suivant
La punition de Cécile (7)
précédant

Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 07

            Elle ne discute pas et la seconde qui suit, s'agenouille à mes pieds, saisit doucement le gauche, le porte à ses lèvres, embrasse ma cheville à travers le bas. Elle caresse de même l'autre cheville, puis, avec une lenteur exaspérante, ses mains et ses lèvres remontent le long de mes jambes, les font doucement s'écarter, repoussent la jupe ample de mon tailleur vers le haut, ne laissent pas un centimètre carré sans y déposer un baiser, découvrent mes cuisses peu à peu ! A ce petit jeu, Monique est d'une habileté redoutable : très vite, je sens ma vulve s'humecter, s'ouvrir ! Au bout de quelques minutes de ce manège subtil, j'ai envie d'arracher ma culotte et de plaquer sa bouche entre mes cuisses, mais je me contente d'avancer mes fesses sur le fauteuil, pour lui faciliter la tâche. Déposer des petits baisers et des coups de langue sur la chair nue de mes cuisses, au-dessus de la lisière de mes bas lui prend un temps fou : je soupire, gémis, même... Elle s'intéresse aussi à ma petite culotte de soie naturelle, en suit les bords du bout de doigt ou de la langue, déprime doucement le centre, au niveau de ma fente maintenant trempée !
            Transmission de pensée ? Monique a-t-elle entendu ma prière intérieure : "Mais qu'est-ce que tu attends pour me l'enlever ?'... En effet, elle entreprend de me débarrasser de ce joli petit chiffon, sans hâte aucune, et comme le sous-vêtement monte assez haut sur mon ventre, ça prend pas mal de temps avant qu'il se retrouve en haut de mes cuisses ! Et ce n'est pas fini : le glissement trop lent de la soie le long du nylon de mes bas m'exaspère d'impatience... Enfin, me voilà libre : ma culotte est sur le bureau où elle vient de la poser après l'avoir portée à ses narines. Je suis étalée, la jupe entièrement troussée, le ventre nu, les jambes écartées, d'une impudeur totale : les choses sérieuses vont enfin commencer ! Elle va plaquer sa bouche à ma chatte et me faire enfin jouir : j'en ai tellement envie !
            C'est bien mal connaître Monique : on dirait qu'elle a l'éternité devant elle et qu'elle a décidé de me faire mourir d'impatience ! Visiblement, elle doit trouver que je ne suis pas encore assez ouverte, écartelée, offerte ! Elle incline au maximum le dossier de mon fauteuil, passe mes jambes par-dessus les accoudoirs, me dispose à son goût avant de se remettre à genoux... Je suis béante, liquide, je sens la femelle !
            Et le supplice de Tantale reprend de plus belle : ses doigts et sa langue dansent un ballet diabolique sur mes grandes lèvres, mon entre-fesse, mon anus, l'entrée de mon vagin, évitant soigneusement mon clitoris ! Je ne sais plus qui je suis, perds totalement les pédales. Je crois que je hurle quand, alors que je ne m'y attendais plus, ne l'espérais plus, sa langue entre en contact avec mon bouton d'amour, gonflé et douloureux et me fait jouir très rapidement, en m'enfonçant un doigt résolu entre les fesses ! Mon orgasme est long, fort, presque trop ! Tout le temps, sa bouche reste collée à ma chatte sans bouger, et son doigt dans mon cul : je le sens se retirer en douceur au moment où mes contractions intimes s'apaisent...
            Monique a tout le bas du visage barbouillé et luisant de mes sécrétions personnelles, l'air pas mécontent d'elle-même, mais c'est elle qui me dit :

- Oh, merci, Madame, merci !

            Délicatement, elle m'aide à renfiler ma culotte, rabat ma jupe... Elle en devient presque lyrique, même si je ne suis pas dupe et insensible à la flagornerie :

- J'ai adoré vous donner du plaisir, Madame... Et je suis prête à recommencer dès que vous m'y autoriserez ! Cela m'a aussi énormément excitée, je vous l'avoue ! Me permettez-vous de me masturber, s'il vous plaît ?

- Si tu veux, mais attends un peu : je vais chercher Isabelle. Je suis sûre qu'elle aimera aussi te voir te branler comme une salope !

            Je vais chercher mon esclave blonde dans la pièce voisine et lui dit :

- Monique éprouve l'envie de se branler devant nous. Tu as quelque chose contre ?

- Mais non, pas du tout !

- Bon : vas-y, fais ça sur le bureau !

