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La punition de Cécile (8)
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Par Docteur Dominique GALLIEN

 

Avant propos : Cette histoire est une fiction qui s'adresse à un public averti. Si vous êtes âgé(e) de moins de 18 ans, veuillez ne pas lire ce texte. Les personnages et les faits relatés sont entièrement imaginaires. Toute ressemblance avec des évènements ou des personnes ayant existé est purement fortuite.

 

Chapitre 08

            C'est une sensation étrange qui me réveille, et dont je mets quelques instants à en déterminer la cause : Lydie, un sourire radieux, est penchée au-dessus de moi, toujours à poil sur mon lit, par de petits mouvements de tête, balaie mon corps de ses cheveux ! Ces chatouilles m'électrisent et je me réfugie sous le drap.

- Pourquoi tu te caches ? Tu es vachement belle, tu sais ! Tu me fais une petite place ?

- Oui, si tu es capable de rester un peu tranquille : j'ai encore sommeil !

            Déjà elle s'est blottie contre moi... Sa bouche trouve mon sein droit et le happe ! Oh pas tout à fait comme une caresse, j'ai plutôt l'impression qu'elle me tête comme un bébé ! Elle en prend le plus qu'elle peut entre ses lèvres... Je suis merveilleusement bien et je caresse doucement ses cheveux. Je sens sa petite main sur mon ventre, mon pubis :

- Eh, doucement ! Tu vas me donner envie de faire pipi !

            Ses doigts se font légers, aériens et jouent avec les boucles de ma toison intime, essaient de s'immiscer entre mes cuisses serrées :

- Veux-tu bien retirer ta main, petite cochonne ?              

Elle est sourde, en plus ! Elle insiste, patiente, obstinée et ...arrive à ses fins ! Vaincue, j'ouvre un peu mes jambes et la main indiscrète prend possession de ma chatte, avec une infinie légèreté : je me fais la réflexion incongrue que jamais un homme ne saura caresser une femme avec une telle douceur.

            Elle a coincé une de mes cuisses entre les siennes, aspire toujours mon nichon droit, comme si elle voulait l'avaler entier, et explore méthodiquement mon entrejambe, poussant une pointe vers mon anus, pénétrant mon vagin, titillant mon clitoris... Et que voulez-vous qu'il arrive ? Je jouis magistralement sous les doigts de cette sale gosse ! Elle aussi, à gémit au moment de mon orgasme. Instinctivement, elle laisse sa main immobile, enveloppant mon mont de vénus, un doigt à l'intérieur. De même, elle a relâché sa succion sur mon sein, se contentant de garder la pointe entre ses lèvres... Nous nous rendormons ainsi. Bien obligée de la déranger, si je ne veux pas pisser au lit !

              Après le petit déjeuner servi par Nora, et avant d'aller retrouver sa prof, Lydie m'a traitée de sale égoïste ! Elle partie, Nora me dit :

- La nouvelle fait un peu la gueule : elle veut vous parler. Je vous l'envoie ?

- Pourquoi pas ? Je vais lui mettre les points sur les "i". Vous l'avez beaucoup maltraitée ?

- Oh sans plus... Par contre, il y a un truc d'après elle, qui la gêne pour faire le ménage : on lui a donné un petit lavement d'eau savonneuse, avec la sonde à ballonnet. Bon, on lui a laissé le ballonnet bien gonflé en place : c'est pratique, pas une goutte ne peut ressortir ! Et c'est pour même pas un litre d'eau dans le bide qu'elle fait sa chochotte !

            Je souris : je connais ce genre de supplice, c'est particulièrement atroce.
            Monique entre dans mon bureau, le visage défait, pliée en deux par les coliques. Je ne lui laisse pas le temps de placer un mot :

- Tu n'as aucune raison valable d'abandonner ton boulot et de me déranger ! Il va falloir te faire une raison, tu es devenue mon esclave et ne dépends plus que de mon bon plaisir ! Enfonce-toi bien dans ce qui te tient lieu de cervelle, que tu es ici pour souffrir, pour en baver ! Maintenant, si tu veux t'en aller, aucun problème : après tout, ta collection de photos ne devrait pas te coûter plus qu'une quinzaine d'années de prison...

