce qui me concerne, je vais dormir et à condition de ne pas me réveiller, tu peux me faire et te faire tout ce que tu voudras ! »

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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