            L'autre, très rouge ne se fait pas prier : elle escamote son petit slip noir en dentelle, monte sur le bureau, se trousse largement et s'accroupit. J'ai les boucles brunes et frisées de son pubis à quelques centimètres de mes yeux et Isabelle, à côté de moi se penche pour mieux voir            : j'en profite pour glisser une main sous sa jupe ! Elégante, mais sans slip, le cul à l'air, tout de suite accessible ! Monique ne tergiverse pas : deux doigts de sa main droite écartent les lèvres de son sexe et le médius s'agite follement sur son clitoris, alors que sa main gauche, passé sous sa fesse, pénètre son vagin, son anus... Elle se fait jouir en un temps record, un peu frustrant, et je lui ordonne :

- Continue !

            Son visage se crispe un peu, mais elle obéit, et nous laisse tout loisir de voir ses doigts s'agiter entre ses cuisses et entre ses fesses, car son deuxième orgasme est plus long à venir...

            Isabelle paraît un peu frustrée, mais bof ! Quand Monique tend la main pour récupérer son slip, je le saisis fermement et lui dit :

- Mais non, tu es très bien comme ça ! Isabelle va rester avec toi, t'aider dans tes démarches : elle a une voiture et du fric. Dès que vous serez prêtes, vous rentrez à la maison avec ta fille. Et s'il te venait l'idée de l'estourbir pour la dévaliser, pense aux photos !

- Oh Madame !
                       
            Bon, et bien puisque les filles gardent la voiture, je suis bonne pour rentrer en taxi ! Je me surprend à renifler longuement le slip noir abandonné par Monique avant de le glisser dans mon sac : c'est curieux ! Ce que représente la jeune femme me dégoûte, mais sentir sa culotte humide m'excite beaucoup ! Eh merde !
            Nora m'attend, à poil et fidèle au poste, et nous faisons le point ensemble.

- Maîtresse, pensez-vous vraiment que de récupérer aussi sa fille est une bonne idée ? Vous savez, les petites jeunes...

            Ce qui pourrait donner, traduit de son charabia ampoulé : "Patronne, tu fais le connerie de ta vie ! Que vas-tu bien pouvoir faire de cette foutue gamine ?"           
            Au fond, je sais qu'elle a raison, mais bien sûr, pas question de le reconnaître :

- Ta gueule, oiseau de mauvais augure !

- Si Maîtresse me le permet, un oiseau a un bec, pas une gueule !

- Tu en profites pour être impertinente, sale négresse, car tu sais que je suis trop feignante pour te punir ? Attends qu’Isabelle soit de retour !

- Si Maîtresse le dit...

            Avec un air très appuyé de se foutre de moi ! Nous éclatons de rire toutes les deux : nous savons très bien, même si je peux être cruelle (surtout si je peux déléguer), que je ne suis pas raciste ! Au contraire, j'ai un faible pour cette fille toujours prête à rire, avec des idées tordues, alors qu’Isabelle est un peu trop froide et conventionnelle à mon goût... Elle prend un air idiot et un fort accent Africain pour proposer :

- Je vais faire couler un bain pour Maîtresse, puis je la fouetterai pour l'aider à mettre de l'ordre dans ses idée ?

- Parfois (rârement) il t'arrive de ne pas être trop conne !

- Maîtresse me flatte ! Bon, on y va ?

----------------------------

            Trois jours se sont écoulés depuis mon entrevue avec Monique et Isabelle m'a tenue régulièrement au courant de leurs démarches pour organiser la "disparition" de l'ex-maîtresse de MORIN. Celle-ci joue le jeu à fond, persuadée d'avoir trouvé la bonne planque. En premier, elle a sorti sa fille Lydie de la pension religieuse pour la ramener chez elle. Monique a partagé son lit avec Isabelle, et j'ai l'impression que ça n'a pas été triste ! Tout avance et elles font leurs valises...
            Monique va loger dans l'annexe avec Isabelle et Nora, et pour Lydie, j'ai prévu une vaste pièce très claire, donnant sur le parc, située pas très loin de ma propre chambre, et que j'ai fait aménager à son intention. Tout va bien, donc, mais je ne peux m'empêcher de repenser à la mise en garde de Nora : c'est vrai que je n'ai pas l'habitude des jeunes filles et me demande par quel bout je vais devoir la prendre. De toute façon, je vais être bientôt fixée : Isabelle vient d'appeler, elles arrivent !
            Monique semble contente de trouver Nora, pour une fois habillée élégamment, ici : avec Isabelle, elle se sent en pays connu. Avant de suivre ses deux compagnes, avec ordre de leur obéir en tout, elle me présente fièrement sa fille qui me sourit et s'incline poliment, avant de lui faire ses recommandations :

- Je vais travailler, donc, je ne pourrai pas m'occuper de toi : c'est Madame qui va s'en charger. Tu seras bien sage et obéissante ?

- Oui maman, je te le promets !

- Viens avec moi, Lydie : je vais te montrer ta chambre !