            Elle est abasourdie et se met à pleurer doucement. Elle tombe de haut ! Elle bégaie des mots sans suite et s'approche sur un signe. Je palpe son ventre gonflé et douloureux à travers sa robe noire de soubrette, le sens gargouiller, puis la fait tourner en pencher en avant. Je retourne sa robe sur son dos : dessous, un porte-jarretelles et des bas. Je baisse franchement sa culotte noire, lui écarte les fesses : le tuyau souple de gonflage ressort comiquement de son anus, avec sa vis de blocage. J'ai du mal à lui enfoncer un doigt dans le vagin, celui-ci aplati par le ballonnet qui remplit et distend son ampoule rectale ! Je lui assène une bonne claque sur les fesses :

- Allez, remonte ton slip et va bosser ! Si tu es sage, on te libérera bientôt !

            Plus tard, en effet, on l'autorise à se vider, accroupie sur une cuvette, et en notre présence ! Le soulagement bestial mêlé de honte sur son visage sont bien plaisants... Isabelle conclut :

- Va te laver le cul, nettoyer la cuvette, et ne traîne pas !

            La préceptrice de Lydie me voit en s'en allant : elle me fait des compliments sur les qualités intellectuelles de la gamine, et se montre dubitative sur certaines tournures de son esprit, dues, d'après elle à son long séjour chez les bonnes soeurs. La petite pose son livre quand j'entre dans sa chambre, me sourit :

- La prof est vraiment sympa !

- Tant mieux. Approche !

            Je suis assise sur une chaise, elle est debout près de moi. Je passe tranquillement mes mains sous  sa jupe, remonte le long de ses cuisses jusqu'à sa culotte :

- Je n'ai pas trouvé ta culotte dans le panier que je te t'ai montré hier. Ne me dis pas que tu portes la même qu'hier ?

            Elle rougit, baisse la tête sans répondre, mais ça vaut un aveu. Ma main passe sous le coton, palpe ses fesses nues, en prend possession.

- Tu voulais ma main dans ta culotte ? Eh bien, tu l'as ! Et tu ne vas pas tarder à la sentir s'abattre sur tes fesses !

- Oh non, Cécile... Tu ne vas pas me donner la fessée ?

- Devine !

            J'empoigne l'élastique à la taille et baisse le sous-vêtement jusqu'à ses chevilles et lui fait lever un pied puis l'autre pour l'en débarrasser. Le fond n'est pas vraiment net ! Sans qu'elle proteste, je lui enfile sa culotte sale sur la tête, l'entrejambe au niveau du nez et de la bouche. De même, elle se laisse docilement coucher à plat ventre en travers de mes cuisses. Ses cheveux coulent jusqu'au sol. Sans hâte, je la dispose au mieux, relève sa jupe sur ses reins. Avant d'asséner la remière claque sur ce joli postérieur, je le caresse un peu. Elle dit doucement :

- Pas trop fort, s'il te plaît !

            Là, c'est moi qui décide ! Je lève le bras et ma main claque sur sa fesse droite, puis la gauche. Au début, elle serre ses cuisses et ses fesses, mais au fur et à mesure que la fessée se développe, elle ne peut s'empêcher d'écarter et de serrer alternativement les jambes, m'offrant une jolie vue sur son petit abricot imberbe... Je poursuis méthodiquement, frappant ses fesses, mais aussi le haut de ses cuisses. Sans aller jusqu'à essayer de se soustraire à la correction, elle gigote sur mes genoux, pleurniche, me supplie d'arrêter. Son cul rougit, devient brûlant. Quand j'arrête de la fesser, j'ai la main douloureuse et elle pleure à chaudes larmes ! La laissant dans la même position, je lui écarte largement les jambes et ma main se fait douce entre ses cuisses, empoigne sa vulve, la caresse : elle est très mouillée ! Deux doigts de ma main gauche écartent ses fesses et le bout de mon médius se pose sur son anus. Elle gémit, mais plus de douleur, s'écarte encore plus. Mon doigt s'agite follement sur son clitoris, et au moment où elle jouit, je sens les contractions spasmodiques de sa rosette anale sur la pulpe de mon doigt...

            Enfin, je la laisse se relever et lui retire la culotte qui la coiffe. Elle trépigne, se masse les fesses, me sourit à travers ses larmes :

- Oh lala, qu'est-ce que tu m'as mis ! Mon pauvre derrière ! Remarques, si tu termines toujours tes fessées comme ça, tu peux m'en donner tant que tu veux !