            Lydie ne fait vraiment pas son âge : petite, très mince, à croire qu’elle est encore impubère. Au reste, extrêmement jolie : cheveux châtains clair, presque blonds, très longs, lui arrivant en haut des fesses. Visage ovale mangé par deux grands yeux bleus qui accentuent encore son air candide et enfantin. Elle porte l'uniforme des pensionnaires : blazer bleu marine sur un chemisier blanc à col claudine et une jupe plissée qui lui arrive au genou, bleu marine également. Des vernis noirs et des chaussettes montantes complètent sa tenue.
            Visiblement, sa chambre lui plaît et elle s'exclame, en faisant le tour de son nouveau domaine :

- Oh c'est formidable ! Je peux vous embrasser ?

            Sans attendre la réponse, elle me saute au cou et plaque une gros baiser sur chacune de mes joues ! Je suis bien plus émue que je ne le voudrais ! Je m'assois sur une chaise et elle se plante devant moi, me regarde attentivement :

- Ainsi, c'est vous ma nouvelle maman de remplacement ? Car la vraie, je ne la vois pas beaucoup...

            Elle a une moue un peu triste, mais tout de suite a un large sourire :

- Vous êtes drôlement belle ! Je vous aime déjà !

- Merci, Lydie. Tu es très jolie aussi ! J'espère que nous allons bien nous entendre !

            Avec un parfait naturel, elle vient s'asseoir sur mes genoux et pose sa tête au creux de mon épaule : surprise, je ne sais trop que faire de mes mains ! Mon bras gauche s'enroule autour de ses épaules : d'un geste, elle rejette ses cheveux par dessus. Faute de savoir où mettre ma main droite, je la pose sur son genou. Pelotonnée dans mes bras, elle me parle doucement, près de l'oreille :

- Vous me ferez un bisou le soir pour m'endormir ? Et le matin, je pourrai venir dans votre lit ?

            Et plein de trucs de ce genre ! Je fonds comme neige au soleil, dit oui à tout... Machinalement, ma main caresse doucement la chair douce de sa cuisse, elle ronronne, écarte un peu les jambes. Sans vraiment savoir comment, mes doigts rencontrent l'entrejambe de sa culotte en coton côtelé : je la sens frémir et elle murmure à mon oreille :

- Vous avez envie de mettre votre main dans ma culotte ?

            Je sursaute violemment :

- je... pourquoi dis-tu ça ?

- Parce qu'à la pension, les grandes veulent toujours le faire... Remarquez, ça ne me gène pas : si le coeur vous en dit ! Par contre, je déteste quand elles m'obligent à les lécher entre les cuisses : je n'aime pas leur odeur !

            Eh bien... Elle se tait pendant un moment, semble réfléchir, puis dit :

- Mais vous, je suis sûre que vous sentez très bon, là...

- Quel âge as-tu au juste ?

- Officiellement, 18 ans. Dans ma tête, beaucoup moins ! J'ai décidé d'arrêter de grandir : les adultes sont bien trop cons !

            Voilà qui est définitif ! Elle s'écarte un peu, me regarde, éclate d'un grand rire :

- La nuit, maman et cette blonde, Isabelle, ne se sont vraiment pas ennuyées, oh lala ! J'ai tout vu, par l'entrebâillement de la porte de ma chambre... Vous vous rendez compte ?

- Et qu'en as-tu pensé ?

- Oh que ça devait être super sympa, pas comme avec mes copines ! Il fallait les entendre aussi !

            Ma main est toujours bien au chaud dans la fourche de ses cuisses minces. Je reprends l'initiative :

- Bon j'espère que tu seras bien sage ! Sinon, tu auras la fessée. Ta maman de la donne, parfois ?

- Maman ? oh non, jamais ! Les soeurs, oui, par contre ! Vous allez me battre ?

- Par forcément, ça dépendra de toi...

- Je serai sage comme une image, promis ! Mais pour ça, j'ai besoin de plein de tendresse...

            Sa main droite est autour de ma taille, la gauche me caresse la cuisse ! Pour l'instant, je préfère fuir cette lolita dont la perversité le dispute à la candeur ! Je la repose un peu brusquement par terre, pour ne pas céder : qui est-ce qui commande, ici ? Je sens que je suis en train de me faire manipuler en beauté !

- Bon, je te laisse t'installer, on dînera ensemble, d'accord ?

- Oui ! Au fait, vous ne m'avez pas dit : comment dois-je vous appeler ?

- Mais par mon prénom : Cécile ! Tout simplement !

- Ça me plaît bien... Et... je suis obligée de vous dire "vous" ?

- Mais non : tu peux me tutoyer ! Ça te convient ?

- Ouah, super ! Cécile, tu es ma maman de secours            préférée ! Tu vas me garder longtemps ?

- Je ne sais pas encore... Allez, je me sauve !