- N'y compte pas trop : je connais bien d'autres moyens de te punir si tu le mérites !

            Je la prends dans mes bras, l'embrasse. Puis nos lèvres se rencontrent et ne se lâchent plus ! Mon slip est à tordre tant je suis excitée : je le retire en vitesse, m'allonge sur le lit, l'attire au-dessus de moi, tête-bêche. Sa jupe me recouvre le visage, cependant qu'elle retrousse la mienne, m'écarte les cuisses presque avec violence ! J'aime l'odeur, le goût de sa petite chatte, et apparemment, vu la voracité avec laquelle elle dévore la mienne, c'est réciproque ! Sa fougue compense largement son manque d'expérience ! Cette môme me fait vraiment craquer !

            Je surveille Lydie, cependant qu'elle enfile une culotte propre. Quant-à mon slip, il est trempé : je le ferai porter successivement par Isabelle, puis Nora, puis Monique...           

                        -----------------------------

            Les jours passent et Lydie m'a littéralement adoptée, toujours dans mes jupes, câline au possible. Nora et Isabelle continuent à s'occuper activement de sa mère, et la petite a parfois l'occasion de la voir dans de drôles de postures. Si je la laissais faire, elle passerait toutes ses nuits dans mon lit ! Mais souvent, quand au cours du dîner elle me demande enjôleuse :

- Dis Cécile, tu me permets de dormir près de toi ? Tu sais, j'ai été très sage !

            Je craque souvent. Alors, l'une des trois esclaves la prépare pour moi : elle la déshabille, lui donne un bain, la coiffe, à l'occasion lui donne un petit lavement à l'huile d'amandes douces, puis toute nue, elle vient se blottir dans mes bras. Pour les caresses, elle a fait de sacrés progrès : il faut dire que je l'éduque en ce sens. Elle a vu Isabelle et Nora me donner du plaisir, et même sa mère, très surprise que je lui demande de me caresser devant sa fille, mais qui s'est exécutée, montrant ce qu'elle savait faire ! Parfois, les deux autres lui donnent des cours particuliers de léchage de chattes... Parfois aussi, je la fais punir mais jamais trop fort, pour avoir le plaisir ensuite de la consoler.

            Le jeu des petites culottes portées à tour de rôle l'amuse et elle m'a dit :

- Pourquoi tu m'obliges à porter des culottes propres, et aux autres de mettre les tiennes ? À la fin, elles doivent sentir pas mal, non ?

- Oui, en effet, petite curieuse ! Tu veux sentir ?

- Euh, je veux bien...

            Je sonne et je demande qu'on m'envoie Monique : je sais qu'elle est en quatrième position. La petite est gênée que je fasse venir sa mère pour ça, mais ne dit rien. La mère aussi est honteuse quand je lui ordonne de monter sur la table, de se prosterner genoux écartés, mais bien sûr ne proteste pas : elle commence à avoir l'habitude d'obéir, car elle sait ce qu'il en coûte !
            Sa positon fait remonter sa courte robe noire, découvrant ses cuisses. Je la lui rabas sur le dos. Le slip de dentelle crème, taille basse, lui entre dans la raie des fesses et colle à sa fente sexuelle. L'entrejambe est froissé, empesé. Je fais signe à la gamine d'approcher, lui prends la nuque pour lui faire avancer sonvisage vers la croupe maternelle : elle a un mouvement de recul instictif :

- Ça pue !

- Tu vas voir l'intérieur...

            Je baisse la culotte à mi-cuisses, dévoilant le renfort du sous-vêtement, tâché, humide. Lydie a une moue de dégoût, mais avance quand même son nez. Puis avisant une rondelle assez large de caoutchouc noir entre les fesses de sa mère, et qu'elle maintient écartées :

- C'est quoi, ça, Cécile ?

- Un plug, ma chérie, pour que le cul de ta maman reste bien ouvert ! Et tu vois, ça la fait mouiller en permanence !

- Ah...

            Je donne une grande claque sur les fesses de Monique qui ne demande pas son reste, descends de la table, remonte sa culotte et s'en va. Lydie est toute rouge, mais les doigts que je glisse sous sa jupe et dans sa culotte me disent qu'elle est trempée... J'aurais dû lui demander de caresser sa mère : idée à suivre...

            Les trois nanas me gonflent un peu : envie de changer. Je les ai fourrées nues, menottées en cercle au cachot : d'ailleurs, deux ont leurs règles, alors... Je vais aller passer deux bonnes heures chez un de mes amants occasionnels, Marc, beau mec pas très futé, mais doté d'une queue phénoménale et endurante. Tout à fait ce dont j'ai besoin aujourd'hui ! Il est persuadé que je suis affublée d'un mari hyper jaloux et nous nous voyons discrètement dans son studio. Je lui ai déjà fait le coup du cadenas de chasteté, et il s'est fait un plaisir de me défoncer le cul. Il m'attend. Quand je suis prête à partir, Lydie déboule :

- Tu sors ?

- Oui.

- Je peux venir avec toi ?

- Non, pas question !

            Elle prend un air tout triste pour demander :

- Oh, s'il te plaît !

- Je ne peux pas ! Je vais retrouver un amant, puisqu'il faut tout te dire, epèce de pot de colle !

- Ben alors, c'est pas grave : tu sais, j'ai déjà vu maman se faire sauter ! Je serai très sage, je te le promets ! Allez, ne me laisse pas !

            Ses grands yeux m'implorent, me supplient, je faiblis. Essaie de détourner la conversation :

- Où as-tu trouvé cette robe ?

- Oh, c'est une vieille, mais je l'aime bien !

            En effet, sa robe bleue est trop courte, la taille trop haute, moulant les légers renflements de sa poitrine presque plate : comme si elle avait grandi trop vite et elle ne doit pas avoir à se pencher beaucoup pour montrer sa culotte ! Ses ballerines sans talons la font paraître plus petite et avec sa queue-de-cheval, elle fait vraiment très jeune. Mais elle revient à la charge :

- Allez, sois sympa, emmènes-moi ! Tu diras que tu dois me garder, que je suis sourde et muette, un peu débile, et que j'ai à peine dix ans. Tu veux bien dis ?

            Je n'arrive pas à me fâcher et crie sans grande conviction :

- Merde, mais tu es chiante ! Quand vas-tu me lâcher la grappe, dis ?

- Oh merci, Cécile ! Tu verras, je me ferai toute petite...

            Quand il nous voit débarquer toutes les deux, Marc tire la gueule, malgrè le sourire que lui adresse Lydie, sans dire un mot, fidèle à son personnage. Je lui explique :

- C'est ma nièce : je n'ai pas pu faire autrement que de la prendre avec moi, mais ne t'inquiète pas, elle est très sage.

            Je baisse la voix et dit d'un air triste :

- Elle est sourde-muette, la pauvre petite, et en plus, pas tout à fait normale...

            Je fais signe à ma "nièce" qui munie d'une bande dessinée, va s'asseoir en tailleur dans un coin de la pièce : sous la robe, on voit très bien une culotte blanche en coton fin, sur laquelle sont imprimé des nounours. Je me blottis dans ses bras, l'embrasse à pleine bouche :

- Oublie-là, je t'en prie. J'ai très envie de toi !

            Au début, il est un peu réticent, mais je glisse une main entre nous, sous son peignoir et empoigne son sexe à travers le tissu du caleçon. Très vite, il bande et me demande :

- Elle n'entend vraiment rien ?

- Mais non ! Regarde : elle ne s'occupe même pas de nous !

            Il glisse une main preste sous ma jupe :

- Ouah ! Tu n'as pas de petite culotte ?

- Ça t'ennuie ? dis-je hypocritement.  Le sentir gonfler dans ma main, non, ça ne l'ennuie pas ! Lydie s'en était aperçue dans la voiture et n'avait plus arrêté de me tripoter durant le trajet.