            Pour être troublée, je le suis ! Je m'enferme dans ma chambre pour réfléchir. Je sens encore la chaleur de ses cuisses sur ma main, et la douceur de la sienne sur ma propre cuisse ! Et sa façon de m'inviter à glisser ma main dans sa culotte ! Bon, je dois reprendre le dessus, sinon, je suis bouffée ! Sage décision, qui ne m'empêche pas d'être excitée au plus haut point : une main glissée dans mon slip me le confirme ! Et moi qui dispose maintenant de trois esclaves prêtes à me satisfaire, j'en viens à me caresser, allongée sur mon lit, jupe simplement troussée, slip simplement écarté, main qui s'agite dans ma chatte...
            Le dîner à deux est sympa : Lydie babille, me raconte sa vie à la pension, toujours dans son style pervers et enfantin. Je lui annonce la venue, le lendemain matin de sa préceptrice : elle adore apprendre, paraît-il. Elle me demande la permission de plonger dans ma bibliothèque : pas de problème. Par certains côtés, elle est très mûre : je suis persuadée qu'elle joue les gamines légèrement débiles pour être choyée, câlinée, ce que sa mère, bien que l'adorant, ne lui apporte pas vraiment, toujours par monts et par vaux...
            Je la laisse regarder la télévision un moment et lui recommande de faire sa toilette avant d'aller se coucher. Elle m'arrache la promesse d'aller lui faire un bisou.

            J'en profite pour aller voir où en sont les filles : je les trouve à poil, emmêlées sur le lit, dans une pose assez complexe. Les fesses blanches de Monique présentent des lignes rouges : elles ont dû la fouetter. Parfait ! Un long fouet tressé traîne par terre : je m'en saisis et en donne quelques coups bien sentis, au hasard, sur les corps entrelacés. Ça provoque des cris, des grognements. Me joindre à elles ? Les utiliser ? Pas très envie. Je les laisse à leurs amours. Sortir ? Aller voir un amant ? Bof...
            Quand je repasse au salon, Lydie est en train d'éteindre la télé :

- C'est nul, rien d'intéressant...

            Si je l'entends bien aller aux toilettes, elle oublie de passer par la salle de bains ! Je vais dans sa chambre. Elle est déjà en pyjama, prête à se mettre au lit :

- Tu n'as rien oublié, ma chérie ?

- Euh non, Cécile, je ne crois pas...

- Tu as fait ta toilette ?

- Euh... Je n'en suis pas très sûre...

- Tu n'as pas honte ? Allons, enlève ton pyjama, que je vérifie !

            Elle ne proteste pas et se met toute nue : son corps est gracile, avec des membres qui paraissent très longs. Sa poitrine est toute plate et son pubis renflé, à peine ombré d'une amorce de duvet très clair, charnu, fendu très haut. Assez androgyne, ce qui est logique, avec des fesses bien rondes, son côté le plus féminin à l'heure actuelle. Sa tignasse est magnifique. Je la pousse sur son lit, lui replie et lui écarte les jambes sur la poitrine, sans résistance de sa part, et penche mon visage sur son entrecuisse : d'accord, elle pue, mais quelle jolie vulve !
Je glisse mes doigts entre ses fesses et entre les lèvres de sa fente avant de les lui fourrer sous le nez : elle fronce ses narines et admet un peu à contre-coeur :

- Oui... tu as raison, Cécile, je sens mauvais...

            Je la pousse dans la salle de bains et la surveille pendant qu'elle se brosse longuement les dents, puis quand elle fait sa toilette intime sur le bidet, lui disant gentiment :

- Si tu ne te laves pas bien le minou, je m'en chargerai, mais au gant de crin et à la brosse en chiendent !

- Oh... Tu ne serais quand même pas assez méchante pour faire une chose pareille ?

- Tu paries combien ?

            Récurée, séchée, je la ramène dans sa chambre, et avant qu'elle ne remette son pyjama, je me penche à nouveau sur son intimité : là l'odeur est très agréable, une odeur de fruit vert grisante à souhait : c'est plus fort que moi, je ne peux m'empêcher d'y déposer un rapide baiser !

- Tu me feras encore des bisous là, si je me lave bien le minou ?

- Lydie, tu commence à m'emmerder sérieusement !

            Je la borde, l'embrasse sur le front :

- Allez, fais de beaux rêves, toi !

            Le sommeil tarde à venir et je me retourne longtemps, nue sur mon lit avant de m'endormir : j'ai vraiment déniché l'oiseau rare ! Qu'est-ce qui m'a pris d'aller récupérer cette petite peste ? Confusément, je la sens envahissante, collante, chiante, avide d'affection... Que vais-je bien pouvoir en faire ? Je suis très partagée, en fait : la jeter ? la garder ? Déjà, je la déteste ...et l'adore ! On ne doit pas avoir le temps de s'ennuyer avec un engin pareil !

perverpeper@perverpeper.com

 

RETOUR A L'INDEX