            Je repousse le peignoir de Marc, retrouve son poitrail puissant et musclé, lui baisse son caleçon et tombe à genoux devant lui... J'empoigne fermement son beau sexe de ma main gauche, tandis que la droite s'empare de ses couilles et les fait rouler. Son gland rose est gonflé, une goutte transparente au niveau du méat : je l'efface d'un coup de langue, avant de le prendre en bouche : oh la vache, ce qu'il bande ! Je n'insiste pas trop : je n'ai rien  contre le fait de le faire jouir dans ma bouche, mais pour l'instant, j'ai envie de le sentir ailleurs ! Pas la peine de longs prliminaires : j'ai très envie, et lui aussi... Il ne me faut que quelques secondes pour me débarrasser de mon t-shirt et de ma jupe assez longue : dessous j'ai un soutien-gorge seins nus et un petit porte-jarretelles assorti, d'un goût assez douteux, je dois bien l'avouer, en dentelle rouge et noire. Il ne manque à cette parure, que le mini-slip transparent et fendu ! Je sais qu'il adore ces dessous de pute.

            Je me dispose en levrette sur le lit, lui disant :

- Viens...

            À genoux derrière moi, il me saisit aux hanches et je sens son gland buter dans mon entrecuisse, cherchant son chemin : impatiente de le sentir en moi, je le guide d'une main passée entre mes cuisses. Il me pénètre d'une longue poussée rectiligne, jusqu'au fond de mon ventre ! Je ne suis pas sûre, mais je crois que je hurle comme une bête. Enfoncé en moi jusqu'aux couilles, il marque un temps avant de se mettre à me baiser violemment ! Je le sens aller et venir dans mon vagin, et, le manque plus la "préparation" dans la voiture par cette petite peste de Lydie, je m'envole très vite en hurlant mon plaisir. Marc ne m'a pas rejointe, très maître de lui. Je sens son gros sexe qui se retire, et quand je sens la pointe entre mes fesses, contre mon petit trou, je dis faiblement :

- Non, non... pas par là !

            Il me flanque une grande claque sur la fesse :

- Ouvre ton cul, salope !

            J'essaie... Il pousse comme un forcené, me fait mal au début, et puis ma rondelle se rend, s'ouvre... Peu à peu, il s'insinue dans mon anus, allant de plus en plus loin, et se met à m'insulter, sachant que j'aime la vulgarité quand on est en train de me sodomiser, pardon : enculer !

- Tu la sens, dis, ma grosse bite dans ton cul, espèce de chienne ? Je vais te défoncer le fion, t'en mettre plein le cul ! Allez, branle-toi en même temps, pétasse ! Astique-toi le bouton pendant que je te fourre !

            Et j'obéis, d'une main glissée entre mes jambes, hurlant aussi des obscénités, reprenant ses insultes... Je suis incapable de dire si c'est mon plaisir qui déclanche le sien, ou le contraire, mais je sens les giclées chaudes tout au fond de moi et m'affale sur le ventre, Marc toujours planté entre mes fesses... Du couin de l'oeil, je vois Lydie qui a levé les yeux de son bouquin et nous regarde, caressant le haut de sa cuisse droite... J'ai l'anus un peu endolori, mais je suis bien.
            Puis nous nous relaxons un moment, ma tête posée sur sa poitrine, ma main tenant doucement sa verge. Il me murmure à l'oreille :

- J'aimerais bien baiser ta nièce...

- Salaud ! Tu n'as pas honte ? Elle est trop jeune, voyons !

- Ah bon ? Quel âge a-t'elle ?

- Dix huit ans... Mais elle ne les fait pas n’est-ce pas. Si tu es sage, je pourrais te montrer son petit abricot si tu veux...

            Mes paroles, plus la vision de la culotte de la gamine qui ne semble nous prêter aucune attention, lui font de l'effet : je le sens rebander sous mes doigts. Pour finir de l'exciter, je descend un peu, pose ma tête sur son ventre, prends son gland dans ma bouche : effet garanti ! Dès qu'il est à point, je me lève et à moitié nue, je vais m'accroupir devant Lydie et je lui demande, en articulant soigneusement, comme si elle lisait sur mes lèvres :

- Tu veux bien montrer ton minou à mon ami, ma chérie ? N'aies pas peur, on ne te fera pas de mal !

            Elle prend un air assez ahuri, mais fait "oui" de la tête. Elle pose sa BD et je lui tends la main.  Debout près du lit où se vautre Marc, je soulève le devant de sa robe que je lui donne à tenir, baisse en peu sa culotte, appuie sur ses fesses pour qu'elle tende son pubis en avant... Marc n'en perd pas une miette, mais insiste :

- Eh, je ne vois que le haut de la fente !

            Je finis d'enlever la culotte de Lydie, puis la guidant, je la fais mettre au bord du lit, cuisses repliées sur la poitrine et très écartées :

- Et comme ça, tu vois mieux, espèce de salaud ?

            Il est penché très près de l'entrecuisse de la fille qui semble ailleurs : quelle commédienne, bordel ! De mes doigts, j'écarte les grandes lèvres, dévoilant l'intérieur, rose et humide. Je lui interdis de toucher. Au bout d'un moment, je fais relever Lydie et l'aide a renfiler sa culotte, mais Marc proteste :

- Eh, attends, j'ai à peine vu son trou du cul !

- Tu n'en as jamais assez, Marc, tu me gonfle !

            Néanmoins, j'aide Lydie qui se laisse faire docilement à se prosterner sur le bord du lit, la trousse, et lui baisse doucement sa culotte, juste un peu, en haut des cuisses. Son petit cul est rond et pourrait être tout aussi bien celui d'un garçonnet. Une main posée sur chaque fesse, je lui écarte la raie je doivoile le petit trou plissé aux yeux de mon amant, qui maintenant bande comme un cerf ! Je l'attrappe de la main droite par la partie la plus saillante, le tire vers Lydie toujours le cul en l'air, et je m'amuse à faire glisser le gland turgescent entre les fesses et entre les cuisses de la gamine, la caressant par la même occasion. Mais comme je ne lui accorde qu'une confiance relative, de ma main gauche passée par derrière, j'ai saisi fermement ses couilles, prête à les lui arracher s'il n'est pas sage ! Il le sent d'ailleurs très bien et ne joue pas au con.
            Sous la caresse douce et dure à la fois et si chaude, Lydie gémit la tête dans un oreiller. Je sens Marc sur le point d'exploser : alors je pose le bout de son gland contre l'anus de la petite et me mets à le branler rapidement. La gamine sursaute violemment quand elle le sent éjaculer contre son petit trou. J'ai affermi ma prise sur ses boules : on ne sait jamais... Je reculotte ma "nièce" et elle va se rasseoir dans son coin, comme si de rien n'était...
            Il me faut un certain temps pour remettre mon bel étalon en état de marche : je le pompe longuement, lui glisse un doigt indiscret entre ses fesses poilues. Mais j'arrive à mes fins, l'enjambe et m'empale moi-même avec un soupir d'aise. Je prends tout mon temps pour le chevaucher, balançant mes seins devant son visage, l'encourageant à les prendre dans sa bouche...

            Je conduis un peu au radar, mais Lydie babille, en pleine forme, ravie de son après-midi, une main dans sa culotte, l'autre dans sa bouche, pas toujours la même... Elle me pose aussi un tas de questions auxquelles je ne réponds même pas, la tête ailleurs.

- Tu as vu, j'ai été bien sage, hein ? Ça t'a fait mal, quand il t'a enfoncé son gros machin entre les fesses ? À un moment, j'ai eu très peur qu'il m'en fasse autant, mais je savais que tu ne laisserais pas faire ! Beurk : je suis toute gluante et collante ! Mes doigts ont un drôle de goût...

            Et ainsi de suite... Sa confiance me touche et je me promets de ne jamais la trahir. Et merde : me voilà quasi amoureuse de cette petite pisseuse !!!
            Rentrées à la maison, nous mangeons une bricole avant d'aller dans ma chambre : ça paraît évident, et surtout sans nous laver, comptant fermement sur la langue de l'autre pour faire notre toilette intime et pour retrouver entre les cuisses de l'autre le goût de ce macho de Marc, qui m'a glissé, avant notre départ :

- J'aimerais bien te présenter à deux ou trois de mes copains. Tu veux bien ?

- On verra...

            Le visage niché dans mon cou, d'une voix ensommeillée, juste avant de plonger, Lydie m'a murmuré :

- Je t'aime, Cécile : tu es ma maman préférée... Tu peux faire tout ce que tu veux de moi, mais, s'il te plaît, ne me laisse jamais, j'en serais trop malheureuse...

            Son souffle s'est fait régulier, et j'ai du mal à m'endormir : que me disait Nora, déjà ? De ne pas m'emmerder avec cette gamine ? C'est gagné !
            Sa mère et les deux autres sont au cachot : elles ont du pain, de l'eau, un seau hygiénique, alors... ...dodo.
            C'est sa bouche collée à ma chatte comme une ventouse qui me réveille...

                        -----------------------------

            J'ai récupéré les filles au cachot : bon dieu que ça puait là-dedans ! Je leur ordonne de se rendre présentables et nettoyer les lieux.
            Plus tard, Isabelle vient me dire :

- Maîtresse, Nora et moi, on aimerait bien avoir un chien...

- Mais il y a déjà les trois bergers allemends ?

- Oui, mais ce ne sont que des mâles, Maîtresse ! On aurait aimé une femelle...

- Tu m'emmerdes, Isabelle : assez de clebs comme ça. S'il vous faut vraiment une chienne, Monique fera très bien l'affaire !

- Oh Merci, Maîtresse, merci !

            Et ainsi, pour un temps, Monique devient chienne à plein temps. Si le fait de traiter sa mère ainsi choque Lydie, elle n'en laisse rien paraître : je crois qu'elle m'aime vraiment et est prête à accepter tout ce qui vient de moi...
            Or donc, la dernière recrue entame sa vie de chienne, toujours nue, si l'on excepte son collier. Il lui est interdit de parler, mais elle peut aboyer si elle veut. Elle doit toujours se déplacer à quatre pattes, manger et boire dans une écuelle posée à même le sol, dormir sur un tapis ou dans une niche, attachée par une chaîne accrochée à son collier. Toilette au jet et à la brosse dans le jardin.
            Bon, d'accord, il y a certaines contraintes, ne serait-ce que de la sortir pour faire faire ses besoins, mais il suffit de s'organiser. La première fois que j'ai tendu à Lydie la laisse attachée au collier de sa mère, nue et à quatre pattes, en lui disant :

- Tiens sois gentille, va faire pisser la chienne, ma chérie !

            Sa main tremblait et elle s'est mise à bafouiller. J'ai murmuré à son oreille :

- Fais-le pour moi, je t'aime !

            Et elle a tiré sur la laisse, emmené sa maman sans le jardin, l'a regardé lever la cuisse et se soulager, puis la ramenée de la même façon... Puis, elle s'y fit, avec son sens de l'adaptation.
            Comme il fallait s'y atendre, mes deux salopes eurent rapidement l'idée de faire couvrir Monique par les vrais chiens, et, bien entendu, je ne m'y oposai pas, bien au contraire ! Également, je voulais que Lydie assiste à cette humiliation : de toute façon, elle ne me quittait plus d'une semelle, un peu collante, je l'avoue. Voir sa mère se faire saillir comme une vraie chienne la fit délicieusement rougir comme un coquelicot, mais aussi beaucoup mouiller sa culotte de coton !
            Nous mangions dehors, dans le jardin, servies par les deux elclaves en robes courtes de soubrettes, sans rien dessous. Sur un signe de ma part, Isabelle continua à nous servir, cependant que Nora allait chercher la chienne, et l'amenait, nue et tenue en laisse comme il se doit. Elle l'immobilisa ensuite en position de levrette, en appui sur les avant-bras, son collier relié à l'anneau en métal surmantant un plot en ciment en forme de pyramide tronquée, puis lui écarta les chevilles au maximum avec une barre métallique munie de bracelets à ses extrémités. Monique se retrouva la croupe haute et ouverte, gémissante et suppliante. Alors NOra alla chercher l'un des chiens et lui fourra le museau entre les cuisses écartées de la femme : il se mit à la renifler, la lécher au plus intime, et... à bander ! Laché, il monta sur Monique, essayant maladroitement de la pénétrer : les pattes avant autrour de la taille de la femelle, le bout pointu de son sexe cognait brutalement contre la vulve ou l'anus offerts, mais sans grand résultat autre que de la faire crier de douleur ! Nora dut le guider vers sa cible : d'un coup de rein, le chien s'enfonça dans la femme prosternée. Le coït animal fut rapide, et après son éjaculation, le bout du pénis gonflé au maximum, le chien, l'air un peu stupide eût bien du mal à se dégager, et y étant enfin parvenu, se lécha consciencieusement le sexe. Monique pleurait doucement, le trop plein de sperme grisâtre coulant le long de ses cuisses. Mais déjà Nora allait quérir un autre clebs...
            De voir sa maman dans cette posture, Lydie était très rouge. Je la fis mettre debout devant moi, jambes un peu écartées et glissai mes mains sous sa jupe plissée, jusqu'à sa culotte, dont je trouvai l'entrejambe humide :

- Tu as fait pipi dans ta culotte, ma chérie ?

- Mais... je... non, pas du tout !

            J'empoignai l'étastique de la taille et lui baissait son slip de fillette jusqu'au genou, et glissai ma main entre ses fesses, lui caressant doucement l'anus, évitant soigneusement sa vulve, pour l'exciter au maximum sans la faire jouir trop vite. Pendant ce temps, le deuxième chien, après quelques larges coups de sa langue rapeuse sur la chatte inondée  du foutre de son collègue, s'était enfoncé dans le ventre de la femelle, avec l'aide de Nora. Le spectacle était passionnant et je sentais palpiter sur le bout de mon médius, la rosette anale de la gamine.
            Pour le troisième chien, histoire de varier les plaisirs, Nora guida la pointe du pénis non pas vers la chatte, mais vers le cul de la chienne d'occasion ! Ce fut très pénible pour elle : il avait beau pousser comme un forcené, ça ne voulait pas rentrer ; mais, solidement maintenu par la Noire, bien guidé et continuant à pousser, il parvint à ses fins et Monique hurla. Quand il eût fini sa petite affaire et qu'il voulût déculer, ce ne fut pas triste du tout, sauf pour la pauvre Monique, mais bon...
            Mais déjà, le premier chien rebandait, prêt à remettre ça ! Je finis de déculotter ma petite protégée, la pris par la main et la fis se mettre à quatre pattes devant le visage de sa mère en train de se faire sauter par un chien, rabbatis sa jupe sur son dos et lui demanda de tendre les fesses :

- Ouvres-toi bien, ma chérie, ta maman va te lécher le cul !

            L'autre, matée et craignant les représailles, avança son museau entre les fesses de sa fille et se mit à la lécher consciencieusement, cependant que je posai mon doigt sur son minuscule clitoris ! Malgré une honte certaine due à la situation, la petite jouit plusieurs fois de suite... Ma culotte est à tordre et je fais appel à la langue servile d’Isabelle pour me faire jouir aussi...
            Quand les chiens ont bien dégorgé leur foutre, tantôt dans le vagin, tantôt dans le cul de la femelle, celle-ci, débordante de sperme canin, est mise à la niche, avec interdiction de se laver...

            Plusieurs fois, les deux filles organisèrent des jeux sexuels avec les chiens et leur chiene, la faisant prendre par l'un ou l'autre trou, l'obligeant à branler et même sucer les bites canines ! Et nous nous amusâmes beaucoup, chaque fois que Monique, finissant par y prendre goût, jouissait comme une vraie chienne ! Les chiens eux-mêmes s'y firent très vite apréciant fort cette femelle toujours prête à leur tendre sa croupe et ne s'en privaient pas et il n'était plus necessaire de guider leur bite dans l'un ou l'autre trou de Monique : ils trouvaient très bien leur chemin tout seuls ! Et la fière infirmière était devenue leur chienne soumise, tendant et ouvrant son cul dès que l'un ou l'autre vanait le lui renifler, écartait largement ses cuisses, creusait les reins, se cambrait, s'offrant sans aucune pudeur. Le plus souvent ils la prenaient dans le vagin, mais il arrivait aussi qu'ils se trompent de trou et l'enculent gaillardement, ce qu'elle apréciait beaucoup moins : ce n'est pas tant la pénétration elle-même qui lui posait problème, car d'une part je veillais à ce que son trou du cul soit toujours dilaté, d'autre part le chien ne la couvrait jamais avant d'avoir passé et repassé sa large langue rugueuse entre ses cuisses et ses fesses, et en plus, le gland canin avait le temps de se mouiller à sa vulve avant de lui perforer la rondelle. Mais ce qu'elle redoutait c'était le retrait quand l'autre se retournait et la traînait à quatre pattes, cul à cul, lui donnant à chaque fois l'impression qu'on lui arrachait le trou du cul, et ce jusqu'à ce que le gland se dégonfle.

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